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Heute — 16. März 2025Haupt-Feeds

Hausse de 18 % des infractions économiques durant la première moitié du Ramadan

16. März 2025 um 09:39

Le nombre d’infractions économiques relevées au cours de la première moitié du mois de Ramadan a augmenté de 18 %, atteignant 9 955 infractions, par rapport à la même période de l’année dernière, selon des données publiées par le ministère du Commerce et du Développement des exportations. D’après la même source, 54 735 opérations de contrôle économique ont été effectuées au cours de la première quinzaine du mois de Ramadan, soit une hausse de 6 % par rapport à la même période de l’année précédente.

Ces opérations ont couvert 2 370 zones d’intervention, avec un taux de couverture de 95 %. Les infractions concernent essentiellement le non-respect de l’obligation de transparence des transactions (5 019 infractions), le non-respect des prix et les pratiques monopolistiques (3 276 infractions), le non-respect des normes de qualité et de métrologie (1 578 infractions) et le détournement des produits subventionnés (82 infractions).

Le ministère précise également que 5 349 infractions concernent les produits agricoles et de pêche frais, 3 361 sont liées aux produits agroalimentaires, tandis que 821 infractions ont été relevées dans les boulangeries, restaurants et cafés, et 424 infractions concernent divers produits industriels. En parallèle, le nombre de réclamations recueillies par les services du ministère a diminué de 26 %, passant de 209 réclamations au cours de la première moitié du Ramadan dernier à 154 cette année.

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Gestern — 15. März 2025Haupt-Feeds

Tunisie: Comment la politique commerciale de Trump affecte-t-elle l’économie nationale ?

15. März 2025 um 12:00

Les répercussions de la nouvelle politique commerciale américaine sur l’économie tunisienne devraient rester indirectes, a assuré Amine Ben Ayed, président de l’Institut Arabe des Chefs d’Entreprises (IACE), lors d’un webinaire organisé par ce think tank sur le thème “L’impact des récentes politiques commerciales américaines sur l’économie tunisienne”.
Selon lui, ces répercussions seront principalement liées aux fluctuations des prix du pétrole, aux variations du taux de change du dollar, ainsi qu’à l’évolution des relations commerciales entre les États-Unis et les partenaires économiques de la Tunisie, en particulier les pays européens.
Amine Ben Ayed a souligné l’absence de conséquences directes sur l’économie nationale, rappelant que la Tunisie ne maintient pas de relations économiques particulièrement étroites avec les États-Unis. En effet, les exportations et importations tunisiennes vers les États-Unis restent faibles.
“En matière d’aide au développement, l’USAID (Agence des États-Unis pour le développement international) n’a investi que 350 millions de dollars en Tunisie depuis 2011, un montant relativement modeste”, a ajouté Ben Ayed.
Selon lui, la Tunisie serait principalement affectée par l’évolution des prix du pétrole et du taux de change du dollar, mais elle a, jusqu’à présent, su tirer profit de ces fluctuations. En effet, depuis l’entrée en fonction de Donald Trump et l’annonce de sa nouvelle politique commerciale et tarifaire, le prix du baril de pétrole a chuté sous la barre des 70 dollars, contre 80 dollars mi-janvier.
“Cette baisse est bénéfique pour la Tunisie, qui dépend fortement des importations d’énergie et pourra ainsi réduire sa facture énergétique”, a estimé Ben Ayed. Il a rappelé que le budget de l’État pour 2025 a été élaboré sur la base d’une hypothèse d’un prix du baril de pétrole Brent à 74 dollars. Par ailleurs, la chute du dollar face à l’euro représente également une opportunité pour la Tunisie, car elle pourrait réduire les coûts d’importation des matières premières, notamment les produits énergétiques et les céréales.
Cependant, Ben Ayed a également précisé que si ces nouvelles mesures tarifaires affectent les pays européens, la Tunisie pourrait être impactée indirectement, car ces derniers sont ses principaux partenaires commerciaux.

Les États-Unis accordent une place privilégiée à la Tunisie

Quant à la question de savoir comment les États-Unis perçoivent la Tunisie, les participants au webinaire ont unanimement souligné que la puissance économique mondiale accorde au pays une place “privilégiée”, bien qu’il ne dispose pas d’un poids économique majeur. Cela est dû à son positionnement géographique stratégique en Méditerranée, au carrefour de deux grands producteurs de pétrole et de gaz.
Pour Hédi Zaouchi, enseignant universitaire et formateur à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA), les États-Unis considèrent la Tunisie comme un “catalyseur” dans la région, bénéficiant d’un “statut préférentiel historique”. Selon lui, les États-Unis ne peuvent établir de partenariats avec des pays comme l’Algérie, notamment dans le secteur énergétique, sans passer par la Tunisie en tant que “catalyseur”.
Évoquant la nomination de Bill Bazzi, par l’administration Trump, en tant que nouvel ambassadeur des États-Unis en Tunisie, les participants ont salué cette décision, la qualifiant de “bénéfique” pour la Tunisie. “Bill Bazzi, d’origine libanaise, ayant travaillé pour Boeing et Ford, représente une opportunité pour attirer des investissements américains en Tunisie”, a déclaré Ben Ayed.
En conclusion, les participants ont mis l’accent sur la nécessité de diversifier les partenariats économiques afin de faire face aux tensions économiques mondiales et aux évolutions de la politique commerciale américaine. Ils ont souligné l’importance d’activer la diplomatie économique et de restaurer la confiance des investisseurs étrangers.

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21 mars 2025 : La poésie et l’IA au cœur d’une causerie exceptionnelle à Beit al-Hikma

15. März 2025 um 11:30

À l’occasion de la Journée mondiale de la poésie, le département des arts de l’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts, Beit al-Hikma, organise une causerie poétique intitulée « La poésie et la créativité artistique à l’ère de l’intelligence artificielle », le vendredi 21 mars 2025, de 21h00 à 23h30, à Beit al-Hikma.
Animée par la professeure Rachida Triki, cette rencontre explorera les bouleversements induits par l’essor des nouvelles technologies, en particulier l’intelligence artificielle (IA), sur l’acte créatif.

Dans un monde où les algorithmes standardisent les formes et remettent en question la singularité de la création, la poésie servira de prisme pour interroger ces mutations. Quel sera désormais le rôle du poète face aux machines génératives capables de produire du texte en simulant la pensée ? L’émotion humaine peut-elle survivre à l’automatisation du langage ? La poésie deviendra-t-elle un refuge, un espace de résistance ou, au contraire, un terrain fertile pour réinventer notre rapport à l’inspiration, à la sensibilité et à l’originalité ?

Pour nourrir cette réflexion, la causerie réunira plusieurs intervenants aux profils variés, notamment des chercheurs, des académiciens et des artistes, tels que le poète, essayiste, chercheur et ancien professeur de littérature française aux Universités de Tunis et de La Manouba, Kamel Gaha ; le professeur et docteur en intelligence artificielle, Khaled Ghedira ; le peintre Naceur Ben Cheikh ; ainsi que l’homme de cinéma, le réalisateur Hichem Ben Ammar.

Célébrée chaque année le 21 mars, la Journée mondiale de la poésie met à l’honneur l’une des formes d’expression et d’identité linguistique et culturelle les plus précieuses de l’humanité.

Proclamée en 1999 par l’UNESCO, afin de promouvoir la diversité linguistique à travers l’expression poétique dans le monde entier, cette journée constitue également, selon l’UNESCO, une occasion pour rendre hommage aux poètes, raviver la tradition orale des récitals de poésie et encourager la lecture, l’écriture ainsi que l’enseignement de la poésie. Celle-ci, pratiquée tout au long de l’histoire, dans toutes les cultures et sur tous les continents, parle à notre humanité commune et à nos valeurs partagées, transformant le plus simple des poèmes en un puissant catalyseur pour le dialogue et la paix.

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Criquets pèlerins à la frontière sud : le ministère précise l’état de la situation et les actions engagées

15. März 2025 um 08:33

De petits groupes de criquets pèlerins ont été récemment aperçus à Dehiba, dans le gouvernorat de Tataouine, à la suite des vents du sud ayant soufflé sur la région, a fait savoir, vendredi soir, le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

Le département précise, dans un communiqué, que cette apparition est liée à la propagation des criquets pèlerins dans certains pays du Sahel africain et d’Afrique du Nord, notamment en Libye, qui fait actuellement face à une invasion de ces ravageurs en raison de conditions climatiques favorables à leur reproduction (pluies et végétation verte).

À la suite des inspections menées par l’équipe technique dépêchée sur place, le ministère a souligné qu’il ne s’agit pas d’essaims de criquets et que les groupes observés ne présentent actuellement aucune menace pour le couvert végétal de la région.

Le ministère a affirmé que les équipes techniques poursuivent les inspections dans toute la région pour suivre les mouvements des criquets.

“Tous les intervenants aux niveaux central et régional ont été mobilisés pour assurer la veille nécessaire et intensifier la campagne de lutte contre ces ravageurs”, indique le communiqué.

Par ailleurs, tous les équipements nécessaires (pulvérisateurs, pesticides) ont été fournis pour éliminer les insectes ayant franchi les frontières nationales.

Mercredi 12 mars 2025, le Comité national de lutte contre le criquet pèlerin, présidé par le ministre de l’Agriculture, Ezzeddine Bencheikh, s’est réuni pour étudier les scénarios possibles de lutte contre ces ravageurs.

Il a ainsi été décidé d’activer les comités régionaux de lutte contre le criquet pèlerin dans les gouvernorats de première ligne : Tataouine, Médenine, Gabès, Tozeur, Kébili et Gafsa.

Une autre décision a été prise : former une première ligne de front pour évaluer la situation dans les zones frontalières, en particulier dans le sud de la Tunisie, et constituer un stock stratégique de pesticides.

Le Comité national de lutte contre le criquet pèlerin demeure par ailleurs en réunion permanente.

Il est à noter que des essaims de criquets pèlerins se sont formés en Libye. Les services spécialisés du ministère assurent un suivi régulier et continu de la situation depuis octobre 2024, en coopération avec un réseau de spécialistes internationaux, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et la Commission de lutte contre le criquet pèlerin dans la région occidentale (CLCPRO).

Le ministère de l’Agriculture a annoncé qu’il coordonne avec les pays voisins pour renforcer la coopération et conjuguer les efforts afin d’endiguer ce fléau.

“La situation est sous contrôle”, rassure le ministère, ajoutant que les opérations de surveillance et de suivi se poursuivent.

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Asma Jebri : La Tunisie œuvre pour l’autonomisation des femmes et la lutte contre le changement climatique

13. März 2025 um 14:41

La Tunisie œuvre activement pour promouvoir l’entrepreneuriat féminin, renforcer le rôle des femmes dans la préservation de l’environnement, et intégrer leurs activités dans le secteur formel, en particulier dans les zones vulnérables. C’est ce qu’a déclaré la ministre de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées, Asma Jebri, lors de son discours prononcé à la conférence de haut niveau organisée par l’Organisation des femmes arabes.

La conférence, portant sur le thème « Réalisations et défis dans la région arabe : Trente ans après Pékin », s’est tenue au siège des Nations unies à New York. La ministre a réaffirmé que la Tunisie est résolument engagée à respecter ses engagements internationaux relatifs aux droits des femmes et des filles. Elle a souligné les efforts continus pour relever les défis à venir, notamment la lutte contre la pauvreté et la promotion de la productivité agricole et de la sécurité alimentaire, en mettant l’accent sur l’inclusion économique et le soutien à l’intégration sociale et économique des femmes, particulièrement dans les zones rurales.

Sur le plan législatif, la ministre a évoqué plusieurs textes juridiques importants publiés en 2024 pour renforcer les droits des femmes. Parmi ces textes, le décret n° 4 de 2024 relatif au système de protection sociale des ouvrières agricoles, visant à améliorer leur emploi et leur intégration économique, ainsi que la loi n° 44 de 2024, adoptée par le Parlement, réglementant les congés de maternité et de paternité dans les secteurs public et privé.

Concernant la lutte contre la violence à l’égard des femmes, Asma Jebri a mentionné les avancées significatives, notamment la loi n° 58 de 2017, relative à la lutte contre la violence à l’égard des femmes, la création de l’Observatoire national de lutte contre la violence à l’égard des femmes, l’augmentation du nombre de centres d’accueil pour les femmes victimes de violence à 17 centres, ainsi que la mise en place de lignes vertes gratuites d’écoute et d’accompagnement pour les femmes victimes de violence, les enfants et les personnes âgées. Enfin, la ministre a indiqué que son ministère travaille actuellement sur l’inclusion des indicateurs liés au changement climatique dans les budgets financiers des divers secteurs et sur l’élaboration d’un plan stratégique pour les droits de l’enfant et le changement climatique.

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