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Gestern — 25. Juli 2025Haupt-Feeds

Aujourd’hui 25 juillet, fête de la république: Une marche irréversible en faveur des aspirations du peuple

25. Juli 2025 um 11:02

Date hautement symbolique, le 25 juillet 2021 a été choisi par le Président Kaïs Saïed pour introduire un changement profond dans le paysage politico-social et répondre positivement aux revendications des Tunisiennes et des Tunisiens, sortis en masse dans les rues pour réclamer la dissolution de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et, résolument, un changement de régime.

La Presse — Et dans un rappel à ceux qui ont la mémoire courte, il est utile de leur rafraîchir les esprits en précisant que les changements sont intervenus à un moment très grave dans le pays dans la mesure où le gouvernement en place à l’époque faisait de la surenchère sanitaire en refusant de fournir les médicaments et autres vaccins aux citoyens pour faire face à la pandémie mondiale de Covid-19.

En effet, alors que les citoyens périssent quotidiennement, faute desdits vaccins et autres soins médicaux, certains responsables n’hésitent pas à s’afficher lors de «séances de bronzage» tout en essayant de renvoyer la balle à d’autres parties quant à l’absence des vaccins.

Le plus important pour le gouvernement de l’époque, qui croyait détenir la réalité du pouvoir sans possibilité, législativement parlant, d’en être détrôné, était de marquer des points politiques, faisant fi de la bonne santé des Tunisiens.

Mais c’était compter sans le sens aigu du patriotisme du Chef de l’Etat qui, faisant preuve d’un courage inouï et d’une volonté inébranlable, a fini par avoir une réaction salvatrice en annonçant, solennellement au soir du 25 juillet 2021, la dissolution de l’ARP en invoquant l’article 80 de la Constitution.

Ainsi, le Président Kaïs Saïed décidait, également et surtout, le limogeage de tout le gouvernement Hichem Mechichi avec effet immédiat, sachant que ce dernier cumulait les prérogatives de ministre de l’Intérieur par intérim.

De plus, l’Assemblée a été suspendue avec une levée de l’immunité de tous ses membres tout en décidant la formation d’un nouveau gouvernement qui sera responsable devant lui, sans  oublier la décision de gouverner, désormais, par décret avant d’annoncer la prolongation, sin die, de la suspension du parlement, suivie d’une autre suspension, en l’occurrence celle de la Constitution, en septembre 2021.

Or, en dépit des tentatives de certaines forces partisanes, plus particulièrement celles d’Ennahdha et autres formations parmi ses alliés, responsables de la détérioration enregistrée lors de la décennie qualifiée à juste titre de décennie noire, le Président Kaïs Saïed conserve le soutien indéfectible du peuple, majoritairement acquis à son approche privilégiant la mise en place d’un Etat social où toutes les franges de la population et toutes les régions bénéficient de leurs droits élémentaires au travail, à la couverture sociale et grâce à une véritable révolution mettant les textes législatifs, l’administration et l’exécutif au service du peuple

Puis suite à une consultation électronique, un référendum constitutionnel a été organisé le 25 juillet 2022 et a obtenu la majorité, sachant que c’est sur la base de ce référendum que l’élection présidentielle a eu lieu le 6 octobre 2024, donnant lieu à un véritable plébiscite en faveur du Président Kaïs Saïed avec un score de plus de 90 pour cent, confirmant, si besoin est, que le peuple tunisien lui renouvelle sa confiance pour poursuivre la conduite des affaires du pays.

Une conduite fondée sur des principes immuables, à savoir, le compter-sur-soi, le respect strict de la souveraineté nationale, la lutte contre la corruption et la spéculation dans le cadre de ce qui est communément appelé la guerre de libération nationale, tout en mettant en œuvre une approche en faveur d’une politique sociale. 

Rappelons que le 25 juillet 2021 s’inscrit, selon les observateurs, dans le droit fil des principes du régime républicain ayant marqué la vie politique et sociale de 1957 lors de la proclamation de la 1ère République venue conforter l’indépendance de la Tunisie et le retour de la gouvernance par le peuple. 

En effet, comme en 1957, une date marquant le recouvrement de l’indépendance effective, morale, politique et matérielle, le processus du 25 juillet 2021 est venu mettre l’accent sur l’importance de l’indépendance des décisions en faveur du peuple et de la souveraineté nationale après une période de pédalage causée par la mainmise d’une coalition obscurantiste agissant contre les intérêts nationaux durant plus de dix ans.

Et maintenant qu’il y a un retour aux sources, les horizons s’éclaircissent dans le bon sens d’une réelle approche positive devant concrétiser des objectifs ambitieux pour le bien des citoyens sans discrimination et sans exclusive.

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Le Président Kaïs Saïed persiste et signe : Accorder plus de responsabilités à la jeunesse pour l’édification de la Tunisie nouvelle

20. Juli 2025 um 17:30

Adepte d’une Tunisie en perpétuel mouvement grâce à des réformes touchant bon nombre d’institutions, notamment celles ayant failli à leurs missions et aux objectifs pour lesquels elles ont été créées, le Chef de l’Etat en fait désormais un cheval de bataille au quotidien dans le but évident d’améliorer la qualité de vie de tous les citoyens, dans toutes les régions et dans les différents secteurs d’activité.

La Presse — En effet, lors de ses diverses rencontres avec les membres du gouvernements et autres responsables, le Président de la République ne cesse d’appeler à la révision de plusieurs projets de textes législatifs comme il vient de le souligner lors la dernière audience accordée à la Cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri 

Après avoir relevé l’existence d’organismes budgétivores, le Chef de l’Etat a appelé clairement à la nécessité de restructurer un ensemble d’institutions tout en mettant à l’index ce qu’il a qualifié d’«inflation législative», responsable du maintien de certaines pratiques du passé avec des répercussions négatives et tangibles sur le terrain donnant lieu à une situation pathologique exigeant un traitement radical.

Face à cette évolution contraire aux objectifs escomptés, le Président Kaïs Saïed a réitéré ses convictions quant à la nécessité d’accorder plus de responsabilités à la jeunesse censée jouer un rôle plus important dans l’édification de la Tunisie nouvelle en lui faisant une confiance accrue afin de contribuer à l’œuvre du développement durable et global conformément aux attentes et aux aspirations du peuple.

Pour le Chef de l’Etat, les jeunes ont un rôle central à jouer dans le processus de réformes et de reconstruction dans la mesure où ils sont porteurs d’un élan infini de don de soi et d’une énergie sans limites de façon à répondre d’une manière optimale aux besoins des Tunisiennes et des Tunisiens dans tous les domaines.

Il serait utile de rappeler à ceux ayant la mémoire courte que le Président de la République a réussi à séduire la jeunesse tunisienne avec son projet de société qui lui a permis d’être triomphalement élu, depuis son premier mandat en 2019 puisqu’il a réussi le tour de force de rassembler, dès le premier tour, 37% des jeunes, soit plus du tiers des électeurs âgés entre 18 et 35 ans.  

D’ailleurs, le Président Kaïs Saïed, qui ne cesse d’insister sur le fait que le pays mène une véritable guerre de libération nationale, affirme que celle-ci nécessite non seulement une réforme législative en profondeur, mais également et surtout un renouvellement des élites chargées de les appliquer.

En d’autres termes, il est impératif d’ouvrir le chemin à la jeunesse soucieuse d’assumer ses responsabilités, surtout qu’elle est mue par un esprit de militantisme lui permettant de prendre le relais et de jouer pleinement son rôle afin de remplacer les personnes qui ne sont pas à la hauteur des engagements, passant de la sorte du statut de diplômés au chômage à celui de citoyens avides de devenir actifs au vrai sens du terme et de participer à l’élaboration des contours de la Tunisie de demain.

En résumé, le Président Kaïs Saïed prouve et réitère sa volonté de se débarrasser des dispositifs hérités du passé, tout en mettant l’accent sur l’urgence d’associer davantage les jeunes au processus du développement, une jeunesse qui représente un pilier essentiel pour construire le futur de la Tunisie et répondre aux attentes du peuple dans tout le pays.

Le sport comme vecteur d’inclusion et de développement

20. Juli 2025 um 17:00

S’intéressant à tous les secteurs de la dynamique nationale, le Chef de l’Etat a reçu, vendredi, le ministre de la Jeunesse et des Sports pour passer en revue les diverses problématiques touchant ce domaine névralgique pour les différentes catégories sociales, dont plus particulièrement les jeunes.

En effet, la rencontre a permis de revenir sur le projet de loi organique relatif aux structures  sportives qui revêt une importance capitale afin de clarifier la situation juridique en la matière, qualifiée d’hybride, dans la mesure où elle ne répond plus aux critères habituels, à savoir le professionnalisme bien défini ou l’amateurisme authentique.

Sans oublier les pratiques négatives qui usent ce secteur à cause de l’intrusion des réseaux d’intermédiation, de courtage, de corruption et les comportements mafieux qui gangrènent les activités dans ce domaine, marqué par l’anarchie entraînée par les agents, souvent illégaux, et le phénomène des pages et la prolifération des présumés chroniqueurs qui sont, à leur tour, des partis pris cherchant à faire le buzz et suscitant les sentiments de haine.

Résultat des courses, on assiste à une baisse des performances de nos participants à l’échelle régionale et internationale en raison, selon les termes mêmes du Chef de l’Etat, des “choix non innocents” et de la dégradation des infrastructures sportives et de l’aménagement qui néglige les espaces accessibles aux enfants et aux jeunes.

Il en est de même pour les maisons des jeunes dont l’aura était reconnue et qui, après avoir été des lieux d’éducation, de culture et de sport, sont abandonnées, aujourd’hui, à leur propre sort, voire devenues carrément des repaires de corruption et de consommation de drogue.

C’est dire qu’il y a urgence pour sortir du flou en finalisant les textes tant attendus en faveur de la réglementation des structures sportives afin d’assainir un secteur si cher aux citoyens et revenir à une pratique saine des activités physiques génératrice d’épanouissement intellectuel et social.

Un tel assainissement ne peut que se répercuter positivement sur les performances nationales et sur nos athlètes avides de retrouver les podiums, surtout que, de l’avis des experts, ils en ont largement les moyens

Autrement dit, le secteur du sport en Tunisie a besoin, plus que jamais et comme l’a affirmé le Président de la République, d’une refonte complète des textes juridiques existants afin de répondre aux défis et de redorer le blason de ce secteur conformément à la volonté du peuple désireux d’avoir une politique sportive vecteur d’inclusion, de citoyenneté et de développement.

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