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Gestern — 20. September 2024Haupt-Feeds

CTAF : Faire autrement pour éviter les dommages collatéraux

20. September 2024 um 09:44
Telle une traînée de poudre s’est-elle propagé, l’annonce a fait l’effet d’une bombe dans les milieux initiés, la rue tunisienne et l’annexe de la BCT où loge la Ctaf (Commission Tunisienne des Analyses Financières). Une descente, administrative (Police fiscale) et judiciaire, fracassante qui s’était soldée par l’arrestation, vendredi dernier vers 17 heures, de la SG […]

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Hold-up dans une agence bancaire à El Ouardia

17. September 2024 um 15:07
Des sources informées ont confié à Mosaïque FM qu’une personne cagoulée a fait irruption dans une agence bancaire à El Ouardia à Tunis et s’est emparée d’une somme d’argent, avant de s’enfuir vers une destination inconnue. Le ministère public a aussitôt ordonné l’ouverture d’une enquête sur cette affaire et ce, pour démasquer et arrêter le […]

Maroc : le déficit de liquidité couvre les spéculations sur les « taux d’intérêt »

16. September 2024 um 09:06

Il est prévu que les problèmes de l’aggravation du déficit de liquidité bancaire et de l’augmentation de la valeur de la circulation monétaire couvriront les spéculations sur la réduction ou la stabilisation du taux d’intérêt principal lors de la réunion du Conseil d’administration de la Banque centrale du Maroc, ou Bank Al-Maghrib, qui se tiendra mardi 24 septembre. Après avoir enregistré une série d’indicateurs inquiétants à cet égard depuis la dernière réunion, elle a vu en juin le taux d’intérêt baisser de 0,25 point à 2,75 %, après l’avoir maintenu à 3 % pendant quatre années consécutives.

La valeur de la popularité du « cash » a bondi immédiatement après la dernière réunion trimestrielle de la Banque centrale, plus précisément fin juillet dernier, à 421,5 milliards de dirhams (38,9 milliards d’euros), avec une hausse de 10 % par rapport à la même période de l’année dernière, soit une augmentation de 38,3 milliards de dirhams.

Ce boom croissant du cash a par la suite exacerbé les tensions sur la liquidité bancaire au cours des trois derniers mois, avant que celle-ci ne se stabilise à 145 milliards de dirhams au cours de la semaine allant du 5 au 11 septembre.

Sur cette base, Bank Al-Maghrib a réduit ses avances à sept jours de 3,7 milliards de dirhams, pour s’établir à 61,3 milliards de dirhams. Tandis que les dépôts du Trésor ont connu une hausse notable, le solde maximum journalier ayant atteint 19,2 milliards de dirhams, contre 10,3 milliards de dirhams au cours de la période précédente, rapportent les médias locaux.

Cependant, cette fluctuation des chiffres continue d’indiquer les défis persistants auxquels sont confrontés les établissements bancaires dans la gestion des liquidités. Ce qui soulève des questions sur l’étendue de la capacité du secteur bancaire à s’adapter à cette crise qui s’aggrave.

Bataille à double sens

Entre les pressions inflationnistes et le déficit de liquidité bancaire, Bank Al-Maghrib se trouve dans une position critique, estiment les analystes. Car si elle prenait la décision de relever à nouveau le taux d’intérêt principal, ce qui est peu probable, cela pourrait entraîner une augmentation du coût pour les banques qui aggraverait la crise de liquidité. En revanche, si elle décide de ne pas relever les taux d’intérêt, l’économie nationale pourrait souffrir de la poursuite de la hausse des prix. Et ce, même si les dernières statistiques publiées par le Haut-Commissariat au Plan révèlent un ralentissement du taux d’inflation à 1,3 % en juillet dernier.

Scénarios de crise de liquidité

Le problème de la liquidité bancaire pourrait se transformer en une crise globale si la situation perdure, le manque de liquidité augmente le risque de défaut et réduit la confiance des investisseurs dans le secteur bancaire. À long terme, cela pourrait conduire à une récession économique plus profonde. Et c’est pourquoi la Banque du Maroc est appelée, lors de son prochain conseil d’administration, à prendre des mesures urgentes pour injecter davantage de liquidités sur le marché, que ce soit en fournissant des facilités bancaires plus importantes qu’en augmentant les liquidités.

Salim Chihabi, consultant financier et bancaire, a déclaré à ce propos au média marocain Hesspress : « Si la Banque du Maroc n’agit pas rapidement, nous pourrions assister à une hausse des taux d’intérêt entre les banques. Ce qui augmenterait le coût des prêts aux entreprises et aux particuliers, et cela entraînerait à son tour une baisse des investissements et une augmentation des taux de chômage ». Et d’ajouter : « La liquidité bancaire est une question vitale qui nécessite que la Banque centrale et les acteurs économiques envisagent des solutions innovantes et durables, remettant en question sa capacité à prendre les mesures nécessaires pour résoudre cette crise sans affecter négativement le secteur bancaire et la stabilité de l’économie nationale ».

Toujours selon M. Chihabi, « les dimensions de la crise de liquidité apparaissent dans l’épuisement des réserves. Car pour faire face à ce déficit, les banques pourraient recourir de plus en plus à des emprunts auprès de la Banque du Maroc. Ce qui accroîtrait la pression sur ses réserves de trésorerie et limiterait sa capacité à intervenir pour maintenir la stabilité économique ».

D’ailleurs, il note que « l’augmentation des opérations de financement monétaire aura de graves répercussions à l’avenir si le déficit persiste pendant une longue période. La banque centrale pourrait recourir à l’émission de davantage de billets pour répondre aux besoins de liquidités, ce qui augmenterait les possibilités de l’inflation monétaire ».

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Le financement climatique est-il l’une des responsabilités des banques?

02. September 2024 um 11:37

Le rapport de la Banque mondiale, publié récemment, révèle que les prêts pour des investissements climatiques dans les marchés émergents et les économies en développement (EMDE) représentent moins de 5% des portefeuilles des banques, et plus d’une banque sur quatre ne finance pas le climat.

Cette situation est préoccupante car les banques dominent le secteur financier dans ces régions, contrairement aux économies avancées. Avec le changement climatique ayant des répercussions significatives sur les perspectives économiques des EMDE, il est essentiel que les banques augmentent leur rôle dans le financement climatique.

Le rapport met aussi en lumière le sous-financement de l’adaptation climatique, avec seulement 16% des financements consacrés à ce domaine, dont 98% proviennent de fonds publics ou d’aides. Pour pallier ces lacunes, il est recommandé de développer des marchés des capitaux et de l’assurance dans les pays en développement et d’améliorer l’accessibilité financière.

En outre, le rapport note que 30% des secteurs financiers dans les EMDE sont exposés à des risques importants; en raison d’un cadre politique et institutionnel insuffisant. La dette publique représente également une vulnérabilité majeure pour certaines économies, avec une exposition des banques augmentant de plus de 35% entre 2012 et 2023.

Pour améliorer la situation, la Banque mondiale recommande d’accroître les réserves des banques, de renforcer les filets de sécurité financière et de mettre en place des mécanismes robustes de gestion de crise et de résolution de défaillance bancaire.

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20% des hôtels en Tunisie subissent une fermeture de long-terme selon le DG de l’ONTT

20% des unités d’hébergement sont fermées en Tunisie et ce pour diverses raisons selon une déclaration du directeur général de l’ONTT.

164 hôtels de différentes tailles et dans toutes les régions sont actuellement fermés. C’est ce qu’a affirmé le directeur général de l’ONTT, Helmi Hassine, dans une déclaration accordée à Destination Tunisie.

Ce chiffre correspond à 47.486 lits, soit 20% du total de la capacité des hôtels dans tout le pays. Les causes de fermeture sont diverses mais sont notamment économiques, aux côtés de problématiques liées aux crédits bancaires ou encore à des difficultés en rapport avec les héritages.

Helmi Hassine rappelle cependant que les fermetures d’hôtels se concentrent dans certaines zones qui peuvent être considérées comme sinistrées à l’image de la Corniche de Sousse où beaucoup d’hôtels sont en fin de cycle de vie et n’ont pas été rénovés et qui constituent donc une zone à sauver après la fermeture par exemple des anciens établissements qui portaient l’enseigne Abou Nawas (Boujaafar et Nejma dans le cas d’espèces). Comprendre que ce sont d’anciens hôtels qui n’ont pas bénéficié de réinvestissements quand il le fallait.

Autre zone avec une forte concentration d’établissements fermés, celle de Tozeur où la crise des années passées est loin d’être résorbée.

Commission interministérielle

Le directeur général de l’ONTT rappelle cependant qu’il existe une commission au niveau de la direction générale des Finances entre les ministères des Finances et du Tourisme qui se réunit régulièrement afin de trouver des solutions, notamment avec les banques, pour résoudre les dossiers d’endettement en suspend. Cette commission interministérielle avait été créée suite à la réunion de travail entre les ministères concernés en juin 2023.

Par ailleurs, il est à noter que durant la basse saison comprise entre novembre et avril, nombre d’hôtels -dont le produit est axé uniquement sur l’offre mono-produit balnéaire- ferment leurs portent de manière volontaire, ce qui peut augmenter le taux de fermeture des établissements d’hébergement mais ce taux n’est que provisoire. Ces fermetures sont d’ordre stratégique mais permettent également à tout établissement d’engager des travaux de rénovation en tous genres qui ne peuvent être réalisés en pleine saison.

Sur la pente ascendante

Le secteur de l’hôtellerie reste cependant sur un trend positif et devrait renouer cette année avec ses réalisations de 2019 en termes de nuitées. La présence en progression des chaînes internationales peut être interprété comme un signe favorable, avec l’arrivée sur le grand Tunis d’enseignes d’envergure comme Marriott (à Tunis, Sousse et bientôt Djerba), Radisson et Hilton (Monastir et bientôt Tunis et Gammarth) ou économiques tels que Campanile et prochainement Kyriad Prestige, outre le grand projet d’investissements koweitien à Gammarth.

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