Tunis, UNIVERSNEWS (Syndicalisme) – Les derniers développements sur la scène syndicale offrent l’opportunité à certaines parties qui cherchent à attiser les tensions pour développer des idées saugrenues -dont certaines ont une part de vérité, certes, mais infime- pour distiller le venin de la discorde et de la zizanie.
L’absence, ces derniers jours du secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi du paysage national a laissé la place à toutes les interprétations possibles et, parfois, inimaginables, surtout qu’on ne manque pas d’événements importants qui nécessite la mobilisation de toute la direction de la centrale syndicale !!!
Dans une déclaration peu convaincante, l’UGTT a répondu à ce qu’elle considère comme des allégations. Le Secrétaire général-adjoint Sami Tahri a démenti toutes les informations qui circulent à propos de l’absence de Taboubi, affirmant que le secrétaire général est toujours en place et que les rumeurs concernant son remplacement par Farouk Ayari et un gros mensonge qui cherche à semer la zizanie et la discorde dans les rangs des syndicalistes et les citoyens. Il a souligné que Noureddine Taboubi est en vacances et qu’il va reprendre normalement ses activités dès la fin de la période de repos qui peut être écourtée, en raison de la situation critique dans le pays et au sein de la centrale syndicale, avec, en plus, le trébuchement du dialogue social et l’annulation des réunions de négociations.
Tahri a indiqué, par ailleurs, que les dernières grèves embêté le pouvoir en place dont les partisans ont commencé à agir d’une manière qu’il a jugée « idiote ».
Tunis, UNIVERSNEWS (Divers) – Les dernières révélations concernant le piratage du site de l’orientation universitaire est énigmatique à plus d’un degré, surtout qu’il concerne l’avenir de jeunes tunisiens qui ont sué dur pour avoir de bonnes moyennes à l’examen du baccalauréat et, pire encore, l’orientation de l’un d’eux à la filière des études archéologiques… alors qu’il était éligible aux études de la médecine, dans toutes ses catégories.
Ce qui est pire que le piratage lui-même est le silence qui a entouré cette affaire… jusqu’à ce qu’un médecin prenne la défense de l’un de ces futurs étudiants, et défendre sa cause. Le ministère n’a rien révélé et, s’est contenté de régler la situation de cet étudiant… alors qu’on ne connait pas le sort des autres étudiants potentiels victime de cette opération des hackers, ni le degré de fiabilité de ce site de l’orientation universitaire qui a permis à ces pirates de jouer avec les données personnelles d’on ne sait quel nombre de bacheliers.
Mais, voilà, enfin, que les départements concernés commencent à bouger, comme nous l’a indiquée une source bien informée qui a souligné que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, en coordination avec celui des Technologies de la communication et de l’Économie numérique et le ministère de l’Éducation nationale, a ouvert une enquête suite aux informations circulant concernant les résultats d’orientation universitaire de plusieurs candidats admis au baccalauréat 2025 de deux établissements du Kef. Le ministère s’emploie à résoudre la situation des personnes concernées au cas par cas.
La même source a expliqué que « ce qui s’est passé résultait d’une manipulation des données personnelles des étudiants concernés, entraînant des modifications de leurs choix, confirmant que le ministère s’efforçait de régler la situation des candidats concernés, au cas par cas, de manière à ce que leurs choix soient respectés en fonction du total des scores obtenus. Une enquête a été ouverte en coordination avec les ministères des Technologies de la communication et de l’Éducation, après avoir identifié la source de la falsification (adresse IP) et sa date. »
Toutes les mesures administratives et les poursuites judiciaires seront prises contre toute personne dont l’implication dans cette attaque, qui entre dans la catégorie des actes systématiques de sabotage visant à perturber le processus d’orientation universitaire, sera prouvée.
Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – Dans l’univers exigeant de la finance, certaines institutions ne suivent pas les tendances: elles les façonnent. STB Finance est de celles-là. Depuis plus de trois décennies, cette maison d’excellence, filiale de la Société Tunisienne de Banque, s’est imposée comme un acteur central dans la construction du marché financier tunisien, par la qualité de ses prestations, la constance de sa vision et l’engagement sans faille envers ses clients.
Agréée dès 1991 par la Bourse de Tunis, STB Finance est plus qu’un intermédiaire : c’est un architecte de solutions financières, au service des entreprises en quête de croissance, des épargnants souhaitant valoriser leur capital et des investisseurs à la recherche de performance maîtrisée.
Dans un monde où la confiance ne se décrète pas mais se construit, STB Finance continue de faire la différence : par la rigueur de son ingénierie financière, la pertinence de ses conseils, la performance de ses fonds, et surtout, par une relation client fondée sur l’écoute et la durabilité.
Une offre complète pour tous les profils d’investisseurs
Que vous soyez particulier, entreprise ou institutionnel, STB Finance vous propose une approche globale de l’investissement, fondée sur l’écoute, la rigueur et la performance. Son offre s’articule autour de deux axes complémentaires :
1. Intermédiation boursière stratégique
* Gestion individualisée de portefeuilles en valeurs mobilières
* Conseil stratégique et ingénierie financière
* Placement d’émissions et prise ferme
* Tenue de marché et gestion des contreparties
* Accompagnement sur mesure des IPO
* Évaluation rigoureuse des entreprises
STB Finance accompagne les entreprises tunisiennes dans leur développement et soutient la redynamisation des marchés financiers en facilitant l’accès au capital.
2. Gestion d’actifs adaptée et performante
Parce qu’un bon placement ne se résume pas à sa rentabilité, STB Finance propose une gamme complète et évolutive de Fonds Communs de Placement (FCP), pensée pour répondre à tous les profils d’investisseurs :
FCP DELTA Épargne Actions : Pour les profils dynamiques en quête de rendement à long terme.
FCP INNOVATION : Un levier de performance maîtrisée, pour les investisseurs avertis.
FCP Obligataire Capital Plus : Pour les épargnants prudents privilégiant la stabilité.
STB Évolutif FCP : Une approche équilibrée, entre sécurité et croissance progressive.
Avec cette gamme, STB Finance démocratise l’épargne productive et rend l’investissement boursier accessible à tous.
Une ingénierie financière au service de la performance durable
La force de STB Finance réside dans son approche méthodique, transparente et disciplinée. Grâce à une équipe d’experts chevronnés, la société combine analyse fondamentale, maîtrise des risques et agilité stratégique pour répondre aux évolutions économiques locales et internationales.
Les performances enregistrées en 2024–2025 par ses fonds ont renforcé la confiance de nombreux clients, particuliers comme institutionnels, en quête de solutions pérennes et efficaces.
Une finance de proximité, connectée et responsable
STB Finance place la transparence, la pédagogie et la proximité client au cœur de sa démarche. Présente physiquement et digitalement, elle accompagne les investisseurs à chaque étape : du conseil initial jusqu’à l’exécution des opérations.
Sa mission ? Permettre à chaque Tunisien, salarié, entrepreneur ou retraité, de devenir acteur de son avenir financier.
La finance de confiance porte un nom
Dans un monde en mutation, où la stabilité et l’expertise sont devenues des valeurs refuges, STB Finance incarne une nouvelle génération de partenaires financiers : solides, accessibles et stratégiques.
Qu’il s’agisse de gérer un portefeuille, de préparer une introduction en bourse ou de souscrire à un FCP, l’épargne tunisienne a trouvé son allié de confiance.
Tunis, UNIVERSNEWS (Politique) – La politique, à certains égards, ressemble aux mathématiques, car certaines de ses transformations majeures imposent des axiomes qu’il faut appréhender sans nécessairement les accepter psychologiquement. Les relations internationales sont actuellement marquées par l’unilatéralisme américain, illustré par la guerre douanière menée par Trump contre tous, ainsi que par son approche unilatérale face aux dilemmes politiques internationaux et à la proposition de solutions.
Dans cette nouvelle physionomie de l’ordre mondial, il est possible de considérer le comportement de Donald Trump comme moralement répréhensible, mais il est « productif » dans le cadre de la « realpolitik », car il perpétue l’unipolarité et réduit la marge de manœuvre des « puissances émergentes ». Il semble clair que la région nord-africaine connaît des transformations imposées par la nouvelle vision américaine, comme en témoignent les indicateurs qui se sont dégagés, notamment la brève et surprenante visite que la Première ministre italienne Giorgia Meloni effectue aujourd’hui en Tunisie.
Boulos, Meloni, Tebboune et… des interrogations !!!
Cette visite intervient juste après l’important sommet italo-algérien de la semaine dernière, ainsi que la récente visite de Massoud Boulos, conseiller principal de Donald Trump pour les affaires du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. L’envoyé de Trump est une figure centrale du système de Donald Trump, tant par les missions qu’il entreprend que par les liens conjugaux qui le lient à l’occupant de la Maison-Blanche, qui ne croit qu’en son ego surdimensionné et en sa famille. Par ailleurs, la tournée de Massad Boulos a été précédée de consultations intensives avec les ministres des Affaires étrangères du Qatar, de l’Arabie saoudite et des Émirats arabes unis, et a concerné tous les pays de la région. Ce qui attire l’attention et suscite des interrogations, c’est que l’envoyé américain a interrompu sa tournée par une brève visite à Paris, qui s’oppose publiquement à de nombreux aspects de la politique américaine, mais elle ne peut rompre le lien de l’appartenance à l’OTAN, ni « préserver » ses « intérêts » en Afrique du Nord sans coordination avec Washington. Toutes ces considérations sont importantes à garder à l’esprit pour comprendre les « arrangements » qui suivront ce tournant.
La Tunisie se démarque ??!!!
L’envoyé de Trump était porteur de deux messages publics : le « butin » commercial et économique qu’il rapporterait de chaque pays, et la promotion d’un partenariat américain avec les pays de la région, qui remplacerait les subventions et l’aide par des projets bénéfiques aux deux parties. Le résultat a été presque à la hauteur de ses attentes, et peut-être même plus, sauf en Tunisie, où il est reparti les mains vides.
En effet, le président Kaïs Saïed a choisi un style d’accueil de l’« invité américain » qui a failli dépasser l’embarras pour atteindre les limites de l’insulte diplomatique. Sa réponse a été claire : la Tunisie a choisi sa voie et ses partenaires, ce qui signifie clairement fermer la porte au « partenariat américain » et à la réduction de la coopération qui en résulte avec les concurrents des États-Unis pour l’influence en Afrique, à savoir l’Iran, la Chine et la Russie.
Divergences d’appréciation ???
La position tunisienne aurait pu être productive si elle avait été relayée par une position similaire de son voisin/allié, l’Algérie, d’autant plus que le régime algérien « vit » de sa popularité et de sa légitimité grâce à un discours anticolonial et anti-impérialiste. Cependant, il semble que le « voisin/allié » ait choisi de laisser son allié tunisien en position de « hors-jeu » en raison du désaccord manifeste entre les deux voisins suite à la visite de Massad Boulos.
L’Algérie, représentée par son président Abdelmadjid Tebboune, a anticipé la visite par des déclarations critiquant la politique russe en Afrique, notamment à ses frontières sud, évitant la moindre critique de la guerre tarifaire de Trump et laissant entrevoir des perspectives de coopération entre l’Algérie et Washington dans tous les domaines. Il s’agissait d’une réponse complète aux souhaits de Donald Trump, ce qui a suscité un large écho chez son envoyé, Massad Boulos, qui a salué l’Algérie et son rôle.
Des relations qui battent de l’aile ??!!!
Il ne fait aucun doute que la volonté du régime algérien de briser le siège imposé par certains pays était à l’origine de ces « concessions », qui constituent un engagement envers les « arrangements américains » pour l’après-Gaza. Certes, l’évaluation de ces « concessions » est une affaire purement algérienne, mais n’est-il pas de notre devoir de souligner que leurs répercussions pour la Tunisie sont certaines, puisqu’elles ont mis en évidence une rupture dans la cohésion apparente de l’axe tuniso-algérien… Une rupture qui pourrait conduire à plusieurs transformations et fluctuations, d’autant plus qu’elle affecte les relations de la Tunisie avec les pays voisins et les pays influents, et qu’elle a révélé une partie de la froideur dans les relations entre les régimes tunisien et algérien, ce qui s’est manifesté par l’absence de Kais Saïed à féliciter le président algérien Abdelmadjid Tebboune à l’occasion de la fête de l’indépendance le 5 juillet, et, en réponse avec Abdelmadjid Tebboune qui a ignoré la fête de la République tunisienne le 25 juillet.
Certes, la position de la Tunisie n’est pas de tout repos, surtout qu’elle paie les frais de la division entre les pays frères, notamment la Libye toujours fragilisée par sa situation précaire, avec deux gouvernements au moins, l’un à l’Est et l’autre à l’Ouest.
Il y a, aussi, le Maroc qui se délecte de cette situation et qui regarde d’un œil goguenard, allant même jusqu’à l’intox de ses organes de presse, pour empoisonner davantage le climat entre la Tunisie et l’Algérie, alors qu’il profite d’une manière éhontée de la bienveillance des USA et de l’entité sioniste, depuis son adhésion aux accords d’Abraham.
Tunis, UNIVERSNEWS (Santé) – Des chiens errants, laissés sans surveillance, inquiètent les habitants. A Gabès, un homme a été attaqué violemment par une horde d’environ neuf chiens féroces, appartenant à une personne active dans l’élevage et la vente de chiens de type « Pitbull ».
L’incident s’est produit jeudi dernier, alors que la victime se rendait à son travail lorsqu’il a été surpris par une attaque collective de chiens, ce qui lui a causé des blessures graves et sérieuses sur différentes parties de son corps, nécessitant trois opérations chirurgicales d’urgence. (M.S)
Tunis, UNIVERSNEWS (High Tech) – L’avenir du travail évolue à grande vitesse, porté par la transition numérique, l’intelligence artificielle et les défis environnementaux. Certains métiers émergents vont exploser tandis que d’autres, plus traditionnels, se transforment pour répondre aux nouvelles attentes du marché. Quels sont les métiers d’avenir qui offrent des débouchés stables, des salaires attractifs et de vraies perspectives d’évolution, en Tunisie comme à l’international ? Quelles compétences faut-il pour devenir architecte en personnalité robotique ? Quels langages faut-il apprendre pour parler aux futures machines ? Quelles études faut-il entreprendre pour devenir designer UX, ingénieur en énergie circulaire ou médiateur scientifique ?
Avec le développement de l’intelligence artificielle et de la robotique, il est estimé qu’environ un quart des emplois sont exposés à l’automatisation dans les années à venir. Si certains métiers sont progressivement amenés à disparaître, de nouveaux emplois dotés de compétences et d’aptitudes différentes vont en parallèle se développer ou émerger. Jamel Gafsi, responsable de l’innovation et de l’incubation chez Microsoft, partage ses réflexions sur l’impact révolutionnaire de l’intelligence artificielle sur l’éducation et le monde du travail .Il a estimé lors de Tunisia Global Forum organisé par l’ATUGE que plus de 80% des emplois futurs n’existent pas encore et comment la Tunisie peut devenir un acteur majeur de cette transformation.
Pour une éducation certifiante
Jamel Gafsi a mis en lumière lors de son passage à Express.fm, l’importance cruciale de l’éducation en Tunisie et la nécessité de passer à une ‘éducation certifiante’. Il explique comment l’IA, loin de remplacer la pensée critique, la rend plus essentielle que jamais. Comprenez pourquoi la mémorisation n’est plus la clé et comment des outils comme ChatGPT redéfinissent l’apprentissage. Les investissements massifs dans les centres de données et le cloud, et leurs avancées vont remodeler des secteurs entiers. Le rôle des enseignants évolue, passant d’instructeurs à ‘chefs d’orchestre’ de l’apprentissage personnalisé. .
L’intelligence artificielle et l’emploi
Les débats autour de l’impact de l’intelligence artificielle sur le travail et l’emploi sont nombreux. Les questionnements de l’impact de l’IA sur le travail et l’emploi sont nombreux et font l’objet de débats nourris, les uns arguant que l’IA détruira des emplois provoquant un chômage en masse, les autres qu’au contraire cela créera de nouvelles opportunités. D’autres encore considèrent que l’irruption de l’IA va transformer radicalement le rapport au travail, à la productivité ou aux échanges, tant positivement que négativement. Cette dynamique va certes générer de nouvelles formes de travail. Mais cette IA nécessite un effort de formation important, en premier lieu au profit des travailleurs qui l’utilisent déjà, et cet effort est bien engagé par un grand nombre d’entreprises.
L’IA a des effets positifs tout d’abord parce qu’elle suscite une montée en compétences qui concerne tous les niveaux de qualification, ensuite parce qu’elle permet le développement de nouveaux outils et qu’elle facilite les actions de formation. Jamel Gafsi dissipe les craintes concernant l’IA en traçant des parallèles avec les innovations passées, soulignant que l’IA créera de nouvelles opportunités d’emploi. Il faudrait se préparer à un avenir où l’apprentissage continu et l’innovation sont les maîtres mots ! (M.S)
Tunis, UNIVERSNEWS (Politique) -L’arrogance de la France et son premier ministre qui est plus à droite que l’extrême droite se paie cher, avec l’Algérie… surtout que les différends avec Paris ont été contrecarrés par Alger qui s’est tournée vers l’Italie et à un degré moindre vers l’Espagne, deux pays européens qui cherchent à entrer par la brèche que leur offre l’Hexagone, en exploitant l’animosité et l’esprit revanchard du nouveau ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, et son premier ministre François Bayrou. Les deux responsables semblent avoir une dent contre l’Algérie à qui ils veulent tordre le bras pour accepter le rapatriement de ses ressortissants à expulser de l’Hexagone.
La visite qu’a effectué le président algérien Tebboune, en Italie, et l’accueil en grandes pompes que lui a réservé la cheffe du gouvernement italien, Silvia Melloni ont été considéré par les analystes français comme un coup de poignard dans le dos de la France et que c’est un camoufler pour la diplomatie française qui n’a pas cherché à calmer le jeu avec Alger… ce qui fait les affaires de Rome et de Madrid qui ont saisi la balle au vol, pour chercher à remplacer Paris, tout en ajoutant de l’huile sur le feu, pour que la tension ne baisse pas entre le pays maghrébin et son homologue européen.
Pour le journaliste Louis de Raguenel qui a analysé la situation sur Euronews, « il est malheureux de voir ces images », en parlant de la visite de Tebboune à Rome et l’accueil par Melloni, tout en exprimant des craintes des accords qui vont être signés, dans les jours qui viennent et qui risquent de porter préjudice aux intérêts français. Conséquence : Partenariats dans les secteurs du gaz, du pétrole ou du numérique, coopération dans le domaine de la défense, de la lutte contre le terrorisme et de l’immigration illégale… La visite d’Abdelmadjid Tebboune à Rome scelle les relations au beau fixe entre l’Algérie et l’Italie, tandis que celles avec la France font marche arrière… grâce à ses dirigeants !!!