L’ATL émet une dette obligataire de 40 Mtnd
L’ATL vient d’annoncer l’émission d’un emprunt obligataire, par appel public à l’épargne, ATL 2025-1. Le conseil d’administration dispose d’une autorisation accordée par la dernière Assemblée générale ordinaire des actionnaires, tenue le 23 avril 2025, lui permettant d’émettre un montant total de 150 Mtnd d’emprunts obligataires sur une période d’une année. L’opération porte sur 40 Mtnd.
Une seule catégorie est proposée aux actionnaires, ayant une valeur nominale de 100 Tnd, une durée de 5 ans et proposant un amortissement annuel constant au taux de 9,65%.
Les souscriptions à cet emprunt démarreront le 22 juillet 2025 et seront clôturées, au plus tard, le 29 août 2025.
L’ouverture des souscriptions à cet emprunt reste, cependant, tributaire de la publication par l’agence de notation Fitch Ratings sur son site de la notation définitive de l’emprunt. L’agence a attribué, le 18 juin 2025, une notation provisoire à long terme «BBB+(EXP)(tun)» audit emprunt.
Les souscriptions peuvent être clôturées sans préavis dès que le montant maximum de l’émission est intégralement souscrit. En cas de placement d’un montant inférieur à 40 Mtnd à la date de clôture de la période de souscription, le montant de l’émission correspondra à celui effectivement collecté par la compagnie.
L’ATL vise à financer son activité et à restructurer sa dette, en lui octroyant une ressource mieux adaptée à la nature de ses interventions en termes de maturité. Cela explique d’ailleurs le choix de se limiter à un taux fixe. Selon les projections de la compagnie, les mises en force devraient atteindre 420 Mtnd, dont 90,3 Mtnd par des emprunts obligataires.
Le placement est une bonne opportunité qui s’offre aux investisseurs qui ont une aversion aux risques. Il est émis par une institution financière ayant une signature fiable. À titre de précision, investir 100 Tnd permettra de dégager des intérêts nets de 23,160 Tnd sur toute la durée du placement.
L’article L’ATL émet une dette obligataire de 40 Mtnd est apparu en premier sur Managers.