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Tunisie : Les barrages atteignent 36,2 % de remplissage

10. April 2025 um 17:58

Le taux de remplissage des barrages tunisiens a atteint 36,2 %, a indiquĂ© jeudi, Ă  Jendouba (Nord-Ouest de la Tunisie), le secrĂ©taire d’État auprĂšs du ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la PĂȘche, chargĂ© des Ressources hydrauliques, Hammadi Habaieb.

Intervenant dans le cadre d’un sĂ©minaire rĂ©gional sur l’utilisation efficace des ressources en eau, Habaieb a renouvelĂ© son appel Ă  rationaliser la consommation hydrique et Ă  privilĂ©gier la satisfaction des besoins prioritaires, notamment l’eau potable, ainsi que l’irrigation des arbres fruitiers et des cultures stratĂ©giques.

De son cĂŽtĂ©, le prĂ©sident de l’Association tunisienne des eaux et forĂȘts, Jamel Laabidi, a soulignĂ© les principaux obstacles Ă  une gestion optimale de l’irrigation, tels que l’impact du changement climatique, la frĂ©quence des annĂ©es de sĂ©cheresse au cours de la derniĂšre dĂ©cennie, la vĂ©tustĂ© des rĂ©seaux de distribution et les difficultĂ©s liĂ©es au recouvrement des dettes des groupements d’eau.

Il a ainsi appelĂ© Ă  accĂ©lĂ©rer la mise en Ɠuvre des rĂ©formes nĂ©cessaires pour une meilleure mobilisation des ressources en eau, tant au niveau des barrages que des rĂ©seaux d’irrigation et de distribution d’eau potable, tout en insistant sur la nĂ©cessitĂ© de finaliser les projets programmĂ©s.

Pour sa part, Sakina Hakimi, experte en ressources hydriques, a rappelĂ© que le gouvernorat de Jendouba est considĂ©rĂ© comme le vĂ©ritable rĂ©servoir d’eau du pays. “La rĂ©gion fournit environ 16 % des ressources hydriques nationales, estimĂ©es Ă  703 millions de mĂštres cubes par an”, a-t-elle prĂ©cisĂ©.

 

L’article Tunisie : Les barrages atteignent 36,2 % de remplissage est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

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Sicca Jazz fĂȘte ses dix ans, du 30 avril au 4 mai 2025 au Kef : « La Route des Belles Histoires » et d’autres nouveautĂ©s

09. April 2025 um 19:00

Plus de 120 concerts, 50 spectacles gratuits, 50 scĂšnes, 30 pays, 100 partenariats et 200.000 spectateurs ont marquĂ© le festival depuis sa crĂ©ation en 2015, annĂ©e oĂč l’aventure a commencĂ© Ă  la Kasbah du Kef, lieu emblĂ©matique chargĂ© d’histoire, dont l’atmosphĂšre a contribuĂ© au charme des premiĂšres Ă©ditions.

Avec un visuel qui raconte une histoire, celle de dix annĂ©es rythmĂ©es par la passion, la musique, la dĂ©couverte et le partage, le festival Sicca Jazz cĂ©lĂšbre cette annĂ©e son dixiĂšme anniversaire. L’édition 2025, qui se tiendra du 30 avril au 4 mai au Kef, s’annonce vibrante, marquant l’ouverture d’un nouveau chapitre, avec du jazz et des musiques du monde qui rĂ©sonnent au cƓur de cette rĂ©gion du nord-ouest tunisien depuis une dĂ©cennie.

L’édition anniversaire rĂ©serve de nombreuses nouveautĂ©s. Pour amĂ©liorer l’accessibilitĂ© et rĂ©pondre Ă  une attente exprimĂ©e par de nombreux festivaliers, une navette quotidienne reliera Tunis au Kef. «La Route des Belles Histoires», comme elle a Ă©tĂ© nommĂ©e, est bien plus qu’un simple service de transport, mais un trajet bien singulier qui invite Ă  une immersion culturelle en mouvement, ponctuĂ©e de rencontres avec un historien, autour de rĂ©cits sur le patrimoine du Kef, son histoire et ses trĂ©sors cachĂ©s tout en profitant de ses paysages Ă  couper le souffle. Le dĂ©part se fera chaque matin Ă  10h00 depuis Tunis, avec un retour aprĂšs les concerts, Ă  minuit. Une solution pensĂ©e pour offrir un confort maximal tout en nourrissant l’imaginaire des festivaliers.

A cette initiative s’ajoutent d’autres expĂ©riences inĂ©dites : le Sicca Jazz Day Experience, la Relax Experience, des circuits touristiques pour (re)dĂ©couvrir la rĂ©gion, des afters pour prolonger les soirĂ©es musicales, un espace gastronomique sous le label Sicca veneria Delight, et CinemaTdour, pour des projections en harmonie avec l’esprit du festival.

Au line-up figure Ă©galement une exposition des affiches des neuf Ă©ditions prĂ©cĂ©dentes. Cette rĂ©trospective, installĂ©e dans le store du festival, permettra aux visiteurs de redĂ©couvrir les univers visuels qui ont jalonnĂ© dix annĂ©es de programmation, d’hommages, d’expĂ©rimentations et de rencontres musicales.

Au fil des Ă©ditions, des artistes d’exception ont foulĂ© les scĂšnes du festival, venus des quatre coins du monde. Parmi eux, David Murray, Kenny Garrett, Martha High, Bill Laurance, Bonney Fields, Terence Blanchard, Paco SĂ©ry, Nguyen LĂȘ, Guillaume Perret, Rabih Abou-Khalil, Karim Ziad, Nicole Slake Jones, Fawzi Chkili, Malek Lakhoua, Mohamed Ali Kammoun
 Ouvert au fil de son histoire aux musiques du monde et sonoritĂ©s mĂ©tissĂ©es, le festival a aussi accueilli Iyeoka, Natasha Rogers, Trilok Gurtu, Gentleman’s Dub Club, les groupes marocains Jil Jillala et Hoba Hoba Spirit, les AlgĂ©riens Labess et DĂ©mocratoz, ou encore Juan Carmona, le DĂ©rive Jazz Quartet, Eric Sardinas et No Jazz.

En chiffres, plus de 120 concerts, 50 spectacles gratuits, 50 scĂšnes, 30 pays, 100 partenariats et 200.000 spectateurs ont marquĂ© le festival depuis sa crĂ©ation en 2015, annĂ©e oĂč l’aventure a commencĂ© Ă  la Kasbah du Kef, lieu emblĂ©matique chargĂ© d’histoire, dont l’atmosphĂšre a contribuĂ© au charme des premiĂšres Ă©ditions. Sicca Jazz, qui s’est installĂ© en 2019 au Centre des Arts Dramatiques et ScĂ©niques du Kef, revient pour son Ă©dition anniversaire Ă  ses sources, lĂ  oĂč tout a commencĂ© : la Kasbah du Kef, dotĂ©e d’une capacitĂ© d’accueil de 4.000 spectateurs. 

Avec les projecteurs qui s’apprĂȘtent Ă  s’allumer, le festival international tunisien de Jazz et de world music se prĂ©pare Ă  Ă©crire une nouvelle page, poursuivant sa route d’histoires autour du jazz, jazz rock, du blues, et d’autres musiques du monde avec un programme dĂ©taillĂ© qui sera dĂ©voilĂ© prochainement.

Colloque international Ă  BeĂŻt Al-Hikma : « Sulaymān Al–Harā’irÄ« et les pionniers du rĂ©formisme tunisien »

09. April 2025 um 18:50

A l’occasion du 200e anniversaire de la naissance du penseur tunisien Sulaymān Al–Harā’irÄ« (Tunis, 1824–Paris, 1877), un Colloque international sur le thĂšme «Sulaymān Al–Harā’irÄ« et les pionniers du rĂ©formisme tunisien» aura lieu, les 11 et 12 avril 2025, au siĂšge de l’AcadĂ©mie tunisienne des sciences, des lettres et des arts, BeĂŻt Al-Hikma, Ă  Carthage.

Ce colloque sera organisĂ© par l’AcadĂ©mie BeĂŻt al-Hikma, en partenariat avec Ksar SaĂŻd, palais des lettres et des arts et l’Organisation mondiale islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Icesco). 

Notons que la Chaire Icesco «Ibn Khaldoun pour la culture et le patrimoine » au Centre des Arts, de la Culture et des Lettres Ă  Ksar Said fait partie du RĂ©seau de l’Organisation des Chaires Internationales de la PensĂ©e, des Lettres et des Arts. 

Cinq sĂ©ances scientifiques sont au programme du colloque qui verra la participation d’éminents penseurs tunisiens et Ă©trangers parmi lesquels Mahmoud Ben Romdhane, prĂ©sident de l’AcadĂ©mie BeĂŻt Al-Hikma, Abdelhamid Henia, chef du dĂ©partement des Sciences humaines et sociales Ă  BeĂŻt Al-Hikma. 

Des interventions, en langue française et arabe, seront données par une pléiade de chercheurs universitaires et écrivains dont Faouzi Mahfoudh, Pierre Agéron, Noureddine Dougui, Mohamed Mahjoub, Zouhair Ben Youssef, Mahdi Abdeljaouad, Raja Ben Slama, Alain Messaoudi, Mounir Fendri, Ons Debbeche, Fadhel Bachraoui, Larbi Bouguerra, Amariya al-Hafnaoui, Ibrahim Jadla et Fethi Qasmi.

Le colloque portera sur les thĂ©mtiques suivantes : «Le Contexte rĂ©formiste du milieu du XXe siĂšcle», «Conscience rĂ©formiste du XIXe siĂšcle, pensĂ©e renouvelĂ©e et pratique trĂ©buchante», «1824 : DĂ©rive sur les «futurs contingents», Sulaymān Al–Harā’irÄ«, Ă  la lumiĂšre de ses traductions dĂ©couvertes Ă  la BibliothĂšque universitaire des langues, Sulaymān Al–Harā’irÄ« et ses Ɠuvres ou le chaĂźnon manquant dans la pensĂ©e de la LibĂ©ration tunisienne et arabe, «Une traduction arabe inĂ©dite de la grammaire de Noel et Chapsal», Sulaymān Al–Harā’irÄ« et ses rapports avec le monde culturel, religieux et politique».

Le tĂ©moignage de Johan G.KrĂ»ger alias Mohamed Ben Abdallah Nemsi, sur l’imprimerie et l’impression des «SoirĂ©es de Carthage», «La polĂ©mique linguistique et culturelle entre Sulaymān Al–Harā’irÄ« et Ahmad FarĂšs Al Chedyaq Ă  travers leurs articles», «Sulaymān Al–Harā’irÄ« et le Conflit entre l’Angleterre et la France sur les domaines islamiques», «Sulaymān Al–Harā’irÄ« et la question de la Renaissance arabe»  

Plus de deux tonnes de cocaĂŻne saisies Ă  Livourne : Une cargaison de plus de 500 millions d’euros dĂ©couverte

09. April 2025 um 15:32

Plus de deux tonnes de cocaĂŻne pure ont Ă©tĂ© saisies Ă  bord d’un navire dans le port de Livourne, au nord de l’Italie, a indiquĂ© mercredi la police italienne, estimant la valeur de la drogue, Ă  la revente, Ă  plus de 500 millions d’euros.

La drogue, rĂ©partie en 1.800 paquets, a Ă©tĂ© soigneusement dissimulĂ©e Ă  l’intĂ©rieur d’un conteneur contenant de la poudre de cacao, selon un communiquĂ© de la police. La saisie a eu lieu au port toscan de Livourne, sur un navire en provenance d’AmĂ©rique du Sud.

“La cargaison cachĂ©e parmi d’autres colis de poudre de cacao a Ă©tĂ© dĂ©couverte dans un conteneur Ă  bord du cargo Mersin Express, en provenance du port Ă©quatorien de Guayaquil”, a prĂ©cisĂ© la police.

La drogue, prĂ©levĂ©e et analysĂ©e par le laboratoire de l’agence locale des douanes, a Ă©tĂ© dĂ©truite dans un incinĂ©rateur en Toscane, a ajoutĂ© la mĂȘme source.

90 ans de la Rachidia : un événement scientifique pour célébrer son héritage musical

09. April 2025 um 10:13

Le Centre des musiques arabes et mĂ©diterranĂ©ennes (CMAM) organise une journĂ©e scientifique le vendredi 11 avril 2025, au palais Ennejma Ezzahra (Sidi Bou Said), Ă  l’occasion du 90e anniversaire de la crĂ©ation de la Rachidia, sous le thĂšme “La Rachidia, le flambeau de la musique tunisienne, entre passĂ© glorieux et horizons d’avenir”.

Cet Ă©vĂ©nement se dĂ©roulera sous le patronage de la ministre des Affaires culturelles, Amina Srarfi, et en partenariat avec l’Institut Rachidi de musique tunisienne. Il fait suite Ă  un accord de partenariat signĂ© le 21 janvier 2025 entre Salwa Ben Hafaiedh, directrice gĂ©nĂ©rale du CMAM, et Anis Sghaier, prĂ©sident de l’Institut Rachidi de musique tunisienne.

La premiĂšre sĂ©ance scientifique portera sur les dĂ©buts de la Rachidia. Des intervenants tels que musiciens et musicologues se pencheront sur les fondements de cette institution et ses premiĂšres ambitions. Fethi Zghonda ouvrira la rĂ©flexion avec une intervention intitulĂ©e “La Rachidia : rĂ©alisations et obstacles”. Ali Sayari parlera du rĂŽle de la commission de collecte du patrimoine dans la documentation du malouf tunisien. Abir Cherif s’intĂ©ressera Ă  la question “La Rachidia entre naissance et documentation”, et Mohamed HĂ©di Ben JaĂąfar, professeur Ă  l’UniversitĂ© de Gafsa, abordera “La Rachidia et la prĂ©servation de la musique tunisienne”.

La deuxiĂšme sĂ©ance sera consacrĂ©e Ă  l’identitĂ© musicale tunisienne aprĂšs la crĂ©ation de la Rachidia. Les interventions s’intĂ©resseront au recours de la Rachidia Ă  la notation musicale et aux mutations dans la composition de la troupe musicale. Anis Kilibi de l’UniversitĂ© de Tunis prĂ©sentera “Les mutations de la troupe musicale de la Rachidia : facteurs, aspects et rĂ©percussions”. Mohamed Anis Hmadi, professeur Ă  l’UniversitĂ© de Gafsa, proposera un aperçu de l’évolution de la Rachidia entre 1941 et l’indĂ©pendance tunisienne Ă  travers les archives et journaux. Wassim Bouras, chercheur en musicologie, analysera “Le rĂŽle des Ă©lites intellectuelles dans le processus culturel de la Rachidia”.

La troisiĂšme et derniĂšre sĂ©ance, intitulĂ©e “Femmes et hommes ayant contribuĂ© Ă  la gloire de la Rachidia”, mettra en lumiĂšre les figures marquantes de l’histoire de l’institution. L’accent sera mis sur l’apport de Cheikh Ali Derouiche Ă  la musique tunisienne et sur des personnalitĂ©s moins connues comme le professeur Ahmed Haddad (1912-1995). Les interventions porteront Ă©galement sur le rĂŽle de Chafia Rochdi dans la Rachidia Ă  travers la presse tunisienne entre 1934 et 1941, ainsi que sur la contribution de Mohamed Kadri.

FondĂ©e le 3 novembre 1934, la Rachidia est la premiĂšre institution musicale de Tunisie et l’une des plus anciennes du monde arabe. Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par une Ă©lite de politiques, d’intellectuels, d’écrivains et d’artistes, sous la direction de Mustapha Sfar, alors Cheikh El Medina. La Rachidia se consacre Ă  la sauvegarde du patrimoine musical tunisien, notamment le malouf et ses dĂ©rivĂ©s, ainsi qu’à la documentation de ce riche hĂ©ritage.

Pour rappel, le premier concert de la Rachidia a eu lieu au ThĂ©Ăątre municipal de Tunis dĂ©but 1935, et sa premiĂšre chanson originale, “Ya Leimi Yezzini”, a Ă©tĂ© Ă©crite par Ali Douagi. Parmi les premiers interprĂštes figuraient des artistes emblĂ©matiques comme Chafia Rochdi, Fethia Khairi et Saliha.

Le nom de la Rachidia a été choisi en hommage à Mohamed Rachid Bey, un poÚte et musicien passionné, troisiÚme souverain de la dynastie husseinite, qui a contribué à enrichir la musique tunisienne en y intégrant des éléments turcs, notamment au niveau des rÚgles et rythmes de la nouba.

“L’EspĂ©rance de Tunis prĂȘte Ă  renverser la vapeur contre Mamelodi Sundowns”, souligne Kanzari

07. April 2025 um 21:10

L’entraĂźneur Maher Kanzari a affirmĂ©, lundi, que l’EspĂ©rance de Tunis, avec ses joueurs et ses supporters, est une Ă©quipe habituĂ©e aux grands rendez-vous et capable de renverser la vapeur contre les Sud-Africains de Mamelodi Sundowns pour se qualifier pour le dernier carrĂ©.

Lors d’une confĂ©rence de presse tenue lundi Ă  la salle des confĂ©rences du stade Hammadi Agrebi de RadĂšs, Ă  la veille du quart de finale retour de la Ligue des champions, Kanzari a soulignĂ© que les joueurs sont dĂ©terminĂ©s Ă  donner le meilleur d’eux-mĂȘmes pour obtenir un rĂ©sultat positif qui leur garantirait la qualification au prochain tour.

Cependant, il a estimĂ© que le match ne s’annonce pas facile, compte tenu de la nature de l’enjeu et de la pression qui l’accompagne, ajoutant que l’équipe profitera du soutien du public, ce qui reprĂ©sente un avantage psychologique important, d’autant qu’elle est habituĂ©e aux grands rendez-vous et possĂšde tous les moyens pour franchir l’obstacle Sundowns.

“Étant donnĂ© l’importance du match, chaque joueur doit ĂȘtre prĂȘt mentalement et psychologiquement. Ma mission consiste donc Ă  allĂ©ger la pression sur les joueurs pour qu’ils puissent se concentrer sur les aspects techniques et tactiques, et livrer un match complet qui rĂ©pondra aux attentes des supporters”, a indiquĂ© le coach sang et or.

Il a ajoutĂ© que le scĂ©nario idĂ©al serait de marquer dĂšs le dĂ©but du match tout en Ă©vitant d’encaisser un but, dans un duel qui nĂ©cessitera beaucoup d’engagement, de patience et d’équilibre entre dĂ©fense et attaque. C’est ce que nous nous efforcerons de mettre en Ɠuvre sur le terrain.

“La principale mission du staff technique est de bien choisir le onze de dĂ©part, qui aura une vocation offensive Ă©tant donnĂ© notre besoin urgent de marquer. Nous allons nous appuyer sur les derniĂšres minutes du match aller, oĂč nous avons crĂ©Ă© plusieurs occasions de marquer, mais certains petits dĂ©tails nous ont empĂȘchĂ©s de les concrĂ©tiser. Par consĂ©quent, le match de demain sera une nouvelle opportunitĂ© pour imposer notre style de jeu et prouver la force du caractĂšre de l’équipe. Terminer ce duel de maniĂšre idĂ©ale avec la composition idĂ©ale est une prioritĂ© pour nous”, a affirmĂ© Kanzari.

De son cĂŽtĂ©, le joueur Mohamed Wael Derbali a indiquĂ© que le match face Ă  Mamelodi Sundowns sera dĂ©cisif et difficile, et tous les joueurs sont conscients de l’impĂ©ratif de gagner et de se qualifier pour le prochain tour.

Il a ajouté que les joueurs sont pleinement concentrés ces derniÚres heures précédant le match et sont animés par la volonté de réagir et de ramener la joie dans les rangs des supporters sang et or.

Art Week Riyadh : Six artistes plasticiens exposent pour les galeries Gorgi et Feriani

07. April 2025 um 18:20

45 galeries locales, rĂ©gionales et internationales seront prĂ©sentes Ă  une multitude d’expositions d’art au programme de la Semaine inaugurale de l’art Ă  Riyadh qui se dĂ©roulera Ă  travers des sites culturels clĂ©s dont le JAX District et le Centre Al Mousa.

Les galeries tunisiennes Abdelaziz Gorgi et Selma Feriani figurent parmi 45 galeries locales, régionales et internationales, au programme de la premiÚre édition de la Semaine «Art Week Riyadh», prévue du 6 au 13 avril dans la capitale saoudienne Riyadh.

Six artistes plasticiens dont quatre tunisiens, une Saoudienne et une Franco-algérienne exposeront avec les deux galeries tunisiennes.

La galerie A.Gorgi sera prĂ©sente avec une sĂ©lection d’Ɠuvres contemporaines des artistes Ali Tnani, Najah Zarbout et Omar Bey. FondĂ©e en 1988, la galerie A. Gorgi est baptisĂ©e au nom du grand artiste plasticien Abdelziz Gorgi (1928-2008).

Selma Feriani Gallery, basĂ©e Ă  Tunis et Londres, prĂ©sentera des Ɠuvres de la Saoudienne Maha Malluh (Food for thought « Tuwaiq », 2025), Thameur Mejri (Dawn of man, 2024) et la Franco-algĂ©rienne Zineb Sedira (No matter what « Dreams Have No titles », 2023).

Les 45 galeries locales, rĂ©gionales et internationales seront prĂ©sentes Ă  une multitude d’expositions d’art au programme de la Semaine inaugurale de l’art Ă  Riyadh qui se dĂ©roulera Ă  travers des sites culturels clĂ©s dont le JAX District et le Centre Al Mousa.

Les Ɠuvres des galeries, des collections privĂ©es et institutionnelles participent Ă  l’exposition phare de l’évĂ©nement, «At The Edge», organisĂ©e autour des thĂšmes thĂ©matiques suivants : «Everyday Life», «Landscapes» et «Motifs».

L’exposition prĂ©sente des Ɠuvres pour d’importantes galeries dont certaines sont implantĂ©es dans plusieurs pays. Les galeries reprĂ©sentent les pays suivants : Arabie saoudite, Autriche, BahreĂŻn, BrĂ©sil, Chine, CorĂ©e du Sud, Cuba, Egypte, Emirats arabes unis, Espagne, Etats-Unis, France, Hong Kong, Inde, Italie, Japon, Jordanie, KoweĂŻt, Qatar, Royaume-Uni, Turquie et Tunisie.

Vittoria Matarrese, Basma Harasani, Victoria Gandit Lelandais et Shumon Basar sont les commissaires d’exposition de la Semaine de l’art de Riyad 2025 placĂ©e sous le thĂšme «At The Edge». Collectionneurs, artistes et amateurs d’art prendront part Ă  la Semaine de l’art de Riyad, initiative de la Commission des arts visuels d’Arabie saoudite qui cĂ©lĂšbre la scĂšne artistique avec une programmation conçue pour honorer le passĂ©, cĂ©lĂ©brer le prĂ©sent et investir dans l’avenir. Outre les expositions, la semaine sera riche en confĂ©rences et ateliers sur les thĂšmes et les questions auxquels sont confrontĂ©s les arts visuels dans le monde entier.

Les artistes des galeries Gorgi et Selma Feriani

Ali Tnani est un artiste plasticien, diplĂŽmĂ© de l’Institut SupĂ©rieur des Beaux-Arts de Tunis. Depuis, il a frĂ©quemment participĂ© Ă  des programmes internationaux de rĂ©sidence artistique. Dans sa pratique artistique, le plasticien exploite diffĂ©rents supports et formats tels que la photographie, le dessin, l’installation sonore et le film documentaire. Il a participĂ© Ă  plusieurs expositions individuelles et collectives en Tunisie et Ă  l’étranger : station d’art B7L9, TAM Torrance Art Museum (Los Angeles, USA), Motorenhalle Centre for Contemporary Art (Dresden, Allemagne), Biennale de Dakar (SĂ©nĂ©gal), Elmarsa Gallery (DubaĂŻ, EAU), ChĂąteau d’Oiron et La Terrasse (France), Biennale de Marrakech (Maroc)
 AprĂšs des Ă©tudes Ă  l’Institut supĂ©rieur des arts et mĂ©tiers de Sfax, Najah Zarbout obtient un doctorat en arts et sciences de l’art Ă  l’universitĂ© Paris I PanthĂ©on-Sorbonne.

Najah Zarbout s’intĂ©resse Ă  des sujets liĂ©s Ă  l’actualitĂ©, Ă  l’individu et Ă  la sociĂ©tĂ© contemporaine. Sa pratique artistique prend des formes diverses, allant du dessin Ă  la vidĂ©o, en passant par la photographie et l’installation. En 2018, elle a reprĂ©sentĂ© la Tunisie Ă  la Biennale de Dakar. En plus d’un nombre important d’expositions personnelles et collectives, son travail a Ă©tĂ© montrĂ© dans plusieurs foires et salons (Tunisie, France, Suisse, Belgique, Maroc, KoweĂŻt
). Elle est laurĂ©ate du Grand prix arts plastiques du festival «Ici et demain» en 2008 (France).

NĂ© Ă  Tunis en 1973, Omar Bey a effectuĂ© une rĂ©sidence Ă  la CitĂ© internationale des arts de 2011 Ă  2012 aprĂšs avoir Ă©tĂ© diplĂŽmĂ©, en 1998, de l’Institut des Beaux-Arts de Tunisie. Les Ɠuvres d’Omar Bey comprennent la peinture, le collage et l’assemblage multimĂ©dia d’objets trouvĂ©s. Son travail a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© dans diverses expositions internationales Ă  Paris, Londres, Barcelone, New York, DubaĂŻ et Abu Dhabi ; en passant par des foires d’art contemporain telles que Cutlog, DubaĂŻ Art fair, Abu Dhabi ou 1:54 African Art fair.

NĂ© en 1982 Ă  Tunis, Thameur Mejri vit et travaille Ă  Nabeul. Il est diplĂŽmĂ© de l’Institut des Beaux-Arts de Tunis, et il enseigne actuellement Ă  l’Institut supĂ©rieur des Beaux-Arts de Nabeul. A travers ses dessins, ses vastes compositions sur des toiles tendues ou flottantes ainsi que des peintures murales, les Ɠuvres de Thameur Mejri remettent en question les notions d’humanisme et la construction des ĂȘtres humains Ă  l’échelle sociale, en reprĂ©sentant plusieurs paradoxes qui Ă©mergent des pratiques politiques et culturelles. Il a exposĂ© Ă  la 13e Biennale du Caire (Egypte), Ă  la Biennale d’art contemporain africain Dakar, (SĂ©nĂ©gal), au Centre d’art contemporain N’Namdi (Etats-Unis), au Festival international indĂ©pendant du film et de la vidĂ©o de New York, au MusĂ©e d’art contemporain (Moca) L.I (Etats-Unis). Il a Ă©galement eu des expositions personnelles Ă  la Jack Bell Gallery (Londres, Royaume-Uni) , Gallery 1957 (Accra, Ghana), Selma Feriani Gallery, B7L9 Art Station (Tunisie), MAC Lyon, (France) Montague Contemporary, New York (Etats-Unis) et Uitstalling Art Gallery (Belgique). Le travail de Mejri fait partie de nombreuses collections d’art prestigieuses, notamment Barjeel Art Foundation, Sharjah, Émirats arabes unis, la Fondation Sindika Dokolo (Angola), Dalloul Art Foundation (Liban), le MusĂ©e d’art de la Nouvelle-OrlĂ©ans (Etats-Unis), le MusĂ©e d’art contemporain africain Al Maaden (Macaal, Maroc) et la Fondation Kamel Lazaar (Tunisie).

Maha Malluh est une artiste saoudienne basĂ©e Ă  Riyad. Elle travaille entre Londres et Vienne. Malluh a commencĂ© Ă  exposer en 1976. Ses Ɠuvres d’art examinent les symboles emblĂ©matiques et culturels de la civilisation saoudienne et dĂ©pendent de la mondialisation, ainsi que de son effet sur la population urbaine en Arabie saoudite, l’environnement rural et la culture matĂ©rielle du Royaume. Son travail est exposĂ© dans de nombreux musĂ©es et collections privĂ©es, Ă  Abu Dhabi, aux Emirats arabes unis, au British Museum et Ă  la Tate Modern Ă  Londres, au Louvre et au Centre Pompidou Ă  Paris, au Mak Ă  Vienne, au Guggenheim et, plus rĂ©cemment, au Sfmoma aux États-Unis.

NĂ©e en 1963 Ă  Paris, Zineb Sedira vit et travaille Ă  Londres et travaille entre le Royaume-Uni, Paris et Alger. Elle est diplĂŽmĂ©e du Royal College of Art de Londres, au Royaume-Uni, et de la Slade School of Art Central Saint Martin’s School of Art. Au cours des quinze annĂ©es de sa pratique, Sedira a enrichi le dĂ©bat autour des concepts du modernisme, de la modernitĂ© et de ses manifestations de maniĂšre inclusive.

Elle a Ă©galement sensibilisĂ© Ă  l’expression artistique et Ă  l’expĂ©rience contemporaine en Afrique du Nord. Elle a des expositions personnelles : Photographer’s Gallery et Art On the Underground (Londres), Pori Museum (Finlande), Bildmuseet (SuĂšde), Kunsthalle Nikolaj (Danemark), Palais de Tokyo (France), MusĂ©e d’art contemporain (Marseille), Blaffer Art Museum, (Houston), Prefix – Institut d’art contemporain (Toronto), Charles H. Scott Gallery (Canada), Sharjah Art Foundation, Beirut Art Center (Liban), Jeu de Paume (Paris) et IVAM (Espagne), Bildmuseet (SuĂšde), Smoca (États-Unis), Biennale de Venise (Italie) et Hamburger Bahnhof (Berlin).

Elle a des expositions de groupe au Tate Londres, Centre Pompidou (Paris), au MusĂ©e Mori (Tokyo), MusĂ©e d’Art Moderne d’Alger, MusĂ©e de Brooklyn (New York), MusĂ©e d’art de Gwangju (CorĂ©e du Sud), MMK Museum fĂŒr Mordern Kunst (Allemagne), Power Plant (Toronto), Smithsonian (Washington), MusĂ©e Guggenheim (NY), Museum Colecao Berardo, (Lisbonne) et Whitechapel Gallery (Londres).

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