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Pour un partenariat plus équilibré et efficace entre la Tunisie et l’UE

31. Mai 2025 um 11:40

«Dans l’esprit du Plan Mattei, le partenariat énergétique entre l’Italie et la Tunisie est une grande opportunité. La transition énergétique, pour réussir, doit s’appuyer sur les principes d’égalité, de partage des bénéfices et de participation des populations et des territoires concernés».

Ce sont les propos tenus par l’ambassadeur d’Italie en Tunisie, Alessandro Prunas, lors de la session «Énergie et environnement» du Forum international du magazine francophone Réalités, auquel il a participé à Hammamet.

Organisé cette année sous le thème : «30 ans après, quelle stratégie et quelle vision pour les relations Tunisie-UE ?», l’événement a connu la participation de plusieurs ambassadeurs accrédités en Tunisie, d’experts en économie et en relations internationales, d’universitaires et de représentants du secteur privé.

L’évaluation de l’accord de partenariat entre la Tunisie et l’Union européenne (UE), 30 ans après sa signature, et les perspectives d’avenir de ces relations sont les principaux thèmes de la 27e édition du Forum Réalités, qui représente une opportunité pour analyser de manière critique et approfondie trois décennies de partenariat entre la Tunisie et l’UE, afin d’identifier les succès et les insuffisances et d’examiner les moyens disponibles pour mettre en œuvre les réformes, a déclaré à l’agence Tap le président du forum et directeur du magazine ‘‘Réalités’’, Taïeb Zahar.

L’objectif est de construire un nouveau partenariat plus équilibré et efficace pour relever les défis d’aujourd’hui, a précisé Zahar, selon qui l’évaluation de l’accord de partenariat entre la Tunisie et l’UE, et notamment ses aspects positifs et négatifs, représente une opportunité pour formuler des propositions concrètes pour son développement dans les années à venir.

Adapter le partenariat aux besoins et aspirations

D’autant plus que l’UE, principal partenaire de la Tunisie, a exprimé sa volonté de développer ce partenariat pour l’adapter aux besoins et aspirations de la Tunisie, dans un contexte mondial caractérisé principalement par des changements géopolitiques majeurs et des progrès technologiques.

L’ambassadeur de l’UE en Tunisie, Giuseppe Perrone, a déclaré que les résultats du partenariat entre la Tunisie et l’UE sont «positifs, notamment en termes de commerce et d’investissement européens en Tunisie».

Ces réalisations économiques représentent un levier important pour construire un partenariat politique et diversifié, visant à servir les intérêts des deux parties, a-t-il ajouté.

Perrone a souligné que l’UE représente aujourd’hui pour la Tunisie une garantie de qualité et de relations prestigieuses, en plus du soutien au libre-échange et de l’élargissement de la liste des produits fabriqués en Tunisie qui sont écoulés sur le marché européen sans payer de droits de douane. «Cette approche représente à la fois une garantie et un engagement de l’UE à continuer de promouvoir le libre-échange et à œuvrer, à travers de nombreux programmes, pour intensifier les efforts visant à établir la justice entre les couches sociales», a-t-il souligné, ajoutant que l’objectif est également de promouvoir l’intégration économique et d’aider les groupes les plus vulnérables et à revenus moyens.

Selon lui, «l’UE confirme ainsi sa crédibilité et son engagement à promouvoir ces domaines essentiels de coopération et de partenariat à un moment où le monde s’oriente vers une tendance différente, fondée sur le démantèlement des politiques d’intégration et des politiques d’égalité des chances pour toutes les catégories».

1,1 milliard d’euros d’aide financière entre 2013-2025

«L’UE est également soucieuse de soutenir la dimension régionale de la coopération à travers la Charte pour la Méditerranée, dans laquelle la Tunisie joue un rôle important», a souligné M. Perrone, ajoutant que la Tunisie continuera à tirer le meilleur parti des mécanismes de coopération de l’UE et à accéder au financement de diverses institutions financières connexes, telles que les programmes d’appui budgétaire direct sous forme de subventions pour soutenir les programmes de réformes de la Tunisie dans plusieurs secteurs stratégiques, afin de renforcer le développement global de la Tunisie dans ses dimensions économique et sociale.

Le diplomate a également rappelé que ce soutien se manifeste dans les fonds dont bénéficie la Tunisie, à savoir 1,1 milliard d’euros pour la période 2013-2025, soulignant que l’accord de partenariat, qui date de 30 ans, peut encore être amélioré et actualisé, en intégrant les dimensions des évolutions technologiques et des défis environnementaux et sociaux qui doivent être développés, tels que l’économie numérique et l’économie verte, dans une vision globale de coopération entre la Tunisie et l’UE.

Promouvoir la «mobilité circulaire» Sur la question de la migration, l’ambassadeur de l’UE a déclaré : «Nous pensons avoir une vision harmonieuse avec la Tunisie sur la migration irrégulière, un phénomène que nous devons aborder.» Cette approche, a-t-il ajouté, confirme également la nécessité de s’engager à promouvoir le «mouvement de mobilité circulaire» à travers une série de programmes lancés par l’UE afin d’accroître les opportunités de formation professionnelle pour les jeunes Tunisiens et de leur fournir des compétences qui les aideront à voyager en Europe, à répondre aux besoins du marché du travail mondial et à revenir en Tunisie pour contribuer au développement qualitatif de l’économie tunisienne.

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Forum Réalités 2025 : vers un nouveau cadre stratégique entre la Tunisie et l’Union européenne

Von: walid
30. Mai 2025 um 09:04

L’évaluation de l’accord de partenariat entre la Tunisie et l’Union européenne(UE), 30 ans après sa signature, ainsi que les perspectives futures de cette relation, sont les principaux axes de la 27e édition du Forum international du magazine Réalités dont les travaux ont démarré, jeudi, à Hammamet.

Organisé cette année sous le thème : «30 ans après, quelle stratégie pour les relations Tunisie-UE ? », cet évènement est marqué par la participation d’un nombre d’ambassadeurs, d’experts en économie et relations internationales, d’universitaires, ainsi que des représentants du secteur privé.

Le président du Forum et directeur du magazine « Réalités », Taïeb Zahar, a indiqué à l’agence TAP que cette édition, constitue, une occasion pour faire une lecture critique et approfondie de trois décennies de partenariat entre la Tunisie et l’UE, (depuis juillet 1995), afin de cerner les acquis, les lacunes et d’examiner les moyens disponibles pour mener des réformes.

L’objectif est de construire un nouveau partenariat, plus équilibré et plus efficace afin de répondre aux défis actuels.

Et de poursuivre que l’évaluation de la convention de partenariat entre la Tunisie et l’UE notamment, les aspects positifs et négatifs représentent une opportunité pour formuler des propositions concrètes en vue de développer cet accord dans les années à venir.

D’autant plus que l’UE, principal partenaire de la Tunisie, a exprimé son engagement pour développer ce partenariat afin de s’adapter aux besoins et aux aspirations de la Tunisie, dans un contexte mondial marqué, essentiellement, par d’importantes mutations géopolitiques et des avancées technologiques majeures.

Pour Zahar, cet accord de partenariat a été bénéfique pour la Tunisie, notamment, au niveau des relations commerciales, en enregistrant un excédent positif.

Les exportations tunisiennes vers l’UE ont été sextuplées depuis la signature de l’accord, passant de 6 à 36 milliards de dinars.

« L’évolution de l’accord de partenariat doit tenir compte des domaines qui n’ont pas progressé au rythme souhaité, notamment, le secteur agricole, l’exportation des produits agricoles, ainsi que la problématique de la migration et de la mobilité des personnes dans l’espace européen, afin de bâtir un partenariat « qui respecte la souveraineté de la Tunisie et soit plus équilibré et solidaire », a-t-il expliqué.

De son côté, l’Ambassadeur de l’UE en Tunisie, Giuseppe Perrone, a indiqué que les résultats du partenariat entre la Tunisie et l’UE sont « positifs, notamment, au niveau des échanges commerciaux et des investissements européens en Tunisie.

Et de poursuivre que ces résultats économiques positifs constituent un levier important pour construire un partenariat politique et diversifié visant à servir les intérêts des deux parties.

Dans son intervention sur l’avenir des relations, Perrone a souligné que l’Union européenne représente aujourd’hui pour la Tunisie une garantie de qualité et de relations distinguées, outre l’appui au libre-échange et l’élargissement de la liste des matériaux fabriqués en Tunisie qui sont acheminés vers le marché européen sans payer de droits de douane.

Il a ajouté : « Cette approche est à la fois une garantie et un engagement de l’Union européenne de continuer à faire progresser la liberté des échanges commerciaux et de continuer à travailler au moyen de nombreux programmes pour renforcer les efforts afin de consacrer la justice entre les couches sociales. Il s’agit, également, d’impulser l’intégration économique et aider les couches sociales les plus vulnérables et à moyen revenus.

Il a expliqué que l’Union Européenne confirme ainsi “sa crédibilité et son engagement à faire progresser ces domaines essentiels de coopération et de partenariat à un moment où le monde se dirige vers une tendance différente fondée sur le démantèlement des politiques d’intégration et des politiques d’égalité des chances pour toutes les catégories.”

Il a ajouté que l’Union européenne “accorde également une importance au soutien des dimensions régionales de la coopération par le biais de la “Charte pour la Méditerranée”, dans laquelle la Tunisie occupe une position importante.” Il a souligné que la Tunisie continuera à profiter des mécanismes de coopération de l’Union européenne et de l’accès aux financements de plusieurs institutions financières y afférentes, tels que les programmes d’appui budgétaire direct sous forme de dons pour soutenir les programmes de réformes tunisiens dans de nombreux secteurs stratégiques, dans le but de renforcer le développement global en Tunisie dans ses dimensions économique et sociale.

Il a, dans le même contexte, rappelé que ce soutien se manifeste à travers les fonds dont le pays bénéficie soit 1,1 milliard d’euros au cours de la période 2013/2025.

Perrone a noté que l’accord de partenariat, qui remonte à 30 ans, est un accord qui peut être encore amélioré et mis à jour, en intégrant les dimensions des développements technologiques, des défis environnementaux et sociaux qui doivent être développés, comme l’économie numérique et l’économie verte, dans le cadre d’une vision globale de la coopération entre la Tunisie et l’Union Européenne.

L’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie a déclaré à propos du dossier de l’immigration : ” Nous pensons que nous avons une vision harmonieuse avec la Tunisie en matière d’immigration clandestine, un phénomène auquel nous devons faire face “.

Il a ajouté que cette approche confirme également la nécessité d’œuvrer à faire progresser le “mouvement de mobilité circulaire” à travers plusieurs programmes lancés par l’Union Européenne dans le but d’intensifier les opportunités de formation professionnelle pour les jeunes tunisiens et leur fournir des compétences qui les aideront à voyager en Europe, de répondre aux besoins du marché mondial du travail, et de retourner en Tunisie pour contribuer au développement qualitatif de l’économie tunisienne

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Au 26e Forum de Réalités sur le tourisme, des réflexions de haut niveau, des recommandations à prendre en considération

Le Forum international de Réalités organisé les 27, 28 et 29 novembre 2024 à Hammamet sur le thème « Défis et nouvelles tendances du secteur du tourisme en Méditerranée », s’est achevé après 3 journées de travaux marqués par un niveau d’échange et de réflexion particulièrement élevé. Les recommandations formulées ouvrent des perspectives prometteuses pour l’avenir et témoignent de la richesse des discussions.

Taïeb Zahar, président du Forum, a estimé à la cérémonie de clôture que « Les perspectives du changement climatique présentent un défi majeur pour le secteur du tourisme qui est confronté à des problèmes aigus en matière de consommation et de la gestion de l’eau et de l’énergie.  »

Il a également rappelé que les pays des deux rives de la Méditerranée ont une responsabilité particulière dans la préservation de l’environnement car pouvant impacter tout le bassin méditerranéen et accélérer le déclin du secteur touristique.

« Il n’échappe à personne que les pays méditerranéens ont besoin d’un plan complet de leurs actions futures et pour relever les défis qui se posent devant le secteur du tourisme et notamment la question du sur-tourisme« , a-t-il affirmé.

En conclusion, M. Zahar a émis le vœu que les responsables politiques tiennent compte des analyses, des propositions et des recommandations émanant du Forum.

Celui-ci a en effet arrêté un certain nombre de recommandations émises par les experts et les participants lors des différentes conférences, panels et ateliers organisés à l’occasion.

Le Forum international de Réalités s’est déroulé en partenariat avec IE Med et LECE.

De même qu’il a bénéficié du soutien du projet « Promotion du Tourisme Durable » mis en œuvre par le ministère du Tourisme avec l’appui de la GIZ et financé conjointement par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et par l’Union européenne dans le cadre du programme « Tounes Wijhetouna ».

RECOMMANDATIONS : 

1- Rationaliser la consommation dans le secteur touristique notamment de masse, préserver les ressources naturelles et opter pour les énergies renouvelables comme le photovoltaïque.

2- Prendre en considération l’impact sur la faune marine et terrestre des activités touristiques pour les mieux contrôler et ne pas nuire à la durabilité de l’offre touristique.

3- Engager une réflexion approfondie autour de tous les défis qui se présentent à l’activité touristique et trouver les solutions idoines pour les relever.

4- Diversifier l’offre touristique : culturelle, sportive, rurale, saharienne et gastronomique et exploiter toute la potentialité du pays.

5- Parachever le cahier des charges relatif à l’hébergement alternatif dans l’objectif de supprimer les obstacles devant l’investissement et pour mieux réguler ce créneau.

6- Faire évoluer le travail promotionnel en adoptant de nouvelles solutions et techniques de marketing comme le digital et l’intelligence artificielle.

7- Suivre les nouvelles tendances du marché en misant sur la veille stratégique afin de s’y adapter et d’être en mesure de répondre à toutes les attentes de la clientèle par des produits appropriés.

8- Réviser les lois existantes en intégrant les risques liés aux changements climatiques dans la planification urbaine et côtière.

9- Développer une stratégie pour mieux gérer les ressources côtières en tenant en compte des impacts climatiques.

10- Mobiliser des fonds et rechercher des financements publics et privés pour soutenir les projets d’adaptation côtière.

11- Promouvoir des labels récompensant les pratiques respectueuses de l’environnement dans l’industrie touristique.

12- Opter pour des infrastructures préservant l’environnement qui utilisent les énergies vertes et qui intègrent des systèmes de gestion des déchets et de l’eau usée.

13- Encourager l’utilisation des moyens de transport verts et durables pour réduire les émissions en CO2.

14- Valoriser les expériences authentiques mettant en avant la culture locale et soutenant l’économie des habitants.

15- Mettre en place des partenariats entre les pays des deux rives permettant de trouver des solutions conjointes et de préserver la Méditerranée de la pollution et de la détérioration de l’espace marin.

16- Lutter contre la saisonnalité en développant des activités hors saison estivale afin d’encourager les arrivées touristiques sur toute l’année et limiter l’impact du tourisme de masse pendant l’été.

17- Changer la vision envers le tourisme qui est réduit à la simple entrée de devises et exploiter l’énorme potentiel offert par la Tunisie.

18- Créer une chaîne de valeur touristique maghrébine en exploitant les différents facteurs de complémentarité.

19- Intégrer les activités et les actions dans une vision globale regroupant les ONG, l’administration, les DMO et les acteurs touristiques.

20- Adopter une méthodologie de travail claire.

21- Changer l’image de la Tunisie.

22- Miser sur le tourisme régénératif et l’économie circulaire pour une gestion plus efficace du tourisme.

23- Passer d’un tourisme de produit vers un tourisme favorisant l’expérience en intégrant tous les acteurs locaux.

24- Ne plus considérer le visiteur comme un touriste mais plutôt en tant qu’invité.

25- Verser une partie de la taxe hôtelière aux DMO pour qu’ils puissent pérenniser et développer leurs activités.

26- Segmenter le marché touristique selon les pays de provenance afin de créer des produits plus adaptés.

27- Améliorer l’accessibilité et la propreté de la destination.

28- Diversifier les ressources de financement des projets touristiques durables : associés, Private Equity, convertible bonds, crowdfunding, etc.

29 – Sectoriser la Tunisie selon les régions et créer une identité touristique pour chaque région.

30- Revaloriser les déchets comme le compostage des déchets organiques et la réduction de l’emballage à usage unique.

31- Travailler plus sur la gouvernance dans le secteur touristique.

32- Organiser un forum annuel « spécial tourisme ».

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Le tourisme dans la région méditerranéenne au cœur des débats du 26e Forum international de Réalités

Levier économique fondamental pour l’économie des pays du bassin méditerranéen, le tourisme n’en demeure pas moins soumis à de nombreuses mutations tant structurelles que conjoncturelles.

Pour débattre de cette thématique d’une importance primordiale, le 26e Forum de Réalités a choisi cette année de placer ce rendez-vous sous le thème « Défis et nouvelles tendances du secteur du tourisme en Méditerranée ».

Cet événement grandiose rassemblera, d’une part, des experts et hauts responsables gouvernementaux et, d’autre part, de nombreux acteurs phares du secteur aux côtés de représentants de structures professionnelles et de la société civile actifs dans l’écosystème global du tourisme.

Ce Forum se tiendra du 27 au 29 novembre 2024 à l’hôtel Alhambra Yasmine Hammamet, avec le soutien de LECE, l’Union européenne, IEMed et la GIZ.

« Ce Forum est une tradition de débats géopolitiques de haut niveau initié depuis plus de deux décennies par Réalités et se veut être ‘’la voix du sud’’, enregistrant à la fois des participants et intervenants européens et maghrébins de très haut niveau », déclare Taieb Zahar, président du Forum international de Réalités.

« Cette année, nous avons fait le choix exceptionnel de décliner la thématique sur le tourisme, conscients que nous sommes de la nécessité de repenser ce secteur-clé au vu des transformations qu’il traverse », ajoute-t-il également.

Trois journées de débats

La conférence inaugurale lors de la première journée se penchera sur les enjeux du tourisme en Méditerranée avec la participation de plusieurs intervenants qui traiteront des stratégies à mener pour gérer les excès et préserver l’avenir dans une démarche visant à réinventer le tourisme.

La deuxième journée sera marquée par les allocutions des invités officiels, nationaux mais également internationaux, dont les partenaires du Forum. S’en suivra le bilan et les perspectives de la coopération tuniso-européenne et intramaghrébine dans le secteur du tourisme avec la participation de plusieurs experts.

Les perspectives d’un tourisme durable dans l’espace méditerranéen seront ensuite au cœur du débat qui abordera la question du nouveau modèle de développement dans l’espace méditerranéen pour un tourisme durable et responsable.

La journée d’achèvera par une dernière séance qui traitera des nouvelles tendances du tourisme dans l’espace méditerranéen.

La troisième journée du Forum de Réalités sera tout aussi riche en échanges de hauts niveaux puisqu’elle débutera par une réflexion approfondie sur la diversification des destinations et le développement des territoires abordés sous l’intitulé : « Au-delà du tourisme balnéaire, tourisme rural, culturel, gastronomique et de santé ».

S’en suivra une grande discussion intitulée : « Réinventer le tourisme par le numérique ». Les panélistes et experts participants aborderont le rôle des startups dans le domaine du tourisme climato-intelligent dans la Méditerranée.

Les défis du changement climatique et la nécessaire adaptation du secteur touristique en Méditerranée constituera le sujet de clôture du Forum qui s’achèvera par la présentation des différentes recommandations arrêtées au cours des 3 journées.

(d’après communiqué)

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