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Échanges commerciaux Tunisie-Algérie : Hisser la coopération bilatérale à des perspectives prometteuses

23. Juni 2025 um 17:50

La Tunisie et l’Algérie tiennent à renforcer leurs relations économiques, depuis des années, et à relancer la coopération bilatérale dans différents domaines, en vue de parvenir à une intégration économique et à des perspectives unifiées, unies et communes.

La Presse —Selon les opérateurs économiques des deux pays, ces relations économiques restent en deçà des attentes. En témoignent les indicateurs de 2020 qui montrent que l’Algérie a exporté vers la Tunisie plus d’un milliard de dollars, un chiffre en progression de 13 % par rapport à 2018, mais qui ne représente, en fait, que 3 % des exportations globales. Les échanges économiques demeurent très bas : les exportations algériennes vers la Tunisie se limitent presque exclusivement au pétrole et au gaz, à hauteur de 95 %.

Du côté de la Tunisie, ses exportations vers l’Algérie sont plus diversifiées (matériaux de construction, produits chimiques, produits alimentaires et autres). 

En tout, les échanges économiques entre l’Algérie et la Tunisie ne dépassent pas les 2 %. En termes d’implantation économique, environ 763 sociétés tunisiennes sont actives actuellement en Algérie dans des domaines très variés (industrie, services, ingénierie, TIC, distribution, communication).  

Sur le plan énergétique, l’Algérie, qui exporte son gaz vers l’Italie via le gazoduc «TransMed» traversant le sol tunisien, a beaucoup à gagner avec un voisin respectueux des liens de fraternité partagée avec les peuples de la région. A travers l’accord liant les deux pays sur ce plan, la Tunisie bénéficie d’un volume à hauteur de 3,8 milliards de mètres cubes d’approvisionnement en gaz algérien comme droit de passage par son territoire du «TransMed».

Un accord qui permet à la Tunisie de faire une économie de plus de 173 millions de dollars. La consolidation de la coopération économique entre les deux pays, liés, faut-il le rappeler, par un accord commercial préférentiel dont l’entrée en vigueur est intervenue le 1er mars 2014, est l’un des objectifs cruciaux. Malgré cet accord, les échanges commerciaux entre les deux pays voisins restent marginaux. Les deux partenaires ont encore du chemin à faire pour fructifier et améliorer les échanges commerciaux et d’investissements. 

Quel potentiel à l’export pour la Tunisie ?

Le marché algérien pourrait offrir un fort potentiel pour les exportateurs tunisiens prêts à y investir. La proximité du marché algérien ainsi que la similitude culturelle sont des atouts importants pour le développement des relations commerciales et surtout la promotion des exportations à même de permettre aux opérateurs tunisiens de concurrencer ceux des pays exportateurs lointains de l’Asie et du Moyen-Orient. Mais, faut-il le rappeler, le solde commercial de la Tunisie est structurellement déficitaire envers l’Algérie, alors que les possibilités sous-jacentes à l’exportation sur ce marché sont assez importantes.

L’examen de l’évolution des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’Algérie sur la période 2011-2021 montre que les importations en provenance de l’Algérie dépassent de loin les exportations vers ce marché se soldant, ainsi, par un déficit structurel. « Ce déficit est imputable principalement à l’importance des importations du gaz naturel au cours de cette période nonobstant l’excédent enregistré en 2016, a fait observer l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (Itceq).

De plus, l’évolution du déficit commercial montre qu’il a été moins important sur les cinq années 2017-2021 (605 M de dollars en moyenne par an) par rapport à la période 2011-2015 (1.501 M de dollars en moyenne par an).

Par ailleurs, la part de l’Algérie dans les échanges extérieurs de biens de la Tunisie sur la période 2011-2021 demeure faible, atteignant environ 3% du total des exportations et à 6 % de celui des importations en moyenne par an. Il est à souligner que cette part a été plus stable au niveau de l’export qu’à l’import.

Concernant la structure des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’Algérie, elle se caractérise par une certaine concentration, notamment au niveau des importations tunisiennes. En effet, les importations sont prédominées par le gaz naturel qui, lui seul, détient environ 92% du total de biens, suivi par le sucre et les produits raffinés du pétrole avec des parts trop faibles de 1.5 % et 1.4 % respectivement.

Il est à souligner que «si l’Algérie constitue le principal fournisseur de la Tunisie pour le gaz naturel, elle ne l’est pas pour le pétrole brut et le pétrole raffiné. En effet, le pétrole brut est principalement importé du Caucase, alors que le pétrole raffiné est fourni essentiellement par l’Italie, la Russie, la France et la Grèce », précise l’Itceq. 

S’agissant de la structure des exportations, l’on constate que les 20 premiers produits exportés par la Tunisie vers l’Algérie occupent plus de 80 % du total de biens. Les plus grandes parts sont détenues par les ouvrages métalliques, les articles en plastique, la chimie minérale de base, les véhicules utilitaires, le ciment, les instruments de mesure, le matériel BTP et les fournitures électriques qui représentent environ 53% du total des exportations de biens sur la période 2011-2021.

Performances compétitives

Selon la même source, les performances des exportations tunisiennes sur le marché algérien sont appréciées par le positionnement compétitif global de la Tunisie en termes de parts de marché et de dynamisme de la demande par produit, en mettant l’accent sur les avantages comparatifs dont dispose la Tunisie sur le marché algérien.

La part de marché de la Tunisie sur l’Algérie pour les exportations de biens demeure trop faible ne dépassant pas 1% en moyenne par an sur la période 2011-2021. Elle a fléchi de 4.6 % pour atteindre 0.69 % en 2021 contre 0.96 % en 2011. Cette part s’avère moins importante que celle d’autres pays exportant vers l’Algérie, dont notamment la Chine, la France, l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie et la Turquie.

L’examen de la structure des importations de biens de l’Algérie sur la période 2011-2021 montre qu’elles sont prédominées par les produits mécaniques et électriques suivis de la chimie, des produits alimentaires et de l’agriculture.

Il est à souligner que « la complémentarité des exportations tunisiennes avec les importations de l’Algérie est relativement comparable à celle avec ses principaux partenaires européens qui est de l’ordre de 57 % pour la France, 60 % pour l’Allemagne et 51 % pour l’Italie.

Toutefois, les parts de ces pays dans les exportations tunisiennes sont beaucoup plus importantes que celle de l’Algérie». En dépit de la proximité géographique, linguistique et culturelle de la Tunisie avec l’Algérie et de la complémentarité commerciale entre ces deux pays, les exportations tunisiennes vers ce marché demeurent faibles et ne dépassent pas les 3 % du total des biens durant la dernière décennie.

Néanmoins, «les performances compétitives sont relativement bonnes pour certains groupes de produits dans la mesure où ces derniers disposent d’un avantage comparatif sur l’Algérie et permettent à la Tunisie de se classer dans des positions respectables», a fait remarquer l’Itceq. Par ailleurs, la Tunisie demeure encore en retard par rapport à d’autres pays comme la Chine, la Turquie et certains pays de l’UE, notamment, au niveau des exportations de vêtements et de produits agricoles.

De tels résultats laissent déduire que l’Algérie pourrait constituer un marché potentiel pour les exportateurs tunisiens.  En dépit de leur proximité géographique et culturelle, «les échanges entre la Tunisie et l’Algérie demeurent loin des attentes et des objectifs escomptés». La Tunisie fait, en effet, face à un nombre d’enjeux, ayant trait à l’intégration économique de la région de l’Afrique du Nord, la concurrence de certains pays, à savoir la Chine, les pays de l’UE, la Turquie…

Pour relever ces enjeux, «il faudrait valoriser le potentiel à l’export sur le marché algérien, et ce, en poursuivant l’amélioration des procédures administratives, logistiques et douanières afin d’optimiser l’accord commercial préférentiel entre la Tunisie et l’Algérie.

Il s’agit aussi de promouvoir le commerce et l’investissement entre les deux pays en créant des projets de partenariat dans les secteurs d’activité à fort potentiel et en favorisant l’implantation des entreprises tunisiennes sur le marché algérien. Ceci outre la consolidation des mécanismes bilatéraux de lutte contre le commerce informel et la spéculation des marchan

dises.

Afrique News

23. Juni 2025 um 17:40

Les éco-innovations d’AfricaRice
Pour une autosuffisance rizicole durable 

La Presse—Le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice) vient de développer des innovations climato-intelligentes visant à accroître la productivité rizicole tout en réduisant de manière significative l’utilisation du plastique dans les pratiques agricoles et post-récolte. Cette approche intégrée, qui concilie rendement et préservation de l’environnement, est déjà mise en œuvre dans plusieurs pays du continent.

Ainsi, «AfricaRice» promeut une alternative naturelle : le paillage à base de paille de riz. Les agriculteurs sont encouragés à utiliser les résidus de récolte pour couvrir leurs parcelles. Cette méthode permet de maintenir l’humidité, de contrôler les adventices et de renforcer la biodiversité des sols sans avoir recours à des matériaux synthétiques. Elle améliore la productivité et la santé des sols, notamment dans les zones de bas-fonds fragiles. Cette pratique a permis d’augmenter les revenus des producteurs de 5 à 15 %, et le stock de carbone du sol de 1,0 à 2,0 t/ha.

En remplacement des engrais synthétiques, souvent conditionnés dans du plastique, AfricaRice encourage l’utilisation du biochar issu des résidus agricoles (balles de riz, paille, fumier), dans le cadre du projet Aiccra. Les agriculteurs reçoivent une formation pour produire et appliquer le biochar à partir de matériaux locaux, sans emballage plastique ni intrants extérieurs.

Cette pratique améliore la fertilité des sols, réduit les coûts, favorise une agriculture circulaire sans plastique et accroît les rendements. Les revenus agricoles ont augmenté de 10 à 20 % et les émissions de gaz à effet de serre ont diminué de 20 à 30 % grâce à l’utilisation du biochar.

En réduisant l’usage du plastique tout au long de la chaîne de valeur— de la production à l’emballage —, AfricaRice propose un nouveau modèle de production rizicole, à la fois écologique, accessible et économiquement viable. L’avenir du riz en Afrique ne se résume pas à nourrir les populations, mais à le faire de manière productive, durable et sans pollution plastique.

CréAfrique 2025 
Repenser un continent intelligent et résilient

Dans un monde en pleine mutation, le réseau Inspiring Leaders for Africa (ILA) a annoncé récemment la mise en œuvre de la plateforme incontournable CréAfrique en vue de façonner l’avenir des territoires africains et construire des «Smart villages».

Le «Smart village», tel que conceptualisé par l’ILA, représente un nouveau paradigme de développement fondé sur cinq piliers essentiels pour une croissance équilibrée et inclusive. Il s’agit d’un village durable, respectueux des équilibres sociaux, économiques et écologiques. Ce village est également moderne, connecté et intègre les technologies de pointe ainsi que des infrastructures intelligentes.

Par ailleurs, il est autonome, capable de répondre à ses besoins essentiels tout en promouvant la production locale. Il se veut résilient, adaptable face aux défis climatiques, sociaux et économiques, et enfin, transparent, gouverné par la redevabilité, la participation citoyenne et la confiance.

«ILA Network» est une initiative stratégique qui rassemble des esprits inspirants et visionnaires pour coconstruire un avenir durable et inclusif pour l’Afrique. Le réseau met l’accent sur l’innovation, l’inclusion et la durabilité, afin de bâtir une Afrique prospère et équitable.

L’initiative encourage l’intégration de pratiques durables et responsables dans les processus de production, et soutient l’innovation dans la conception et l’utilisation des matériaux, contribuant ainsi à une transition vers des modèles économiques, circulaires et écologiques.

En misant sur un leadership responsable et en s’appuyant sur ses partenaires stratégiques, ILA Network œuvre à transformer les défis du continent en opportunités de croissance, en inspirant les consciences et les actions intellectuelles des acteurs clés.

FMI
Le Maroc devient la 5e puissance économique d’Afrique

Dans le classement du FMI de 2025, la performance du Maroc dépasse les seuls indicateurs quantitatifs : elle reflète une transformation qualitative, une volonté de s’inscrire durablement dans les chaînes de valeur régionales et mondiales, ainsi qu’une ambition panafricaine assumée.

Selon les dernières prévisions du FMI pour 2025, le Maroc se hisse à la cinquième place des économies africaines, avec un PIB estimé à 165,8 milliards de dollars. Une performance remarquable qui positionne le Royaume comme un acteur économique de premier plan sur le continent. Depuis plus d’une décennie, le Maroc a engagé une transformation structurelle de son économie, misant sur la diversification plutôt que sur la rente extractive.

L’économie marocaine, parmi les plus diversifiées du continent avec celle de l’Afrique du Sud, est soutenue par les secteurs de l’automobile, de l’aéronautique, de l’offshoring… qui contribuent, à côté des phosphates et de l’agriculture, à la création d’emplois et à la hausse des exportations.

Parmi les moteurs de cette dynamique figurent le secteur automobile, devenu le premier exportateur industriel du pays, avec une chaîne de valeur bien intégrée, les énergies renouvelables en plein essor, le développement des infrastructures logistiques et portuaires, la stabilité politique et la gouvernance économique prudente.

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Conjoncture économique : Un bilan en demi-teinte

18. Juni 2025 um 17:50

Alors que les prévisions de la Banque mondiale révèlent un net ralentissement de la croissance mondiale, la Tunisie s’efforce de tirer parti de ses atouts et d’une relative stabilité macroéconomique pour préserver sa trajectoire de développement. Mais les risques extérieurs s’accumulent…

La Presse — D’après les toutes dernières perspectives économiques mondiales publiées en juin 2025 par la Banque mondiale, l’économie mondiale évolue désormais sur une pente dangereusement inclinée vers une stagnation prolongée. Si les pays échappent, pour l’instant, à une récession globale, la croissance mondiale ne devrait pas excéder 2,3 % en 2025, un rythme qualifié de plus faible depuis 2008. 

Ce repli s’explique par l’exacerbation des tensions commerciales, une incertitude géopolitique persistante, et une montée du protectionnisme dans les principaux centres d’échange mondiaux. Près de 70 % des économies, toutes régions confondues, voient ainsi leurs prévisions de croissance revues à la baisse. Si cette tendance devait se prolonger, la décennie 2020-2027 pourrait devenir la plus atone en matière de croissance.

Face à cette conjoncture mondiale assez critique, la situation économique en Tunisie en 2025, notamment au cours du premier trimestre, est mitigée. 

La croissance connaît une reprise qui s’explique essentiellement par celle de l’agriculture et du tourisme, les autres secteurs enregistrent une croissance faible voire négative, en particulier les secteurs clés de l’industrie, à savoir le textile-habillement et cuir et les industries mécaniques et électriques, majoritairement exportateurs. 

Cette situation s’explique certes par le contexte mondial mentionné auparavant, contexte marqué notamment par l’incertitude en matière de politique commerciale et la faible croissance dans la zone Euro, partenaire principal de la Tunisie. Elle est due aussi à des facteurs endogènes, à savoir la faiblesse de la productivité et de la compétitivité globale de l’économie nationale.

Signaux d’amélioration

En ce qui concerne le secteur de l’investissement, il a enregistré quelques signaux d’amélioration, mais le niveau reste en deçà des attentes. 

En effet, les importations de biens d’équipement, indicateur important, largement corrélé avec l’investissement, ont augmenté de 18.3 %. L’encours des crédits à l’économie s’est inscrit en hausse graduelle au mois de février 2025, progressant de 3,2 %. Ce renforcement a concerné quasiment tous les secteurs. Les investissements directs étrangers (IDE) ont augmenté de 25,6 % sur un an durant le premier trimestre de 2025.

Les investissements dans l’énergie se contractent de 14,1 %, et les services subissent un repli de 11,5 %, à 74,8 millions de dinars.

Reste à préciser que des efforts devraient être déployés pour améliorer le climat des affaires et renforcer l’attractivité de l’économie en vue d’assurer une reprise significative de l’investissement et consolider la dynamique que connaissent les IDE de manière à assurer une croissance soutenue susceptible d’intensifier les créations d’emploi et de réduire le taux de chômage.

Par ailleurs, selon les indicateurs, la croissance du PIB s’est améliorée sous l’effet du bon comportement du secteur, agricole et du tourisme alors que, pour les autres secteurs la croissance continue à être atone notamment pour le secteur industriel. L’inflation diminue (5,9 %) mais demeure encore élevée pour l’alimentation et le taux de chômage baisse, bien que le marché de l’emploi demeure tendu pour les jeunes et les diplômés du supérieur.

Autre indicateur : « Le déficit de la balance des paiements s’est aggravé sous l’effet du creusement du déficit commercial, malgré la bonne tenue des recettes touristiques et des revenus du travail ». Ceci s’explique notamment par la forte augmentation des importations des biens d’équipement et des matières premières et semi produits pour accompagner la reprise de croissance et de l’investissement.

Détente du Budget de l’Etat  

Le budget de l’Etat a connu, de son côté, une détente. Il a dégagé, au premier trimestre 2025, un excédent de 2 milliards de dinars, en hausse de 74 % par rapport à la même période en 2024, selon la note du ministère des finances sur « les résultats provisoires de l’exécution du budget ».

Les statistiques font ressortir, également, un taux de croissance moyennant 1.6 % au premier trimestre. Un taux qui « demeure toutefois insuffisant pour concrétiser l’objectif de 3.7 % prévu par le Budget pour l’ensemble de l’année. La Banque mondiale prévoit, dans son rapport sur la situation économique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, une croissance de 1.9% pour la Tunisie en 2025 ». 

Le déficit de la balance commerciale s’aggrave 

Durant le premier trimestre de l’année 2025, les échanges commerciaux avec l’extérieur aux prix courants sont marqués par une baisse des exportations de 5.9 % alors que les importations ont augmenté de 5.5 % par rapport à la même période de 2024.

Il en est résulté une augmentation du déficit commercial qui s’établit à un niveau de (-5050,5 MD) contre (-3027,4 MD) durant le premier trimestre de l’année 2024.  Selon les secteurs d’activité, les exportations ont enregistré une baisse dans pratiquement tous les secteurs (énergie, industries agro-alimentaires, industries mécaniques et électriques, textile, habillement et cuirs, secteur des mines, phosphates et dérivés). 

Pour les importations, selon les groupements des produits, elles ont enregistré une augmentation au niveau des importations des biens d’équipement, des matières premières et des biens de consommation. 

Progression des billets et monnaie en circulation 

Les indicateurs monétaires au premier semestre 2025 sont marqués notamment par le niveau de l’activité et l’effet de la mise en œuvre de la nouvelle réglementation des chèques. Ainsi, les billets et monnaie en circulation progressent de 12.5 % sur un an. Cette hausse s’explique principalement par la promulgation de la loi sur les chèques et la suppression de la limite légale pour la détention des sommes en espèce et de l’exigence de justification pour la détention de fonds.

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