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Heute — 10. November 2024Haupt-Feeds

Cap sur l’investissement

10. November 2024 um 10:00

Considéré, à juste titre, comme étant le catalyseur de toute œuvre de développement digne de ce nom, l’investissement, qui représente une tête de pont pour l’amélioration de la compétitivité de la dynamique économique nationale, bénéficie d’un intérêt majeur de la part du gouvernement sur directives du Président de la République.

C’est ce qui ressort de la Déclaration générale du gouvernement, prononcée par son chef devant les élus de la Nation, concernant les différents projets de loi de finances et de budget économique pour l’exercice 2025, tout en assurant que tout sera mis en œuvre pour une révision du système législatif régissant l’investissement dans le but de surmonter les entraves au développement de l’initiative privée et faciliter l’exécution des projets prometteurs dans les domaines stratégiques.

Pour hâter la réalisation de ces objectifs, les différents mécanismes gouvernementaux envisagent la numérisation des services administratifs en rapport avec les investisseurs, sans oublier la mise en place d’une plateforme nationale unifiée d’investissement et le lancement d’un portail pour l’identification des financements en étroite coopération avec le Conseil financier et bancaire.

Si on ajoute qu’au cours de la même année 2025, une carte d’investissement sera créée pour chaque secteur d’activité, en vue de garantir la répartition équilibrée des mégaprojets d’investissement, on comprend mieux que les perspectives s’annoncent positives, surtout s’il y a une meilleure affectation des compétences humaines et des ressources naturelles.

Le domaine agricole bénéficiera, également, d’une sollicitude particulière grâce aux efforts qui seront axés sur la révision du modèle agricole en vue de l’adapter aux exigences de durabilité et de résilience au changement climatique, tout en garantissant une meilleure gestion des ressources en eau.

Il faut dire que les autorités compétentes sont conscientes de l’importance de ce volet, puisque dès le milieu de l’année 2024, une nouvelle commission nationale relevant de l’Instance tunisienne de l’investissement (TIA) a été instituée avec pour mission d’examiner les subventions accordées aux projets dépassant les 15 millions de dinars (MD) d’investissement, et de superviser l’extension et la rénovation des projets concernés par la loi de l’investissement établissant les mesures financières incitatives pour la réalisation des mégaprojets.

En tout état de cause, il est certain que notre pays dispose des potentialités nécessaires pour attirer l’investissement qui constitue un puissant levier de croissance sur lequel compte la Tunisie pour passer, une fois pour toutes, au palier supérieur.

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Un des dossiers clés de la Tunisie nouvelle : Une justice équitable et à une seule vitesse

08. November 2024 um 14:03

Le secteur de la justice est l’un des dossiers brûlants bénéficiant d’un suivi quotidien de la part du Président de la République qui se penche personnellement sur ce volet essentiel à la gestion des affaires de l’Etat, notamment en matière d’assainissement de l’administration et de lutte contre la corruption.

Raison de plus, en cette nouvelle phase de l’histoire de la Tunisie où le Chef de l’Etat a clairement annoncé et réitéré sa détermination à ce que la justice joue pleinement son rôle qualifié de “crucial” pour faire rendre des comptes à tous ceux qui se sont rendus responsables d’actes préjudiciables envers le peuple tunisien.

C’est ce qu’a tenu à mettre en relief le Chef de l’Etat, il y a à peine deux jours en recevant la ministre de la Justice. «La justice doit être équitable pour tous, a-t-il martelé en substance, dans le sens où il s’agit d’un des piliers essentiels de l’État et qui permet à tout un chacun de bénéficier pleinement de ses droits ».  

Outre cet aspect primordial, le Président Kaïs Saïed a mis l’accent sur la nécessité de s’éloigner des lenteurs et autres lourdeurs dans le traitement des nombreuses affaires devant être tranchées dans des délais raisonnables, «car le temps judiciaire est un élément central pour atteindre la justice souhaitée».

Il est utile de souligner que certaines parties recourent à l’obligation de respecter les procédures et exploitent ce principe, devenu un prétexte notoire pour faire traîner en longueur le déroulement de certains procès.

Or, sur ce point précis, le Chef de l’Etat a été clair et catégorique en rappelant que les procédures sont «mises en place car elles sont nécessaires pour garantir, certes, un procès équitable, sans devenir, toutefois, une fin en soi, ni une excuse pour laisser ”dormir“ des dossiers pendant des années».

Il faut rappeler que ce n’est pas la première fois que le Président de la République met en exergue les vertus de ce qu’on appelle le «temps judiciaire».

En effet, lors de son entretien avec la ministre de la Justice, au début du mois d’août dernier, le Chef de l’Etat avait déjà déclaré haut et fort que «le temps judiciaire fait partie intégrante de la justice et, de ce fait, il est appelé à être appliqué équitablement à tous».

Et tout en réaffirmant le rôle central du ministère public dans le processus de l’engagement de poursuites contre toute personne enfreignant la loi, le Président de la République a souligné l’impératif de résoudre, dans les meilleurs délais, bon nombre d’affaires qui font du surplace depuis des années….

Il y a lieu de reconnaître que le Président Kaïs Saïed a, dès les premiers mois ayant suivi le déclenchement du processus du 25 juillet 2021, fait savoir que la Justice devrait être assainie dans la mesure où la logique indique qu’il ne peut y avoir d’éradication de la corruption et qu’on ne peut mettre un terme aux abus et autres dépassements de la loi qu’après l’assainissement total de la Justice.

On constate, à ce propos, que lors des dernières années, il y a eu des reports «prémédités et injustifiés» pour l’ouverture des dossiers, pourtant prêts à être instruits, d’où la volonté affichée par le Chef de l’Etat d’empêcher la réédition de pareilles situations. 

En outre, et dans un souci d’équité, le Président Kaïs Saïed considère qu’il est inadmissible de tolérer une justice à deux vitesses, à savoir une pour les pauvres, et une autre pour les riches. 

En tout état de cause, tous les citoyens sont égaux devant la Justice indépendamment de leur rang professionnel ou social, ce qui devrait, à n’en point douter, contribuer à la préservation de la paix sociale dans la mesure où tous les citoyens, où qu’ils se trouvent, sont persuadés que personne n’est au-dessus de la loi et que chacun est traité selon ce qu’il fait, non selon qui il est.

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La guerre de libération, un devoir sacré

07. November 2024 um 10:00

 

La lutte contre la corruption, les pénuries artificielles, l’envolée des prix, la spéculation et la rareté de certaines denrées alimentaires, notamment celles de consommation de base, est au centre des intérêts du Chef de l’Etat depuis des mois, voire les dernières années.

Et fidèle à son approche prônant l’efficacité dans les interventions, le Président de la République ne rate aucune occasion pour confirmer qu’il demeure un adepte du principe du suivi pour toutes les décisions prises afin de leur assurer l’application et la concrétisation adéquates.

C’est donc dans cet esprit que le Président Kaïs Saïed a mis de nouveau, en présidant il y a deux jours la réunion du Conseil de sécurité nationale, l’accent sur la nécessité de maintenir la sollicitude spéciale à ces dossiers brûlants qui touchent de très près les citoyens dans leur vie quotidienne. 

En effet, le Chef de l’Etat est allé jusqu’à dire, logiquement, que cette affaire constitue un devoir national sacré dans la mesure où toutes les Tunisiennes et tous les Tunisiens se trouvent dans l’obligation de mener une guerre sans relâche contre ce phénomène de la corruption avec la conviction que le pays est face à un défi qu’il faut relever et se trouve engagé dans une bataille qu’il doit remporter.

Le Président de la République a saisi cette opportunité pour rappeler l’ampleur des attentes du peuple tunisien, ce qui exige des interventions efficaces dans les plus brefs délais pour transformer les promesses et les espoirs en réalisations sur le terrain. 

Pour ce faire, il est logique d’opter pour des actions conformément à une nouvelle vision en employant des méthodes nouvelles de nature à en finir, une fois pour toutes, avec les pratiques du passé et couper à la racine les tentacules des lobbies qui ont pu gangréner, une décennie durant, les divers rouages de l’Etat. D’où le devoir de réclamer des redditions de comptes aux criminels qui portent préjudice à la patrie.

Il est utile de rappeler qu’il y a trois mois, presque jour pour jour, le Chef de l’Etat avait présidé un autre Conseil de sécurité nationale au cours duquel il a accusé, en substance, «les forces contre-révolutionnaires» d’agir, à travers des mercenaires, contre le peuple tunisien et son mouvement de libération nationale et de tenter d’envenimer la situation par tous les moyens.

D’ailleurs, le Chef de l’Etat n’a pas manqué de recommander, lors de cette réunion, de faire preuve d’une plus grande vigilance et de célérité face aux actes de sabotage délibérés dont nombre de leurs auteurs ont été appréhendés, sans oublier la dénonciation de certaines manœuvres avec des hausses inexpliquées et  inacceptables des prix ou encore le retrait surprenant d’un certain nombre de produits alimentaires du marché…

Ainsi et en tout état de cause, nous nous trouvons dans une dynamique positive avec une lutte tous azimuts contre les pratiques illégales menées par des forces occultes qui agissent contre les réussites de la Tunisie nouvelle.

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Développement économique en Tunisie : L’approche des «corridors» pour l’égalité des chances entre les régions

04. November 2024 um 11:52

 

Le développement socioéconomique en Tunisie doit être marqué, selon la nouvelle vision prônée par le Président de la République et selon son projet à appliquer dans la Tunisie nouvelle, par une approche sociale propre au pays sans chercher à importer un nouveau modèle calqué sur un de ceux en vigueur dans certains pays étrangers.

C’est l’affirmation annoncée et réitérée par le Président Kaïs Saïed, notamment, après sa réélection pour un second mandat à la tête de l’Etat, dans le sens où il a répété que notre pays n’a pas besoin d’un nouveau type de développement, mais plutôt d’un développement durable et global touchant toutes les régions et impliquant toutes les Tunisiennes et tous les Tunisiens où qu’ils se trouvent.

Ainsi, dans un souci de généraliser les actions visant l’amélioration de la qualité de vie à l’échelle régionale, notamment en faveur des zones dites marginalisées ou déshéritées, les autorités compétentes sont en train de mener, sous l’impulsion du Chef de l’Etat, des efforts redoublés pour mettre sur pied de véritables projets de développement économique.

Cherchant à créer les richesses et générer de la croissance, l’Etat opte pour une approche fondée sur l’appui aux «corridors de développement économique» dont celui dit de Nord/Sud et Est/Ouest, comme vient de l’affirmer la ministre de l’équipement et de l’Habitat Sarra Zaâfrani Zenzri.

C’est donc dans cet esprit qu’elle a mis en exergue l’importance du taux de l’état d’avancement des travaux du projet de l’autoroute Tunis/Jelma.

Quant à la lenteur relative enregistrée lors de certaines étapes de réalisation de ce projet, elle est due, selon la ministre, à la nature des études d’exécution exigeant des technologies avancées  auxquelles on a eu recours pour la première fois en Tunisie.

La phase actuelle du projet a pour objectif, toujours selon la ministre, la réalisation du corridor économique Est/Ouest qui comporte notamment le doublement de la route nationale reliant Sfax à Kasserine en passant par Kairouan et Sidi Bouzid.

Ce qui met encore du baume au cœur est que d’autres importants projets sont mis en chantier et annoncés par la ministre. On citera, plus particulièrement, la route nationale 15 reliant Kasserine à Gabès, la route nationale 16, la route nationale 3 et la route expresse reliant Boussalem aux frontières algériennes, actuellement en phase d’appel d’offres.

Mettant à l’index les entraves qu’il faut éviter, la responsable a révélé que le blocage au niveau de la réalisation de la route régionale n°27 reliant Nabeul et Kélibia s’explique par la non-régularisation de la situation foncière avant le démarrage du projet ainsi que par les problèmes engendrés par les opérateurs publics, plus précisément, notamment,  la Steg, la Sonede et Tunisie Télécom.

Il est convenable de souligner que dans la région du Nord-Ouest du pays, le paysage industriel est composé de nombreuses petites filières dominées par celles de l’agroalimentaire, l’exploitation des carrières et la transformation des produits de carrières, les matériaux de construction, le textile-habillement et le secteur du cuir et de la chaussure.

Par contre, l’agriculture peut être encore développée dans la mesure où elle dispose d’une abondante quantité d’eau grâce au climat et aux différents barrages.

D’autres points forts de la région dont celles d’ordre infrastructurel et de logistique grâce à un réseau routier axé sur l’autoroute reliant Tunis à Oued Zarga, la présence d’un aéroport international à Tabarka, la disponibilité de zones industrielles dans plusieurs localités, la proximité de l’Algérie sans oublier une gestion rationnelle des écosystèmes dont le reboisement de la forêt et un réseau institutionnel attentif aux besoins des entreprises.

En tout état de cause, l’Etat est déterminé à mener la nouvelle Tunisie à bon port tout en préservant l’équité et l’égalité des chances pour toutes les régions en vue de connaître un processus de développement où le social l’emporte à tous les niveaux.

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