Le temps du mardi 11 février 2025 sera marqué par un ciel partiellement nuageux au nord et peu nuageux ailleurs. Les vents souffleront du secteur sud, de faible à modérée intensité.

En matinée, les conditions seront propices à la formation de brouillard local au nord et dans les régions de l’est. Ce brouillard sera particulièrement dense près des côtes, dans les basses terres ainsi qu’aux abords des barrages et des oueds, réduisant la visibilité horizontale à moins de 800 mètres. Il se dissipera progressivement à partir de 9 heures.

La mer sera agitée au nord et peu agitée sur les côtes orientales.

Côté températures, elles varieront entre 16 et 18 degrés au nord et au centre, et atteindront environ 19 degrés à l’extrême sud, offrant une douceur hivernale appréciable.

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La ministre de la Justice, Leila Jaffel, s’est entretenue, lundi, au siège du département, avec son homologue saoudien, Walid ben Mohammed Al-Samaani.

Selon un communiqué, l’entretien qui s’est déroulé en présence de l’ambassadeur du Royaume en Tunisie, Abdelaziz ben Ali Al Saqr, intervient à l’occasion de la cérémonie de signature du programme exécutif afférent à la convention arabe de Riyad sur la coopération judiciaire qui aura lieu demain au siège ministère de la Justice.

Selon la même source, la réunion s’est déroulée en présence de hauts fonctionnaires du département de la justice.

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Le ministre des Transports, Rachid Amri, a effectué hier lundi une visite inopinée aux aéroports internationaux d’Enfidha-Hammamet et de Monastir-Habib Bourguiba afin d’inspecter le bon fonctionnement de leurs infrastructures commerciales, techniques et opérationnelles. Cette visite s’inscrit dans le cadre des préparatifs pour la saison de la Omra, du Hajj, du tourisme et du retour des Tunisiens résidant à l’étranger durant l’été 2025.
Lors de son déplacement, le ministre a donné des instructions précises pour assurer une organisation optimale des vols liés à ces événements majeurs. Selon un communiqué du ministère des Transports, il a insisté sur la nécessité d’anticiper les besoins et d’améliorer la qualité des services offerts aux passagers.
Parmi les mesures urgentes évoquées figure un appel à la société “TAV Tunisie” pour le renouvellement des équipements de services au sol avant le début de la saison estivale. Il a également souligné l’importance d’améliorer les prestations aéroportuaires, de renforcer les dispositifs de sûreté et de sécurité dans tous les espaces de l’aéroport d’Enfidha-Hammamet, et d’optimiser l’exploitation de certaines infrastructures existantes.
Le ministre a fixé la fin du mois de juin 2025 comme échéance pour la réhabilitation de plusieurs espaces, en particulier ceux dédiés aux bureaux des autorités aéroportuaires, notamment la douane tunisienne et la police des frontières. L’objectif est de garantir un cadre de travail plus adapté, d’optimiser l’efficacité des opérations et, in fine, d’améliorer l’expérience des voyageurs. Cette initiative sera menée conjointement par l’Office de l’aviation civile et des aéroports, chargé des opérations de nettoyage et de maintenance, et par la société “TAV Tunisie”, responsable du renouvellement des équipements de travail et des dispositifs informatiques.
Rachid Amri a également ordonné à la Société de transport du Sahel de mettre en place, avec effet immédiat, une navette reliant l’aéroport international d’Enfidha-Hammamet à la ville d’Enfidha, avec une fréquence horaire, afin de faciliter les déplacements des employés et des voyageurs. Il a par ailleurs exhorté “TAV Tunisie” à accélérer les travaux de maintenance à l’aéroport international de Monastir-Habib Bourguiba et à accorder une attention particulière aux normes d’hygiène et de santé dans les deux aéroports.
Le ministre a souligné que cette visite s’inscrit dans la stratégie nationale visant à améliorer les infrastructures frontalières stratégiques, en particulier les aéroports, qui représentent la première vitrine du pays à l’arrivée et la dernière étape avant de quitter le territoire tunisien. Il a ainsi appelé l’ensemble des acteurs du secteur à redoubler d’efforts pour améliorer la qualité des services.
Enfin, il a insisté sur la nécessité de renforcer la compétitivité des aéroports d’Enfidha-Hammamet et de Monastir-Habib Bourguiba afin qu’ils contribuent pleinement aux objectifs de développement, tant au niveau régional que national, dans un contexte de reprise économique. Pour y parvenir, il a mis en avant l’importance de dynamiser le trafic aérien et d’attirer de nouveaux marchés, qu’ils soient traditionnels ou émergents.
Il est à noter que le ministre des Transports était accompagné lors de cette visite par le gouverneur de Sousse, Sofiane Tanfroui, le gouverneur de Monastir, Issa Moussa, ainsi que plusieurs hauts responsables du ministère des Transports, les directeurs des aéroports d’Enfidha-Hammamet et de Monastir-Habib Bourguiba, et le directeur général adjoint de la société “TAV Tunisie”.
La Presse

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Le Président de la République, Kaïs Saïed, a évoqué, lors de la rencontre qu’il a tenue hier lundi 10 février au Palais de Carthage avec M. Kamel Maddouri, Chef du gouvernement, le fonctionnement général de l’action gouvernementale. Il a insisté sur la nécessité du travail en harmonie entre les membres de l’équipe gouvernementale et du respect des règles imposées par les responsabilités au sein des institutions de l’État.

Le Chef de l’État a également insisté sur l’importance pour chaque responsable de ne pas perdre de vue que la Tunisie est régie par la Constitution adoptée par le peuple via le référendum du 25 juillet 2022, laquelle rompt avec les vestiges de l’ancienne Constitution qui menaçait l’unité nationale et même l’État dans son entité.

Il a également souligné que chaque responsable ne doit pas se contenter de diagnostiquer les situations, mais qu’il doit prendre l’initiative de proposer des visions à la hauteur des attentes du peuple. Le diagnostic est bien connu mais il est impératif d’agir avec la plus grande célérité pour trouver des solutions adaptées aux préoccupa- tions des citoyens.

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Le lundi 10 février 2025, Mohamed Ben Ayed, Secrétaire d’État auprès du Ministre des Affaires Étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Étranger, a accueilli Mohamed Saleh Ben Aissa, Secrétaire Général Adjoint et Chef du Centre de la Ligue des États Arabes à Tunis.

Lors de cet entretien, le Secrétaire d’État a réaffirmé l’engagement de la Tunisie à suivre de près les activités du Centre de la Ligue des États Arabes à Tunis, soulignant la priorité accordée à la mise en place des meilleures conditions de travail pour les institutions arabes spécialisées présentes sur le sol tunisien.

La réunion a également permis à Mohamed Saleh Ben Aissa de présenter un exposé détaillé sur les diverses initiatives du Centre, notamment les questions arabes traitées en coordination étroite avec le Secrétariat général de la Ligue des États Arabes.

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Le ministre de l’Environnement, Habib Obeid, a présidé, ce lundi à Zaghouan, en présence du gouverneur de la région, Karim Ben Rjiba, la création du Club Environnement à l’école primaire de Bir Hleima, dans la délégation de Zaghouan. Cette initiative a marqué le lancement de 400 écoles environnementales à travers l’ensemble du territoire national.

Lors d’une déclaration aux médias, Obeid a expliqué que cette action s’inscrit dans la volonté du ministère de sensibiliser les jeunes générations à l’importance de la préservation de l’environnement et à l’adoption de comportements responsables vis-à-vis de leur cadre de vie. Il a précisé que ces écoles seront réparties sur toutes les régions, avec 17 établissements dans chaque gouvernorat.

Le ministre a également abordé la question de la gestion des boues dans la région de Jemla, soulignant la nécessité de se débarrasser de ce dépôt en raison de ses répercussions négatives sur l’agriculture et les nappes phréatiques. Il a précisé que des actions seront menées en concertation avec les autorités locales pour créer une entreprise ou une association locale chargée de valoriser ces boues et de les transformer en compost organique.

Dans le cadre de la gestion des déchets, le ministre a visité l’usine de recyclage de papier « Azur » à Zariba et l’usine de ciment de Jebel Ouest, où il a pu constater les efforts réalisés pour transformer les boues de papier, les résidus de « fitura », les coques d’amandes et les déchets textiles en énergie alternative. Il a salué cette coopération entre les deux institutions comme un modèle en matière de gestion environnementale.

Obeid a aussi supervisé les travaux d’extension de la décharge contrôlée des déchets ménagers et assimilés dans la zone de « Kastani » à Zaghouan, avant de participer à une campagne de nettoyage et de collecte des déchets issus de la construction et de la démolition à Bir Masharqa. Il a ensuite visité le site du projet de station d’épuration des eaux usées à Bir Masharqa, un projet financé à hauteur de 31,7 millions de dinars par l’Agence Française de Développement.

Selon Kamel Jallali, directeur de la région nord du Bureau national de l’assainissement, le projet consiste à construire une station d’épuration pour le traitement des eaux usées, à installer un réseau de soutien et de transfert d’une longueur de 12,7 kilomètres et à connecter 500 habitations dans la ville de Bir Masharqa à ce système.

Le ministre a indiqué que le projet est actuellement dans sa phase de préparation des études exécutives et que les travaux devraient débuter dans les prochaines semaines.
Lors de cette visite, Obeid a également donné le coup d’envoi des travaux d’aménagement et de valorisation des sites archéologiques du temple de l’eau à Zaghouan, en collaboration avec le ministère de l’Environnement et la municipalité locale.

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Le célèbre sismologue néerlandais Frank Hoogerbeits a mis en garde contre des tremblements de terre dévastateurs et une activité volcanique intense dans la région méditerranéenne, touchant plusieurs pays, et a exhorté les habitants à la plus grande prudence.

Hoogerbeits a expliqué que les risques de séismes destructeurs concernent trois pays méditerranéens : la Turquie, la Grèce et l’Italie. Il a également mentionné des signes d’éruption volcanique dans la région et a mis en garde contre la possibilité d’un grand tremblement de terre dans la zone du Levant. Selon lui, les risques de tremblements de terre et de phénomènes volcaniques seront particulièrement présents en Turquie et en Grèce (mer Égée), ainsi qu’en Italie (mer Ionienne).

Le sismologue a ajouté : « La nuit dernière, nous avons enregistré un important séisme sur la plaque tectonique de la mer des Caraïbes », soulignant qu’une activité sismique continue touche la plaque de la mer Égée près de Santorin. Il a précisé qu’il existe deux grandes plaques tectoniques dans la région : au nord, la plaque eurasienne, au sud, la plaque africaine, au sud-est, la plaque arabique, et au centre, la plaque anatolienne et celle de la mer Égée, qui se trouvent entre la Turquie et la Grèce.

Hoogerbeits a souligné que la plaque africaine se trouve sous la plaque de la mer Égée, ce phénomène se produisant le long de l’arc hellénique. Si une subduction se produit, cela pourrait provoquer des séismes d’une magnitude de 8,5 ou plus, bien que cela puisse prendre des centaines d’années pour se réaliser. Il a également évoqué le tremblement de terre survenu en 2023 au sud du Levant, près de la mer Morte, où des séismes de magnitude 7 se sont produits dans le passé, ce qui laisse présager la possibilité d’un nouveau séisme de même magnitude dans un futur proche.

Concernant l’Italie, Hoogerbeits a rappelé qu’il y a eu deux tremblements de terre d’une magnitude de 7 dans le sud du pays au début du siècle dernier. Il a également précisé qu’au sud de l’Italie, l’arc calabrais est une zone volcanique active, où des tremblements de terre majeurs se sont produits par le passé. En outre, la région centrale de l’Italie est traversée par une faille géologique, et la plaque africaine s’étend jusqu’à la mer Adriatique. Cela fait de la zone des Balkans une région particulièrement vulnérable aux tremblements de terre de grande ampleur, étant une zone sismique très dynamique.

Dans son avertissement aux habitants de l’Italie, de la Turquie et de la Grèce, Hoogerbeits a précisé que le plus grand séisme devrait survenir dans le sud de l’Italie et serait extrêmement dévastateur. Il a ajouté qu’un tremblement de terre de magnitude 7 pourrait également se produire en Italie centrale, avec des conséquences graves. Il a rappelé que l’Italie n’est pas épargnée par l’activité sismique dévastatrice et a annoncé qu’un tremblement de terre pourrait se produire prochainement dans le centre et le sud du pays. Hier, un séisme de magnitude 7,6 a frappé la plaque des Caraïbes, et des anomalies dans l’atmosphère suggèrent une activité sismique accrue dans certaines zones spécifiques.

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Les travaux de construction du marché municipal à M’hamdia, dans le gouvernorat de Ben Arous, ont débuté, pour un coût estimé à 5 millions de dinars.
Ce projet, d’une superficie totale de 1500 m², comprendra 52 espaces de vente de produits de consommation, ainsi que des espaces de services, conçus selon des standards modernes.
Le projet inclut également des espaces destinés aux cafés et restaurants, un village d’artisanat, un bâtiment administratif, ainsi qu’un complexe sanitaire.
La durée prévue pour l’achèvement du projet, qui s’inscrit dans le cadre du programme régional de développement intégré, est estimée à 360 jours.

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La Fédération Tunisienne de Football a annoncé que, lors de sa réunion ce lundi, le bureau fédéral a pris la décision d’adopter la technologie de l’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR) pour le match de la Supercoupe, prévu le 16 février prochain au Stade Olympique Hammadi Agrebi à Radès.
La fédération a précisé sur sa page officielle sur les réseaux sociaux que la mise en place de la technologie VAR débutera à partir de la cinquième journée retour de la Ligue 1, et ce, dans tous les stades de la compétition.

Elle a également informé que la Direction Nationale de l’Arbitrage convoquera un groupe d’arbitres afin de les présenter devant la commission de suivi, en vue de prendre les mesures nécessaires si besoin. De plus, la Direction Nationale de l’Arbitrage se voit confiée la mission d’élaborer un projet de statut de l’arbitrage, qui sera soumis au bureau fédéral pour étude et validation. La fédération a aussi autorisé la Direction à solliciter des arbitres étrangers pour la gestion des matchs chaque fois que cela sera jugé pertinent.

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Moez Ben Amor, directeur commercial à l’Office National de l’Huile (ONH), a révélé, ce lundi 10 février 2025, que les exportations d’huile d’olive ont atteint des niveaux records en janvier 2025, avec un total de 42 000 tonnes, contre 22 000 tonnes en janvier 2024.

Lors de son passage sur les ondes d’une radio privée, il a précisé qu’entre le début de la saison (novembre) et la fin du mois de janvier, 84 000 tonnes d’huile d’olive ont été exportées, générant des recettes estimées à 1 202 millions de dinars, contre 61 000 tonnes pour des revenus de 1 590 millions de dinars à la même période de l’année précédente.

Moez Ben Amor a attribué cette hausse des exportations à l’augmentation de la production nationale d’huile d’olive cette saison, avec des prévisions estimant la production à 340 000 tonnes, contre 220 000 tonnes pour la saison précédente.

Le responsable a souligné que, bien que l’Europe reste la principale destination d’exportation, sa part a diminué au fil des années, représentant désormais environ 66 % des exportations tunisiennes. Cette diminution est due à l’élargissement vers d’autres marchés, notamment aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni et en Russie. Il a précisé que la Tunisie exporte désormais son huile d’olive vers 60 destinations internationales.

Moez Ben Amor a également fait savoir que l’Office travaille activement à conquérir de nouveaux marchés, en particulier en Asie et en Afrique. Il a ajouté que la part d’huile d’olive exportée en vrac représente actuellement 10 % des exportations totales, et que des programmes de promotion sont en place pour augmenter cette proportion.

Concernant le programme interne de promotion de l’huile d’olive, Moez Ben Amor a expliqué que l’Office National de l’Huile a lancé des initiatives visant à encourager la consommation de l’huile d’olive tunisienne. Depuis décembre dernier, l’Office a commencé à fournir des quantités d’huile d’olive extra vierge en canettes de 5 litres aux coopératives et associations du secteur public, un programme qui a connu un grand succès. Il a précisé que cette initiative continue afin de répondre à une demande croissante.

En outre, l’huile d’olive tunisienne est désormais disponible dans les grandes surfaces commerciales, avec des canettes d’un litre proposées au prix de 12,5 dinars par litre et des canettes de 3 litres au prix de 34 dinars. Selon Moez Ben Amor, cette offre rencontre un vif succès auprès des consommateurs tunisiens, grâce à la qualité supérieure de l’huile d’olive fournie par l’ONH.

Il a aussi souligné que le marché de l’huile d’olive est actuellement stable au niveau des prix, et que la récolte des olives a atteint 85 % de son objectif pour cette saison.

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Une convention de partenariat, visant la mise en place d’un système national de vérification et de validation des émissions de gaz à effet de serre (GES), a été signée ce lundi 10 février 2025, à Tunis.

Les signataires de cet accord sont l’Agence Nationale pour la Maîtrise de l’Énergie (ANME), l’Institut National de la Normalisation et de la Propriété Industrielle (INNORPI) et le Conseil National d’Accréditation (TUNAC). Leur objectif est de réduire l’empreinte carbone des entreprises du secteur industriel tout en renforçant leur compétitivité.

Cette initiative vise à faciliter l’accès des entreprises tunisiennes aux marchés internationaux, en contribuant à la mise en place d’un système de vérification et de validation des émissions de GES reconnu à l’échelle mondiale, a expliqué le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie.
La signature de cette convention marque un renforcement de la transparence et de la crédibilité des déclarations carbone des entreprises, les aidant ainsi à se conformer aux normes environnementales internationales. Cela permettra à la Tunisie de consolider sa position dans sa transition vers une économie à faibles émissions de carbone.

Pour assurer la mise en œuvre de cette initiative, une équipe de travail conjointe sera formée, rassemblant les trois institutions signataires. Cette équipe sera chargée d’élaborer un plan d’action détaillé, incluant le cadre réglementaire du système de vérification et de validation des émissions de GES en Tunisie.

Des campagnes de sensibilisation seront également organisées pour informer les entreprises, en coordination avec les centres techniques industriels, sur l’importance de ce système et son rôle essentiel dans le renforcement de la conformité environnementale, a ajouté la même source.
Le système de vérification et de validation des émissions de GES contribuera ainsi à attirer des investissements verts, tout en créant un environnement favorable aux projets durables en Tunisie.

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Le directeur général de l’Instance Nationale de la Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires (INSSPA), Mohamed Rabhi, a précisé que tout produit alimentaire entrant illégalement en Tunisie est immédiatement interdit.

Dans ce cadre, Rabhi a affirmé lors de son intervention sur la radio nationale que l’Instance a donné l’ordre à toutes ses branches régionales de retirer du marché des produits tels que le chocolat “Dubai” et les bonbons “Al-Ain”, qui ont été introduits en Tunisie via le commerce parallèle en provenance d’un pays voisin.

Rabhi a expliqué que l’additif colorant utilisé dans le chocolat est interdit en Tunisie, bien qu’il soit autorisé en Algérie. “Il est impératif d’appliquer la législation tunisienne à tout produit contenant des additifs interdits et de bloquer sa distribution”, a-t-il souligné.
Il a également insisté sur la nécessité d’arrêter la circulation de produits inconnus provenant du commerce électronique sur les réseaux sociaux, soulignant les risques associés à leur provenance incertaine.

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La nuit de lundi sera marquée par l’apparition de nuages épars sur la majorité des régions, avec une couverture nuageuse parfois plus dense sur les zones côtières orientales du nord et du centre, accompagnée de quelques pluies localisées. En fin de nuit, un brouillard léger pourrait également se former, selon les dernières mises à jour de l’Institut national de la météorologie.
Les vents souffleront du secteur est, modérés à relativement forts près des côtes, et faibles à modérés à l’intérieur des terres. La mer sera agitée.
Les températures nocturnes varieront entre 3 et 7 degrés dans les régions montagneuses de l’ouest et entre 8 et 13 degrés dans les autres régions.

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Karim Hrass, membre du bureau exécutif de la Confédération des entreprises citoyennes “Conect”, a affirmé ce lundi 10 février 2025 que l’intelligence artificielle représente une véritable révolution mondiale. Selon lui, le sommet sur l’intelligence artificielle organisé par la France s’inscrit dans une démarche pragmatique, en phase avec les développements actuels dans ce domaine.

Lors de son ipassage sur les ondes d’une radio privée, Hrass a précisé que pour l’Europe, l’intelligence artificielle n’est plus uniquement une question industrielle ou économique, mais aussi stratégique, notamment en matière de défense. “Ceux qui ne maîtrisent pas l’intelligence artificielle ne pourront pas garantir le contrôle de leurs territoires”, a-t-il souligné.

Il a également évoqué la position de l’Europe, qui se trouve désormais au cœur d’une véritable compétition mondiale, cherchant à mettre en place un vaste centre de données (data center) et à développer une infrastructure numérique de grande envergure. Toutefois, il a précisé que le succès de ces projets en Europe n’est pas encore assuré.

Hrass a ensuite expliqué que la France et l’Europe s’efforceront d’attirer des talents en provenance de Tunisie et d’Afrique, soulignant que l’intelligence artificielle touche désormais tous les secteurs, sans exception. Il a insisté sur l’importance de se préparer aux nouveaux métiers que cette révolution technologique engendrera.

“L’intelligence artificielle est un bouleversement majeur qui transforme profondément le monde. Elle concerne désormais aussi les enjeux de sécurité et de gestion des frontières”, a-t-il ajouté.

Hrares a ensuite souligné la nécessité pour la Tunisie d’étudier cette question de manière approfondie. Il a indiqué que l’Algérie dispose d’un potentiel considérable, et que des collaborations entre les deux pays seraient possibles pour développer des projets d’envergure. Il a également mentionné la Libye, précisant qu’il est crucial de ne pas travailler de manière isolée, mais de renforcer la coopération régionale. Dans ce même cadre, il a suggéré la création de villes intelligentes dans les régions frontalières comme projet stratégique pour l’avenir.

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Un peu moins d’une heure a suffi pour Ons Jabeur pour battre Kessler. L’écart en potentiel et en qualité était énorme. Notre joueuse a dominé le premier set 6-2 après un début assez équilibré. Par la suite, l’intensité des coups de Ons et la,réussite dans ses services, lui ont permis de prendre le large au second set avec un facile 6-0. Belle entrée en matière pour la Tunisienne qui affronte Zheng au second tour.

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Pourquoi me contenterais-je de n’en parler qu’à mon entourage ou à des personnes occasionnelles. Il faut savoir dire à haute voix ce que l’on pense; surtout si ces pensées vont servir de reconnaissance à une personne qui nous aurait rendu un énorme service dans le domaine des découvertes: historiques, géographiques, culturelles, touristiques (le tourisme sous toutes ses formes)… J’ai nommé Monsieur Tahar Ayachi.

Ce grand Monsieur, historien-journaliste, nous a régalé durant quelques années par la programmation de différentes «vadrouilles». C’est l’appellation qu’il a donnée à ces sorties. Il y avait de tout dans ces vadrouilles: la convivialité, la découverte, la bonne organisation, les rencontres humaines parmi les participants à ces différentes sorties, dont des retrouvailles ou de nouvelles connaissances et surtout la bonne humeur.

Si Tahar nous a fait goûter à toutes les variétés naturelles de notre belle Tunisie: gastronomie, températures, arts… sous toutes leurs formes.

A la fin de chaque sortie, quelle que soit sa durée, nous traînions du pied, tristes de devoir quitter cette belle ambiance, mais riches de découvertes, de connaissances diverses et plein, plein de «reconnaissance» à notre guide et ami. Merci Si Tahar. Vous n’avez aucune idée de ma fierté devant le poste de télévision lorsqu’ils passent des régions de notre cher pays et lorsque je m’écrie comme une gamine et avec beaucoup d’orgeuil: «Oh! nous avons visité cette région avec la vadrouille !»

Et combien de fois ai-je crié cette phrase, le cœur battant de joie et de satisfaction.

Limam MAHERIA

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La deuxième aile du service pédiatrique du CHU Ibn Jazzar de Kairouan a été inaugurée, aujourd’hui.

Le directeur régional de la santé à Kairouan, Mouammar Hajji, a déclaré à la TAP que la création de la deuxième aile permettra de réduire la pression sur la première, qui a été ouverte en 2018 avec une capacité de 50 lits, ajoutant que la capacité de cette deuxième section est de 22 lits, portant ainsi la capacité totale du département de pédiatrie à plus de 70 lits.

Au cours de la prochaine période, le service sera doté d’un appareil de radiographie mobile, ce qui permettra au personnel médical et paramédical de travailler dans les meilleures conditions, a-t-il dit.

Pour sa part, le chef du service de pédiatrie à l’hôpital Ibn al-Jazzar et professeur distingué à la faculté de médecine de Sousse, Houcine Majoul, a déclaré à la TAP que la deuxième aile représente un apport précieux pour l’hôpital de la région, ajoutant que malgré quelques retards dans le démarrage de sa construction depuis fin 2019, il était favorable au projet en raison de l’introduction de changements qui ont permis d’augmenter la capacité d’accueil à 22 lits, dont 6 lits dans l’unité de récupération et 16 lits pour les cas ordinaires de maladies.

Il précise que cette partie est dotée d’équipements de pointe, notamment des lits de réanimation et des appareils de respiration artificielle, ainsi qu’une salle de jeux pour les enfants. Son côut s’est élevé à 700.000 dinars.

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La 29ème édition des Prix littéraires Comar d’Or aura lieu le 17 mai 2025, informe la compagnie Méditerranéenne d’Assurances et de Réassurances Comar, sur son site officiel.

Dans un communiqué relatif aux conditions de participation pour l’année 2025 et au règlement intérieur de la 29ème édition, Comar informe que ces prix concernent tous les romans écrits par des auteurs de nationalité tunisienne, publiés en Tunisie ou à l’étranger durant la période du 1er avril 2024 au 31 mars 2025. Les écrivains et éditeurs de romans désirant participer au concours sont invités à contacter Comar Assurances (Département Marketing) afin de remplir la fiche d’inscription et déposer sept exemplaires de leurs ouvrages.

Ces prix annuels sont décernés pour les romans tunisiens, en langues arabe et française, remarquables par la qualité de leur écriture, l’originalité de leur thème et/ou leur dimension créatrice, mentionne le communiqué.

Les romans récompensés dans le cadre du concours officiel sont choisis par deux jurys, l’un pour les romans en langue arabe et l’autre pour les romans en langue française. Chaque jury est composé de cinq membres.

Le jury du prix du roman en français est composé de Ridha Kefi, Mokhtar Sahnoun, Azza Filali, Amina Chenik et Mohamed Harmel.

Quant au jury du prix du roman en arabe, il réunit Mohamed El Khadi, Neziha Khelifi, Saadia Ben Salem, Ahmed Gasmi et Hafedh Mahfoudh.

Les prix décernés aux meilleurs romans, dans l’une et l’autre langue, publiés entre deux sessions sont dotés d’un montant de 10.000DT chacun. Les auteurs ayant reçu le prix Comar d’Or peuvent concourir pour le même prix avec un nouveau roman, après une période minimale de cinq ans, ajoute le communiqué.

Les « Prix Spéciaux des jurys » en langues arabe et française sont dotés d’un montant de 5000DT chacun. Ces deux prix sont décernés aux romans, dans l’une et l’autre langue, qui présentent une originalité remarquée par les jurys. Les auteurs ayant reçu le Prix Spécial du jury peuvent concourir pour le prix Comar d’Or. Cependant, ils peuvent participer et concourir pour le même prix (Prix Spécial du Jury), après une période minimale de cinq ans;

Les « Prix Découverte » en langue arabe et française sont dotés d’un montant de 2500DT chacun. Ces deux prix sont décernés aux romans, dans l’une et l’autre langue, où les jurys décèlent de réelles promesses. Ce prix est décerné une seule fois au même auteur, précise le communiqué.

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Le programme STRIDE touche à sa fin et sera clôturé le vendredi 31 janvier 2025 lors d’un événement dédié. Plus qu’une simple fin de parcours, cette célébration a rendu hommage aux 60 startups tunisiennes accompagnées tout au long de cette magnifique aventure, ainsi que les 5 finalistes qui ont concrétisé leur expansion sur des marchés africains stratégiques comme le Kenya et le Rwanda.

Soutenu par le programme « Decent Work for a Just Transition – Invest for Jobs » du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), STRIDE est mis en œuvre par le programme de Transformation Digitale de la GIZ Tunisie, en partenariat avec la Westerwelle Foundation. Il s’inscrit dans une dynamique plus large visant à stimuler la création d’emplois et à renforcer les liens économiques entre la Tunisie et le continent africain.

Déployé sur 8 mois, STRIDE a permis aux startups sélectionnées de structurer et accélérer leur développement à l’international. Conçu pour répondre aux défis de l’expansion, le programme s’est distingué par un accompagnement sur-mesure incluant des conseils techniques, des opportunités de mise en réseau et un accès à un écosystème dynamique d’experts et d’investisseurs. Depuis Avril 2024, 308 entrepreneurs ont bénéficié de l’expertise et des ressources mises à disposition vers STRIDE.

Parmi les startups qui ont su très bien tirer parti de cette dynamique, Cynoia, qui est une plateforme collaborative de gestion tout-en-un utilisée par Tunisie Telecom, Ooredoo et Orange Tunisie, et qui a ouvert un bureau à Dakar, Senegal, marquant une avancée majeure vers l’internationalisation. De son côté, Fabskill, une solution de recrutement basée sur l’intelligence artificielle, a consolidé sa présence sur le continent en s’implantant au Rwanda.

Créée en 2013 à Berlin, la Westerwelle Foundation soutient l’entrepreneuriat à travers ses hubs, dont le Westerwelle Startup Haus Tunis, ouvert en 2016. Avec ses espaces de co-working, ses programmes d’accompagnement et ses ateliers, elle accompagne les startups locales dans leur expansion. Forte d’une communauté de 30 000 abonnés en Tunisie et d’un réseau de 40 investisseurs actifs en Afrique, elle joue un rôle clé dans le développement des jeunes pousses africaines. Elle a structuré un vaste réseau d’opportunités pour les startups, avec plus de 300 événements et 20 programmes, tout en attirant l’attention de délégations internationales de haut niveau, dont celle de la Chancelière Angela Merkel. Aujourd’hui, cette communauté s’agrandit de plus en plus connectant plus de 500 entrepreneurs en Afrique grâce aux hubs Westerwelle de Kigali et Arusha et au programme YFP.

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