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Equipe nationale – Propos de Kais Yaakoubi : Une communication pas très soignée…

11. November 2024 um 10:24

Le dévoilement par Kais YaâKoubi de sa liste des 26 pour les deux matches contre le Madagascar et la Gambie a vu quelques dérapages dans l’explication de ses choix. Un examen de communication pas très réussi.

Pour tout sélectionneur, l’annonce de la liste des joueurs retenus pour un court rassemblement de quelques jours est un exercice difficile. La conférence de presse pour expliquer les choix faits, et pas faits, doit obéir à une règle majeure : ne pas trop entrer dans les détails pour justifier le justifiable ou défendre l’indéfendable. Le sélectionneur ne doit pas parler pour ne rien dire et n’a pas l’obligation de tout dire. Il doit trouver le juste équilibre et être mesuré dans ses propos et réponses pour donner l’essentiel. Pour son premier examen d’annonce de la liste des 26 convoqués pour les deux matches clés des éliminatoires de la CAN Maroc 2025, contre le Madagascar le 14 novembre à Prétoria et la Gambie le 18 à Radès, il faut bien avouer que le sélectionneur national Kaîs Yâakoubi est allé trop loin dans ses explications et a, plus d’une fois, dérapé. Certaines réponses ont été faites sur un ton crispé, qui a paru un peu agressif alors qu’il aurait pu éviter les questions pièges avec quelques répliques brèves et un petit sourire. De la même manière intelligente qu’a utilisée le sélectionneur français Didier Deschamps pour justifier la non convocation de Kylian Mbappé.

Regrets immédiats 

C’est sûr aujourd’hui que Kaîs Yaâkoubi regrette énormément sa façon d’avoir défendu son choix des trois gardiens de but et pourquoi il a préféré Moez Ben Chérifia à Sami Hlel. On ne fait pas appel à un portier expérimenté en équipe nationale pour le seul objectif «de bien encadrer un jeune gardien devenu numéro un». Le fait d’avoir sacrifié Sami Hlel pour cette raison n’a pas été un choix judicieux. Kais Yaâkoubi peut-il encore défendre le rappel de Moez Ben Chérifia comme numéro trois pour «bien encadrer Amen Allah Memmich numéro un, après les deux buts encaissés du premier contre l’ESZ et la nouvelle gaffe du second contre l’ASG qui a coûté un but gag à l’Espérance samedi? Certainement pas. Le gardien des «Sang et Or» n’est même plus assuré de garder son statut de premier gardien en sélection.

Toujours dans l’intérêt de l’équipe nationale, un sélectionneur intérimaire, sans doute pour deux matches, n’aurait pas dû s’immiscer dans des choix aussi stratégiques que celui d’injecter du sang neuf dans l’équipe, de tourner la page de toute une époque et de mettre à l’écart des cadres comme Youssef Msakni et Ferjani Sassi. En parlant de «choix techniques», Kais Yaâcoubi a été également trop maladroit en voulant signifier, qu’à ses yeux, la sélection, c’est fini pour ces deux joueurs. Ça aurait été plus intelligent de sa part s’il avait bien pesé ses mots et trouvé une explication plus pertinente et moins offensante pour deux joueurs qui ont beaucoup donné à la sélection. Cette opération sang neuf en équipe de Tunisie aurait dû attendre la phase finale de la CAN à laquelle nous devrons être qualifiés avec ou sans les Youssef Msakni et Ferjani Sassi. En mettant trop l’accent sur la convocation pour la première fois de Rabii Homri et de Hamza Testouri,  détaillant leur parcours de combattants dans les étages inférieurs avant de s’imposer avec l’OB et l’USM, Kais Yaâcoubi a sans doute voulu être l’artisan de nouveaux critères de choix en sélection qui donnent plus de chances aux joueurs locaux. Comme en témoigne son tout récent clin d’œil fait à l’attaquant de l’Espérance Sportive de Zarzis, Achref Jabri. Pourvu que ce ne soit pas de simples promesses en l’air pour se vanter dans son CV.

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Handball – Tournoi international du Koweït : En attendant décembre !

11. November 2024 um 10:10

L’expédition koweïtienne du sept national a suscité beaucoup d’espoir. Reste à savoir si on restera, ou pas, sur cette courbe ascendante.

Avant de plier bagage, avant-hier à l’aube, pour rentrer à Tunis, le sept national a achevé sa participation au tournoi international du Koweït par un nul encourageant (33-33) devant son homologue du pays organisateur. Encourageant, dans la mesure où les nôtres ont failli laisser des plumes, n’eût été leur réveil dans les cinq dernières minutes. Certes, la passe de trois n’a pas eu lieu après les deux belles victoires engrangées auparavant face au Bahreïn et au Cap Vert. Mais, arithmétiquement, on peut parler de bilan positif, même si les éternels insatisfaits n’hésiteront pas à miniaturiser ces chiffres dans leur tentative de dévalorisation de ce tournoi. Bien évidemment, on aurait tant aimé voir la Tunisie prendre part à un tournoi plus costaud pour déboucher sur une évaluation plus réaliste. Pourquoi ne l’a-t-on pas fait ? Écoutons la réponse  du directeur de la sélection, Zied Nattat. « Primo, précise-t-il, le tournoi du Koweït n’est pas aussi poids mouche que le pensent certains, le Cap Vert ayant été finaliste de l’avant-dernière CAN d’Égypte qui fut un fiasco pour nous, tandis que le Bahreïn, récemment champion d’Asie, a fait mieux que la Tunisie au dernier Mondial, sans oublier, non plus, que le Koweït, aux progrès constants, a toujours joué les premiers rôles lors des compétitions arabes et asiatiques. Secundo, «la semaine IHF» de cette année est tombée au mauvais moment, c’est-à-dire en pleine mobilisation des principales sélections européennes dans des tournois arrangés entre elles depuis belle lurette. Un contre-temps, conclut M Nattat, qui nous a poussés à annuler la deuxième édition de notre tournoi «Kempa Cup» auquel participaient les sélections du Vieux continent».

L’embarras du choix 

La parenthèse fermée, parlons maintenant technique. Et là, on peut estimer que personne ne souhaiterait être à la place de l’entraîneur national, Mohamed Ali Sghir, qui rentre de Koweït, avec un gros casse-tête. En effet, les 18 joueurs qu’il avait utilisés durant ce tournoi ont tous, contre toute attente, rivalisé de brio, d’efficacité et d’application, assure Zied Nattat qui a conduit la délégation au Koweït. Et c’est tant mieux, diraient les observateurs, sauf que le sélectionneur est dans l’obligation, comme l’exigent les règlements de l’IHF, d’élaborer une liste de 16 joueurs pour le Mondial du Danemark. Alors, qui prendre, qui laisser ? Le casse-tête se complique davantage quand on sait que les deux pros Oussama Hosni (Macédoine) et Yassine(France), qui n’étaient pas du voyage au Koweït, sont considérés comme deux des composantes essentielles de l’épine dorsale du sept national. Et dire que ce duo traverse actuellement une superbe période de performance en Europe. De toutes façons, le sélectionneur s’y attendait un peu. Lui qui nous a déclaré, il y a quelques jours, que c’est vers la fin du mois de décembre qu’il tranchera au sujet de la liste définitive de l’expédition mondialiste, autrement dit au lendemain des deux ultimes tests de préparation contre le Koweït. D’ici là, nul doute que Mohamed Ali Sghir prendra tout son temps pour y voir plus clair.

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Volley – En marge de l’élimination de l’équipe de Tunisie : La politique de la cigale

11. November 2024 um 10:05

 

Il nous semble que nous avons, à tous les niveaux, oui à tous les niveaux, intérêt à  changer de mentalité et de façon d’agir.

En championnat arabe des nations, les Tunisiens ont été éliminés par leurs homologues du Qatar sur le score de 3-1 (25-19, 19-25, 22-25, 21-25). Il n’y a aucune intention de polémiquer dans ce qui suit. C’est simplement un constat: depuis des années, à  partir de 2005 environ,  presque tous ceux qui se sont succédé au service des fédérations nationales sportives et mêmes au niveau des rouages du MJS, se sont comportés en cigales. Ils n’ont fait que «consommer» ce qu’ils ont trouvé sur place.

Et ce fut une mort lente, pour presque toutes nos sélections de sports collectifs.

Voyez l’état du football qui est sous tutelle(!?). Le comportement du handball qui était un fleuron et qui ramassait tout, même des titres mondiaux chez les jeunes, avec une quatrième place en seniors lors du Mondial 2005. Le volley-ball qui régnait en maître en Afrique et au monde arabe. Le basket-ball qui clopine  et qui donne l’impression de se contenter de ce qu’on lui donne. Toutes ses vedettes ont pris de l’âge, effectuent des navettes en allant d’un club à un autre. Ce volley-ball qui n’est plus ce qu’il était. Et voilà que ce championnat arabe vient  mettre à nu toutes ces sélections qui rentrent dans les rangs.

Cela est dû à plusieurs facteurs. Le premier, et c’est celui qui nous semble le plus important, est bien le rôle de ceux qui sont censés avoir les fédérations nationales sous leur tutelle. Ces responsables se comportent comme de simples gestionnaires de calendriers d’activités et non de plans d’action avec engagements et étapes  et objectifs à atteindre. Personne ne demande des comptes ? Les fédérations font-elles ce qu’elles veulent ?

Les dissolutions et les drames vécus par la FTF et par la FTVB, celles de la lutte, la boxe, etc. interviennent toujours après coup. Le mal est fait et nous en subissons les conséquences.

Cherchez le coupable et suivez le regard

Ceux qui sont là, au MJS, le sont depuis des années. En honnêtes fonctionnaires, ils classent les dossiers et entretiennent des relations qui se consolident au fil des ans dans une étrange médiocrité envahissante.

Dans les pays que nous continuons à regarder d’en haut, on travaille. On naturalise des champions (nous ne sommes absolument pas pour, nous avons nos enfants), on attire les meilleurs entraîneurs, à commencer par les nôtres, on sillonne le monde pour disputer des tournois de haute intensité.  Ils se font écrabouiller, mais ils apprennent. Nous, nous cherchons les succès faciles pour parader et montrer des médailles en toc.

Et nous  nous posons des questions lorsque ces équipes nous surclassent.

Nous multiplions les réunions, les communiqués les sourires,  les déclarations d’intention  qui restent sans effet. Nous sommes contents d’annoncer l’inauguration d’un terrain et on en fait un événement du siècle.

Quoi encore?

On oublie que ces fédérations sont des organismes extrêmement importants. Ce sont des chevilles ouvrières sans lesquelles le ministère  des Sports ne peut rien faire. Il faut les faire travailler, leur demander des comptes, les renouveler progressivement pour avoir du sang neuf, des idées nouvelles,  des ambitions à la mesure des progrès que le monde du sport enregistre.

Nous sommes bien contents de garder les mêmes et de laisser au seuil de ces fédérations des jeunes qui veulent servir. Les slogans et les communiqués nous suffisent. Et on vient mettre en doute une victoire d’un de nos adversaires lors d’un tournoi.

Il nous semble que nous avons, à tous les niveaux, oui à tous les niveaux, intérêt à  changer de mentalité et de façon d’agir.

De cigales, nous devons devenir des fourmis qui travaillent, fournissent des efforts, mettent le prix pour garder nos meilleurs techniciens pour se mettre à niveau en mettant un terme à nos rêvasseries.

En injectant du sang neuf et en ouvrant les portes face à ceux qui pourraient arracher ce sport à son ronronnement. La meilleure preuve du retard que nous accusons actuellement est illustrée par la rentrée dans les rangs de toutes nos sélections jeunes. Sauf au niveau des sports individuels et de combats où la flamme est encore assez bien entretenue. Jusqu’à quand ?

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 Football : une équipe de Tunisie new look à l’assaut de l’Afrique

10. November 2024 um 11:51

L’entraîneur par intérim de la Tunisie, Kais Yaacoubi, a apporté des changements importants à son équipe pour les matches cruciaux des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies CAF 2025 de cette semaine, avec le capitaine Youssef Msakni ( photo) parmi les dix joueurs exclus de l’équipe. Entre autres notables changements…

Il faut dire que lors des derniers matches des Aigles de Carthage, celui que ses compatriotes surnomment Ennems n’a pas été particulièrement étincelant et ses coups de génie ont manqué à ses coéquipiers quelque peu empruntés eux aussi.

Dans une refonte audacieuse de l’effectif, l’entraîneur de 58 ans a rappelé plusieurs joueurs tout en fermant la porte à des noms établis, dont le gardien de l’Espérance Bechir Ben Said, qui ne joue plus depuis le début de la saison, et Sabri Ben Hassen du CS Sfaxien.

Pour ce qui est des gardiens, on constate le retour d’Aymen Dahmen et Moez Ben Cherifia, qui ont joué pour la dernière fois en équipe nationale respectivement en juin et mars 2023, tandis qu’Amanallah Memmiche conserve son poste de premier gardien.

La ligne défensive a subi une transformation significative avec Hamza Mathlouthi, Amin Cherni et Ali Abdi qui ont été rappelés, remplaçant Raed Bouchniba, Mohamed Amine Ben Hamida et Houssem Ben Ali.

Au milieu de terrain, Idriss El Mizouni et Hadj Mahmoud ont été réintégrés, tandis que les milieux de terrain confirmés Ferjani Sassi et Houssem Tka ont été exclus du groupe.

L’attaque a connu la refonte la plus spectaculaire, avec quatre joueurs qui ont cédé la place, dont le capitaine vétéran Youssef Msakni, Seifeddine Jaziri, Chiheb Jebali et Bilel Mejri.

Leurs places ont été prises par les attaquants de retour Amor Laayouni, Sayfallah Ltaief, Haythem Jouini et Nabil Makni, tandis que Rabii El-Homri de l’Olympique Béja et Hazem Mastouri de l’US Monastir reçoivent leurs premières convocations.

L’équipe Tunisie, actuellement en tête du groupe A, affrontera Madagascar à Pretoria le 14 novembre avant d’accueillir la Gambie quatre jours plus tard à Tunis, avec la qualification pour la CAN 2025 en jeu.

La position de la Tunisie en tête du groupe A reste précaire, avec les Comores à un point seulement et la Gambie à deux points.

Ces prochains rendez-vous seront cruciaux pour déterminer a qualification de l’équipe pour la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies CAF 2025. Elle sera regroupée dès cette semaine pour préparer son premier match de qualification contre Madagascar, où elle cherchera à renforcer son emprise sur le groupe A et à se rapprocher de la qualification pour la compétition continentale.

Joueurs convoqués

Gardiens : A. Memmiche, A. Dahmen, M. Ben Cherifia.

Défenseurs : W. Kechrida, M. Talbi, Y. Meriah, N. Ghandri, H. Mathlouthi, A. Ghram, A. Abdi, A. Cherni.

Milieux de terrain : E. Skhiri, A. Laidouni, H. Rafia, H. Mejbri, M. A. Ben Romdhane, I. El-Mizouni, M. Hadj Mahmoud.

Attaquants : A. Laayouni, S. Ltaief, N. Makni, R. El-Homri, A. Haj Mohamed, B. Aït-Malek, H. Jouini, H. Mastouri.  

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