Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Gestern — 30. März 2025Haupt-Feeds

L’Etat uni pour une économie sociale et harmonieuse

30. März 2025 um 18:45

LE volet économique, en plus de celui politique, continue à accaparer l’attention et l’intérêt de l’Etat, tout en privilégiant l’aspect social qui demeure une constante dans toute approche pour le développement global et durable.

Ces données viennent d’être confirmées par le Président de la République en réitérant, lors de sa rencontre avec la Cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, la nécessité et l’impératif de dépasser rapidement toutes les entraves dans l’objectif de concilier, à la fois, création de richesses et justice sociale.

Et dans le cadre de l’unité de l’Etat et de la synchronisation au sein du pouvoir exécutif, un Conseil ministériel restreint (CMR) a été tenu à La Kasbah pour mettre au point une sorte de feuille de route destinée à booster l’économie et à créer des emplois pour les diplômés chômeurs afin d’améliorer les conditions de vie des citoyens en général.

Le CMR a été, par conséquent, consacré à l’élaboration des grands axes stratégiques en arrêtant certaines mesures, dont notamment le soutien aux entreprises communautaires, la promotion de l’investissement en tant que facteur essentiel de croissance, la concrétisation de la souveraineté alimentaire et de la sécurité hydrique, sans oublier l’obligation de réussir la transition numérique et énergétique.

Ce véritable plan d’action en faveur du développement économique et social est appelé à consolider une situation économique marquée par la résilience et la pérennité, surtout au vu des derniers indicateurs qui virent au vert comme cela est indiqué et confirmé par des chiffres qui ne mentent pas.

En effet, le dernier rapport de la Banque mondiale (BM) relève que la conjoncture économique tunisienne connaît, depuis le premier trimestre de 2024, une amélioration sensible concernant le solde extérieur, en même temps qu’une réduction de l’inflation, sans oublier les signes évidents de reprise au sein du secteur agricole ainsi que dans d’autres secteurs clés, en l’occurrence l’habillement et la construction.

Tout en mettant l’accent sur la nécessité d’augmenter les investissements pour soutenir la croissance et renforcer la concurrence, le même rapport met en relief l’importance des énergies renouvelables en tant que secteur dynamique avec des signes clairs de progression grâce à la mise en œuvre d’un ambitieux programme consistant à réaliser de sérieux projets misant sur l’énergie solaire et électrique.

Ainsi, en dépit des défis persistants, l’économie tunisienne fait, de plus en plus, preuve de résilience grâce à l’émergence de nouvelles opportunités offertes par le compter-sur-soi et l’annonce par la BM de sa détermination à soutenir la Tunisie à gagner les paris en boostant la croissance, l’emploi et la réalisation d’un développement harmonieux des secteurs aussi bien public que privé.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Kaïs Saïed persiste et signe : La récupération des biens mal acquis, une priorité

28. März 2025 um 19:10

La nécessité de récupérer l’argent et autres biens mal acquis continue à accaparer l’intérêt de l’Etat au plus haut sommet, à savoir la présidence de la République et celle du gouvernement . 

En effet, recevant, mercredi, la Cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri, et la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi, le Président Kaïs Saïed a déploré le fait que la question des biens confisqués demeure sans solution concrète tout en étant dispersée entre plusieurs parties, sans oublier les violations qui ont entouré ce dossier, ce qui engendre une situation inacceptable.

Le Chef de l’État a réitéré la nécessité d’opter pour une nouvelle approche destinée à mettre un terme définitif afin que le peuple récupère ses biens qui, en fin de compte, lui appartiennent.

Prouvant la symbiose entre les différents mécanismes de l’Etat, la Cheffe du gouvernement a, illico presto, présidé un Conseil ministériel restreint consacré au suivi de ce dossier dans ses différentes phases, en l’occurrence les procédures de confiscation, de récupération et de gestion des fonds mal acquis et issus de la corruption.

S’inspirant des consignes données par le Président de la République, la Cheffe du gouvernement a mis l’accent sur la détermination à accélérer les procédures entamées par les commissions en charge de cette question dans le but évident de garantir la restitution des propriétés appartenant à l’Etat et au peuple tout en veillant à en assurer une gestion efficace des avoirs saisis.

Et tout en précisant que le suivi de ce dossier sera, désormais, permanent, il devrait impliquer tous les départements ministériels concernés et autres institutions compétentes, la Cheffe du gouvernement a indiqué que la mobilisation sera généralisée pour aboutir à une solution structurelle qui consiste à obtenir la restitution des fonds spoliés et à en garantir une exploitation positive.

Et comme il s’agit de récupérer tous les biens aussi bien en Tunisie que ceux se trouvant à l’étranger, la diplomatie se trouve au premier rang des parties mobilisées, d’où l’appel récent de notre pays à briser les blocages internationaux à cause de nombreux obstacles juridiques et procéduraux.

N’oublions pas l’autre appel du Président de la République à trouver d’autres créneaux que ceux à caractère uniquement judiciaire qui a prouvé, jusque-là, ses limites à cause des longues procédures trop complexes, sans oublier le manque, voire parfois l’absence de toute volonté de coopération de la part de certains Etats en vue d’exécuter les commissions rogatoires et répondre aux demandes d’entraide judiciaire.

Pourtant, la responsabilité juridique et morale est indéniable pour les pays détenant ces fonds et qui doivent les restituer sans couvrir la corruption, comme le stipulent, clairement, les traités internationaux.

Par ailleurs, en dépit de l’absence de chiffres officiels sur le montant des avoirs  tunisiens évadés et placés  à l’étranger, certaines estimations évoquent le montant de dizaines de milliards de dollars, alors que la valeur des fonds récupérés reste très faible.

Ainsi et au vu de l’ampleur des sommes spoliées, le dossier fait partie des priorités de l’action diplomatique pour le ministère des Affaires étrangères qui souligne la nécessité d’écarter l’approche traditionnelle suivie jusqu’ici pour réduire la prédominance des aspects juridique et judiciaire.

Ces chiffres confirment les dires du Chef de l’Etat lorsqu’il assure qu’une fois récupéré, cet argent contribuerait à créer de la richesse dans le pays et contribuer et l’émergence de la justice pour le peuple.

En résumé, la conviction est bien établie quant à la détermination à en finir avec cette question afin que l’Etat et le peuple, à qui appartiennent cet argent et ces biens, obtiennent gain de cause.

L’article Kaïs Saïed persiste et signe : La récupération des biens mal acquis, une priorité est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Intérêt présidentiel constant à Tunisair : La compagnie aérienne nationale ne sera jamais cédée

27. März 2025 um 19:00

Le dossier de la compagnie aérienne nationale Tunisair revient, périodiquement, sur la table du Président de la République au vu de la situation financière et sociale qui y prévaut, dans le but d’établir un vrai plan de sauvetage pour que cette société joue son rôle dans la dynamique économique nationale.

Dans ce cadre, le Chef de l’Etat a reçu, mardi, Rachid Amri, ministre du Transport, et Halima Khouaja, chargée de la direction générale de la compagnie aérienne Tunisair pour évoquer essentiellement la situation prévalant actuellement au sein de Tunisair,  marquée, malheureusement, par des conditions inacceptables à plusieurs égards.

Outre les conditions à bord des appareils avec des prestations de service exigeant des améliorations à tous les niveaux, le Président Kaïs Saïed a fait un constat carrément négatif à propos du respect des horaires des vols, au départ et à l’arrivée, ce qui est dû en grande partie au nombre de plus en plus réduit des avions en service, lequel nombre s’est amenuisé comme peau de chagrin, passant de 24, il n’y a pas si longtemps, à 10 aujourd’hui.

A cela, il faut ajouter, précise encore le Président de la République, d’autres anomalies relatives au contrôle technique des avions qui s’étale en Tunisie sur pas moins de 123 jours, alors qu’il ne dure que dix jours chez l’un des grands constructeurs mondiaux, ce qui cause «des pertes financières énormes pour la compagnie nationale se chiffrant par des dizaines de milliards de dinars», des sommes qui auraient pu être exploitées pour l’acquisition de nouveaux appareils.

Il ne faut pas oublier la question des recrutements effectués selon le principe condamnable du clientélisme, du favoritisme et du népotisme, loin de toute légalité et de transparence entraînant un surplus de personnel sans aucun besoin réel pour la bonne marche des rouages de la compagnie.

Après avoir procédé à ce constat-diagnostic, le Chef de l’Etat a affirmé que cette situation dégradée rappelle celle observée dans d’autres structure, à l’instar de la Cité olympique d’El Menzah, du stade Chedly-Zouiten, de la piscine municipale de la Place Pasteur, du parc du Belvédère, et bien d’autres sites dans la capitale et dans les différentes régions du pays, qui sont délibérément négligés

Et de préciser encore que ces structures et entreprises sont convoitées par certains lobbies bien connus et qui veulent mettre la main dessus après avoir mené, d’une manière machiavélique, au bradage de leur valeur, d’où la nécessité de stopper l’hémorragie tout en criant, haut et fort, que ni Tunisair, ni l’aéroport international de Tunis-Carthage ne seront cédés, tout en assurant que l’aéroport dispose d’avantages stratégiques appréciables lui permettant de jouer pleinement son rôle dans le transport aérien.

Lors de rencontres précédentes avec les responsables concernés, le Chef de l’Etat a, souvent, évoqué cet aspect relatif aux convoitises desdits lobbies afin de s’approprier cette compagnie nationale et qui ont commis des actes, qualifiés de “criminels”, ce qui nécessite une guerre contre ces pratiques 

Le cas de Tunisair illustre parfaitement, selon le Président Saïed, la course menée par certains groupes d’intérêts pour entraîner son abandon par l’Etat, et y exercer une mainmise ainsi que sur d’autres entreprises publiques, mais c’était compter sans la détermination du Président Saïed, fermement engagé dans un combat sans répit contre ce phénomène.

D’ailleurs, confirmant d’une manière éclatante et originale cette volonté, on citera la célèbre déclaration du Président de la République en assurant, en substance, que Tunisair ne sera jamais cédée «ni sur terre ni dans les airs» et qu’il œuvrera pour que notre compagnie aérienne nationale puisse voler, encore et toujour, plus haut.

L’article Intérêt présidentiel constant à Tunisair : La compagnie aérienne nationale ne sera jamais cédée est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Confiance face aux défis posés par le marché de l’emploi

27. März 2025 um 18:45

L’Etat tunisien accorde une importance capitale à l’emploi, notamment des diplômés et des jeunes, dans le but évident de sauvegarder les structures économiques et de préserver la paix sociale, tout en consolidant l’option sociale dans la dynamique nationale du pays.

Les autorités compétentes assurent qu’elles tiennent compte de la nouvelle configuration du secteur avec des changements structurels de l’ordre de 20%, soit un taux proche de celui international qui est de près de 22%, avec une mention spéciale pour les spécialistes de l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique qui se trouvent aux premières loges en matière d’emplois à forte croissance.

En effet, selon le dernier rapport sur l’avenir l’emploi du Forum économique mondial, intitulé “L’avenir de l’emploi, focus sur la Tunisie”, édité par l’Institut arabe des chefs d’entreprise (Iace), il ressort que les emplois appelés à enregistrer une croissance substantielle sont étroitement liés aux domaines des nouvelles technologies et de la gestion environnementale. Autrement dit, les ingénieurs spécialistes du big data, de l’IA, de la cyber-sécurité et autre robotique.

En outre, la Tunisie se lance, dans le cadre d’une action concertée avec la Banque africaine de développement et plusieurs partenaires, dans un vaste programme CAP Emploi en vue de créer bon nombre d’emplois durables.

Il s’agit, en fait, d’une initiative de financement visant la transformation du paysage de l’emploi dans le pays grâce à la mise en place d’un workshop de haut niveau regroupant, côte à côte, acteurs publics et privés de l’écosystème de l’entrepreneuriat et des secteurs de l’emploi et de la formation professionnelle.

Il s’agit du premier programme en Tunisie à être axé sur les résultats et en vertu duquel les décaissements ne sont effectués que lorsque les résultats convenus au préalable sont atteints. Ce qui revient à dire que tout sera basé sur l’encouragement et le renforcement de la performance.

En plus clair, l’avenir consiste à ce que l’emploi ne soit plus une contrainte, mais plutôt une opportunité pour tous grâce à ce CAP Emploi qui ambitionne de libérer le potentiel et le talent de milliers d’entrepreneurs, en particulier des femmes, comme l’ont assuré les responsables de l’Aneti et le Groupe de la BAD pour l’Afrique du Nord.

Avec ce plan CAP Emploi, l’Etat fournit ainsi une réponse concrète aux défis structurels auxquels est confronté le marché du travail tunisien tout en contribuant à l’émergence de réelles opportunités d’emploi avec des conditions préservant la pérennité et la dignité, comme ne cesse de l’affirmer le Président de la République.

L’article Confiance face aux défis posés par le marché de l’emploi est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

❌
❌