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La Chine et l’Afrique : Coopération pour une gouvernance mondiale du climat et un développement durable

10. Januar 2025 um 21:57

La Chine est prête à travailler avec l’Afrique pour promouvoir une gouvernance mondiale du climat, soutenir les principes d’équité et de responsabilités communes mais différenciées, et exhorter les pays développés à reconnaître leurs responsabilités historiques, à remplir leurs obligations et à apporter un soutien financier, technologique et en matière de renforcement des capacités aux nations en développement, en particulier celles d’Afrique, a déclaré vendredi le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi.
Wang, également membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC), a fait ces remarques lors d’une interview accordée aux médias chinois, à la suite de ses visites en Namibie, en République du Congo, au Tchad et au Nigeria.
L’Afrique est l’une des régions les plus sévèrement touchées par le changement climatique, confrontée à des défis fréquents tels que les sécheresses, les inondations et les pénuries alimentaires, a souligné Wang, notant que la lutte contre le changement climatique et l’approfondissement de la coopération agricole étaient des priorités clés de la coopération sino-africaine pour promouvoir la modernisation.
Les deux parties sont convenues de mettre pleinement en œuvre des initiatives telles que l’avancement conjoint de la modernisation écologique, l’Action de partenariat pour le développement vert et l’Action de partenariat pour le développement de l’agriculture au bénéfice des populations, proposées par le président chinois Xi Jinping lors du Sommet du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA) tenu à Pékin l’année dernière, a déclaré Wang.
Ces initiatives reflètent l’engagement de la Chine en tant que grand pays responsable et incarnent la volonté commune de construire une communauté de destin Chine-Afrique de haut niveau, a-t-il ajouté.
La Chine a accordé la priorité à la préservation de l’environnement et au développement vert, en fournissant plus de 70 % des équipements éoliens et 80 % des composants photovoltaïques mondiaux, a précisé Wang, ajoutant que les pratiques réussies de la Chine fournissaient des indications précieuses pour la transition énergétique de l’Afrique.
Par exemple, la capacité installée des centrales photovoltaïques construites conjointement par la Chine et l’Afrique s’élève à plus de 1,5 gigawatt, a-t-il ajouté.
La Chine s’est engagée à travailler main dans la main avec ses partenaires africains pour faire avancer l’Action de partenariat pour le développement vert, mettre en œuvre les projets d’énergie propre proposés lors du Sommet de Pékin du FCSA et promouvoir le programme “Ceinture solaire de l’Afrique”, afin d’aider le continent à s’engager sur la voie d’un développement vert et à faible émission de carbone, a déclaré Wang.
Dans le domaine de la coopération agricole, le ministre chinois des Affaires étrangères a souligné cinq domaines clés sur lesquels la Chine se concentrera : la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté, le renforcement des capacités, la facilitation des échanges et les réseaux de partenaires, afin d’accélérer la mise en œuvre des résultats du Sommet de Pékin du FCSA dans ce domaine.
Avec moins de 9 % des terres arables du monde, la Chine parvient à nourrir environ 20 % de la population mondiale, a rappelé Wang, ajoutant qu’il pensait que l’Afrique pouvait également atteindre la sécurité alimentaire et veiller à ce que l’approvisionnement alimentaire du continent reste fermement entre les mains de ses propres habitants.

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Vient de paraître – Cent auteurs sous la loupe

10. Januar 2025 um 17:20

Une sélection de livres qui revisitent la notion de ‘tunisianité’ est explorée dans Cent livres tunisiens, nouvel ouvrage collectif en français édité avec l’aide du Fonds d’encouragement à la création littéraire et artistique au ministère des Affaires culturelles.

Des textes signés par une pléiade d’universitaires, auteurs et critiques appartenant à différentes disciplines littéraires et culturelles figurent dans un  opus de 214 pages, en grand format, paru en janvier 2025 chez Latrach Edition (Tunisie). Dirigé par Kamel Ben Ouanès et Chaâbane Harbaoui, le livre présente des textes de cinq autres auteurs dont Adel Ben Youssef, Amina Chénik, Salah El Gharbi, Ahmed Mahfoudh et Issam Marzouk. La coordination générale a été assurée par Younès Ben Hajira. Le livre explore 100 ouvrages écrits entre le milieu du 2e siècle et 2024, et appartenant à cent auteurs et autrices.

Pour chaque auteur, le livre consacre un résumé de son parcours littéraire suivi d’une présentation de l’une de ses œuvres les plus remarquables. Chaque texte est accompagné du portrait de l’auteur et de la couverture de son livre.

Douze femmes sont parmi les cent auteurs : Jalila Hafsia, Emna Belhaj Yahia, Nefla Dhahab, Hélé Béji, Aroussia Nalouti, Azza Filali, Jalila Baccar, Nelly Amri, Amel Ben Ammar Elgaïed, Alia Tabaï, Olfa Youssef et Amira Ghenim. La lecture chronologique de la pensée tunisienne, à travers l’histoire, remonte jusqu’au milieu du IIème siècle avec le grand philosophe « Apulée » (Lucius Apuleius) ayant vécu entre 125 et 180 à l’époque carthaginoise, célèbre pour « Les métamorphoses ou l’âne d’or ». Ce roman picaresque serait le premier roman latin à avoir été conservé. Selon certains critiques, Apuléee de Madure serait le père du roman moderne dans le monde méditerranéen et occidendal, indique l’ouvrage. Parmi les auteurs ayant marqué la pensée tunisienne, figure le grand érudit Abderrahmane Ibn Khaldoun (1332-1406) qui est un philosophe, historien, économiste et sociologue arabe, natif de Tunis, à l’époque des Hafsides. Le livre présente son œuvre colossale « Al-Muqaddima » parue en 1377, qui constitue le fondement de la sociologie. «Cent livres tunisiens» prend fin avec le parcours du romancier Moha Harmel, le benjamin de la scène littéraire francophone et lauréat du Comar d’or 2023 pour « Siqal, l’antre de l’ogresse ». D’autres grandes icônes de la littérature, moderne et contemporaine, sont sous la loupe, parmi lesquelles, on cite Abdelaziz Thaâlbi, Mohamed Tahar Ben Achour, Hassan Hosni Abdelwaheb, Tahar Haddad, Abou al–Kacem Chebbi, Ali Douagi, Mohamed El Fadhel ben Achour, Mahmoud Messadi, Béchir Khraïef, Paul Sebag, Albert Memmi, Mohamed Talbi, Taoufik Baccar, Mnaouar Smadeh, Béchir Ben Slama, Mustapha Fersi, Habib Boularès, Hichem Djaït, Jean Fontaine, Ezzedine Madani, Ali Bécheur, Gilbert Naccache, Abdelmajid Charfi, Youssef Seddik, Abdelwaheb Meddeb, Nacer Khémir, Mohamed Ghozzi, Mohamed Habib Selmi, Fethi Ben Slama, Fadhel Jaïbi, Hédi Khélil, Mohamed Sghaïer Ouled Ahmed ainsi que Soufiane Ben Farhat et Hassen Ben Othman qui sont tous deux écrivains-journalistes.

« Mille deux cent cinquante-trois titres, tous genres confondus, ont été consultés par les auteurs, dont le souci de cerner, au-delà des spécificités de leurs époques et de leurs genres respectifs, les lignes de recoupement qui attestent d’une certaine continuité entre ces œuvres à travers l’Histoire, peut-on lire dans l’introduction signée Kamel Ben Ouanès et Chaâbane Harbaoui.

Ouanès et Harbaoui argumentent le choix du groupe d’auteurs porté sur « des œuvres qui s’intéressent au domaine tunisien, ce qui a permis  de saisir les contours de notre histoire socio-politique, notre mode de vie ou l’état de nos mœurs et de capter, dans le même temps, à travers le parcours des auteurs, quelques caractéristiques de nos valeurs communes ». En élaborant cet ouvrage, les auteurs «entendent composer une sorte de mémoire diachronique du livre tunisien et défricher ainsi le terrain pour une nécessaire archéologie de notre production intellectuelle, littéraire et artistique».

Dans leur texte, les deux  universitaires, critique de littéraire (Harbaoui) et de cinéma (Ouanès), mettent en avant l’œuvre d’un groupe d’auteurs à la page, en ce qui concerne l’actualité éditoriale dans le pays et collaborent depuis douze ans avec le site spécialisé dédié au livre tunisien « Lettres tunisiennes», dont ils sont les fondateurs.

Bien que  certains auteurs des œuvres explorées appartiennent à plusieurs époques et soient de cultures différentes, «leur pensée a fondu dans le giron de la nation tunisienne», indiquent les auteurs, dont le contenu s’articule autour d’un noyau névralgique et irréductible qui traverse depuis deux millénaires l’ensemble de notre production intellectuelle».

Les auteurs estiment que « les livres constituent la meilleure passerelle pour revisiter la notion de «Tunisianité, mais la Tunisianité est moins une affaire d’ADN ou de psyché qu’une question de valeurs».

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Vient de paraître – Un nouveau magazine dédié à la traduction

10. Januar 2025 um 17:15

«Eyes of Languages» (Uyūn al-Alsun) est un nouveau magazine trimestriel dédié à la traduction de et vers l’arabe qui sera publié par l’Institut de traduction de Tunis (Itrat) relevant du ministère des Affaires culturelles.

Dans une déclaration exclusive à l’agence TAP, le directeur général, Tawfiq Grira, a annoncé que «le premier numéro de la saison, hiver 2025, de ce magazine, Uyūn al-Alsun, sera bientôt disponible dans la Bibliothèque de l’Itrat, dont l’inauguration est prévue le mardi 21 janvier 2025».

Il s’agit d’un numéro de 196 pages, composé d’une sélection d’extraits de textes couvrant six domaines principaux : la linguistique, la littérature, la philosophie, l’histoire, les arts et les lettres et discussions.

Le magazine sera publié dans les différentes langues traduites par les publications de l’Institut de traduction de Tunis, dont l’arabe, l’anglais, le français, l’italien, l’allemand et l’espagnol. La traduction devra être élargie vers d’autres langues universelles, telles que le chinois et le russe qui seront inclus dans une prochaine étape. «Eyes of languages» est un magazine spécialisé dans la traduction de et vers l’arabe, dont le contenu se compose principalement d’extraits de livres ou d’encyclopédies traduits par l’Institut dont certains ont été déjà publiés et d’autres en cours de publication. Le contenu est accompagné par la version initiale du texte traduit dans sa langue originale.

A cet égard, l’Institut souligne que le magazine adopte une politique qui consiste en le respect du droit de traduction pour les textes publiés. Les droits d’auteur des livres traduits sont détenus par l’Institut qui a le droit à l’exploitation totale de l’ouvrage, sa publication et sa distribution.

Les extraits du premier numéro du Magazine ont été révisés, relus et traduits par une équipe de rédaction qui constitue un comité scientifique consultatif. Le Pr Tawfiq Grira, président et directeur de rédaction du magazine, est entouré d’une équipe de dix Professeurs : Aida Sadiq et Farah Zaeem, avec Fathi Al Miskini, Hisham Al-Masoudi, Mohamed Al Khadhi, Ridha Mami, Fathi Nagah, Khaled Al Haj Ahmed, Rashed Khalia et Wanas Al Hifyan.

Le directeur de la rédaction du magazine s’attarde sur les différentes disciplines contenues dans ce premier numéro: «La Linguistique» qui s’impose comme le pionnier des sciences humaines, «La Littérature», en particulier la Littérature tunisienne qui a embrassé plusieurs langues pour établir des ponts et s’engager avec une variété de cultures, «La Philosophie» qui est la mère des sciences dans l’Antiquité et un domaine d’exploration intellectuelle dans la pensée moderne.

D’après l’éditorial, le magazine opte également pour l’Histoire qui, comme Ibn Khaldoun l’a parfaitement décrit, est principalement «un acte d’observation et d’analyse» et pour les Arts qui sont un nectar raffiné d’expériences culturelles.  Enfin, ce nouveau-né dans le secteur culturel et de l’édition offre, à travers «Lettres et Discussions», une évasion dans l’héritage intellectuel d’éminents écrivains à travers leurs écrits et leurs travaux qui traduisent leurs pensées, leurs émotions et leurs perspectives sur le monde, la vie et l’art.

Eyes of Languages est «un magazine où l’arabe interagit avec d’autres langues. Ils se mélangent harmonieusement, sans aucune crainte de discorde ou de peur de domination. La traduction vers et depuis l’arabe a permis à la langue de s’engager avec des cultures proches et lointaines pendant plus de deux millénaires », peut-on encore lire dans l’éditorial.

L’Institut de Traduction de Tunis a pour objectif principal de promouvoir les cultures nationales, arabes et mondiales. Comme l’a bien souligné Grira dans l’éditorial, «la traduction permet au lecteur d’apprécier les similitudes entre l’écriture textuelle dans une seule langue et traduite dans une autre, de juxtaposer et de contraster deux styles différents…».

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Autour du Stambali à Ennejma Ezzahra : Un voyage musical entre mystique et mémoire

08. Januar 2025 um 17:30

Porté par trois artistes, Salah Ouergli, dernier maître vivant de ce savoir à la fois musical, culturel et spirituel, Khaled Haddad, gardien d’un héritage familial profond, et Mehdi Belhassen, musicien et chercheur, porteur du gougai,  ce projet est présenté comme un lien vivant entre passé et avenir, avec l’ambition de faire résonner cette musique à nouveau à travers le monde.

Le Centre des musiques arabes et méditerranéennes (Cmam)— Palais Ennejma Ezzahra— organise, dans le cadre du deuxième rendez-vous de son nouveau Salon culturel à vocation artistique, «Majales Ennejma Ezzahra», une matinée musicale, le vendredi 10 janvier 2025 consacrée au Stambali.

Animée par le trio «Ganadima Stambali», gardien des secrets du stambali, la manifestation propose un voyage musical entre mystique et mémoire, explorant une tradition en voie de disparition qui tente de reprendre vie en réintégrant le gougai, un violon monocorde d’origine africaine.

Porté par trois artistes, ce projet est présenté comme un lien vivant entre passé et avenir, avec l’ambition de faire résonner cette musique à nouveau à travers le monde.

Enraciné dans la tradition spirituelle du stambali, le trio est composé de Salah Ouergli, dernier maître vivant de ce savoir à la fois musical, culturel et spirituel, Khaled Haddad, gardien d’un héritage familial profond, et Mehdi Belhassen, musicien et chercheur, porteur du gougai, le seul instrument à archet de la famille des vièles utilisé dans la musique stambali, une tradition musicale et rituelle tunisienne d’origine africaine, mêlant musique, danse et pratiques spirituelles, caractérisée par l’utilisation d’instruments, tels que le «gombri», (instrument à trois cordes), considéré l’instrument roi du stambali, celui qui touche les profondeurs de l’âme jusqu’à la transe d’où la spécificité de cet art festif autant que médiatif.

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A l’espace Art et culture Hédi Turki «Génération 70 et leurs invitées»

07. Januar 2025 um 17:30

Une exposition d’arts plastiques qui s’intitule «Génération 70 et leurs invitées» a débuté depuis samedi dernier à l’espace Art et culture Hédi Turki, et se poursuivra jusqu’au jeudi 23 janvier 2025.

Cette première exposition de l’année 2025, dont le vernissage a eu lieu ce samedi 4 janvier, réunit «une collection unique de tableaux qui célèbre la créativité et l’émotion à travers l’art», a annoncé l’espace Hédi Turki, baptisé au nom de l’artiste-plasticien Hédi Turki.

L’exposition est placée sous le commissariat du grand artiste peintre Aly Zenaïdi qui est actif depuis les années 70 dans le cadre d’expositions en Tunisie et à l’étranger.

Dans une déclaration, vendredi, à l’agence TAP, Aly Zenaïdi a présenté une exposition composée d’une sélection de 24 tableaux de 7 artistes peintres dont deux artistes femmes invitées. Il a indiqué sa participation à «Génération 70 et leurs invitées», une exposition regroupant des œuvres d’artistes comme «Fathi Ben Zakkour, le benjamin de l’Ecole de Tunis, Sylvain Monteleone, un des derniers peintres italiens de Tunisie, ainsi que les artistes autodidactes Ezzine Harbaoui et Nejib Rokbani».

Les invitées de «Génération 70» sont Aida Kchaou, artiste plasticienne activiste pour les causes environnementales basée à Sfax, et Amel Kebaïli, artiste plasticienne autodidacte basée à Korba, au Cap Bon. Elles appartiennent aux générations suivantes des années 70.

Selon Aly Zenaïdi, l’exposition permet « la rencontre des générations avec pour objectif de rapprocher les artistes des années 70 de ceux des générations suivantes», indiquant que la plupart des œuvres sont réalisées sur de la toile et chacun des artistes est reconnaissable à son style.

Le commissaire de l’exposition présente une collection de tableaux qui « donne une idée sur la peinture des années 70 qui est assez importante ». Il qualifie une peinture « issue des élèves des professeurs rebelles dans leur style de peinture qui tranche avec la tradition liée à l’Ecole de Tunis…».

Cette première exposition devra être suivie d’une autre, avec l’ambition de faire connaître l’œuvre des artistes des années 70, a fait savoir le Commissaire de l’exposition. Son souci est de rassembler un plus grand nombre d’artistes de la génération 70 qui sont peu connus du grand public.

Depuis ses débuts au milieu des années 70, Aly Zenaïdi continue son épopée d’un plasticien habité par la couleur et les lumières d’une ville multiculturelle et multiethnique qui a tant inspiré les artistes, les écrivains et les cinéastes, Tunis et sa Médina classée au patrimoine mondial de l’Unesco.

Le plasticien est un ancien universitaire qui continue d’innover et d’élargir sa collection d’œuvres. Après avoir été enseignant d’éducation plastique au lycée, il avait intégré l’Ecole des beaux-arts de Tunis en tant que professeur de dessin analytique puis l’Institut supérieur d’animation pour la jeunesse et la culture, Bir El Bey, où il a enseigné les arts plastiques. Artiste novateur de la scène plastique tunisienne, Aly Zenaïdi continue de suivre la même démarche d’un parcours singulier entamé il y a cinquante ans.

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