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Heute — 13. April 2025Haupt-Feeds

Pro A : la rencontre JSK – Club Africain arrêtée après des jets de projectiles

Von: La Presse
13. April 2025 um 21:29

Le Game 4 de la deuxième demi-finale du Super Play-off du championnat Pro A de basket-ball, opposant dimanche soir, à la salle Aziz Miled de Kairouan, la JS Kairouan au Club Africain, a été interrompu à la 4e minute du quatrième quart-temps. La rencontre a été arrêtée en raison de l’usage de fumigènes et du jet de projectiles sur le parquet par les supporters de l’équipe locale, alors que la JS Kairouan était menée 74 à 61.

À noter que le match avait débuté avec près d’une heure de retard.

Dans l’autre demi-finale, disputée plus tôt dans l’après-midi, l’Étoile Sportive du Sahel a égalisé à deux victoires partout en remportant le Game 4 face à l’US Monastir sur le score de 74 à 71, à la salle olympique de Sousse.

Les deux demi-finales se joueront donc sur un cinquième et dernier match décisif, prévu pour le samedi 19 avril, afin de déterminer les deux équipes finalistes du Super Play-off.

 

-Résultats :

Game 4 – Dimanche 13 avril :

ES Sahel – US Monastir : 74-71

JS Kairouan – Club Africain : match arrêté

Rencontres précédentes :

Game 1 – Mercredi 2 avril :

Club Africain – JS Kairouan : 87-77

US Monastir – ES Sahel : 72-55

Game 2 – Lundi 7 avril :

Club Africain – JS Kairouan : 82-77

US Monastir – ES Sahel : 68-61

Game 3 – Jeudi 10 avril :

JS Kairouan – Club Africain : 71-63

ES Sahel – US Monastir : 57-52

Matchs décisifs à venir :

Game 5 – Samedi 19 avril :

Club Africain – JS Kairouan

US Monastir – ES Sahel

 

NB : Les demi-finales se jouent au meilleur des cinq matches. La première équipe à remporter trois victoires se qualifie pour la finale du Super Play-off.

Nouvelle vague de pluie sur la Tunisie : ce qu’il faut savoir avant mercredi

Von: La Presse
13. April 2025 um 21:04

L’Observatoire tunisien du climat et de la météo annonce l’arrivée d’un système dépressionnaire qui affectera progressivement le pays du lundi 14 au jeudi 17 avril 2025. Dans une note publiée ce soir sur sa page officielle Facebook, l’observatoire informe que des précipitations de diverses intensités sont attendues sur l’ensemble du territoire, avec un pic prévu mercredi.

Des pluies faibles à modérées sont attendues dès lundi sur le nord de la Tunisie, notamment le nord-ouest. Le centre et le sud du pays pourraient également être concernés par des précipitations faibles, voire localement modérées, en particulier dans les régions de Kasserine, Gafsa, le nord de Tozeur et de Kebili. Ailleurs, les précipitations seront plus localisées et incertaines.

 

Mercredi, journée la plus instable

 

Le pic des perturbations est prévu pour mercredi 16 avril, avec des pluies modérées à importantes sur de nombreuses régions, surtout au nord et, dans une moindre mesure, au centre. Les régions du sud-ouest comme Gafsa, Tozeur et Kebili connaîtront des précipitations faibles. Le sud-est du pays semble moins concerné.

Des averses localisées sont également attendues mardi et jeudi, particulièrement sur le nord du pays. L’Observatoire signale également un risque de crue des oueds, notamment dans la soirée de mercredi, ainsi que la possibilité de chutes de grêle lundi et mercredi.

Selon les cartes disponibles, ces conditions instables pourraient durer jusqu’au jeudi matin 17 avril. D’autres épisodes pluvieux sont envisagés à partir du 20 avril, sous réserve de confirmation.

Gabès : Une jeune de 25 ans tuée par sa colocataire

Von: La Presse
13. April 2025 um 19:59

Une jeune femme âgée de 25 ans a tragiquement perdu la vie ce dimanche 13 avril 2025 à Gabès, après avoir été poignardée par sa colocataire.

Selon une source sécuritaire locale, citée par Mosaïque Fm, le drame s’est produit aux alentours de midi dans un logement en location situé à Gabès-ville. La victime, originaire de Mahdia, a été attaquée à l’arme blanche, atteinte grièvement au niveau du cou par une autre jeune femme qui partageait le même domicile.

Transportée d’urgence à l’hôpital universitaire de Gabès, la victime a succombé à ses blessures malgré les tentatives de réanimation.

L’auteure présumée du crime a pris la fuite vers une forêt de la région de Chenini, mais a été rapidement localisée et arrêtée par les unités de la sécurité publique.

Sur ordre du ministère public, les six autres personnes présentes dans le logement au moment des faits ont également été placées en garde à vue afin de poursuivre les investigations.

Une enquête est en cours pour élucider les circonstances exactes de ce drame.

 

Un nouveau séisme de magnitude 5,6 frappe le Myanmar

Von: La Presse
13. April 2025 um 19:43

Un séisme de magnitude 5,6 a frappé le Myanmar dimanche, sans faire de victimes, selon le Centre sismologique euro-méditerranéen, cité par plusieurs médias.

De son côté, le Département de météorologie et d’hydrologie du Myanmar a estimé la magnitude à 5,5, précisant que l’épicentre se situait à environ 14,5 kilomètres au nord-est de la ville de Wundwin, dans la région de Mandalay.

Le 28 mars dernier, un puissant séisme de magnitude 7,7 avait déjà touché la région centrale du pays, où vivent près de 17 millions de personnes. Ce tremblement de terre avait causé la mort de 3 689 personnes, fait 5 020 blessés, et 139 personnes sont toujours portées disparues, selon les autorités locales.

Depuis cette date, environ 89 répliques ont été enregistrées dans le pays, avec des magnitudes variant entre 2,8 et 7,5, selon le Département de météorologie et d’hydrologie.

 

1 sous-traitant sur 5 travaille pour le secteur public en Tunisie, selon Mourad Hattab

Von: La Presse
13. April 2025 um 18:22

Lors d’une séance de dialogue organisée ce dimanche 13 avril 2025 à la salle municipale de Sfax, consacrée au projet présidentiel de réforme du Code du travail, l’expert en risques financiers, Mourad Hattab, a lancé un cri d’alarme sur l’ampleur du travail précaire en Tunisie et les dérives du recours à la sous-traitance, y compris au sein des institutions publiques.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, Hattab a affirmé que 20 % des travailleurs sous-traitants opèrent dans le secteur public, en violation flagrante de la loi de 1985, qui interdit le recours à la sous-traitance, à l’emploi précaire et aux contrats à durée limitée. “L’État est le premier à enfreindre cette législation”, a-t-il déclaré.

L’expert a souligné que, selon les dernières données professionnelles actualisées, 300 entreprises de sous-traitance sont recensées en Tunisie — déclarées et non déclarées — dont 90 sont basées à Sfax, une plateforme économique stratégique.

Le secteur emploie environ 230 000 personnes, dont 167 000 dans les services de nettoyage et de sécurité. Des métiers qu’il qualifie de structures essentielles et permanentes, nécessitant une intégration urgente. Il a également insisté sur la modernisation du secteur de la sécurité, désormais confronté à des mutations technologiques, notamment liées à l’intelligence artificielle et aux systèmes électroniques.

Hattab a mis en garde contre le risque de contournement du futur Code du travail après son adoption, déplorant l’absence de mécanismes de contrôle efficaces pour assurer l’application stricte de la loi.

Selon lui, 1,6 million de Tunisiens exercent une activité marginale sans véritable contrat de travail, ce qui a causé en 2020 une perte estimée à 1,4 milliard de dinars pour la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), d’après un rapport de l’Institut tunisien des études stratégiques.

Il a appelé à des solutions concrètes et inclusives, estimant que le projet de réforme porté par la présidence de la République constitue une avancée majeure pour restaurer le rôle social de l’État et mettre fin aux abus dans la rémunération et l’emploi des travailleurs, qui persistent depuis des décennies.

De son côté, Badr Essamawi, expert en protection sociale, a salué le projet de réforme du Code du travail, actuellement entre les mains de l’Assemblée des représentants du peuple, le qualifiant de “révolution sociale”. Il a dénoncé l’usage abusif des contrats à durée déterminée, qui a conduit à une forme de traite moderne, facilitée par une interprétation erronée des articles 28, 29 et 30 du Code actuel.

Essamawi a souligné que le nouveau texte vise à instaurer un équilibre entre les droits des travailleurs et la stabilité des entreprises, mais a reconnu que la réforme s’annonce complexe et exige une lecture juridique approfondie pour éviter les dérives.

Pour sa part, la députée de Sfax, Fatma Mseddi, s’est dite indignée par les conditions de travail de nombreux sous-traitants, y compris des diplômés, dans des structures publiques, privées et semi-publiques. Elle a dénoncé des pratiques assimilables à de la quasi-esclavagisme, et s’est interrogée sur le rôle de l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT) dans la défense de ces travailleurs.

Selon elle, “la réforme ne suffit pas”, et l’État doit appliquer la loi à lui-même avant d’en exiger le respect chez les opérateurs privés.

Criquet pèlerin : plus de 10 hectares traités à Médenine, l’alerte est maximale dans le sud tunisien

Von: La Presse
13. April 2025 um 17:55

Les Commissariats de la Délégation régionale au développement agricole (CRDA) de Médenine ont mené, aux premières heures de la journée de ce dimanche 13 avril, une opération de traitement phytosanitaire couvrant plus de 10 hectares dans la région de Béni Khedache, dans le cadre des efforts de lutte contre l’invasion du criquet pèlerin.

Dans une déclaration accordée à la Radio Nationale, Ammar Jemai, directeur régional de l’agriculture à Médenine, a indiqué que les autorités agricoles ont intensifié leurs dispositifs de surveillance et demandé aux chefs des cellules de vulgarisation agricole de renforcer la vigilance, appelant à une mobilisation maximale.

Le responsable a également souligné l’importance de la coordination intersectorielle, en particulier avec les forces de l’ordre, les unités militaires, mais aussi avec les éleveurs, les agriculteurs et les populations locales, pour signaler rapidement tout mouvement suspect de criquets.

Selon Jemai, les conditions climatiques actuelles dans les régions du sud tunisien, notamment dans les gouvernorats de Médenine et Tataouine, sont propices à la prolifération et à la migration du criquet pèlerin, ce qui justifie le déploiement renforcé des équipes de prospection sur le terrain.

Les autorités appellent à la vigilance collective et à une réactivité immédiate pour endiguer toute propagation massive qui pourrait menacer les cultures agricoles de la région.

Des conditions météorologiques instables attendues cette nuit sur plusieurs régions

Von: La Presse
13. April 2025 um 17:45

Selon un bulletin de suivi publié par l’Institut National de la Météorologie (INM), le temps restera partiellement nuageux cette nuit sur la majorité des régions du pays.

Les vents souffleront de secteur est, avec une intensité forte près des côtes et localement dans le sud, tandis qu’ils seront faibles à modérés dans les autres régions. Ces conditions entraîneront une mer très agitée, rendant la navigation en mer peu recommandée, en particulier pour les embarcations de petite taille.

Côté températures, les valeurs minimales oscilleront entre 18 et 23°C dans les régions orientales et les zones montagneuses, tandis qu’elles seront plus élevées ailleurs, variant entre 24 et 29°C, notamment dans les zones intérieures et l’extrême sud.

Les autorités appellent à la vigilance, en particulier pour les activités en mer ou en zones exposées aux vents violents.

Washington envisage de taxer les smartphones, ordinateurs et médicaments chinois dans le mois à venir

Von: La Presse
13. April 2025 um 16:12

Le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, a déclaré dimanche que les smartphones et les ordinateurs récemment exemptés des droits de douane imposés à la Chine seront finalement soumis à des taxes spécifiques d’ici environ un mois.

Vendredi, le président Donald Trump avait temporairement épargné ces produits des droits de douane massifs de 145 % visant Pékin, répondant ainsi aux demandes de plusieurs grandes entreprises, notamment Apple, dont une grande partie de la production est basée en Chine.

Invité de l’émission This Week sur la chaîne ABC, Howard Lutnick a précisé que ces appareils électroniques, ainsi que les semi-conducteurs, seront inclus dans une nouvelle série de mesures tarifaires attendue dans les prochaines semaines.

Il a également indiqué que le secteur pharmaceutique fera l’objet de droits de douane distincts, précisant que ces mesures devraient être annoncées « dans un mois ou deux ».

 

La Presse avec Agences

Tunisie : Le meurtrier de son épouse retrouvé pendu à Gobbaa

Von: La Presse
13. April 2025 um 15:51

L’homme accusé d’avoir poignardé mortellement son épouse à Gobbaa, dans le gouvernorat de la Manouba, a été retrouvé pendu ce dimanche matin 13 avril 2025 dans un site abandonné.

Informées, les autorités ont rapidement procédé au constat. Sur ordre du procureur de la République près le tribunal de première instance de Manouba, une enquête a été ouverte afin d’élucider les circonstances exactes de ce décès. Le corps a été transporté au service de médecine légale pour une autopsie, qui devra déterminer avec précision les causes de la mort, rapporte Mosaïque Fm.

 

Dr Ahmed Souki : « Voici pourquoi la Tunisie a commencé à utiliser le vaccin contre le HPV »

Von: La Presse
13. April 2025 um 15:21

Le Dr Ahmed Souki, gynécologue-obstétricien, a défendu ce dimanche 13 avril 2025 l’introduction du vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) en Tunisie, affirmant qu’il s’agit d’un vaccin sûr, efficace et reconnu au niveau international. Il a mis en garde contre les campagnes de désinformation à caractère politique, qui, selon lui, menacent directement la santé des citoyens tunisiens.

Intervenu en marge de la 18ᵉ édition des Rencontres médicales de Djerba, le Dr Souki a salué l’initiative du ministère de la Santé d’introduire ce vaccin dans le programme national, grâce à la disponibilité de nouvelles formules, notamment celle à dose unique, approuvée par l’Organisation mondiale de la santé depuis 2021. « Ce vaccin est moins coûteux que d’autres, tout en offrant la même efficacité », a-t-il précisé, dans une déclaration accordée à Jawhara Fm.

Il a rappelé que l’État tunisien a acquis 130 000 doses destinées aux jeunes filles âgées de 12 ans, dans le cadre d’une stratégie de prévention du cancer du col de l’utérus. « Il est impératif que les professionnels de santé s’appuient sur des données scientifiques pour informer le public, et non sur leurs opinions personnelles », a-t-il insisté.

Le Dr Souki a également souligné que le papillomavirus est responsable de quelque 400 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus chaque année en Tunisie. « La vaccination, combinée au dépistage précoce, peut réduire considérablement l’incidence de cette maladie », a-t-il affirmé.

Selon lui, 15 % des femmes âgées de 30 à 65 ans contractent un HPV de type oncogène. « Dans 90 % des cas, le virus est éliminé naturellement par le système immunitaire. Mais lorsqu’il persiste, il peut évoluer en cancer », a-t-il expliqué.

Enfin, il a tenu à dissiper certaines idées reçues sur le mode de transmission du virus : « Le HPV ne se transmet pas uniquement par voie sexuelle. Il peut aussi se propager par simple contact cutané, et survivre quelque temps dans l’environnement. À l’échelle mondiale, 80 % des personnes sexuellement actives ont été exposées au virus, souvent sans le savoir, et s’en sont remis grâce à leur immunité naturelle ».

Meurtre d’un jeune homme dans un parking d’un centre commercial à Tunis : les détails

Von: La Presse
13. April 2025 um 14:21

Un meurtre a été commis dans le parking d’un centre commercial de la capitale, où un jeune homme, âgé d’une vingtaine d’années et originaire de la ville de Menzel Jemil dans le gouvernorat de Bizerte, a perdu la vie.

Selon les témoignages recueillis sur place, une altercation a éclaté entre la victime et un groupe de jeunes à l’intérieur du centre commercial. Après la dispute, les agresseurs ont quitté les lieux, mais sont restés dans le parking, surveillant leur victime. Lorsque celui-ci est sorti en compagnie de sa famille, les jeunes ont attaqué le jeune homme en lui portant plusieurs coups de couteau, entraînant sa mort.

Le procureur de la République a ordonné l’acheminement du corps à la morgue pour une autopsie, afin de déterminer les causes exactes du décès. Il a également ouvert une enquête pour élucider les circonstances de ce meurtre. Les autorités poursuivent leurs recherches pour appréhender les auteurs du crime.

Les banques tunisiennes refusent les prêts à long terme : Explications d’un expert économique

Von: La Presse
13. April 2025 um 14:13

L’expert économique Moez Hadidane a déclaré dimanche 13 avril 2025 que le refus des banques tunisiennes d’accorder des prêts dont la durée dépasse 15 ans était une pratique tout à fait normale, soulignant que la législation ne les oblige à le faire que dans des cas spécifiques, notamment lorsqu’il existe un contrat avec des clients ayant un compte d’épargne actif depuis quatre ou cinq ans.

Dans une déclaration à la radio nationale, Hadidane a précisé que les banques, lorsqu’elles accordent des prêts à long terme, sont conscientes que les clients pourraient exiger une révision des conditions de leur crédit après trois ans, notamment en demandant une division par deux du taux d’intérêt si celui-ci dépasse 8 % du capital restant dû.

Par ailleurs, Ahmed Jaziri, secrétaire général de la Fédération générale des banques et des institutions financières, relevant de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), a récemment révélé que les présidents-directeurs généraux des banques avaient pris une décision non officielle interdisant l’octroi de prêts avec une durée de remboursement excédant 15 ans. Cette décision unilatérale, a-t-il ajouté, s’applique désormais à l’ensemble des établissements bancaires du pays.

Pourquoi la baisse du pétrole pourrait nuire à l’économie tunisienne : Les explications de Bassem Ennaifer

Von: La Presse
13. April 2025 um 14:05

La baisse récente des prix du pétrole sur le marché international pourrait offrir des avantages immédiats à l’économie tunisienne, mais ces bénéfices risquent de ne pas perdurer à long terme, en raison des répercussions d’une récession mondiale attendue, notamment en Europe, principal partenaire économique de la Tunisie. C’est ce qu’a expliqué l’économiste Bassem Ennaifer dans une interview accordée à l’agence TAP.

La récession mondiale : Une menace à long terme

Bassem Ennaifer a souligné que la baisse du prix du pétrole à court terme serait bénéfique pour la Tunisie. En effet, le gouvernement tunisien prévoit que cette chute pourrait entraîner une économie de près de 162 millions de dinars dans le budget de l’État pour l’année 2025. La baisse des prix du pétrole, couplée à l’appréciation du dinar face au dollar, représente une véritable aubaine pour les finances publiques tunisiennes.

Cependant, l’économiste a précisé que l’élaboration du budget de l’État ne repose pas uniquement sur le prix du pétrole. D’autres facteurs, tels que les recettes fiscales, la dynamique économique et la création de la richesse, jouent un rôle crucial dans la génération de ressources à long terme.

Ennaifer a averti que les signes d’une récession économique mondiale, particulièrement en Europe, pourraient limiter les effets positifs de la baisse des prix du pétrole. L’Europe, qui absorbe 70 % des exportations tunisiennes, est confrontée à une dynamique économique incertaine qui affecte les performances des entreprises tunisiennes à l’export. En particulier, les industries mécaniques et électriques, dont les produits sont largement destinés à l’Union européenne, risquent de souffrir de la guerre tarifaire menée par l’administration Trump.

De plus, l’économiste a mentionné que la régression des recettes issues des exportations d’huile d’olive tunisienne par rapport à l’année précédente pourrait également affecter négativement la balance commerciale alimentaire et, par extension, la balance commerciale générale.

Ainsi, même si la baisse des prix du pétrole a des effets immédiats positifs pour la Tunisie, Ennaifer estime que cet effet ne sera pas durable. En effet, à long terme, cette situation affaiblira l’économie mondiale, ce qui pourrait nuire à l’économie tunisienne, en particulier dans un contexte de faible croissance mondiale attendue.

Concernant les effets de cette baisse sur la Tunisie en tant que consommateur et importateur de pétrole, Ennaifer a expliqué que la réduction des prix aurait un effet immédiat sur les dépenses gouvernementales, notamment les subventions destinées à l’énergie. Cependant, cette baisse pourrait avoir des répercussions négatives sur les recettes fiscales en 2025 et 2026. En effet, à mesure que les prix du pétrole diminuent, les bénéfices des entreprises, et par conséquent les impôts sur les sociétés, devraient également baisser, affectant ainsi les finances publiques.

L’économiste a également souligné que la chute des prix du pétrole pourrait entraîner un désintérêt des entreprises pour les investissements dans le secteur pétrolier, en raison de la rentabilité réduite des projets de prospection.

La Loi de Finances complémentaire : Une révision nécessaire ?

Interrogé sur la récente mention par la ministre des Finances d’une loi de finances complémentaire pour l’année 2025, Ennaifer a indiqué qu’il est peu courant en Tunisie de réviser la loi de finances au début de l’année budgétaire. Les révisions se font généralement en fin d’année, après avoir observé l’évolution des circonstances économiques.

Il a précisé que, bien que la baisse des prix du pétrole bénéficie actuellement au budget de l’État, deux points méritent d’être réexaminés : la croissance économique prévue de 3,2 %, jugée difficile à atteindre dans un contexte mondial instable, et la masse salariale, notamment les recrutements d’enseignants suppléants. Cependant, selon Ennaifer, les informations disponibles à ce jour ne justifient pas l’élaboration immédiate d’une loi de finances rectificative. L’économiste recommande de patienter pour observer l’évolution de la situation économique mondiale avant de prendre une décision.

Concernant l’éventuelle réduction des subventions des hydrocarbures, Ennaifer a estimé que l’État bénéficierait de la baisse des prix du pétrole à l’importation. L’année dernière, le budget de l’État avait profité de la stabilité des prix du pétrole, ce qui a permis de mieux gérer les finances publiques.

Cependant, l’économiste a mis en garde contre une réduction prématurée des prix des hydrocarbures sur le marché intérieur. Depuis deux ans, l’État n’a pas augmenté les prix des carburants dans le cadre de sa politique sociale, ce qui a entraîné un surcoût pour le budget de l’État. Une baisse des prix des hydrocarbures pourrait réduire les recettes fiscales provenant de la commercialisation des carburants, estimées à 587 millions de dinars dans la loi de finances 2025, contre 457 millions de dinars en 2024. Ennaifer recommande donc d’attendre la stabilisation des prix sur le marché mondial avant de prendre une décision sur la réduction des prix domestiques.

Banques et prêts à long terme : Appel urgent à Kaïs Saïed pour garantir les droits des consommateurs

Von: La Presse
13. April 2025 um 14:00

La Coordination nationale pour l’activation de l’article 412 du Code du commerce a lancé un appel solennel au président de la République, Kaïs Saïed, afin qu’il prenne des mesures immédiates pour mettre fin aux abus persistants des banques publiques et privées en matière de prêts à long terme. Selon la Coordination, ces pratiques portent gravement atteinte aux droits des citoyens et au respect de la loi.

La Coordination, qui représente des centaines de consommateurs de services bancaires, a souligné que les banques publiques, en particulier, échouent à appliquer correctement la législation en vigueur. “Les banques publiques sont la propriété de l’État et doivent impérativement respecter la loi et les orientations financières du pays”, a insisté la Coordination, qui réclame une réforme de la gestion des prêts bancaires, notamment ceux à long terme, pour garantir un accès équitable aux services financiers.

La demande intervient après une enquête menée par la Coordination, qui a interrogé un échantillon représentatif de 531 clients de banques tunisiennes. Les résultats sont alarmants : le taux de réponse aux demandes des clients ne dépasse pas 31 %, avec des résultats encore plus faibles dans les banques publiques, où le taux de satisfaction moyen atteint à peine 8 %.

L’enquête a révélé des anomalies graves dans la gestion des prêts : de nombreux clients n’ont pas reçu de tableaux d’amortissement pour leurs prêts récents, certains ont vu leur capital de dette modifié sans explication et plusieurs demandes ont été purement et simplement rejetées. “Le non-respect de la loi, notamment concernant l’application rétroactive des réductions de taux d’intérêt pour certains clients, est une violation flagrante des droits des citoyens”, a dénoncé la Coordination.

L’inaction de la Banque centrale de Tunisie pointée du doigt

Le président de la République a, à plusieurs reprises, exprimé sa volonté de voir la loi appliquée, notamment lors de ses entretiens avec le gouverneur de la Banque centrale et la ministre des Finances. Pourtant, la Banque centrale de Tunisie n’a pas pris de mesures concrètes pour résoudre cette situation. “Le manque de réactivité de la Banque centrale représente une négligence de son rôle de régulateur et de contrôleur du secteur financier”, a estimé la Coordination.

La situation devient d’autant plus préoccupante à la lumière de l’annonce récente du Conseil bancaire et financier, qui représente les intérêts des banques et institutions financières. Ce dernier a indiqué que 86 000 demandes de réduction des taux d’intérêt ont été traitées favorablement, à hauteur de 93 %. Cependant, cette annonce semble contredire totalement les résultats de l’enquête réalisée par la Coordination, qui montre une absence de réponse réelle aux demandes des clients.

Selon des sources bancaires fiables citées par une agence de presse internationale, certaines banques auraient déjà suspendu l’octroi de prêts dont la durée de remboursement dépasse 15 ans. Cette mesure viserait à protéger les bénéfices des établissements financiers face à la mise en application de l’article 412 du Code du commerce, qui impose des ajustements sur les taux d’intérêt.

La Coordination nationale a donc renouvelé son appel à l’intervention du président de la République, Kaïs Saïed, afin d’assurer que les banques respectent la loi et garantissent les droits des consommateurs. “Il est impératif que le président de la République intervienne pour faire respecter l’application de l’article 412 et mettre fin à ces abus, en rétablissant la confiance des citoyens dans le système bancaire tunisien”, a conclu la Coordination.

Quand les règles durent plus de 7 jours : Un signe précoce de l’hémophilie chez les filles, avertit Emna Guider

Von: La Presse
13. April 2025 um 13:57

Lors d’une journée scientifique organisée par la Cité des Sciences de Tunis en collaboration avec l’Association Tunisienne des Malades d’Hémophilie, Emna Guider, experte en hématologie, a attiré l’attention sur un sujet encore largement ignoré : l’hémophilie chez les femmes. Elle a souligné que la durée excessive des règles ou une intensité anormale du flux menstruel chez les jeunes filles pourrait être un indicateur de cette maladie rare, qui affecte également les femmes, contrairement à ce que l’on pensait précédemment, où elle était souvent associée aux hommes.

Au cours de cette conférence, intitulée “Les femmes et les filles saignent aussi”, Emna Guider a expliqué que l’hémophilie est une pathologie sanguine rare caractérisée par une incapacité du sang à se coaguler correctement. Bien qu’elle soit généralement une maladie héréditaire, elle peut, dans un tiers des cas, apparaître soudainement dans des familles où aucune autre personne n’a été diagnostiquée.

Des risques de saignements graves et de lésions articulaires

L’experte a précisé que les personnes atteintes d’hémophilie saignent plus longtemps que les autres en cas de blessure. Cependant, ce sont les saignements internes, notamment ceux qui affectent les articulations telles que les genoux, les chevilles et les coudes, qui sont les plus préoccupants. Ces saignements, souvent spontanés, peuvent entraîner une usure des articulations et des tissus environnants, avec des conséquences potentiellement graves, allant jusqu’à l’issue fatale.

Emna Guider a également souligné qu’une personne souffrant d’hémophilie manque totalement ou partiellement de certaines protéines nécessaires à la coagulation du sang. Cela empêche le sang de se coaguler normalement, retardant ainsi la guérison des blessures et entraînant des saignements prolongés. Pour traiter cette condition, un traitement spécifique à base de facteur de coagulation est essentiel pour stopper les saignements.

Un traitement adapté permet une vie normale

Si elle n’est pas prise en charge, l’hémophilie peut entraîner des douleurs chroniques, des dommages aux articulations et un handicap fonctionnel, isolant socialement la personne concernée. Toutefois, Emna Guider a insisté sur le fait qu’avec un traitement précoce et approprié, les patients peuvent mener une vie normale et productive.

Emna Guider a informé l’audience que les patients atteints d’hémophilie peuvent désormais bénéficier de soins dans plusieurs établissements de santé en Tunisie, tels que le Centre d’Hémophilie de l’hôpital Aziza Othmana à Tunis, le service d’Hématologie de l’hôpital universitaire Farhat Hached à Sousse et le service d’Hématologie de l’hôpital universitaire Hedi Chaker à Sfax.

Le financement des traitements est assuré par la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie (CNAM) pour les assurés sociaux. Cependant, de nombreux patients non affiliés et à faible revenu rencontrent des difficultés à accéder à des traitements adéquats. Emna Guider a également souligné que, grâce aux progrès récents, un médicament innovant et plus pratique est désormais disponible en Tunisie. Il s’agit d’une injection sous-cutanée administrée une fois toutes les deux semaines, ce qui représente une avancée majeure pour la qualité de vie des patients. Toutefois, ce traitement reste réservé aux cas complexes, en raison de son coût élevé.

Par ailleurs, l’Association Tunisienne des Malades d’Hémophilie, dirigée par Chadia Arwa, œuvre actuellement pour négocier avec la CNAM et les laboratoires pharmaceutiques internationaux présents en Tunisie afin de réduire les coûts de ces nouveaux médicaments et rendre ce traitement plus accessible à un plus grand nombre de patients.

Nabeul : 14 000 tonnes de fraises récoltées, avec des prix oscillant entre 3 et 4 dinars le kilo

Von: La Presse
13. April 2025 um 13:21

Les régions de production de fraises dans le gouvernorat de Nabeul, qui représentent près de 90 % de la production nationale, sont actuellement en pleine période de récolte. Les prévisions annoncent une production équivalente à celle de l’année précédente, soit environ 14 000 tonnes, malgré une réduction des surfaces cultivées, qui n’ont pas dépassé 350 hectares cette saison.

Le président de l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche (URAP) à Nabeul, Imed El Bey, a salué la qualité exceptionnelle de la récolte, soulignant qu’aucune baisse notable de la production n’a été observée, bien que les surfaces cultivées aient diminué par rapport à l’année précédente où elles avaient atteint plus de 380 hectares. Selon lui, la fraise est disponible en quantités suffisantes sur le marché, à des prix raisonnables, variant entre 3 et 4 dinars le kilogramme.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, El Bay a également mis en avant l’amélioration du rendement moyen par hectare, qui a atteint près de 40 tonnes, contre 35 tonnes lors de la saison précédente. Cette évolution est attribuée à l’adoption par les agriculteurs de techniques agricoles innovantes et à l’utilisation de sources d’irrigation alternatives. Il a notamment souligné l’importance des puits privés, qu’ils soient superficiels ou profonds, comme étant “le véritable sauveur” de la saison, permettant de pallier les pénuries d’eau d’irrigation.

La réduction des surfaces cultivées, qui dépassaient les 600 hectares lors des saisons précédentes, est attribuée principalement à l’augmentation des coûts de production, lesquels peuvent atteindre jusqu’à 80 000 dinars par hectare. Cette hausse est liée à l’augmentation des prix des intrants agricoles et des pépinières, ainsi qu’aux changements climatiques et à la raréfaction de l’eau d’irrigation.

La diminution des surfaces cultivées a également conduit certains agriculteurs à se retirer des zones de production traditionnelles, telles que les délégations de Kélibia, Béni Khiar et Dar Chaabane El Fehri. Cependant, cette culture s’étend désormais à de nouvelles régions comme Takelsa et Béni Khalled, où environ 100 hectares sont désormais consacrés à la production de fraises.

Bachir Aounallah, président de l’Union locale de l’agriculture et de la pêche de Béni Khalled, a précisé que la culture de la fraise se développe progressivement dans plusieurs zones de la délégation, telles que Hannous, Bir Drassen et El Qobba. Malgré les coûts de production élevés, il estime que cette culture représente un potentiel économique considérable pour la région.

Le secteur de la fraise à Nabeul, qui s’étend sur huit mois de septembre à avril, est l’une des principales cultures agricoles de la région, avec une forte importance économique et sociale. Il génère environ 200 000 jours de travail, mobilisant une main-d’œuvre locale et extérieure, et constitue une source essentielle de revenus pour de nombreuses familles de la région.

Chute du cours de Brent : La Tunisie pourrait dégager 140 millions de dinars d’excédent en 2025, selon Chkoundali

Von: La Presse
13. April 2025 um 13:14

L’expert économique, Ridha Chkoundali, a récemment analysé les répercussions de la baisse des prix du pétrole sur l’économie tunisienne, notamment en matière de budget et d’investissement. Selon lui, cette chute, provoquée par les nouvelles décisions des États-Unis d’imposer des droits de douane supplémentaires, n’avait pas été anticipée par la plupart des pays, dont la Tunisie, lors de l’élaboration de leurs budgets pour l’année 2025.

Les facteurs influençant la baisse des prix du pétrole

Chkoundali a souligné dans une déclaration accordée à l’agence Tap que les fluctuations des prix du pétrole sont principalement déterminées par l’offre et la demande. Actuellement, l’impact des décisions américaines sur les droits de douane est au cœur des mouvements du marché. Après l’annonce de Donald Trump concernant l’imposition de nouvelles taxes douanières, les prix ont entamé une tendance baissière, alimentée par les préoccupations des opérateurs économiques. Ces derniers redoutent une baisse de la demande en raison de ces nouvelles restrictions commerciales.

L’expert a expliqué que le budget de l’État tunisien pour 2025 avait été élaboré sur la base d’une estimation du prix du baril de pétrole autour de 74 dollars. Si le cours du baril de Brent reste inférieur à ce seuil tout au long de l’année, cela permettrait à l’État de dégager un excédent budgétaire estimé à près de 140 millions de dinars.

“Si le prix du Brent restait à un niveau moyen de 65 dollars, l’excédent pourrait atteindre 1 260 millions de dinars, une somme qui pourrait être utilisée pour rembourser les dettes extérieures du pays et approvisionner le marché local en produits de base, en matières premières et en équipements nécessaires à la production”, a-t-il encore précisé.

Cette baisse des prix du pétrole aurait également des effets positifs sur le déficit commercial de la Tunisie, tout en contribuant à la préservation des réserves en devises. Ces éléments aideraient à maintenir la stabilité du dinar tunisien par rapport aux autres devises étrangères.

Cependant, cette chute des prix a également des répercussions négatives, notamment sur les projets d’exploration et de prospection pétrolières. L’expert a averti que des prix du pétrole trop bas pourraient dissuader les investisseurs de se lancer dans de nouveaux projets. Certaines compagnies américaines ont déjà annoncé qu’elles pourraient suspendre leurs activités de forage si les prix du pétrole restaient en dessous de 65 dollars le baril, une situation qui nuirait à la rentabilité de ces projets.

Le dilemme de l’ajustement des prix des produits pétroliers

Concernant les mesures de soutien social, Chkoundali a estimé que l’État tunisien ne devrait pas recourir au mécanisme d’ajustement automatique des prix des produits pétroliers, du moins dans le contexte actuel d’instabilité internationale. Bien que le pays puisse enregistrer un excédent budgétaire grâce à la baisse des prix du pétrole, l’éventualité d’une intensification de la guerre commerciale et de nouvelles hausses des taxes douanières par les États-Unis pourrait encore fragiliser l’économie tunisienne.

En outre, Chkoundali a évoqué le risque d’une stagnation économique mondiale et régionale, ainsi que d’une inflation généralisée, qui pourraient avoir des conséquences encore plus graves que celles engendrées par la pandémie de COVID-19. Selon lui, même si l’État tunisien bénéficie d’une situation budgétaire favorable à court terme, les incertitudes économiques mondiales, notamment en raison des politiques américaines, devraient être suivies de près.

Ainsi, bien que la Tunisie puisse tirer profit à court terme de la baisse des prix du pétrole, elle doit se préparer à gérer les risques économiques liés à l’instabilité mondiale, tout en équilibrant ses priorités sociales et économiques.

Alerte météo : Pluies fortes et vents violents attendus sur toute la Tunisie

Von: La Presse
13. April 2025 um 12:48

L’Institut National de la Météorologie (INM) annonce une dégradation des conditions météorologiques à partir de demain après-midi, lundi 14 avril 2025. Selon le dernier bulletin de suivi, des pluies intermittentes, parfois orageuses, affecteront les régions de l’ouest du pays. Ces précipitations s’étendront progressivement en fin de journée et durant la nuit vers les zones est du nord et du centre.

Les pluies pourraient être localement fortes, particulièrement sur le nord-ouest où les cumuls de pluie sont estimés entre 20 et 40 millimètres. Des chutes de grêle sont également possibles dans certaines zones. Les conditions météorologiques seront accompagnées de vents violents, atteignant temporairement des vitesses de 80 km/h, en particulier sur les reliefs et dans les régions du sud et du sud-ouest. Ces vents risquent de soulever localement des poussières et des particules de sable, réduisant la visibilité.

L’Institut National de la Météorologie recommande une vigilance particulière, notamment sur les zones exposées aux orages et aux vents forts, et conseille aux habitants des zones concernées de prendre les précautions nécessaires face à ces conditions météorologiques instables.

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