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Gestern — 13. Juni 2025La Presse de Tunisie

Vers un nouveau plan sanitaire 2026-2030 centré sur les besoins régionaux

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 22:30

L’élaboration d’un nouveau plan de développement sanitaire pour la période 2026-2030, fondé sur les besoins des régions, a été au centre d’une séance de travail tenue ce vendredi au siège du ministère de la Santé. Y ont participé des représentants du ministère de l’Économie et de la Planification, ainsi que les directeurs régionaux de la santé, connectés par visioconférence.
Selon le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, ce nouveau plan visera à garantir le droit des citoyens à un accès équitable aux soins de santé dans toutes les régions, conformément à la vision du Président de la République, indique un communiqué du ministère.
Ce plan prévoit notamment de renforcer la prévention et la sécurité sanitaire, d’améliorer l’accès équitable et sécurisé aux services de santé, de garantir une couverture sanitaire universelle, d’accélérer la transformation numérique du secteur et de faire de la santé un levier de développement économique et social.

Tunisair annule son vol Tunis-Orly-Tunis

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 21:43

Tunisair annonce l’annulation des vols TU723 et TU722 (Tunis – Orly – Tunis) ce vendredi 13 juin, en raison de prévisions de violents orages en fin de journée en France, particulièrement dans la région parisienne.
Les autorités aériennes françaises ont prévu d’importantes perturbations dans les aéroports de Paris-Orly (ORY) et Paris-Charles de Gaulle (CDG). Elles ont demandé aux compagnies aériennes de réduire de 20 % leur programme de vols à Paris-Orly entre 16h00 et 22h00 UTC.
En conséquence, Tunisair informe que tous les passagers concernés par l’annulation seront automatiquement reprogrammés sur les vols suivants, prévus le 14 juin 2025 : TU2722 (Tunis – Orly) à 02h00 UTC, ainsi que TU724 à 16h45 UTC et TU2723 à 05h20 UTC (Orly – Tunis).
La compagnie invite les voyageurs à vérifier régulièrement le statut de leurs vols et à suivre les informations diffusées par ses canaux officiels.

L’Iran abat deux F-35 israéliens et lance une riposte massive

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 21:33

L’Iran a abattu vendredi deux avions militaires israéliens qui survolaient son territoire, a rapporté l’agence de presse Irna.
La défense antiaérienne iranienne a détruit deux avions de chasse israéliens de type F-35 Lightning II, fabriqués par Lockheed Martin, ainsi qu’un grand nombre de micro-drones, selon l’agence de presse Tasnim.
Un peu plus tôt, l’Iran avait annoncé avoir lancé, vendredi soir, des dizaines de missiles contre Israël en riposte aux frappes aériennes israéliennes qui avaient visé, depuis le matin, des positions civiles et militaires sur le sol iranien.
« L’Iran mène une riposte ferme et précise contre des dizaines de cibles, de bases et d’infrastructures militaires du régime israélien », ont indiqué les Gardiens de la révolution dans un communiqué.
La diplomatie iranienne avait, de son côté, qualifié ces attaques de « violation flagrante de la Charte des Nations unies » et « d’agression manifeste contre l’intégrité territoriale et la souveraineté du pays », affirmant que « l’Iran y répondra par tous les moyens nécessaires ».

L’Iran annonce le lancement de dizaines de missiles balistiques contre des cibles sionistes

13. Juni 2025 um 21:22

L’Iran a annoncé ce vendredi avoir lancé des dizaines de missiles balistiques contre des cibles sionistes, en riposte aux attaques menées à l’aube par l’entité sioniste contre son territoire.
Des sources médiatiques ont indiqué qu’« une salve de missiles iraniens a été tirée vers des cibles sionistes, ce qui a poussé l’entité sioniste à élever son niveau d’alerte au maximum ».
Par ailleurs, le système de défense aérienne de la ville de Téhéran a réussi à intercepter et à détruire avec succès les projectiles hostiles lancés par les forces sionistes dans le ciel de la capitale, selon les mêmes sources.
Ces affrontements aériens ont eu lieu dans les régions centrales et méridionales de Téhéran, où les forces de défense aérienne iraniennes ont réussi à neutraliser tous les projectiles tirés par les forces d’occupation sionistes.
Les mêmes sources ont ajouté que les forces armées iraniennes « ont rapidement redéployé et activé leurs capacités défensives, parvenant à repousser entièrement l’attaque ».
Dans le même contexte, le porte-parole du comité de gestion des crises de la province iranienne de Qom, Morteza Heidari, a annoncé que la défense aérienne iranienne « a abattu avec succès un drone appartenant à l’entité sioniste après qu’il a violé l’espace aérien au-dessus de la ville de Qom ».
Dans une déclaration à la presse, Heidari a précisé qu’une unité intégrée au système de défense aérienne « a réussi à détecter, suivre et abattre un drone hostile appartenant à l’entité sioniste qui avait pénétré l’espace aérien de la ville », soulignant que « cette réussite reflète le contrôle total des forces armées sur l’espace aérien et leur capacité à défendre la sécurité de la province de Qom ».
Il convient de rappeler que, dans la nuit de jeudi à vendredi, l’entité sioniste a mené une agression contre plusieurs zones de la capitale iranienne, Téhéran. Plusieurs immeubles résidentiels ont été bombardés, entraînant la mort de civils iraniens, ainsi que du commandant en chef des Gardiens de la Révolution islamique, le général Hossein Salami, du chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général Mohammad Bagheri, du parlementaire et ancien président de l’Organisation de l’énergie atomique, Fereydoon Abbasi, et du scientifique nucléaire et président de l’université Azad, Mohammad Mehdi Tehranchi.

L’Iran frappe des cibles en Israël

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 21:13

Les Gardiens de la Révolution iraniens ont annoncé ce jeudi soir avoir mené des frappes contre des dizaines de cibles de l’entité sioniste, en représailles aux attaques menées récemment contre l’Iran.
Selon le communiqué, ces attaques israéliennes seraient parmi « les plus importantes » jamais dirigées contre le territoire iranien.

La Tunisie condamne l’agression contre l’Iran et appelle à une intervention internationale urgente

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 21:00

La Tunisie condamne avec la plus grande fermeté l’agression lâche menée ce matin, 13 juin 2025, contre la République islamique d’Iran par l’entité sioniste, ainsi que la violation flagrante de sa souveraineté et de sa sécurité, en contradiction manifeste avec la Charte des Nations unies et les conventions internationales.
Cet acte dangereux compromet les fondements de la sécurité, de la paix et de la stabilité, non seulement dans la région, mais à l’échelle mondiale.
La Tunisie considère que cette attaque brutale contre l’Iran s’inscrit dans une série continue de crimes et d’agressions perpétrés par l’entité sioniste, illustrant une fois de plus son obstination, son arrogance et sa politique de provocation.
Tout en réaffirmant sa pleine solidarité avec le peuple iranien frère en cette conjoncture critique, la Tunisie renouvelle son appel à la communauté internationale, et en particulier au Conseil de sécurité des Nations unies, pour qu’il intervienne sans délai et avec fermeté afin de mettre un terme aux violations répétées de l’entité sioniste, à ses agissements agressifs et à l’impunité dont elle jouit.

Espérance de Tunis : le jeune Burkinabè Jack Diarra rejoint les sang et or

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 20:53

L’Espérance Sportive de Tunis a annoncé, ce vendredi, la signature d’un contrat de trois ans avec l’international burkinabè Jack Pantoulou Diarra, soit jusqu’au 30 juin 2028.
Selon la page officielle du club sang et or, le jeune ailier de 18 ans est considéré comme l’une des révélations les plus prometteuses du football burkinabè. Formé dans l’un des centres les plus réputés de Ouagadougou, il s’est distingué par ses qualités offensives au sein du club Salitas, attirant l’attention de plusieurs clubs africains, notamment après sa convocation en équipe nationale du Burkina Faso.
L’Espérance de Tunis entamera sa participation à la Coupe du Monde des Clubs le mardi 17 juin, en affrontant le club brésilien Flamengo à partir de 2h00 du matin.

CSS – haut comité de soutien : Le casse-tête

13. Juni 2025 um 19:30

Le CSS est encore à la recherche d’une nouvelle équipe dirigeante.

La Presse — Les temps ont bigrement changé. Auparavant, pour prendre les rênes du prestigieux club de la capitale du Sud, on faisait la queue et on se bousculait au portillon. Aujourd’hui, on se fait longuement prier pour avoir l’honneur de cette distinction. Le CSS n’est plus ce club riche qui fait couler la salive et qui attire  les convoitises. Il est devenu une montagne de difficultés et un fardeau effrayant lourd à porter. La faute à qui ? C’est justement la question que veut esquiver pour le moment le Haut comité en attendant de  trouver une nouvelle direction capable de gérer cet héritage. 

Une guerre de clans  

Sa première réunion de dimanche dernier n’a pas débouché sur un compromis entre deux camps, voire deux clans qui ont passé des heures à se renvoyer l’ascenseur de la mauvaise gouvernance au lieu d’assumer chacun sa part de responsabilité. 

Au lieu d’un débat serein et fructueux, les échos ont fait état d’échanges très vifs, voire houleux.  Autour de la table, ils n’étaient pas nombreux à venir affronter la dure réalité et à apporter des solutions rapides et concrètes. Chacun des deux clans a cherché à défendre son bilan. 

Jawhar Lâadhar a parlé au nom du dernier comité élu poussé à la sortie pour critiquer vertement la méthode du comité de direction provisoire actuel de Mahdi Frikha qui, selon lui, «est allé trop loin en faisant un déballage public de la cuisine du club qui aurait dû rester interne et ne pas dépasser les murs de la salle de réunion».

Ce dernier,  tout en tenant à préciser qu’il n’a jamais cherché à «régler publiquement ses comptes avec ceux qui l’ont précédé», a crânement défendu sa politique «de transparence dans la gestion administrative et financière du club pour que tout soit clair aux yeux des supporteurs», avant de finir par se féliciter pour «cet état des lieux auquel il a procédé durant les trois mois de son mandat écoulé et qui constitue un bon point de départ pour la politique d’assainissement de la situation financière».  

Cohabitation entre le provisoire et le flou  

Bien entendu, une pareille tension dans le camp des Noir et Blanc ne peut que laisser la porte ouverte à toutes les options. Face à ces divergences qui ont pris l’ampleur de divisions profondes, le Haut comité de soutien présidé par Mohamed Aloulou s’est donné une semaine pour trancher. Soit reconduire le comité directeur provisoire de Mahdi Frikha ou désigner une autre équipe. Tout est donc en suspens à moins d’une semaine de reprise des entraînements. 

Le nom du futur entraîneur qui va remplacer Lassaâd Dridi n’est pas encore connu même si on dit que Mohamed Kouki est dans la salle d’attente et que la piste Anis Boujelbène n’est pas définitivement écartée. Les nouvelles recrues qui ont été déjà ciblées par une commission technique  pourraient connaître le même sort que celui de l’attaquant de l’ESZ Younès Rached, longtemps pressenti au CSS avant de changer de direction et de signer avec l’Espérance.

Pendant cette période de flou total, les décisions sur des litiges en cours continuent de tomber et s’ajoutent à la liste de ceux qui attendent d’être réglés. Wadhah Zaïdi a obtenu un jugement en sa faveur pour un montant de 261 mille dinars, Amen Allah Habboubi pour un montant de 164 mille dinars et Pedro S. pour un montant de 130 mille euros. Et ça ne fait que commencer.

Le CSS a besoin d’un premier fonds de 3,5 millions de dinars pour le déblocage de la situation et l’entame des premiers préparatifs de la saison. On aurait aimé être autant optimiste que le président du Haut comité de soutien Mohamed Aloulou qui s’est empressé de déclarer que «le problème du CSS n’a jamais été une question d’argent et qu’il faut seulement savoir aller le chercher là où il se trouve au bon moment» mais il faut reconnaître que c’est loin d’être le cas et que la cohabitation du provisoire avec le flou va durer encore pour quelque temps avant de parler et d’espérer une vraie sortie du bout du tunnel. 

ESS – Come-back de Lassaad Dridi quatre ans après : Son premier passage plaide pour lui…

13. Juni 2025 um 19:20

Un coach apprécié dans le giron étoilé et qui ne risque pas de mettre du temps pour imposer sa discipline et sa philosophie de jeu aux joueurs en place. Il en connaît certains qu’il a déjà coachés à l’instar de Boughattas, Naouali et Ghedamsi.

La Presse — L’Etoile du Sahel continue d’avancer ses pions en vue de la saison prochaine et ses nouveaux défis. C’est que de la qualité de l’intersaison dépendent souvent les performances de la saison qui suit. Que ce soit en termes de joueurs ou de coach. Pourtant interdite de recrutement, les dirigeants actuels de l’Etoile n’ont pas hésité à changer le staff technique.

Mohamed Mkacher, qui a sauvé les meubles, n’en a pas moins payé le prix d’une fin de saison poussive, en manquant certes de réussite. C’est donc officieux en attendant d’être officiel, avec le retour de Lassâad Dridi, qui a laissé une bonne impression lors de son passage en 2021, récoltant une moyenne de 1,88 point par match sur un total de 34 rencontres entre championnat de Tunisie et Coupe de la CAF. 

Lassâad Dridi a eu l’effet escompté en s’imposant sur le banc du CSS, lors du match crucial à Sousse. Il a remporté la bataille technique face à son devancier Mohamed Mkacher. Mais Mkacher a eu le mérite de trouver un compromis dans l’intérêt de l’Étoile en prenant les rênes du club et se faire rembourser quelques dus au passage.

Sans rage, ni tapage…

Sans rage et sans faire du tapage, l’Etoile est très active dans les coulisses. Le club assure l’intersaison de la meilleure manière qui soit. Avec les réalités de ses finances exsangues, mais aussi ses ambitions sur le plan sportif avec la promesse, en plus de la participation en Coupe de la CAF, à celle de la Coupe arabe des clubs.

Sans faire de bruit et dans le silence des palais, l’ESS continue de faire preuve de rigueur dans son tableau de marche, afin de sortir la tête de l’eau des dettes qui se sont amoncelées et cumulées par le passé. “A cœur vaillant, rien n’est impossible”, dit l’adage et c’est ce qui semble armer les Etoilistes les plus irréductibles et fans de la Maison Rouge.

Mercato : Le RC Lens sur Belhadj Mahmoud

13. Juni 2025 um 19:10

Coté 5 millions d’euros, le joueur est aussi sous les radars de clubs croates et turcs.

La Presse — Le milieu offensif tunisien, Mohamed Belhadj Mahmoud, est dans le viseur du RC Lens. En dépit du fait que les « Sang et Or » n’ont pas réussi à accrocher le wagon européen, ils tentent cependant de se renforcer afin de retrouver à terme une certaine visibilité et pourquoi pas rééditer les performances de la saison 2022-2023 où les Lensois ont fini 2es de Ligue 1 derrière le PSG.

Le club artésien prépare donc sa mue et piste Mohamed Belhadj Mahmoud comme première recrue, joueur que le RCL a supervisé à plusieurs reprises la saison écoulée. Agé de 25 ans, le n°10 du FC Lugano est sous contrat jusqu’en  juin 2026, mais cela ne décourage pas les Lensois. Avec 41 matchs joués la saison dernière, toutes compétitions confondues, dont 29 en tant que titulaire, Belhadj Mahmoud constitue une cible de choix. Toujours la saison dernière, il a signé 10 buts et s’est fendu de plusieurs assists. Sur le marché, le joueur qui est aussi sous les radars de clubs croates et turcs, est coté 5 millions d’euros.

L’USM piste Aimé Tendeng

Révélation du championnat soudanais depuis son arrivée à Al Hilal Omdurman en été 2024, le milieu sénégalais, Aimé Tendeng, 24 ans, est actuellement dans les pensées des Bleus de Monastir. En effet, outre l’intérêt de clubs portugais, le récupérateur d’Al Hilal, capable d’apporter de la verticalité dans le jeu, est surtout pisté par le club du Ribat qui aurait priorisé cet éventuel recrutement. Cependant, outre des pistes au Portugal, l’USM devra aussi faire face à la concurrence des  Young Africans et Azam de Tanzanie.

Ben Ouanes rempile

Mortadha Ben Ouanes n’est pas prêt à quitter la Turquie. Brillant avec Kasimpasa, l’ex-Etoilé a été prolongé de deux saisons supplémentaires. Le club classé 10e de la Süper Lig la saison passée, garde donc son ailier tunisien de 30 ans, buteur à 5 reprises en 32 rencontres disputées sans oublier les cinq passes décisives délivrées. Ben Ouanes sera ainsi à Kasimpasa jusqu’en été 2027. Par le passé, Bon Ouanes a évolué à l’ESS, à l’USM et au CAB. 

Haboubi au Luxembourg

Après avoir résilié son engagement avec le Club Sportif Sfaxien suite à une plainte auprès de la commission des litiges, Amine Allah Haboubi a opté pour le FC Differdange 03 du Luxembourg, formation championne de BGL Ligue et qualifié pour  le tour préliminaire de la Ligue des champions. Le désormais ex-joueur du CSS, 23 ans et passé aussi par l’OB, a signé un contrat d’une saison. 

Farhati discute avec le ST

Alors que coach Chokri Khatoui devrait rester au Stade Tunisien, le club du Bardo avance aussi sur certaines pistes en prévision du mercato. Aux dernières nouvelles, le gardien de l’USBG, Noureddine Farhati, libre de droit en fin de mois après la fin de son engagement, débarquerait au ST. Produit du CA, Farhati, 24 ans, a aussi porté la casaque de l’USM par le passé. 

Le FC Bâle insiste pour Ayari

Le Stade Brestois et le RC Strasbourg devront faire face à la concurrence du FC Bâle dans le dossier menant à la jeune pépite stadiste, Khalil Ayari. En effet, le jeune attaquant international de 20 ans, a vu le club suisse du FC Bâle entrer en action et prêt à formuler une offre conséquente. Cependant, le ST ne laissera pas partir son joueur à moins de mettre 3.400.000 dinars sur la table !

Performance de Abdessalem Ayouni à Prague : L’athlétisme tunisien frémit

13. Juni 2025 um 19:00

Abdessalem Ayouni frappe fort avec un nouveau record personnel en 1.500 m en 3’36’’97

La Presse— Le même Ayouni classé troisième mais qui enregistre son meilleur temps sur 800 m en 1’45’’50, Maroua Bouzaeyane qui enlève le 3.000 m steeple en 9’14’’90 (nouveau record) en Pologne, la 3e place de Riadh Chnini sur 800 m en 1’50’’66 et les bonnes sorties de Jehnaoui (8’10’’59) et de Jaziri (8’18’’00) sur 3.000 m steeple.

Des résultats qui annoncent un bon début de saison pour la majorité de nos athlètes qui s’illustrent et font des efforts pour se classer très honorablement.  L’athlétisme est une discipline sportive dans laquelle  on arrive à un stade où il est difficile de grignoter ne serait-ce qu’un centième de seconde. Mais à chaque sortie, on ressent que les athlètes, filles ou garçons, font des efforts.

Le travail foncier de préparation hivernale semble avoir porté ses fruits. Les jeunes progressent. Les uns sont encore dans l’attente de la performance qui les remet mentalement en selle, les autres qui entrevoient des signes qui ne trompent pas.
Notre athlétisme frémit.    

Ça avance

Nous n’avons pas encore mis la main sur un médaillé olympique potentiel, mais les choses avancent. Il y a de la qualité, mais pas assez pour passer de statut de bon coureur à celui de coureur à objectif défini. Ce n’est pas toujours facile. Il y a des athlètes qui répètent leurs performances, mais qui n’arrivent pas à se hisser au rang de favoris.  Pourtant, à chaque sortie, il grignotent des centièmes sinon des secondes. 


Il y a toujours des explications techniques à cela. Il peut s’agir de milieu ambiant, comme du niveau du personnel d’encadrement. Cela tient, en effet, à des passages d’obstacles, à l’habillement, comme à des erreurs de positionnement commises dans l’appréciation des adversaires du jour. Une question délicate qu’il faudrait examiner et élucider pour libérer toutes les potentialités de l’athlète.

Si nous ajoutons la médaille d’or et le nouveau record de Tunisie pour Jamila Boulakbeche (cette nageuse aurait dû être prise en charge beaucoup plus tôt), à l’épreuve du 1.500 NL au meeting de la Liberté  à Caen en bassin de 50 m.  La confirmation de Firas Kattoussi en taekwondo qui conserve sa première place au classement mondial, les sports individuels permettent au sport tunisien d’accéder aux différents podiums de par le monde.  

Ce n’est nullement une sensation. Mais bien une confirmation qui appelle des investissements.

Faux diplômes à Tunisair : l’audience de l’ex-PDG et du syndicaliste reportée

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 18:56

La chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis a décidé ce vendredi de reporter au 11 juillet 2025 l’audience du procès impliquant Khaled Chelly, ancien président-directeur général de la compagnie aérienne nationale Tunisair, ainsi que Najmeddine Mzoughi, secrétaire général du syndicat de la même entreprise, aux côtés de cinq autres prévenus.
Tous les accusés comparaissent en état de liberté. Le report a été demandé par le ministère public, afin de permettre la convocation de certains accusés n’ayant pas encore comparu.
L’affaire porte sur des accusations de falsification et de falsification de diplômes et certificats universitaires au profit de certains employés de Tunisair. Une source judiciaire a confirmé à Diwan FM que le dossier concerne plusieurs agents administratifs et techniques de la compagnie.

Collision entre deux camions à Nabeul

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 18:50

Un grave accident de la route s’est produit ce vendredi matin au niveau du carrefour du village d’Om Dhouil Zawia, dans la délégation d’El Mida, gouvernorat de Nabeul.
Selon les premières informations, l’accident résulte d’une collision violente entre deux camions, provoquant des blessures chez cinq personnes. L’un des blessés se trouve dans un état critique, tandis que les quatre autres présentent des blessures de gravité variable.
Alertées, les unités de la protection civile sont rapidement intervenues sur les lieux pour porter assistance aux victimes. Tous les blessés ont été évacués en urgence vers l’hôpital régional de Menzel Temime afin de recevoir les soins nécessaires.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de l’accident.

Judo – Championnat du monde des seniors à partir d’aujourd’hui : Des attentes …

13. Juni 2025 um 18:50

Cinq judokas tunisiens portent nos espoirs.

La Presse — Trois judokates : Oumaïma El Beddoui (moins de 48 kg), Arij Okab (moins de 78 kg) et Souar Dhawadi (78 kg) et côté messieurs, Alaa Eddine Ben Chelbi (moins de 73 kg) et Koussay Ben Gharss (moins de 100 kg), prendront part à partir d’aujourd’hui dans la capitale hongroise, Budapest, au Championnat du monde des seniors dont les compétitions se dérouleront à partir d’aujourd’hui et jusqu’au au 19 juin 2025.

Ce Mondial réunira 563 athlètes représentant 93 pays.

Une rampe de lancement ? 

La Tunisie a un passé avec le mondial de Judo. Elle  a remporté quatre médailles tout au long de ses participations: une médaille d’or, décrochée par Anis Lounifi lors du Mondial de Munich (Allemagne) en 2001.

Trois médailles de bronze enlevées par Houda Mellad au Mondial de Rotterdam (Pays-Bas) en 2009, par Fayçal Ben Jeballah au Mondial de Rio de Janeiro (Brésil) en 2013, et par Nihal Cheikh Rouhou au Mondial toutes catégories à Marrakech (Maroc) en 2017. Mais nous demeurons dans l’attente d’une nouvelle génération qui pourra nous rappeler ces champions.

Des jeunes sont certes en train de percer, mais il leur reste bien du chemin à faire. Le judo est une discipline qui exige une grande endurance et surtout une longue patience au travail où la technique et l’assurance l’emportent sur bien d’autres contingences.

La multiplication des tournois et de confrontations avec des vis-à-vis de qualité est primordiale. C’est la raison pour laquelle on doit trancher en faveur de choix qui pourraient pousser vers  le haut nos meilleurs représentants filles ou garçons.

Ce Mondial de Budapest sera-t-il la rampe de lancement de cette élite ?

Nous le saurons dans quelques jours.

Caravane Soumoud : La Coordination appelle à un sit-in de soutien samedi

Von: La Presse
13. Juni 2025 um 18:42

La Coordination de l’action commune pour la Palestine a lancé un appel à un sit-in ce samedi devant le Théâtre municipal de Tunis, afin de réaffirmer les objectifs de la Caravane de la Résilience “Soumoud”, actuellement en route vers Gaza.
Dans une vidéo publiée sur la page Facebook officielle de la Coordination, Mourad Ben Jeddou, l’un de ses membres, a appelé à organiser des actions similaires à travers les régions du pays, en soutien à la cause palestinienne et aux objectifs de la caravane : briser le blocus imposé à la bande de Gaza, condamner le génocide en cours, et soutenir les droits du peuple palestinien.
“Ces rassemblements visent à renforcer la Caravane de la Résistance dans sa tentative de lever le siège imposé à Gaza, un objectif partagé par les défenseurs de la liberté à travers le monde”, a affirmé Ben Jeddou.
La Coordination souhaite également, à travers ce sit-in, répondre aux campagnes de dénigrement qu’elle juge politiques et médiatiques, dirigées contre la caravane et ses membres, ainsi qu’aux menaces proférées par l’occupant israélien. Elle entend aussi exprimer une solidarité totale avec les membres de la Flottille de la Liberté, engagés dans des actions similaires.
Partie de Tunisie le 9 juin en direction de Gaza, la caravane est actuellement bloquée à l’entrée de la ville de Syrte (Libye), depuis jeudi soir. Selon la Coordination, cette interruption intervient à la demande des forces de sécurité et de l’armée relevant des autorités de l’Est libyen, qui exigent une autorisation préalable de Benghazi pour permettre à la caravane de poursuivre son trajet.

Festivals d’été en Tunisie : C’est l’heure du choix

13. Juni 2025 um 18:40

Un festival, ce n’est plus seulement une vitrine : c’est un engagement, un discours, une prise de position culturelle. Carthage, Hammamet, El Jem, Dougga… Tous sont appelés à faire des choix clairs, à parler à des publics différents, mais avec honnêteté et ambition.

La Presse — Avec l’annonce officielle du programme du Festival international de musique symphonique d’El Jem, la présentation de la nouvelle édition du Festival de Dougga, et quelques révélations autour du Festival international de Hammamet, l’été culturel tunisien commence à prendre forme. Ces grands rendez-vous, attendus par un public fidèle et de plus en plus exigeant, doivent désormais répondre à des attentes précises : diversité artistique, audace créative et expériences humaines fortes.

El Jem joue la carte fidélité 

Chaque été, le majestueux Colisée d’El Jem se transforme en temple de la musique classique. Le festival de musique symphonique, ancré dans une tradition d’excellence, attire un public passionné de grandes œuvres orchestrales. Mais la fidélité du public n’exclut pas une demande de renouvellement : un public jeune que le festival devrait penser à séduire assurerait la pérennité du festival et agrandirait son cercle de fidèles. En travaillant encore plus sur le choix des orchestres programmés et en se régénérant avec des propositions  moins conventionnels, des fusions inattendues entre musique savante et rythmes du monde, ou encore des projets inédits capables de faire vibrer l’histoire du lieu avec les préoccupations du présent, El Jem s’ouvrirait sur un public nouveau qui apportera un rayonnement neuf au festival et au lieu.

Le cadre est là, grandiose. Il s’agit désormais d’y faire résonner une musique vivante, émotive, en prise avec le monde.

Dougga : le théâtre du possible

Au cœur des vestiges romains de Dougga, le festival du même nom incarne une autre forme de magie. Ici, le théâtre, la musique, se frottent à la pierre millénaire dans un dialogue entre passé et présent. Ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco impose à lui seul un souffle poétique. Son renouveau depuis trois ans avec une direction artistique nouvelle a fait que le public s’attend aujourd’hui à une programmation forte, capable de conjuguer identité locale et ouverture universelle.

Le Festival de Dougga, par son cadre et sa portée symbolique, est l’un des rares à pouvoir mêler profondeur historique et création contemporaine. Les attentes vont donc vers des spectacles qui ont du fond, du corps, du sens. Et aussi vers des soirées où l’on célèbre la beauté sans oublier la réflexion.

Hammamet : scène de l’audace, de l’émotion et de la cohérence

Le Festival international de Hammamet occupe une place à part. C’est un espace pluridisciplinaire, à la croisée du théâtre, de la musique, de la danse et des formes hybrides. Le public qui s’y rend n’est pas simplement en quête de divertissement ; il cherche un parcours artistique, une ligne directrice claire, des prises de risque assumées.

Les premières annonces ne laissent pas entrevoir l’ADN original du festival : on se la joue sécurité avec des noms connus comme Lotfi Bouchnaq, Saber Rebai, Balti et Wael Jassar. Nous sommes, pour l’instant, loin des créations audacieuses, des artistes à l’identité forte, des voix qui racontent notre époque. Nous restons dans  l’attente de propositions qui appellent au dialogue avec le public et l’invitent à une expérience sensorielle renouvelée aussi bien avec le site qu’avec la scène. 

Plus qu’un spectacle…

une expérience

Au fond, ce que nous attendons de tous ces festivals — qu’ils soient nichés dans des sites antiques, au bord de la mer ou au cœur des villes — c’est plus qu’un programme. Nous appelons à une expérience complète, à la fois esthétique et émotionnelle, un moment qui échappe au quotidien et qui, parfois, le réinvente. 

Dans une société marquée par les tensions, l’inflation et les incertitudes, ces festivals deviennent des bulles de respiration, mais aussi des espaces de rassemblement. Il ne s’agit plus seulement d’“offrir des spectacles”, mais de donner du sens, de provoquer des rencontres, de questionner l’époque.

Dans l’attente fébrile autour de Carthage, une chose est claire : ces événements doivent répondre à une double exigence. Offrir du rêve sans trahir l’époque. Et l’époque, elle, est complexe.

Festival international de Carthage : entre mythe et pression populaire

Symbole parmi les symboles, le Festival international de Carthage est plus qu’un événement culturel : c’est une institution nationale, une scène qui a vu passer les plus grands noms de la musique arabe et internationale. Mais aujourd’hui, alors que le programme reste mystérieux à quelques semaines de l’ouverture, les attentes s’aiguisent, la pression monte.

Carthage est pris dans une tension structurelle : comment remplir les gradins avec des spectacles grand public, tout en maintenant un niveau artistique digne de son prestige? Comment préserver son identité historique et artistique, sans tomber dans la facilité commerciale ou l’élitisme inaccessible ?

Le défi est d’autant plus aigu que le coût des cachets des artistes arabes internationaux a explosé, alors que le pouvoir d’achat du public est en berne. Certains spectacles qui semblaient “naturels” pour la scène de Carthage deviennent inabordables, sauf à sacrifier une part importante du budget du festival. 

Dans ce contexte, la question se pose : comment continuer à faire exister Carthage ? Doit-il changer de modèle économique ? Repenser ses partenariats ? Investir davantage dans les coproductions régionales ou dans des talents tunisiens à fort potentiel de rayonnement ? Peut-être.

Mais une chose est sûre : Carthage ne peut pas se contenter de survivre. Il doit renouer avec une vision, une ligne artistique lisible, capable de rassembler sans niveler, de faire rêver sans trahir.

Quel choix ? 

Aujourd’hui, les festivals d’été ne peuvent plus se contenter d’enchaîner des soirées. Le public tunisien attend une expérience culturelle complète, mais aussi un projet artistique courageux, ancré dans son temps. Un festival, ce n’est plus seulement une vitrine : c’est un engagement, un discours, une prise de position culturelle. 

Carthage, Hammamet, El Jem, Dougga… Tous sont appelés à faire des choix clairs, à parler à des publics différents, mais avec honnêteté et ambition. Dans un monde traversé par l’incertitude, ces festivals sont peut-être les derniers lieux où l’on peut croire encore à la beauté, à l’intelligence collective, à la fête qui rassemble sans exclure.

Exposition personnelle de Michel Giliberti à la galerie Alain Nadaud : Poétiser la vie

13. Juni 2025 um 18:30

« L’enchantement autant que l’abus de couleurs n’est pas matière à m’inspirer. Je n’attache pas davantage d’importance au décor; il ne faut pas qu’il interfère avec mes personnages qui, à eux seuls, doivent créer l’émotion ».

La Presse — Petit-fils de Siciliens, Michel Giliberti est né en Tunisie à Menzel Bourguiba en 1950 où il a vécu avant de s’installer en France en 1961. A l’âge de 12 ans, il copie des œuvres de la Renaissance italienne. A 16 ans, il entre aux Beaux-Arts de Toulon mais quitte les lieux au bout de quelques mois pour se lancer dans l’écriture musicale. Il enregistre trois albums produits entre 1976 et 1981. En 1999, il publie un premier roman qui est le prolongement de son œuvre picturale. Il se passionne également pour la poésie et la musique, deux composantes, pour lui, indissociables de la peinture.

L’artiste est connu en Tunisie et en Europe pour sa peinture figurative, ses toiles sont exposées un peu partout dans le monde, mais aussi pour ses superbes photographies et ses écrits. Il a signé près de 20 ouvrages dont les deux derniers «Fortune de mère et autres petits naufrages» et «Françoise Hardy, les mots d’une vie» publiés en France aux éditions Jacques Flament.  

Une exposition personnelle lui sera consacrée à partir du 12 juin 2025, à la galerie Alain Nadaud (Espace Sadika) où seront réunis ses peintures, photographies et autres dessins réalisés en Tunisie.

Dans ses peintures, l’artiste dit essayer de mettre en avant nos failles, nos désordres et nos fragilités, des thèmes qui l’ont toujours habités. «L’enchantement autant que l’abus de couleurs n’est pas matière à m’inspirer. Je n’attache pas davantage d’importance au décor ; il ne faut pas qu’il interfère avec mes personnages qui, à eux seuls, doivent créer l’émotion», écrit-il

Il peint l’être et le paraître, le dedans et le dehors, la force et la fragilité de l’humanité, son côté charnel et spirituel, cette humanité représentée par ce réceptacle qu’on appelle corps. Et c’est le corps masculin que l’artiste a souvent pris comme sujet ou comme objet plastique. Une virilité à la fois tendue et délicate qu’il figure dans tous ses états, selon différents angles de vue.

Pupilles étincelantes, regard perçant, muscles tendus se détachant d’un fond travaillé en dichotomie, celle de l’ombre et de la lumière qui se disputent l’espace et découpent l’arrière-plan dans une sorte de renvoi à une dualité des choses. 

Dans ses photos, ce qui lui importe le plus est de saisir l’essentiel d’une émotion, de porter un regard poétique, voire lyrique, sur les lieux et surtout les êtres dont il retient l’image, considérant les visages comme porteurs de poésie. 

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