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Heute — 27. Januar 2025Haupt-Feeds

Le Secrétaire d’État aux AE rencontre la communauté tunisienne au Kenya

27. Januar 2025 um 07:33

Le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, a rencontré, dimanche, à Nairobi, des membres de la communauté tunisienne résidant au Kenya.
Cette rencontre s’est tenue en marge de sa participation à la Retraite de haut niveau sur les réformes institutionnelles de l’Union africaine, organisée les 26 et 27 juin à Nairobi, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
À cette occasion, Mohamed Ben Ayed a mis en avant les efforts déployés par la Tunisie ces dernières années pour relancer la croissance économique. Il a insisté sur l’engagement de l’État à maintenir son rôle social, afin d’assurer un développement économique équilibré et inclusif.
Il a également souligné que la Tunisie retrouve progressivement sa place sur la scène africaine, en renforçant la coopération avec les pays du continent dans divers secteurs, notamment économiques, en tirant parti des richesses et des opportunités qu’offre l’Afrique.
Le secrétaire d’État a mis en lumière le rôle crucial de la diaspora tunisienne dans la promotion de l’image du pays à l’étranger. Il a réaffirmé que la Tunisie accorde une importance particulière à ses communautés expatriées, en les plaçant au centre de ses priorités.
Lors de la réunion, il s’est enquis des préoccupations des membres de la communauté tunisienne au Kenya, notamment en ce qui concerne les services consulaires. Mohamed Ben Ayed a assuré que le ministère œuvre activement à améliorer ces services et à fournir un soutien renforcé aux citoyens tunisiens résidant à l’étranger.

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Tunisie – La Fête du Japon 2025 : Une immersion dans la culture japonaise à la Cité de la Culture

25. Januar 2025 um 10:06

La Cité de la Culture Chedly Klibi à Tunis accueillera, le dimanche 9 février 2025, la “Fête du Japon 2025”, un événement dédié à la découverte de la richesse et de la diversité de la culture japonaise. De 11 h à 16 h, une série d’activités simultanées se déroulera dans les espaces du Théâtre de l’Opéra et du Théâtre des Jeunes Créateurs, informe l’ambassade du Japon en Tunisie.

La “Fête du Japon 2025” proposera aux visiteurs une programmation variée, avec notamment des spectacles traditionnels de tambours Taiko, présentés par des musiciens venus directement du Japon, ainsi que des performances de budo (arts martiaux traditionnels japonais) réalisées par des budôkas tunisiens. Les visiteurs pourront également profiter de la projection d’un film japonais, d’expositions d’art floral Ikebana, ainsi que d’autres facettes de la culture nippone.

Un événement parallèle célébrera le 50 anniversaire de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) en Tunisie, un partenaire de longue date qui œuvre, depuis 1975, dans trois grands axes de coopération : le développement industriel et des infrastructures économiques, le développement régional et l’aménagement des ressources en eau ainsi que la prévention des catastrophes naturelles. Parmi les réalisations emblématiques de la JICA en Tunisie figurent notamment le pont de Radès-La Goulette, la centrale électrique de Radès, les autoroutes reliant Sfax à El Jem et Gabès à Médenine, ainsi que la station de dessalement d’eau de mer de Sfax, entre autres.

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Foot – L’Espérance de Tunis confirme la déposition d’une réclamation contre l’O.Béja

24. Januar 2025 um 18:47

L’Espérance Sportive de Tunis a confirmé, ce vendredi, avoir déposé une réclamation contre l’Olympique de Béja pour le non-paiement des amendes infligées à certains de ses joueurs lors des précédentes journées.

Selon une source responsable au sein du club, cette réclamation a été déposée jeudi et a été confirmée aujourd’hui, conformément aux procédures en vigueur auprès de la Ligue Nationale de Football Professionnel. Le club a fourni tous les éléments nécessaires, y compris les arguments et les preuves, pour soutenir cette démarche.

Le match entre l’Espérance de Tunis et l’Olympique de Béja, joué mercredi dernier dans le cadre de la mise à jour de la 14e journée du championnat de la Ligue 1, s’est terminé sur un score de 1 but partout.

Le club sang et or occupe actuellement la 5e place avec 27 points, à 7 longueurs du leader, l’US Monastir. Le club a encore deux matches en retard à disputer, contre l’US Monastir et l’US Tataouine, comptant pour les 15e et 16e journées du championnat.

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L’Espérance ST réclame un arbitrage étranger pour son match choc contre l’US Monastir

24. Januar 2025 um 13:44

L’Espérance Sportive de Tunis a annoncé, vendredi, avoir adressé deux correspondances au Comité de normalisation mandaté par la FIFA pour gérer les affaires de la Fédération Tunisienne de Football (FTF), afin de réclamer un trio arbitral étranger pour diriger son match en retard contre l’Union Sportive Monastirienne, prévu dimanche, dans le cadre de la 15e journée du championnat de la Ligue 1.

Le club a indiqué, dans un communiqué, avoir avisé ledit Comité de normalisation de son attachement à faire appel à des arbitres étrangers pour le choc de dimanche, comme cela a été le cas pour d’autres matchs importants.

Cette requête, ajoute le club, est motivée par ce qu’elle qualifie de « désignations étranges » et d’erreurs d’arbitrage graves de certains arbitres ayant influencé les résultats de matchs décisifs.

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La Tunisie prévoit de produire 550 000 quintaux de semences de qualité supérieure d’ici 2035

24. Januar 2025 um 12:58
Le workshop vise à évaluer la filière de semences sélectionnées des céréales et à examiner les moyens de la développer sur la base des résultats du projet afin de garantir aux agriculteurs laccès à des semences de haute qualité qui peuvent améliorer la productivité du blé et renforcer la sécurité alimentaire.

Chèques antidatés interdits: comment la loi N° 41-2024 redessine le paysage financier tunisien ?

22. Januar 2025 um 20:51

La loi N° 41-2024, promulguée le 2 août 2024 et portant principalement sur la nouvelle réglementation des chèques, entrera en vigueur le 2 février 2025. Elle s’inscrit dans le cadre des réformes de rupture, qui impliquent généralement des coûts à court terme, mais génèrent des rendements significatifs à long terme, à condition d’être bien mises en œuvre, a déclaré l’expert bancaire et financier Ahmed El Karm à l’Agence TAP.
« Il s’agit d’une loi novatrice visant à rationaliser l’usage du chèque, un instrument de paiement en déclin dans la plupart des économies développées et même dans de nombreuses économies en développement, où des moyens de paiement alternatifs modernes ont été adoptés. La Tunisie gagnerait à s’inspirer de ces modèles pour réduire le recours aux chèques tout en promouvant des solutions de paiement moins coûteuses, plus sûres et plus pratiques », a affirmé El Karm, également président d’honneur de l’Association tunisienne pour la promotion de la culture financière (ATCF).

Nécessité de développer des instruments de paiement alternatifs

El Karm a souligné que les instruments de paiement alternatifs sont nombreux. En premier lieu, les cartes de paiement, dont l’usage se consolide en Tunisie, mais reste dominé par les retraits d’espèces. En effet, les cartes ne sont utilisées que pour environ 40 % des transactions économiques.
Selon lui, cette situation pourrait s’expliquer par la traçabilité qu’implique le paiement par carte, un facteur susceptible de dissuader certains commerçants. D’où la nécessité d’adopter des mesures fiscales réduisant les taxes sur les transactions par carte par rapport aux paiements en espèces. Il recommande également une refonte du système des commissions bancaires pour pénaliser les retraits en espèces aux guichets et rendre plus avantageux les paiements par carte ou par d’autres moyens électroniques.
« Toute une série de mesures d’accompagnement doit être mise en place pour favoriser l’évolution des paiements par carte en Tunisie », a-t-il insisté.
El Karm a également évoqué les paiements mobiles, largement adoptés en Inde, en Chine et dans de nombreux pays d’Afrique subsaharienne, mais encore peu développés en Tunisie. Il estime que l’État, les banques, les opérateurs téléphoniques et les établissements de paiement agréés doivent collaborer pour stimuler ce mode de paiement en le rendant aussi attractif que les espèces.
En outre, le commerce électronique reste marginal en Tunisie, alors qu’il connaît une forte croissance à l’échelle mondiale. « Avec une jeunesse à l’aise avec les technologies modernes, la Tunisie dispose d’un atout majeur pour développer le commerce électronique et accroître la part des paiements digitaux. Cela nécessiterait toutefois une modernisation de la réglementation pour instaurer un climat de confiance entre consommateurs et commerçants et mettre fin aux paiements en espèces à la livraison », a-t-il déclaré.
Les virements bancaires, bien qu’efficaces dans d’autres pays où ils s’exécutent en quelques secondes, souffrent encore de lenteur en Tunisie. El Karm a souligné que leur accélération pourrait encourager leur adoption, en ligne avec les standards internationaux déjà appliqués par de nombreux partenaires européens.

Fin des chèques antidatés

La nouvelle loi interdit également les paiements échelonnés via des chèques antidatés, une pratique largement répandue en Tunisie, malgré son caractère illégal sous l’ancienne législation. Cette interdiction, selon El Karm, affectera les habitudes de consommation des particuliers et les pratiques de gestion de trésorerie des petites et moyennes entreprises (PME). Il estime que des mesures d’accompagnement seront nécessaires pour aider les différents acteurs à s’adapter à ce changement.
Pour les entreprises, il recommande de perfectionner l’offre en matière de crédits d’exploitation en s’appuyant sur des systèmes de notation permettant d’évaluer les risques et de répondre rapidement aux besoins de financement. Il suggère également une modernisation du cadre légal des effets de commerce pour mieux protéger les créanciers et simplifier les procédures.
Concernant les particuliers, El Karm plaide pour le développement de crédits à la consommation. Il insiste sur l’importance de rendre opérationnelles les sociétés d’information sur les crédits (Credit Bureau), dont le cadre légal a été adopté en 2022, mais qui restent inactives.
Il estime que la généralisation des crédits d’exploitation et de consommation, combinée à une meilleure gestion des risques, pourrait élargir la base d’emprunteurs et créer une dynamique favorable à des conditions d’octroi plus avantageuses.

Un tournant vers une économie digitalisée

Pour réussir cette transition, El Karm souligne que les banques tunisiennes, déjà bien équipées, doivent offrir des alternatives modernes aux chèques antidatés. L’État, de son côté, doit ajuster la réglementation, lever les blocages éventuels et accompagner cette dynamique de manière proactive.
« La loi sur les chèques représente une opportunité majeure pour moderniser le système national de paiements, réduire l’usage des espèces, renforcer la politique nationale de decashing et encourager la transition vers une économie plus digitalisée. Cependant, cette transition nécessitera une gestion fine de la période transitoire et une proximité accrue avec les citoyens et les entreprises pour résoudre les éventuels blocages », a conclu El Karm.

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