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Heute — 28. April 2025Haupt-Feeds

Banque mondiale : 96,1 millions d’euros pour l’innovation et l’employabilité en Tunisie

Von: walid
28. April 2025 um 10:39

Un accord de financement d’un montant de 96,1 millions d’euros (l’équivalent de 319,3 millions de dinars- MD) a été signé, samedi, à Washington, par le ministre de l’Economie et de la planification, Samir Abdelhafidh, et le directeur du bureau de la Banque mondiale en Tunisie, Alexandre Arrobbio, en marge de sa participation aux réunions de printemps 2025 de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International (FMI).

Le crédit, remboursable sur 28 ans, avec une période de grâce de 8 ans, servira à financer le Projet de Renforcement de l’enseignement supérieur pour l’innovation, la résilience et l’employabilité en Tunisie (STEEIR), indique un communiqué du ministère de l’Economie.

L’objectif de ce projet est, entre autres, de renforcer la qualité de la recherche appliquée et améliorer le cadre et les services académiques. Il s’agit également de renforcer la gouvernance des établissements d’enseignement supérieur et à augmenter le nombre d’étudiants dans les programmes à fort potentiel d’insertion professionnelle, afin d’améliorer l’employabilité des diplômés.

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Tunisie : la Banque mondiale prévoit une croissance de 1,9 % en 2025

Von: walid
28. April 2025 um 09:30

La croissance économique en Tunisie devrait se situer à 1,9 % en 2025 et 1,6% en 2026, estime la Banque mondiale dans son rapport sur la situation économique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, publié le 23 avril courant.

Selon ce rapport intitulé « Changer de vitesse : le secteur privé comme moteur de la croissance dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord », cette croissance devrait être soutenue par le secteur agricole qui connaîtra un rebond en 2025, sous l’hypothèse d’une amélioration des précipitations. Pour ce qui est du taux d’inflation, il devrait baisser à 5,5% en 2025 et à 5% en 2026, contre 7% en 2024.

Pour rappel, le rapport sur les « Perspectives de l’économie mondiale, Avril 2025 » publié le 22 avril courant, par le Fonds monétaire international prévoit que la croissance en Tunisie devrait se situer à 1,4% en 2025 et également en 2026. Le taux d’inflation en Tunisie baissera de 7% en 2024, à 6,1% en 2025, avant d’augmenter à 6,5% en 2026.

Dans les pays importateurs de pétrole comme la Tunisie, la Banque mondiale estime que les prévisions de la croissance restent assombries par un niveau élevé d’incertitude, alimentée par les conflits en cours, les chocs climatiques extrêmes, les fluctuations des marchés pétroliers et l’évolution de la conjoncture politique mondiale.

Cette incertitude est aggravée par l’impact potentiel des dynamiques commerciales volatiles sur la croissance et l’inflation à l’échelle mondiale. Le rapport souligne, par ailleurs, que les conflits risquent de compromettre des décennies de progrès économique, avec des effets durables sur le développement.

A l’échelle régionale, la BM table sur croissance modeste de 1,9 % en 2024, suivie d’une progression modérée à 2,6 % en 2025. Ces perspectives restent soumises à une grande incertitude en raison de l’évolution rapide de l’environnement mondial.

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Banque mondiale et FMI : du pain sur la planche pour les réunions de printemps

22. April 2025 um 10:30

Le coup d’envoi des réunions de printemps a été donné. L’événement rassemble 191 pays membres du FMI. Dans son allocution d’ouverture, la directrice du FMI, Kristalina Georgieva, a rappelé les principales caractéristiques de l’économie mondiale actuellement : une croissance faible et une dette élevée. Certains pays affichent une résilience, mais elle est mise à l’épreuve par le trouble du système commercial mondial.

L’aggravation des tensions commerciales a fait chuter les cours des actions mondiales, rappelant que « nous vivons dans un monde de changements soudains et profonds ». La directrice du FMI lance un appel à réagir avec sagesse. Une économie mondiale mieux équilibrée et plus résistante demeure, toujours, à portée de main.

Un contexte mondial compliqué

Le FMI a qualifié les tensions commerciales actuelles comme « une marmite qui bouillonnait depuis longtemps et qui est en train de déborder ». Dans une large mesure, la situation actuelle est le résultat d’une érosion de la confiance aussi bien dans le système international qu’entre les pays.

Le constat est évident : l’intégration économique mondiale a permis à un grand nombre de personnes de sortir de la pauvreté et a amélioré la situation du monde dans son ensemble, mais tout le monde n’en a pas profité. Les communautés ont été vidées de leur substance par l’envoi de forces d’emplois à l’étranger; les salaires ont été comprimés par la disponibilité croissante d’une main-d’œuvre bon marché et les prix ont augmenté lorsque les chaînes d’approvisionnement mondiales ont été interrompues. Nombreux sont ceux qui accusent le système économique international d’être à l’origine de l’injustice qu’ils perçoivent dans leur vie.

Les distorsions commerciales, en particulier les barrières tarifaires, ont alimenté les perceptions négatives à l’égard d’un système multilatéral considéré comme n’ayant pas réussi à offrir des conditions de concurrence équitables. En parallèle, les barrières non tarifaires ont tendance à augmenter.

A cela s’ajoute un souci de sécurité nationale. Dans un monde multipolaire, l’endroit où les choses sont fabriquées peut avoir plus d’importance que leur coût. Cette logique veut qu’un large éventail de biens stratégiques, des puces informatiques à l’acier, soient fabriqués sur le territoire national, et que cela vaille la peine de payer pour cela.

La situation actuelle est que toutes ces préoccupations ont dépassé les bornes. L’industrie reçoit plus d’attention que le secteur des services ; les intérêts nationaux l’emportent sur les préoccupations mondiales; et les actions fermes déclenchent des réactions fermes.

Graves conséquences de la politique du FMI

Alors que les géants s’affrontent sur le sujet des tarifs douaniers américains, les petites économies sont prises dans les courants croisés. La Chine, l’Union européenne et les États-Unis sont les trois plus grands importateurs du monde, bien que leurs importations soient relativement faibles par rapport à leur PIB.

Principale conséquence : la taille compte. Leurs actions ont un impact sur le reste du monde. Les petites économies avancées et la plupart des marchés émergents dépendent davantage du commerce pour leur croissance et sont donc plus exposés, notamment au resserrement des conditions financières. Les pays à faible revenu sont confrontés au défi supplémentaire de l’effondrement des flux d’aide; alors que les pays donateurs s’efforcent de répondre à leurs préoccupations nationales.

L’incertitude est coûteuse. La complexité des chaînes d’approvisionnement modernes signifie que les intrants importés entrent dans la composition d’un large éventail de produits locaux. Le coût d’un article peut être affecté par les droits de douane appliqués dans des dizaines de pays. Dans un monde de tarifs douaniers bilatéraux, où chacun peut évoluer à la hausse ou à la baisse, la planification devient difficile. Les décisions d’investissement seront reportées, les marchés financiers deviendront volatils et l’épargne de précaution augmentera. Plus l’incertitude persiste, plus le coût est élevé.

L’augmentation des barrières commerciales frappe d’emblée la croissance. Les tarifs douaniers augmentent les recettes au prix d’une réduction et d’un déplacement de l’activité. Les importateurs en paient une partie sous la forme d’une baisse de leurs bénéfices et les consommateurs en paient une autre sous la forme d’une hausse des prix. En augmentant le coût des intrants importés, les droits de douane agissent d’emblée.

Bien entendu, si les marchés nationaux sont importants, ils incitent également les entreprises étrangères à répondre par des investissements à l’intérieur du pays. Ce qui permet de créer de nouvelles activités et de nouveaux emplois. Mais cela prend du temps.

En tout, le protectionnisme érode la productivité à long terme, en particulier dans les petites économies. Protéger les industries de la concurrence réduit les incitations à une allocation efficace des ressources. Les gains de productivité et de compétitivité obtenus par le passé grâce au commerce s’érodent. L’esprit d’entreprise cède la place à des plaidoyers spéciaux en faveur d’exemptions, de protection et de soutien de l’État. Cela nuit à l’innovation. Mais là encore, si les marchés nationaux sont vastes et la concurrence nationale dynamique, les effets négatifs peuvent être atténués.

En fin de compte, le commerce est comme l’eau : lorsque les pays dressent des obstacles sous la forme de barrières tarifaires et non tarifaires, le flux est détourné. Certains secteurs dans certains pays peuvent être inondés par des importations bon marché, d’autres peuvent connaître des pénuries. Le commerce se poursuit, mais les perturbations entraînent des coûts.

Que faire? 

Tous les pays doivent redoubler d’efforts pour mettre de l’ordre dans leur propre maison. Les économies font face aux nouveaux défis dans une position de départ plus faible, avec une dette publique beaucoup plus élevée qu’il y a quelques années. C’est pourquoi la plupart des pays doivent prendre des mesures budgétaires résolues pour reconstituer leur marge de manœuvre, en définissant des trajectoires d’ajustement progressives qui respectent les cadres budgétaires. Toutefois, certains pays peuvent subir des chocs nécessitant un nouveau soutien ciblé et temporaire.

Pour protéger la stabilité des prix, la politique monétaire doit rester souple et crédible. Les banquiers centraux doivent garder un œil vigilant sur les données, y compris sur les anticipations d’inflation plus élevées dans certains cas.

Dans le domaine financier, une réglementation et une surveillance rigoureuses restent essentielles pour assurer la sécurité des banques, et les risques croissants émanant des établissements non bancaires doivent être surveillés et maîtrisés.

En matière de politique commerciale, l’objectif doit être de parvenir à un accord entre les principaux acteurs qui préserve l’ouverture et offre des conditions de concurrence plus équitables, afin de relancer la tendance mondiale à la baisse des droits de douane, tout en réduisant les barrières non tarifaires et les distorsions.

Un grand travail attend les décideurs, essentiellement aux Etats-Unis, dans l’Union européenne et en Chine. Mais d’ici l’obtention de résultats concrets, l’incertitude restera élevée.

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Cérémonie de transfert de la société CJO à Sinoma Cement en Tunisie

16. April 2025 um 12:03

La cérémonie de transfert de la société Ciments Jbel Oust (CJO) à Sinoma Cement en Tunisie s’est tenue avec succès le 15 avril 2025 dans le gouvernorat de Zaghouan. Elle s’est déroulée en présence de Wan Li, ambassadeur de Chine en Tunisie, Karim Brenji, gouverneur de Zaghouan, et Jalel Tebib, directeur général de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA).

Wei Rushan, vice-directeur général du groupe China National Building Material (CNBM), directeur exécutif et président de China National Building Material Co., Ltd., a également assisté à la cérémonie, aux côtés de Zhao Xinjun, PDG de Tianshan Materials, ainsi que de Yin Zhisong, président du conseil d’administration de CNBM International Engineering et président du conseil d’administration de Sinoma Cement.

Au nom du groupe CNBM, M. Rushan a exprimé sa sincère gratitude au gouvernement tunisien et à ses différents départements, à l’ambassade de Chine en Tunisie, au groupe Votorantim, à la direction de la société CJO, ainsi qu’à tous les partenaires, institutions et entreprises chinoises ayant soutenu ce projet de coopération. Il a également souhaité la bienvenue à tous les invités présents à la cérémonie.

Dans son discours, il a brièvement retracé le parcours de développement de son groupe et ses réalisations, soulignant que CNBM a toujours adhéré au principe de «coopération gagnant-gagnant» et mis en œuvre activement l’initiative de «La Ceinture et la Route». La réussite de la passation de la société CJO en Tunisie illustre de manière vivante l’amitié profonde entre la Chine et la Tunisie dans l’économie réelle.

Sur la voie d’un développement vert

M. Rushan a également indiqué que la société CJO est implantée en Tunisie depuis de nombreuses années et a grandement contribué au développement économique et social local. Sinoma Cement continuera à exploiter pleinement les avantages de l’ancrage local de CJO, à suivre le principe de «faire bon usage des ressources pour servir la construction», à s’engager sur la voie d’un développement vert, bas carbone et durable, à stimuler l’innovation par la technologie avancée, à améliorer la qualité et l’efficacité de l’entreprise grâce à une gestion localisée, à réduire la consommation d’énergie et à viser un développement de haute qualité dans le cadre de «La Ceinture et la Route».
L’objectif est de faire de l’usine un modèle de digitalisation et de respect de l’environnement, et de contribuer au développement de l’industrie des matériaux de construction ainsi qu’à l’économie locale grâce à la force du groupe CNBM.

M. Tebib a déclaré, de son côté, que «cette coopération avec nos partenaires chinois représente une véritable avancée dans l’augmentation des investissements chinois en Tunisie, positionnant notre pays parmi les premiers bénéficiaires de ces investissements.»

Il a également déclaré que le soutien du partenaire chinois dans la gestion de l’usine de ciment à Zaghouan, ainsi que la modernisation des méthodes de production et de marketing, entraînera une transformation significative qui profitera à la région de Zaghouan et à la Tunisie dans son ensemble.

Le responsable a également souligné que les entreprises chinoises CNBM et Simona Cement, cotées à la Bourse de Chine, ouvriront la voie à l’attraction de nombreux investisseurs chinois et d’autres nationalités en Tunisie. 

De son côté, M. Brenji a déclaré que l’événement constitue une étape importante dans le processus de développement régional et national et témoigne du dynamisme de la coopération internationale.

L’usine CJO se distingue par sa position de leader sur le marché national et ses initiatives pionnières dans les domaines des énergies alternatives et de la protection de l’environnement, ce qui lui confère un rayonnement croissant à l’échelle africaine.

M. Brenji a ajouté que ce partenariat avec la Chine, dépasse largement le cadre d’un simple investissement économique. Il traduit la confiance croissante dans le climat des affaires en Tunisie et illustre la solidité des relations historiques entre les deux pays. 

Un partenariat stratégique Chine-Tunisie

M. Wan Li a, pour sa part, déclaré: «Nous sommes aussi engagés pour approfondir la coopération bilatérale dans divers domaines tels que le commerce et l’investissement, et pour encourager les entreprises chinoises à investir davantage en Tunisie et contribuer, ainsi, au développement économique et social du pays. Il s’agit de construire, ensemble, un avenir plus radieux pour le partenariat stratégique entre la Chine et la Tunisie. Et la partie chinoise voudrait conclure l’accord de partenariat économique pour le développement partagé avec la partie tunisienne.» Il a ajouté: «C’est avec grand plaisir que j’assiste à la cérémonie de transmission de la Société des Ciments Jbel Oust pour célébrer, avec vous, la mise en place de ce nouveau fruit de la coopération économique et commerciale entre la Chine et la Tunisie. Ce projet marque, également, la réalisation réussie du plus grand investissement direct chinois en Tunisie depuis de nombreuses années.»

Enfin, Rong Yakun, président de Sinoma Cement, a déclaré que son entreprise est la plateforme internationale d’investissement, d’exploitation et de gestion du secteur des matériaux de base du groupe CNBM, engagée à promouvoir le développement vert et bas carbone local. L’entreprise a toujours respecté le principe de gestion localisée, tout en stimulant l’innovation pour la montée en gamme industrielle et en accordant une grande importance à la formation des talents locaux, selon une philosophie de gestion «centrée sur l’humain».

À l’avenir, Sinoma Cement continuera à approfondir ses activités et son marché en Tunisie, en se concentrant sur l’innovation technologique, la formation des talents, le développement vert et durable, en assumant activement sa responsabilité sociale d’entreprise chinoise et en promouvant le développement commun de l’entreprise et de la société.

Au son joyeux de la musique tunisienne, M. Yakun a reçu des mains de Mario Pinto, directeur des fusions-acquisitions du groupe Votorantim, la maquette de l’usine, qu’il a ensuite remise à l’équipe de direction de CJO Tunisie, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère pour la société.

Après la cérémonie, M. Rushan, accompagné de M. Wan Li, de M. Brenji et de la délégation officielle, a visité la ligne de production et la salle de contrôle central de la société CJO Tunisie, afin de présenter aux invités les opérations de l’entreprise et ses perspectives de développement.

Plus de 200 personnes ont assisté à la cérémonie de passation, parmi lesquelles Liu Xiaofeng, vice-directeur général du département de coopération internationale de China National Building Material Co., Ltd., Wang Peng, vice-directeur général du département sécurité et environnement, Tang Yali, assistant du président de CNBM International et directeur général du département stratégie et développement des investissements, Zhang Sicai, directeur général de CNBM Construction, Zhu Linhe, directeur exécutif de CNBM Overseas, ainsi que des représentants du gouvernement tunisien, des institutions et entreprises chinoises en Tunisie, des partenaires et des employés tunisiens et chinois de CJO.

Sinoma Cement, dont le siège est à Pékin, a été fondée le 20 novembre 2003, avec un capital social de 10 milliards de RMB. Elle possède actuellement des filiales en Chine (Tianjin, Hong Kong) et à l’étranger (Zambie, Nigéria, Tunisie, Mongolie, Maurice, Émirats arabes unis, etc.).

Sinoma Cement est une filiale conjointe de Tianshan Materials Co., Ltd., cotée à la bourse A, et de China National Materials International Engineering Co., Ltd. Elle constitue également la plateforme d’investissement, d’exploitation et de gestion internationale du secteur des matériaux de base du groupe CNBM.

En plus de 20 ans de développement, Sinoma Cement est passée d’un fabricant spécialisé dans le ciment à un groupe diversifié dans les domaines du béton, des granulats manufacturés, des briques de construction, etc., tout en gardant une vision globale et en adhérant au principe de coopération gagnant-gagnant, s’intégrant profondément au marché international.

Communiqué.

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