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Heute — 27. November 2025Haupt-Feeds

L’ancien ministre Samir Taïeb libéré

27. November 2025 um 16:37

Samir Taïeb, ancien ministre de l’Agriculture, et directeur général des terres domaniales comptent parmi les neuf personnes remises en liberté ce jeudi. Et ce, sur décision du juge d’instruction du pôle judiciaire financier.

Cette mesure intervient dans le cadre de l’enquête portant sur des soupçons de corruption financière et administrative au domaine d’Henchir Chellal, dans le gouvernorat de Sfax. Au total, sept des personnes concernées ont été relâchées sous caution, pour des montants compris entre 10 000 et 50 000 dinars tunisiens. Tandis que deux autres ont obtenu leur liberté sans condition financière.

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Affaire Henchir Chaâl : Neuf suspects, dont l’ex-ministre Samir Taieb, remis en liberté

27. November 2025 um 16:22

Le pôle judiciaire financier a ordonné ce jeudi la libération de neuf personnes poursuivies dans le dossier de Henchir Chaâl à Sfax, dont l’ancien ministre de l’Agriculture Samir Taieb. Sept d’entre elles ont été relâchées sous caution.

À Tunis, le juge d’instruction du pôle judiciaire financier a décidé ce jeudi 27 novembre de remettre en liberté neuf personnes impliquées dans l’affaire de Henchir Chaâl, un dossier portant sur de présumés abus administratifs et financiers dans la gestion de terres domaniales à Sfax. Parmi les libérés figure l’ex-ministre de l’Agriculture Samir Taieb. Les décisions incluent des cautions variables pour la majorité d’entre eux.

Dénouement provisoire dans un dossier de suspicion de corruption

Selon les informations communiquées par le pôle judiciaire financier et rapportées par Mosaique fm, neuf personnes ont obtenu leur mise en liberté provisoire dans le cadre d’une enquête ouverte sur des soupçons de mauvais usage et d’exploitation irrégulière de terres de l’État situées à Henchir Chaâl, dans le gouvernorat de Sfax.

Parmi les personnes concernées Samir Taieb, ancien ministre de l’Agriculture, le directeur général des terres domaniales, ainsi que plusieurs responsables administratifs liés au dossier.

L’affaire porte sur des accusations de corruption administrative et financière, notamment dans l’attribution, la gestion ou l’exploitation de parcelles relevant du domaine public agricole.

Précisions judiciaires

D’après les mêmes sources, sept des neuf personnes ont été libérées sous caution financière, dont le montant varie de 10.000 à 50.000 dinars selon les profils et la gravité présumée des faits. Deux autres suspects ont été libérés sans caution, signe d’une appréciation différente du degré d’implication ou des garanties de représentation.

L’enquête se poursuit, et les mises en liberté n’équivalent pas à un abandon des poursuites.

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CRLDHT | Sans le sou, Samir Taieb reste dans le trou  

25. November 2025 um 08:33

Dans un communiqué publié le 24 novembre 2025 et intitulé «La paradoxale situation de Samir Taieb :  sans sous, on reste dans le trou !», le Centre pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT) pose le problème de l’ancien ministre de l’Agriculture, incarcéré depuis novembre 2024 et qui est maintenu en prison, alors que le suspect principal dans la même affaire a été libéré provisoirement après avoir payé une lourde caution d’un montant de 50 000 dinars.

«La logique juridique et judiciaire exige que la détention soit l’exception, fondée sur des éléments factuels et moraux proportionnés à l’accusation et à l’infraction imputée à l’intéressé», rappelle le FTCR, qui estime que cette logique n’est pas respectée par la justice tunisienne, qui délivre à la hâte des mandats de dépôt contre des suspects qui restent longtemps incarcérés, alors que l’enquête s’éternise sans justification.

«Un mandat de dépôt a été émis contre M. Taieb en novembre 2024, avant même qu’il ne soit auditionné, et depuis il attend une expertise judiciaire plus lente que le corbeau de Noé», notre l’ONG tunisienne basée à Paris, qui explique: «Sur le fond de l’affaire, on impute à M. Taieb le fait d’avoir entériné une décision du conseil de l’Office des terres domaniales (OTD) concernant l’ajournement du recouvrement de dettes pour des agriculteurs — une procédure administrative de routine, surtout que le ministre est une autorité de tutelle et n’est pas compétent pour prendre la décision que l’Office a régulièrement prise selon les aléas des saisons.»

Le CRLDHT ajoute : «Parmi les prétendus bénéficiaires de la décision de l’OTD, l’homme d’affaires Abdelaziz Makhloufi, détenu lui aussi dans la même affaire et libéré provisoirement d’une façon soudaine et louche (…) Cette libération provisoire a été obtenue contre le paiement d’un montant astrologique à titre de dépôt (…) une somme que M. Taieb n’a ni les moyens de payer, ni la possibilité d’assumer.»

Pour ces considérations, le CRLDHT «s’indigne de la détention arbitraire infligée à M. Samir Taieb et aux autres détenus de cette affaire, incarcérés uniquement parce qu’ils n’ont pas les moyens de s’acquitter de la rançon exigée (…), condamne une justice à géométrie variable (…) et appelle à la libération immédiate de M. Samir Taieb et des autres détenus dans l’affaire, ainsi qu’au respect de leurs droits à un procès équitable.»

I. B.

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CRLDHT | « La paradoxale situation de Samir Taïeb : sans argent, tu restes au trou »

Von: Yusra NY
24. November 2025 um 21:46

Le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) a exprimé sa solidarité absolue avec l’ancien ministre Sair Taïeb tout en réclamant sa libération.

Dans un communiqué intitulé La paradoxale situation de Samir Taïeb « sans argent, tu restes au trou», le CRLDHT a pointé du doigt des dérives dans le système judiciaire tunisien estimant que l’affaire de l’Office des Tunisiens à l’Étranger (OTD) continue de révéler des paradoxes troublants.

« Dans l’affaire de l’OTD, tout le monde le sait : le dossier est vide et que l’expertise judiciaire l’a confirmé », lit-on dans le communiqué du CRLDHT, qui affirme que le principal mis en cause a été libéré… « uniquement parce qu’il a pu payer une somme astronomique ».

C’est là que réside le drame de la situation de l’ancien ministre de l’Agriculture qui reste en détention pour son incapacité à payer la somme demandée pour sa libération conditionnelle et a exigé la libération immédiate de Samir Taïeb et celle des autres détenus.

Pour le Comité, l’incarcération préventive se mue en une punition qui précède le jugement, et la liberté « devient un privilège réservé aux plus fortunés et a de ce fait dénoncé une justice à géométrie variable et politisée »

Et de conclure : « La justice ne doit pas devenir une rançon ».

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