Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Projets bloqués : Fallait-il que le Chef de l’Etat intervienne en personne pour débloquer une situation du ressort d’un ministre ou d’une autorité locale ?

20. Dezember 2024 um 18:05

Un blocage souvent anormal

La dernière visite du Chef de l’Etat à Ben Guerdane et dans les différentes localités de Sidi Bouzid s’inscrit dans cette nouvelle politique où le souci de veiller sur les biens de l’Etat jouit d’une très haute importance. Des visites du Président au cours desquelles il a mis le doigt sur plusieurs projets bloqués et où son intervention personnelle a débloqué la situation. Oui mais jusqu’à quand, alors que cela devrait être du ressort d’un ministre ou d’un gouverneur ?

Une des préoccupations majeures qui revient lors des interventions du Président de la République est celle des projets bloqués, qui sont, malheureusement assez nombreux et dont la plupart hérités des dernières années, plus précisément celles de la décennie noire, voire avant.

Et il a fallu que le Chef de l’Etat multiplie les visites inopinées dans les diverses régions du pays pour découvrir l’ampleur des défaillances dues, surtout, à la mauvaise gestion des responsables concernés, aux malversations, à la corruption ainsi qu’aux tentatives de certains lobbies de mettre la main sur les richesses de l’Etat et du peuple.

Or, en dépit des appels et des mesures prises par le Président Kaïs Saïed pour pallier les dysfonctionnements et rectifier le tir, nombreuses sont les anomalies demeurées en l’état, mais c’est compter sans cette volonté de bien faire en vue de garantir un futur prospère à toutes les Tunisiennes et à tous les Tunisiens.

Ainsi, en optant pour une approche efficace, le Président de la République a tenu à assurer un suivi rigoureux au quotidien en mettant le doigt, chaque jour, sur un dossier touchant de très près les citoyens dans un cadre de bonne gouvernance et de gestion bénéfique de la chose publique.

D’ailleurs, on ne compte plus les visites inopinées du Chef de l’Etat et ses injonctions auprès des membres du gouvernements et autres responsables régionaux pour qu’ils assument leurs prérogatives et leurs responsabilités en vue d’assurer une qualité de vie digne et décente à tous les citoyens où qu’ils se trouvent.

C’est dans ce cadre que le Chef de l’Etat n’a pas arrêté de sillonner, de long en large, toutes les régions de Tunisie avec des visites couvrant tout le territoire allant de la capitale et du Nord jusqu’à l’extrême sud en plein cœur du Sahara, sachant qu’à chaque déplacement, le Chef de l’Etat crie haut et fort en faisant les constats qui s’imposent avant d’annoncer les décisions adéquates pour corriger les anomalies. C’est dire que le Chef de l’Etat est en train de livrer, comme il le mentionne dans ses multiples déclarations et mesures, une véritable guerre qu’il qualifie de libération afin de permettre au peuple, qui a fait la révolution, de concrétiser ses attentes ambitieuses.

Toutefois, la question qui se pose est la suivante : fallait-il que le Président de la République intervienne en personne pour débloquer une situation qui est du ressort d’un ministre ou d’une autorité locale ?

Pourtant, les blocages constatés sont de nature anormale puisque le Président Kaïs Saïed a tenu à dire, tout récemment, que les autorités régionales ne doivent plus attendre les directives ou les ordres d’en haut pour agir et prendre les mesures exigées pour assurer le développement de leurs régions et l’exécution des projets publics et privés.

Pour être encore plus clair, on peut dire que le temps de l’attentisme et de l’inaction est révolu et que chaque responsable est appelé à l’être dans le sens plein du terme afin que la dynamique socioéconomique soit de mise et bien concrète.

L’article Projets bloqués : Fallait-il que le Chef de l’Etat intervienne en personne pour débloquer une situation du ressort d’un ministre ou d’une autorité locale ? est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

La prochaine saison touristique se prépare dès maintenant

19. Dezember 2024 um 17:00

Faire des bilans en ces derniers jours de fin d’année 2024 ne peut être que constructif et positif dans le sens où l’ensemble des réalisations et les éventuels points négatifs servent à tirer les enseignements pour élaborer les prochaines stratégies sur des bases solides dans le but évident de repartir du bon pied.

Ainsi, est-il bon d’être prévoyant et de mettre en place des plans pour la gestion saine de la chose publique concernant les différents secteurs en vue de les consolider comme c’est le cas du tourisme qui reste un des facteurs capables de booster la dynamique économique qui enregistre, d’ailleurs, des performances brillantes de nature à offrir les éléments nécessaires à l’amélioration des conditions et de la qualité de la vie des citoyens où qu’ils se trouvent.

C’est dans ce contexte qu’il faut mentionner la persistance de la Tunisie en tant que destination préférée de nos frères algériens qui demeurent en tête des visiteurs étrangers pour diverses raisons, sachant que cette tendance est visible depuis 2023.

A noter, dans la foulée, que le renforcement des relations tuniso-algériennes, sous la direction des deux Présidents, Kaïs Saïed et Abdelmadjid Tebboune, a contribué à son tour au maintien du cap au niveau des échanges entre les deux pays dont, bien entendu, le déplacement des Algériens vers la Tunisie. 

Comme constaté, les chiffres sont à la hausse et tout laisse entrevoir qu’ils seront encore meilleurs durant les périodes à venir dans la mesure où toutes les données actuelles confirment que les objectifs pour 2024 ont été atteints, voire dépassés.

Et si l’on sait qu’une fois le retour à la normale, côté libyen, sur les frontières tuniso-libyennes est confirmé, les espoirs seront encore plus prometteurs de voir les frères libyens affluer en force vers notre pays.

De leur côté, les voyageurs européens, plus particulièrement français et, à un degré moindre, anglais, devraient être bien plus nombreux à se rendre en Tunisie, facilement accessible aux familles grâce à des tarifs attractifs et à une bonne connectivité.

C’est dire que le constat fait en ces derniers jours de l’année incite à redoubler d’efforts pour aller encore de l’avant et renforcer les chiffres pour une situation améliorée au cours de 2025 au grand bonheur des Tunisiennes et des Tunisiens avec la sensation d’être fiers de notre pays attaché à l’indépendance de ses décisions et à sa souveraineté nationale.

L’article La prochaine saison touristique se prépare dès maintenant est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Aujourd’hui, Fête de la Révolution – Aux sources des vrais objectifs de la Révolution

17. Dezember 2024 um 12:00

Il a fallu pas moins de dix ans pour que la Révolution tunisienne retrouve son ADN grâce au décret émis le 7 décembre 2021 par le Président de la République, Kaïs Saïed, changeant la date de la fête de la Révolution du 14 janvier au 17 décembre, date du déclenchement du soulèvement populaire.

La Presse — En effet, le Chef de l’Etat considère que la Révolution de 2010-2011 doit être célébrée le 17 décembre, jour de l’immolation du jeune vendeur ambulant Mohamed Bouazizi, et non le 14 janvier, date de la fuite de Zine El-Abidine Ben Ali.

Ainsi, cette nouvelle date est désormais fériée et célébrée dans tout le pays après cette décision politique qui rend à César ce qui lui appartient,  ce qui lui confère une réelle reconnaissance historique de l’importance des faits majeurs ayant métamorphosé la physionomie de la Tunisie en ce 17 décembre 2010, d’où le soutien de toutes les Tunisiennes et tous les Tunisiens à ladite décision ayant rétabli les faits dans leur vrai contexte.

Il faut dire que les citoyens, plus particulièrement ceux résidant à Sidi Bouzid, sont fiers de cet épisode et apprécient à sa juste valeur ce retour aux sources, expliquant le vote massif, dès 2019, de la jeunesse révolutionnaire en faveur du Président de la République dont le programme était basé sur les revendications et les attentes  des populations réclamant une Constitution qui prend en compte les droits des Tunisiens et non pas sur les choix ou les intérêts étroits de certains partis politiques.

Le 17 décembre est, en fin de compte, une date-symbole qui a guidé les pas de la jeunesse des années durant et dont la ferveur ne s’est jamais estompée malgré les tentatives de certaines parties de contourner cette page alors que les jeunes ont repris, progressivement, confiance en leurs moyens et leur capacité à changer les choses.

Sans oublier que la candidature de Kaïs Saïed à l’élection de 2019 a redonné des ailes, sachant que sa réélection, en cette année 2024, a remis les pendules à l’heure, tout en confirmant l’originalité de la Révolution tunisienne, à savoir sa spontanéité, son caractère non programmé malgré des slogans clairs, en l’occurrence la lutte pour le travail, la liberté et la dignité.

14 ans après le déclenchement du soulèvement populaire, il était temps de retrouver la flamme marquant l’ampleur des aspirations pour un avenir toujours meilleur grâce à la conviction affichée par le Président Kaïs Saïed de passer à des paliers supérieurs dans la lutte contre la corruption et instaurer de vrais paramètres en vue de faire régner la bonne gouvernance.

L’article Aujourd’hui, Fête de la Révolution – Aux sources des vrais objectifs de la Révolution est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

La Tunisie à la tête des 5+5 : atteindre les objectifs partagés

16. Dezember 2024 um 17:00

Une nouvelle distinction qu’engrange la Tunisie nouvelle avec sa participation remarquable et remarquée, le 12 décembre 2024 à Madrid, à la réunion de l’Initiative “5+5 Défense”, à laquelle ont pris part des ministres de la Défense et des chefs de délégation des pays membres.

En effet, cet événement a constitué une opportunité pour notre pays de se voir confier la présidence de ce groupe pour la prochaine année 2025 et de succéder à l’Espagne.

Représentée par le ministre de la Défense nationale, la Tunisie a tenu à mettre en exergue les résultats des activités de l’initiative dans les domaines de la formation, de l’entraînement et de la surveillance maritime, une initiative que notre pays s’est engagé, selon le ministre de la Défense, à soutenir tout en appelant à consolider la coordination entre ses pays membres concernant les diverses questions d’intérêt commun, dont on cite la migration irrégulière, la cybersécurité, la sécurité maritime et les opérations de recherche et de sauvetage en mer.

En outre, et fidèle à l’approche prospective prônée par le Président de la République, Kaïs Saïed, et afin de positiver la présidence de la Tunisie, coïncidant avec le 20e anniversaire de l’Initiative, on annonce l’organisation en 2025 d’un forum en Tunisie sur le thème «L’initiative 5+5 Défense : réalité et perspectives futures», et dont les résultats devraient renforcer le plan d’action convenu pour l’année prochaine et définir les orientations futures des activités de ladite initiative.

Celle-ci semble dépasser les lenteurs ayant marqué son évolution durant la dernière décennie et entrer de plain-pied dans un nouveau processus en vue d’avoir un rendement autrement plus efficace suite à l’éventuelle consécration de l’émergence d’un sous-ensemble régional pour la mise en place d’un Dialogue constant 5+5, tout en élargissant son rôle à d’autres sphères.

La Tunisie de Kaïs Saïed prouve qu’elle mise sur son influence maghrébine, africaine et euro-méditerranéenne, tout en profitant de cette Initiative des 5+5  pour s’élargir progressivement vers de nouveaux domaines de coopération, dont notamment l’énergie renouvelable et l’environnement, la santé, l’éducation, la culture, le tourisme, la migration et l’eau.

La Tunisie, à la tête de l’Initiative des 5+5, aura ainsi l’occasion de travailler de concert avec ses proches partenaires, dans les années à venir, pour atteindre des objectifs partagés tout en ayant la latitude de faire face à des menaces communes.

L’article La Tunisie à la tête des 5+5 : atteindre les objectifs partagés est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Kaïs Saïed prend à bras-le-corps la situation environnementale: Les Tunisiens méritent un environnement sain

15. Dezember 2024 um 17:20

Un environnement sain, avec toutes les garanties nécessaires en vue de fournir les moyens adéquats à l’élimination des éventuels facteurs générateurs de pollution, constitue un droit élémentaire de l’Homme comme il est stipulé par l’article 47 de la Constitution tunisienne de 2022. 

En effet, il est nécessaire de mettre en place des mécanismes et autres approches innovantes favorisant la participation de tous les acteurs potentiels à instaurer un développement durable et de bénéficier d’un usage rationnel des ressources naturelles et d’une valorisation économique des ressources durables.

Ce sont là des concepts consacrés dans notre pays après le processus du 25 juillet 2021 et profondément ancrés dans la Tunisie nouvelle suite à la réélection triomphale du Président de la République, Kaïs Saïed, le 6 octobre 2024.

Et comme à l’accoutumée, le suivi vient d’en être confirmé par le Chef de l’Etat qui, en recevant, tout récemment, le ministre de l’Environnement, a insisté sur la nécessité de consolider la coordination entre les différents organes officiels en vue de mettre un terme, une fois pour toutes, à la situation, qualifiée, selon les propres termes du Président Saïed, de lamentable et inacceptable de l’environnement, notamment à cause du déversement anarchique des gravats et des déchets de construction.

Or, il va de soi qu’un dossier pareil ne peut être résolu du jour au lendemain, par de simples textes juridiques ou législatifs mais exige des efforts continus de toutes les parties intervenantes, plus particulièrement les citoyens, appelés à se réconcilier avec l’espace public avec un rappel de l’élan des Tunisiens, juste après  la révolution du 17 décembre 2010 et l’élection présidentielle de 2019, pour ramasser les déchets.

A ce propos, le Chef de l’Etat a fortement critiqué le rendement des mécanismes chargés de l’environnement, tout en dénonçant leur inefficacité et leur incapacité à avoir le rendement positif escompté dans plusieurs régions dont Sfax, Gabès et Gafsa.

Tout en rappelant les crises des déchets suite à des “magouilles”, œuvre de parties lugubres avec des complicités douteuses pour des affaires de gros sous.

Toutefois, il est utile d’évoquer que d’autres déchets représentent des dangers autrement plus graves, en l’occurrence ceux électroniques dont la production mondiale augmente cinq fois plus vite que le rythme du recyclage documenté des déchets électroniques.

D’ailleurs, selon les dernières statistiques rendues publiques par l’Agence nationale de gestion des déchets (Anged), en Tunisie, les quantités annuelles de déchets produits sont estimées à 100.000 tonnes, alors que le nombre d’entreprises autorisées pour la collecte, le recyclage et le traitement des équipements informatiques est limité, actuellement à seulement 17.

Ainsi, à ce rythme et si rien n’est fait dans un proche avenir, on s’attend à une croissance de 50% des déchets électroniques d’ici à 2030, rien que sur le continent africain, avec des conséquences potentiellement catastrophiques pour les populations et les écosystèmes. 

Nonobstant ces risques, ce défi pourrait au contraire constituer une belle opportunité de développement économique durable et d’emplois verts pour l’Afrique et, par ricochet, la Tunisie. L’objectif est ambitieux et exaltant, certes, mais il demeure encore long à atteindre.

En somme, le Président de la République est en train de prouver qu’il est temps de passer la vitesse supérieure dans le sens où le respect d’un environnement sain peut largement contribuer à une mise à niveau positive du système écologique et la réactivation des divers circuits, à savoir ceux de la mémoire de la terre, de l’olivier, des forêts tunisiennes, de l’eau de Zaghouan à Carthage, des villes andalouses et des îles tunisiennes.

En résumé, une économie verte et propre est une clé et une condition sine qua non pour réussir un développement durable et global devant profiter à tous les citoyens du pays. 

L’article Kaïs Saïed prend à bras-le-corps la situation environnementale: Les Tunisiens méritent un environnement sain est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

❌
❌