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Compétitivité en Afrique : Le besoin d’une discipline d’autodéveloppement

12. Mai 2025 um 18:30

Face à un système financier international démesuré, l’Afrique doit se prendre en charge à la faveur d’une discipline d’autodéveloppement bien orientée. Un enjeu tout à fait possible pour peu que notre continent puisse «sortir de sa dépendance à l’égard de l’aide et tracer, d’urgence, son avenir par l’autosuffisance, les partenariats stratégiques et l’exploitation de ses vastes ressources».

La Presse — Tous les experts en conviennent : l’Afrique a tout ce qu’il faut pour se reconvertir en cercle de pouvoir souverain. Une ambition tout à fait légitime, surtout que ce continent est en train, grâce à l’importance de son potentiel naturel, d’élargir progressivement son champ d’influence au niveau de la sphère internationale.

Une telle espérance repose, en plus de la question géographique qualifiée de très avantageuse, sur d’autres paramètres solides. D’abord, un capital humain considérable, avec plus de 1,5 milliard d’habitants. 

Un véritable eldorado… pour les autres !

Selon un rapport international, « ce potentiel serait, d’ici 2050, d’environ 2,5 milliards ». Mais ce qui fonde réellement l’ambition d’un centre international décisif, ce sont certainement ses richesses naturelles, avec notamment plus de 30 % des ressources minérales mondiales. Un capital impressionnant qui se retrouve, malheureusement, pillé ou du moins mis au profit des puissances étrangères, qui ont vu dans ce continent un véritable eldorado. Une exploitation qu’elles considèrent comme un plein droit. Un beau gâchis pour le continent. Car, au moment où les pays occidentaux s’enrichissent, l’Afrique continue à s’appauvrir. 

D’ailleurs, selon le rapport de Global finance 2024, «les cinq pays les plus pauvres de la planète sont tous des africains, alors qu’ils disposent de ressources abondantes».

Un tableau paradoxal démesuré. Heureusement, depuis quelques années, l’on assiste à une prise de conscience africaine profonde de la nécessité d’en finir avec cette exploitation presque gratuite. D’où ces voix élevées, ici et là, pour procéder à une transformation radicale de la situation actuelle. 

On se rappelle d’ailleurs que lors du sommet de l’Union africaine, en 2015, à Addis Abeba, un document directif, «Agenda 2063», a été ratifié, pour faire de l’Afrique un pôle de décision international d’ici 2063. Un objectif tout à fait possible pour un continent qui dispose, à la fois, de la matière première et encore plus de l’expertise. Il suffit donc de trouver la parade financière adéquate.

L’engagement et les appels, de plus en plus pressants, aussi bien des décideurs que des organisations et autres institutions africaines, comme la Banque africaine de développement, pour une transformation imminente de l’architecture financière internationale, corroborent cette orientation.

Un système financier international défaillant

Cette transformation est d’autant plus incontournable que le nouveau contexte économique mondial se retrouve face à de nouvelles pressions complexes, marqué essentiellement, comme on l’a déjà souligné sur ces mêmes colonnes, par « un retour massif au protectionnisme, une réduction sensible de l’aide au développement et l’envol des coûts des services à la dette ». Une nouvelle situation qui exige une levée immédiate des freins financiers internationaux au profit de l’Afrique. Une exigence qui permettrait au continent de se prendre, finalement, en charge et d’engager son propre développement. L’Afrique a besoin justement de redéfinir les perspectives de sa croissance et d’identifier, notamment, ses priorités stratégiques, qui reposeraient, en grande partie, sur une industrialisation profonde, une modernisation totale de son agriculture, une innovation financière appropriée, une large digitalisation, le tout sous la coupole d’un verdissement réfléchi de son économie.

Et l’enjeu de verdissement…

Et c’est bien évidemment cet enjeu de verdissement qui fait défaut aux économies africaines, car les quotas du continent des obligations vertes mondiales ne sont seulement pas insignifiants (moins de 1%) mais aussi trop exigeantes. Tout comme la majorité des autres aides financières. Autant donc de paradoxes pénalisants qui légitiment la détermination du continent à instaurer un nouveau système d’attribution financière. Ce qui désole les pays africains, comme le souligne un récent rapport, « c’est que les instances financières internationales ne prennent pas en considération les actifs naturels dans le calcul de leur PIB », or, soutient le rapport, « ce qu’apportent uniquement les forêts africaines au monde, notamment en termes de séquestration du carbone, de contrôle de la pollution, de rétention de l’eau et de fertilité des sols est impressionnant ». Le système est donc défaillant. On estime, en effet, que toute ressource naturelle est une richesse, elle doit donc être comptabilisée.

Toutefois, l’Afrique doit, de son côté, apprendre à compter sur ses propres moyens.  Akinwumi Adesina, président de la BAD, disait en avril dernier que « l’Afrique devrait sortir de sa dépendance à l’égard de l’aide et tracer, d’urgence, son avenir par l’autosuffisance, les partenariats stratégiques et l’exploitation de ses vastes ressources ». Pour cela, il est nécessaire de développer « une discipline d’investissement et mettre rapidement et totalement en œuvre la zone de libre-échange continentale africaine », ce qui permettrait de « produire localement, acheter localement et commercer plus localement ».

Plus important encore, la volatilité du marché économique mondial semble favorable à l’Afrique, surtout que toutes les projections affirment que le prix des minéraux stratégiques serait quadruplé d’ici 2040. De ce fait, avec plus de 30 % des réserves mondiales, l’Afrique est bien positionnée pour « s’envoler ».

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Biens confisqués : Le droit à une justice économique

11. Mai 2025 um 17:20

Encore une fois, le dossier des biens confisqués se replace au cœur de l’actualité. C’est qu’avec l’engagement concret de la phase de «reconstruction et d’édification», nos finances ont besoin, en toute urgence, de nouvelles injections pour pouvoir bien gérer cette étape stratégique. Surtout lorsque ces injections sont aussi colossales que celles de la confiscation.

La Presse — La situation financière nationale, même si elle continue à s’améliorer progressivement, reste toujours difficile et nécessite la mobilisation urgente de nouvelles ressources. Cette exigence est d’autant plus incontournable que notre pays, qui a réussi à bien préparer l’environnement de la relance socioéconomique, s’est engagé, concrètement, dans la phase de reconstruction et d’édification. Une étape cruciale qui implique des injections financières régulières assez conséquentes.

C’est pour cette raison d’ailleurs que le Chef de l’Etat remonte, à chaque fois, au créneau pour rappeler la nécessité d’accélérer la réalisation de tous les programmes prévus pour la consolidation des ressources propres du pays.

Toutefois, malgré la délicatesse de l’enjeu, certains dossiers, pourtant prioritaires, n’arrivent pas suivre le rythme rapide, en raison certainement d’une approche d’exécution à la fois inefficace, complexe et confuse.

C’est le cas du dossier des biens confisqués ou cédés qui continue, depuis plus de 15 ans déjà, à tourner au ralenti pour ne pas dire qu’il est totalement bloqué. Or, comme on l’a déjà soulevé sur ces mêmes colonnes, un bon déblocage de ce dossier constituerait, sans aucun doute, une bonne bouffée d’oxygène pour nos finances publiques, toujours en besoin pressant de nouvelles «perfusions financières».

Et c’est, de toute évidence, cette inefficacité qui semble non seulement déchanter mais également révolter le Président de la République qui revient à la charge pour recommander de «l’implication totale, de la responsabilisation, du dévouement et de la cohérence».

On se rappelle que lors d’un entretien, le 25 mars 2025, avec la Cheffe du gouvernement et la ministre des Finances, le Président de la République a qualifié la situation «d’intolérable, notamment face aux nombreux abus qui ont marqué ce dossier». D’où la recommandation d’un nouveau plan d’action qui soit en mesure de résoudre définitivement le dossier».

Des solutions positives et radicales

Il est question, en plus clair, d’une démarche capable d’apporter des solutions positives et radicales à toutes les questions qui freinent l’aboutissement de ce programme et de garantir, du coup, au peuple tunisien son droit à «la justice économique».

Ces réponses doivent porter essentiellement, en plus de l’unification des actions de tous les intervenants, sur la précision au niveau de l’inventaire, la bonne expertise, l’évaluation appropriée des acquis et surtout leur bonne orientation.

Ce qui serait encore plus efficace, s’est d’associer à ce dossier, comme l’a affirmé à plusieurs reprises  le Chef de l’Etat, un cadre juridique et législatif aussi performant. Cette question est d’autant plus fondamentale qu’elle aiderait, non seulement à assouplir les démarches mais aussi et surtout à garantir une récupération entière des biens. Car, comme le rappelle le Président Kaïs Saïed, aucune renonciation ne serait tolérée ou permise. Le peuple tunisien doit reconquérir ses biens dans leur ensemble.

Les défis de la qualité totale

10. Mai 2025 um 17:00

Les exportations, notamment celles de nos produits phares, continuent à bien se comporter sur les marchés extérieurs. C’est le cas, entre autres, de l’huile d’olive. Selon les dernières statistiques, 112,5 mille tonnes ont été exportées entre octobre 2024 et mars 2025, contre 62,2 mille durant la même période de l’année écoulée. Un bond record de plus de 85%. 

En temps normal, une telle performance aurait dû nous enchanter.  Ce n’est malheureusement pas le cas, car en termes de valeur, le résultat ne semble pas aussi impressionnant que le pensent certains. Les recettes, au premier trimestre 2025, se sont situées à 1,44 milliard de dinars seulement, contre 1,71 milliard à la même période de l’exercice écoulé. Il s’agit, de toute évidence, d’une contre-performance.

Certes, le marché international de l’huile d’olive se trouve depuis quelque temps sous pression, avec des baisses sensibles des prix mondiaux, mais on reconnaît, tout de même, que notre produit stratégique n’arrive toujours pas à passer à un palier supérieur au niveau de la qualité. L’huile d’olive tunisienne est restée, faute de planification et de prospective, enfermée dans un cercle d’autosuffisance qui s’avère, d’une année à l’autre, pénalisant.

Les analystes estiment, en effet, que cette autosuffisance cache, en réalité, des défaillances structurelles profondes, marquées, essentiellement, par une capacité nationale, notamment de transformation et de conditionnement, trop timide.

Les statistiques révèlent d’ailleurs que la part de l’huile conditionnée a reculé de 10,8% à 9,4%, alors que celle en vrac continue à dominer la quasi-totalité de nos exportations avec 90,6%. L’écart est donc trop important pour prétendre à des recettes consistantes. 

Et il faut reconnaître que cette question de la qualité ne se limite pas à l’huile d’olive, mais elle concerne, malheureusement, la majorité de nos produits stratégiques. On pense ainsi au tourisme qui, malgré les 10 millions de visiteurs, continue à être distancé, faute d’une offre diversifiée, attractive et innovante. Le même constat s’applique aux industries manufacturières qui, restées longtemps le fleuron de nos exportations, semblent, de plus en plus, essoufflées et surtout vulnérables, faute également de modernisation et d’un bon niveau d’intégration dans les chaînes de valeur internationales. Et loin de dramatiser, la liste, reste, bien entendu, longue.

La situation actuelle n’est pas encore dramatique, mais elle pourrait devenir à risque en l’absence, comme le recommandent, à chaque fois, nos premiers décideurs, de solutions urgentes, concrètes et radicales, surtout que nos concurrents directs sont en train de gagner rapidement du terrain à tous les niveaux.

Nos architectes économiques doivent jouer aujourd’hui la carte de la qualité totale à travers notamment la modernisation des processus de fabrication, l’amélioration du niveau de digitalisation et d’innovation, la labellisation ou encore la multiplication des chaînes de valeur.

Des orientations désormais incontournables, surtout que la volatilité des marchés internationaux, le retour en force au protectionnisme et les pressions des nouvelles politiques commerciales imposent à toutes les économies un niveau concurrentiel hautement élevé.

Compétitivité économique en Afrique : L’exigence d’une revalorisation sérieuse du capital naturel

08. Mai 2025 um 18:10

Dans un contexte économique international marqué par un retour massif au protectionnisme, une réduction sensible de l’aide au développement et des services à la dette très coûteux, l’Afrique a besoin d’une revalorisation sérieuse de son capital naturel pour pouvoir assurer rapidement son propre envol. Une exigence qui repose sur une transformation  profonde de l’architecture financière internationale.

La Presse — Tout au long de ces deux derniers jours, Tunis s’est retrouvée, une nouvelle fois, le centre africain des affaires et de la finance, en abritant la nouvelle édition de la conférence internationale de « Financing Investment and Trade in Africa, Fita 2025 ».

Un rendez-vous qui se veut décisif, pour repenser l’enjeu de la compétitivité en Afrique et les exigences d’une transformation rapide de la carte géo-financière internationale.

Il est vrai que l’Afrique, pour longtemps oubliée et défavorisée par les institutions financières internationales, est déterminée aujourd’hui de prétendre à un partage équitable et surtout mérité des injections financières internationales. 

C’est ce qu’a affirmé d’ailleurs, Akinwumi Adesina, président de la Banque Africaine de Développement, lors des journées annuelles de l’institution. Pour lui, « l’Afrique a été pour longtemps mise à l’écart, il est temps donc de revoir cette architecture pour tenir compte de nos besoins réels » (voir La Presse du 12 avril 2025).

Cette remise en ordre est d’autant plus incontournable que le manque de liquidités au niveau du Continent pénalise profondément un potentiel naturel hautement important, ce qui laisse la voie largement ouverte à d’autres parties d’en tirer pleinement profit.

Aujourd’hui, un tel paradoxe n’est plus permis, car l’Afrique dispose du plein droit de réévaluer son capital naturel et transformer ainsi son paysage socioéconomique. Une démarche que la BAD juge, selon un rapport sur la compétitivité en Afrique, « essentielle pour attirer les investissements, renforcer la durabilité financière et ouvrir la voie à un développement inclusif et résilient ».

Repenser les obligations vertes mondiales

L’Afrique est capable justement de s’assurer rapidement un envol économique considérable pour peu qu’elle puisse verdir convenablement son potentiel.

Un enjeu difficile à relever à l’état actuel en raison de l’importance de l’écart entre le capital et les ressources monétaires. Selon le même rapport, « si le capital naturel de l’Afrique est estimé à plus de 6.200 de milliards de dollars, le continent capte moins de 1% uniquement des 2.200 milliards de dollars des obligations vertes mondiales ». 

L’institution bancaire estime ainsi qu’il est nécessaire aujourd’hui de revoir, en profondeur, le niveau « d’accès de l’Afrique au marché mondial des obligations vertes pour pouvoir mieux investir, notamment, dans les infrastructures écologiques résilientes et les technologies vertes ».

Une bonne évaluation du capital naturel de l’Afrique est d’autant plus importants qu’elle permettrait « d’améliorer sensiblement le profil de risque pays auprès des instances financières et autres agences de notation internationales, d’élargir la part du continent des crédits et d’alléger le coût de la dette extérieure ».

Toutefois, l’on estime que les pays africains sont appelés, eux-mêmes, à prendre toute la mesure de l’enjeu naturel et de l’intégrer dans toutes leurs stratégies économiques. Une telle mobilisation est d’autant plus importante qu’elle constituerait un argument d’influence supplémentaire auprès de la communauté internationale.

Mieux encore, cette prise de conscience de l’importance des richesses naturelles est désormais vitale pour la pérennité des économies africaines, surtout qu’elle intervient dans un contexte international marqué essentiellement par « un retour massif au protectionnisme, une réduction sensible de l’aide au développement et un service à la dette très coûteux ».

De ce fait, la rencontre de Tunis, Fita 2025, pourrait constituer un point de départ pour fixer les premiers contours de cette nouvelle architecture financière. Et l’Afrique est en mesure de relever un tel défi, surtout qu’elle allie le potentiel à l’expertise.

Projet de loi de finances 2026 : Crédibilité, administration et affirmation sociale

07. Mai 2025 um 17:40

Le Président de la République a recommandé, en recevant, lundi, la Cheffe du gouvernement, de préparer, dès maintenant, le projet de loi de finances pour 2026. Un projet qui doit tenir compte, avant tout, de la restitution de la crédibilité de l’administration, la restauration de «la légitimité des fonctions publiques et de l’affirmation du rôle social de l’Etat».

La Presse — Encore une fois, le Président de la République, fidèle à ses engagements et en cohérence avec les fondements du nouveau modèle de développement, dont il a dessiné les contours,  donne sa pleine mesure à l’approche anticipative et réaffirme, du coup, sa détermination à réussir les enjeux stratégiques nationaux déjà fixés.

En effet, en recevant la Cheffe du gouvernement, lundi dernier, le Chef de l’Etat a ordonné d’engager, dès à présent, la préparation du projet de loi de finances 2026, dans une logique de consolidation de la dimension sociale de l’Etat.

Cette préparation, à l’avance, est d’autant plus significative qu’elle permettrait à nos architectes économiques et financiers de s’accorder le temps nécessaire pour, non seulement identifier les principales dispositions de la nouvelle loi mais aussi et surtout d’en évaluer l’impact et en mesurer ainsi la portée.

Cette préparation à l’avance reflète, si besoin est, le souci du Président Kaïs Saïed, d’en finir définitivement avec les erreurs du passé et d’instaurer les bases solides d’une politique sociale juste et équitable.

Une purge administrative à maintenir

Dans cette nouvelle politique, l’administration publique se repositionne, sans aucun doute, comme la locomotive. C’est pour cette raison, en effet, que le Chef de l’Etat recommande de «revoir en profondeur le fonctionnement de l’administration», tout en œuvrant à la «libérer de tous ceux qui s’y sont infiltrés sans respect de l’éthique ou de la responsabilité publique».

Une disposition incontournable, car elle aurait pour mérite de garantir un meilleur accès aux services publics, de servir les besoins réels de la population, de regagner la crédibilité de l’administration et de «restaurer la légitimité des fonctions publiques».

Il est clair donc que cette question de réajustement de l’administration s’inscrit au cœur même des priorités nationales, surtout qu’elle permettrait, une fois bien conduite, «la réouverture du dossier des recrutements». Un chantier toujours stratégique, notamment pour les diplômés de l’enseignement supérieur qui sont en mesure, comme le rappelle, à chaque fois, le Chef de l’Etat, «d’assumer des responsabilités, même sans expériences préalables». Et c’est bien là un engagement de redevabilité.

De toute évidence, dans la nouvelle architecture de la politique de développement nationale, et comme on l’a déjà souligné, il n’y a plus de place à l’oisiveté. On se rappelle d’ailleurs, que lors d’un entretien, tenu le 24 mars 2025, avec la Cheffe du gouvernement, le Président de la République a souligné «que dans la nouvelle Constitution, l’utilité est et restera le seul baromètre de la légitimité».

Une équation qui s’affirme, toujours, comme incontournable pour inscrire notre système de développement socioéconomique dans une logique de performance juste, durable et humaine.

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