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Tunisie: La Fédération générale de l’enseignement secondaire annonce son boycott de toutes les formes d’évaluation

Von: walid
24. November 2025 um 10:05
Tunisie: La Fédération générale de l’enseignement secondaire annonce son boycott de toutes les formes d’évaluation

La Fédération générale de l’enseignement secondaire a annoncé sa décision de boycotter toutes les formes d’évaluation du deuxième trimestre, incluant les examens oraux, les travaux pratiques, les devoirs classiques et les devoirs de rédaction. Les enseignants organiseront également un sit-in devant le ministère de l’Éducation pendant les vacances du premier trimestre. Cette action s’inscrit dans […]

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Tunisie : La Fédération de l’enseignement secondaire enclenche la protestation

24. November 2025 um 09:14

Les enseignants dénoncent la dégradation de leurs conditions de travail et annoncent un mouvement d’ampleur nationale

La Fédération générale de l’enseignement secondaire (UGTT) a tiré la sonnette d’alarme après sa réunion du 16 novembre 2025 à Tunis. Face à ce qu’elle décrit comme une crise profonde du secteur, l’organisation syndicale accuse le gouvernement de saper le droit syndical et de renoncer à ses engagements. Elle dévoile un plan de mobilisation incluant un rassemblement national et un boycott total des évaluations notées dès le deuxième trimestre.

Un secteur à bout de souffle

Réunie sous la présidence d’Abdallah Euchi, la Fédération affirme que le quotidien des enseignants du secondaire n’a jamais été aussi difficile. Les hausses de prix, jugées « exorbitantes », auraient laminé le pouvoir d’achat des professeurs, déjà fragiles financièrement. Le communiqué dénonce une détérioration accélérée des conditions de travail, illustrée par le manque d’enseignants, l’insuffisance des encadreurs pédagogiques et la vétusté inquiétante de nombreux établissements scolaires, dont certains seraient « menacés d’effondrement ».

Du côté organisationnel, la Fédération accuse les ministères de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports ainsi que les directions régionales de monopoliser la gestion du dossier éducatif, en particulier en matière de mutations et d’affectations du personnel. Elle considère la réforme éducative en cours comme un « slogan populiste » mené sans concertation réelle, au détriment de la qualité de l’enseignement.

Des engagements non tenus

Pour la Fédération, l’exécutif est directement responsable de la crise. Elle l’accuse de vouloir « frapper le droit syndical » en revenant sur plusieurs acquis sociaux obtenus lors d’accords antérieurs avec l’UGTT. Les engagements pris lors des conventions du 9 février 2019 et du 23 mai 2023 seraient restés « lettre morte », malgré des promesses de mise en œuvre.

Les revendications présentées lors du congrès du 1er et 2 octobre 2023 n’ont, elles aussi, reçu aucune réponse concrète. Le syndicat réclame l’ouverture immédiate de négociations « sérieuses et responsables », incluant la revalorisation salariale et l’application de l’augmentation de la prime des charges pédagogiques.

Il exige également que l’accord du 8 juillet 2011 soit retenu comme unique cadre de référence pour la nomination des directeurs et surveillants généraux, ainsi que l’application rétroactive au 1er juillet pour toutes les promotions.

Rassemblement national et boycott des évaluations

Face à l’impasse, la Fédération passe à l’action. Deux initiatives majeures sont annoncées : un rassemblement national devant le ministère de l’Éducation, prévu durant les vacances du premier trimestre et un boycott total des évaluations notées, à partir du deuxième trimestre, comprenant oraux, devoirs surveillés, travaux pratiques et examens de fin de trimestre.

Une décision qui, si elle est maintenue, pourrait perturber profondément le calendrier scolaire et accentuer la tension entre l’UGTT et le gouvernement. La Fédération affirme agir pour « sauver l’école publique » et défend le droit des enseignants à des conditions de travail dignes.

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UGTT : les enseignants du secondaire boycotteront les évaluations dès le 2ᵉ trimestre

23. November 2025 um 22:25
UGTT : les enseignants du secondaire boycotteront les évaluations dès le 2ᵉ trimestre

La Fédération générale de l’enseignement secondaire, réunie le 16 novembre 2025 au siège de l’UGTT, a tiré la sonnette d’alarme quant à la dégradation profonde du secteur éducatif et annoncé une série d’actions protestataires. Dans son communiqué du 23 novembre, elle dénonce l’effritement du pouvoir d’achat des enseignants, la remise en cause des droits syndicaux […]

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Crise éducative : le syndicat des inspecteurs dénonce l’instabilité

Von: walid
17. November 2025 um 13:35

Le syndicat général des inspecteurs de l’enseignement secondaire a exprimé lundi sa profonde inquiétude quant à la situation générale de l’éducation dans le pays, affirmant qu’elle est « caractérisée par une grande confusion et une grande instabilité en raison de l’accumulation des échecs qui ont perturbé le paysage éducatif, et de l’incapacité du ministère de […]

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La Fédération de l’enseignement secondaire dénonce une « agression policière » contre des enseignants

09. September 2025 um 19:12

La Fédération générale de l’enseignement secondaire (FGES) a dénoncé, mardi, l’interdiction faite lundi 8 septembre 2025, à des enseignants la région de Gabès de se rassembler pacifiquement dans l’enceinte du commissariat régional de l’éducation. Le syndicat accuse le ministère de l’Intérieur d’avoir empêché ce mouvement de protestation et parle d’“agression policière”.

Selon un communiqué de la FGES, des enseignants souhaitaient tenir un sit-in au commissariat régional de l’éducation de Gabès pour exprimer leurs revendications. Le syndicat affirme que la police a bloqué cette action et interdit aux protestataires de manifester à l’intérieur des locaux.

Violation du droit syndical

La FGES estime que le ministère de l’Intérieur porte l’entière responsabilité de ce qu’elle considère comme une violation du droit syndical. Elle reproche également au ministère de l’Éducation son “blocage des négociations” et ses “décisions unilatérales” concernant les mutations et promotions.

Le syndicat réaffirme son attachement à la défense des droits des enseignants et de la liberté syndicale, en rappelant que son mouvement s’inscrit dans le cadre de la législation en vigueur.

Bras de fer avec le ministère de l’Éducation

Depuis plusieurs mois, les enseignants multiplient les mouvements sociaux pour exiger l’application des accords signés avec le ministère, notamment sur la gestion des mutations et l’amélioration des conditions de travail. Ces tensions s’inscrivent dans un climat de crispation entre le syndicat et l’autorité de tutelle, sur fond de contestations.

Des dizaines d’enseignants du primaire et du secondaire se sont rassemblés, le 28 août dernier, devant le siège du ministère de l’Éducation à Tunis, à l’appel des Fédérations générales de l’enseignement de base et de l’enseignement secondaire, pour protester contre le « blocage des négociations » concernant leurs revendications professionnelles et matérielles. Une grève est même d’actualité (le 7 octobre prochain).

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Tunisie : La Fédération de l’enseignement secondaire hausse le ton

05. September 2025 um 12:05

La Fédération générale de l’enseignement secondaire a réaffirmé, ce vendredi, sa détermination à défendre les droits syndicaux et les acquis des enseignants. Face à ce qu’elle qualifie de politiques d’exclusion et d’indifférence des ministères de tutelle, elle annonce une série de mouvements de protestation.

Dans un communiqué rendu public et relayé par l’agence TAP, la Fédération a dénoncé l’attitude des ministères de l’Éducation et de la Jeunesse et des Sports, qu’elle accuse d’être responsables des tensions et de la confusion qui ont marqué la rentrée scolaire. Elle estime que le dialogue, absent jusqu’ici, doit désormais devenir une obligation incontournable.

Mesures annoncées

La centrale syndicale appelle les enseignants et leurs structures régionales à appliquer sans réserve les décisions de la commission administrative sectorielle. Parmi ces actions, l’organisation de sits-in dans les différentes régions, le refus catégorique d’assurer les heures supplémentaires, le boycott des discussions relatives à la nomination des directeurs et proviseurs.

Rappelons que des enseignants du primaire et du secondaire se sont rassemblés, le 28 août 2025, devant le siège du ministère de l’Éducation à Tunis, à l’appel des Fédérations générales de l’enseignement de base et de l’enseignement secondaire, affiliées à l’UGTT. Ils ont protesté contre le « blocage des négociations » concernant leurs revendications professionnelles et matérielles.

Grève en perspective

Lors de ce rassemblement, une grève a été évoquée et pourrait avoir lieu le 7 octobre prochain, si « le ministère persiste à ignorer les demandes des enseignants », avait fait savoir Ikbal Azzabi, secrétaire général adjoint de la Fédération générale de l’enseignement de base.

De son côté, Mohamed Safi, secrétaire général du syndicat général de l’enseignement secondaire, avait dénoncé « l’intransigeance du ministère » et son « mépris constant » des revendications syndicales.

Le conflit social dans le secteur de l’éducation s’enlise depuis plusieurs mois. Les négociations, suspendues depuis avril, n’ont toujours pas repris malgré les demandes répétées des syndicats. Les revendications portent principalement sur l’amélioration des conditions professionnelles et matérielles des enseignants.

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Enseignants en colère : Mobilisation des syndicats du Grand Tunis le 28 août

25. August 2025 um 13:58

Les syndicats de l’enseignement de base et secondaire du Grand Tunis ont décidé d’observer un sit-in jeudi 28 août 2025 devant le ministère de l’Éducation. Cette action intervient à l’appel de la commission sectorielle mixte, réunie aujourd’hui au siège de l’UGTT, pour dénoncer un blocage du dialogue social et défendre les revendications professionnelles des enseignants.

Mobilisation annoncée

Ikbal Azzabi, secrétaire général adjoint de l’Union générale de l’enseignement de base, a indiqué dans une déclaration aujourd’hui à l’agence TAP, que :

« La manifestation prévue jeudi prochain intervient dans un contexte qualifié de « violation du droit syndical et de blocage du dialogue et des négociations avec le ministère de l’Éducation sur les revendications professionnelles et matérielles des enseignants » ».

La commission sectorielle mixte (Tunis, Ariana, Ben Arous, Manouba) appelle à une large mobilisation de ses structures syndicales.

Vers une grève en octobre

Cette première action de protestation précède une grève sectorielle programmée pour le 7 octobre. Selon Azzabi, la décision a été prise pour accentuer la pression sur le ministère de l’Éducation afin qu’il engage des négociations sérieuses.

Les revendications

Parmi les principales revendications figurent la régularisation du mouvement des directeurs, jugé non conforme aux règles légales ; l’ouverture de négociations conjointes entre la fédération générale de l’enseignement de base et le ministère ; le règlement de la situation des enseignants classés dans l’échelle A3 ; et l’augmentation des salaires.

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