Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 01. April 2025Haupt-Feeds

Décryptage de la baisse du taux directeur : Une relance sous conditions ?

01. April 2025 um 17:40

Le 26 mars 2025, la Banque centrale de Tunisie (BCT) a annoncé une réduction de son taux directeur de 50 points de base, le faisant passer de 8 % à 7,5 %. Cette décision, effective dès le 27 mars, vise à soutenir la relance économique dans un contexte de ralentissement de l’inflation. Reste à savoir si cette mesure sera suffisante pour relancer la croissance et atténuer les déséquilibres macroéconomiques du pays. Qu’en pensent les spécialistes ?

La Presse — Depuis le début de l’année 2025, l’inflation en Tunisie a montré des signes de ralentissement, atteignant 5,7 % en février. Par ailleurs, la croissance économique s’est établie à 2,4 % au quatrième trimestre de 2024, portée principalement par les secteurs des services et de l’agriculture. Cependant, le déficit courant s’est creusé à 1,654 milliard de dinars (0,9 % du PIB) en février 2025, principalement en raison d’un déficit commercial plus marqué.

Réactions des économistes et experts

La décision de la BCT a suscité de nombreuses réactions parmi les experts économiques tunisiens. Mohsen Hassan, économiste et ancien ministre du Commerce, estime que cette mesure enverra un signal positif aux investisseurs, en réduisant le coût des financements et en stimulant la croissance économique. Il ajoute que « cette baisse permettra aux entreprises d’accéder à des crédits moins coûteux, ce qui encouragera les investissements productifs et l’emploi ».

De son côté, Ridha Chkoundali, professeur en sciences économiques, juge cette réduction du taux directeur « importante mais tardive et insuffisante ». Il soutient que bien qu’elle puisse améliorer la situation financière des entreprises et des ménages, une réduction plus significative aurait été préférable pour relancer réellement l’économie.

L’économiste Ezzedine Saïdane partage un avis nuancé. Selon lui, « la baisse du taux directeur est une mesure attendue et nécessaire, mais elle doit s’accompagner de réformes structurelles pour être pleinement efficace. Sans une amélioration du climat des affaires et une stabilisation des finances publiques, l’impact de cette réduction pourrait rester limité ».

«La décision du Conseil d’administration de la Banque centrale de Tunisie (BCT) s’inscrit dans une politique d’ajustement progressif. Cette mesure vise à permettre à la BCT de maîtriser les prix tout en créant les conditions nécessaires au bon fonctionnement de l’économie », a déclaré l’analyste économique et financier, Bassem Ennaïfar

Effets sur l’investissement et la consommation

La baisse du taux directeur devrait encourager les entreprises à emprunter à des conditions plus favorables, stimulant ainsi l’investissement et l’emploi. Selon Hachemi Alaya, analyste financier, « une réduction du coût du crédit est bénéfique pour le tissu économique, en particulier pour les PME, qui peinent souvent à accéder au financement ».

Par ailleurs, la BCT a également abaissé le taux minimum de rémunération de l’épargne à 6,5 %, ce qui pourrait décourager l’épargne et favoriser la consommation. Cela pourrait avoir un effet stimulant sur la demande intérieure, bien que certains analystes, comme l’économiste Moez Joudi, alertent sur le risque d’une pression accrue sur la liquidité bancaire : « Moins d’épargne signifie moins de ressources pour financer l’investissement bancaire, ce qui peut à terme nuire à la croissance ».

Avec conditions !

La question clé reste de savoir si cette mesure sera suffisante pour relancer la croissance et atténuer les déséquilibres macroéconomiques du pays. Abdelkader Boudriga, spécialiste en finance et en banque, souligne que « cette décision est une étape, mais elle doit être suivie d’autres réformes, notamment en matière de fiscalité et d’amélioration du climat des affaires ».

Pour résumer les réactions de tous ces spécialistes en économie et en finance, on dira que la baisse du taux directeur par la BCT représente une tentative de relance économique en Tunisie, mais son efficacité dépendra de plusieurs facteurs. Si elle est bien accueillie par les investisseurs et les entreprises, son impact réel ne pourra être mesuré que dans les mois à venir, en fonction des évolutions du marché et des politiques économiques mises en place.

Les bases d’un modèle de développement réussi

01. April 2025 um 17:30

En s’appuyant sur ces leviers, la Tunisie pourra renforcer sa compétitivité, attirer les investissements et assurer un avenir prospère à ses citoyens. Dans un contexte mondial en mutation, la Tunisie se doit d’adopter un modèle de développement durable et innovant afin de garantir une croissance équilibrée et inclusive. Face aux défis économiques, sociaux et environnementaux, il est essentiel de miser sur des secteurs stratégiques et de mettre en place des réformes adaptées. L’économie de la connaissance, la transition écologique, l’amélioration du climat des affaires et une gouvernance efficace constituent les piliers d’un développement réussi.

Miser sur la tech et le développement durable

Avec une jeunesse instruite et un écosystème technologique en développement, la Tunisie a le potentiel de devenir un hub régional dans les secteurs du numérique, de l’intelligence artificielle et des biotechnologies. Investir massivement dans la recherche et le développement, ainsi que dans l’éducation et la formation continue, permettrait d’attirer des investisseurs et de favoriser l’essor des startup innovantes. La transition écologique est une opportunité pour la Tunisie. Le pays bénéficie d’un ensoleillement important et d’un fort potentiel éolien, ce qui favorise les énergies renouvelables. Par ailleurs, l’adoption de pratiques agricoles durables et le recyclage des déchets contribueraient à la protection de l’environnement tout en générant de nouveaux emplois verts.

Attractivité et climat des affaires

Pour relancer l’investissement, il est essentiel de simplifier les procédures administratives, de garantir une fiscalité stable et incitative, et d’encourager le partenariat public-privé. La digitalisation des services économiques et la lutte contre la corruption renforceront la confiance des investisseurs locaux et étrangers.

Gouvernance et réformes structurelles

L’efficacité de l’Etat joue un rôle clé dans la réussite du modèle économique. Une meilleure gestion des finances publiques, la modernisation de l’administration et une décentralisation équilibrée permettront d’améliorer l’efficacité des politiques économiques. En combinant ces axes, la Tunisie pourra bâtir un modèle économique résilient, créateur de valeur et inclusif, garantissant une croissance durable et équitable pour l’ensemble de la population.

 

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Le « Green Deal », les lobbies et Omnibus : Une bataille pour l’avenir de l’Europe

30. März 2025 um 20:10

Depuis l’annonce du « Green Deal », les lobbies industriels, agricoles et énergétiques ont exercé une influence considérable pour atténuer certaines mesures perçues comme trop contraignantes.

Le « Green Deal » européen, présenté en 2019 par la Commission européenne sous la présidence d’Ursula Von Der Leyen, vise à faire de l’Europe le premier continent climatiquement neutre d’ici 2050. Ce projet ambitieux implique une série de mesures réglementaires et financières destinées à réduire les émissions de gaz à effet de serre, favoriser l’économie circulaire et promouvoir une agriculture plus durable. Toutefois, derrière cette noble ambition, un intense bras de fer oppose les décideurs politiques, les entreprises, les agriculteurs et les lobbies industriels.

L’impact des lobbies sur le « Green Deal »

Depuis l’annonce du « Green Deal », les lobbies industriels, agricoles et énergétiques ont exercé une influence considérable pour atténuer certaines mesures perçues comme trop contraignantes. Le secteur agroalimentaire, notamment, s’est opposé à certaines initiatives comme la réduction des pesticides ou les quotas sur les émissions de méthane dans l’élevage. De grandes multinationales pétrolières et chimiques ont également fait pression pour ralentir ou modifier certaines réglementations sur la transition énergétique et l’économie circulaire.

De l’autre côté, les organisations écologistes et certains eurodéputés tentent de maintenir le cap sur les objectifs initiaux du « Green Deal ». Elles dénoncent les tentatives de dilution des mesures et la captation du débat par des intérêts économiques au détriment de l’intérêt général et des engagements climatiques de l’Union européenne.

Omnibus : un levier pour influer sur les politiques environnementales

Dans ce contexte, la législation « Omnibus », un ensemble de lois européennes visant à simplifier et modifier certaines réglementations existantes, est devenue un champ de bataille stratégique. Ce type de législation permet d’introduire des ajustements dans des domaines aussi variés que l’agriculture, l’énergie ou la fiscalité verte.

Les lobbies utilisent souvent ce véhicule législatif pour introduire discrètement des amendements favorisant leurs intérêts, en contournant les débats publics plus médiatisés sur le « Green Deal ». Par exemple, des clauses sur l’assouplissement des normes environnementales pour les industries lourdes ou l’allègement des obligations de réduction des engrais chimiques ont été intégrées dans certains textes.

Quel avenir pour le « Green Deal » face aux pressions ?

Malgré les résistances, la transition écologique européenne reste en marche. La pression citoyenne, la montée des préoccupations environnementales et les engagements internationaux poussent l’Union européenne à maintenir son cap. Toutefois, le rôle des lobbies et des lois Omnibus dans l’élaboration des politiques environnementales illustre à quel point les ambitions climatiques de l’Europe sont soumises à des forces contradictoires.

Si l’Europe veut réellement atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, elle devra renforcer la transparence des décisions politiques, limiter l’influence des lobbies et s’assurer que des mécanismes comme Omnibus ne servent pas à contourner les engagements écologiques pris devant les citoyens européens.

Le « Green Deal » est donc un test crucial pour la démocratie européenne : sa réussite dépendra de la capacité de l’Union européenne à concilier transition écologique, intérêts économiques et attentes sociétales.

Express

26. März 2025 um 20:10

AIE-Consommation d’énergie dans le monde en 2024 
Une hausse nette, tirée par l’électricité

D’après le dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publié récemment, la consommation d’énergie dans le monde a davantage progressé en 2024 qu’au cours de toute la décennie précédente, marquée par un bond de l’électricité et une chute du pétrole, celui-ci représentant moins de 30 % du total pour la première fois. L’évolution de cette demande d’énergie a été de plus de 2,2 % en 2024, soit presque deux fois plus que la moyenne des dix années précédentes (2013 et 2023) où cette hausse a été de 1,3 %, indique la même source.

Onagri- Balance commerciale des produits de la pêche
Baisses des exportations et hausse des importations 

19,9 millions de dinars serait l’excédent de la balance commerciale des produits de la pêche à fin janvier 2025. Selon des données de l’Observatoire National de l’Agriculture, cet excédent est en baisse de 73 % par rapport à celui réalisé durant la même période une année auparavant et qui s’élevait à 73,8 MD. Les exportations du secteur s’élèvent à 2,3 mille tonnes pour une valeur de 49,7 MD, en janvier 2025.

Il s’agit selon la même source d’une baisse significative de 34,3 % en quantité et de 48,2 % en valeur par rapport à janvier 2024. Il est à préciser qu’une baisse a également été enregistrée pour les prix à l’exportation. Cette baisse est estimée à 22,6 % (21,4 dinars le kilo en 2025 contre 27,6 dinars en 2024). L’Onagri a dévoilé que les exportations tunisiennes des produits de la mer sont basées essentiellement sur les poissons avec 1,3 mille tonnes, les conserves et les semi-conserves avec 0,54 mille tonnes et les crustacés avec 0,37 mille tonnes. Il est également à préciser que ces exportations vont sur 19 marchés mondiaux,  dont l’Italie, premier importateur avec 30 % de parts de marché, les Émirats arabes unis (14 %), la Libye (12 %) et l’Algérie (11 %).

D’autre part, la valeur des importations des produits de la pêche a connu une hausse de 34,2 %, soit 29,8 MD en janvier 2025 et aussi une augmentation en quantités importées de 39 % (5,7 mille tonnes). Les prix à l’importation ont diminué de 3,1 % par rapport au même mois de 2024, s’établissant à 5,3 D Kg. D’après l’Onagri, 77 % des quantités importées sont destinées à l’industrialisation, 20 % à l’approvisionnement du marché et seulement 3 % à l’engraissement.

Mobilisation des compétences tunisiennes
Et après ?

L’Observatoire National de la Migration (ONM) met en avant le rôle crucial de la diaspora tunisienne dans le développement économique du pays, tout en mettant en évidence les difficultés qu’elle rencontre pour investir. Selon l’une de ses dernières études, intitulée « La mobilisation des compétences tunisiennes dans le développement de la Tunisie et la réinsertion des Tunisiens de retour », l’observatoire indique, qu’en 2021, les transferts financiers des Tunisiens à l’étranger ont atteint 8.618 millions de dinars, enregistrant une hausse de 29,4 % depuis 2017.

Toutefois, ces fonds ne sont pas suffisamment orientés vers des investissements productifs en raison d’obstacles administratifs majeurs. L’ONM recommande ainsi plusieurs mesures pour encourager l’investissement des expatriés : simplifier l’ouverture de comptes bancaires et postaux, réduire les coûts des transferts financiers, et mettre en place des programmes de transfert de fonds dédiés aux migrants de retour.

Ces derniers investissent principalement dans l’agriculture (30,61 %), la construction (29 %) et le commerce (22,7 %), tandis que les Tunisiens à l’étranger privilégient la construction (44,61 %), l’immobilier (30 %) et l’agriculture (15 %). Le Haut Conseil des Tunisiens à l’étranger déplore un manque d’écoute et des lourdeurs administratives qui freinent les initiatives de la diaspora. Il appelle à des réformes urgentes pour lever ces barrières et encourager un climat d’investissement plus attractif, favorisant ainsi la réinsertion économique des migrants de retour.

L’article Express est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Électroménager et appareillage connectés : Tout devient compliqué

25. März 2025 um 19:50

Des écrans tactiles collés aux portes des réfrigérateurs qui informent des produits périmés ou manquants, fours intelligents, lave-linge à reconnaissance visuelle, aspirateurs autonomes et surpuissants… Les outils domestiques s’enrichissent de l’Intelligence Artificielle, communiquent avec leurs utilisateurs et même entre eux. Et pour séduire davantage le consommateur d’aujourd’hui, ces derniers s’habillent de couleurs et prennent des formes peu communes. 

Depuis plusieurs années, la technologie a révolutionné nos maisons. Il est désormais possible de contrôler à distance les aspirateurs, les lave-linges, les lave-vaisselles, les réfrigérateurs, les fours, les tables de cuisson… Si les objets connectés offrent leur lot d’avantages, ils ont certainement leurs inconvénients.

Appelés appareils intelligents ou objets connectés, ces derniers sont des objets ordinaires qui peuvent envoyer ou recevoir des informations par l’intermédiaire d’une connexion internet. 

Pour communiquer avec des appareils électroménagers connectés, il est d’abord nécessaire de les raccorder à une alimentation électrique. Il faut ensuite activer le mode Wi-Fi sur l’appareil, télécharger l’application du fabricant sur son portable puis connecter l’appareil à internet. Une fois synchronisé, l’appareil peut être piloté à distance par le consommateur.

Des avantages, certes…

Ces avancées technologiques offrent de multiples avantages. Il existe de nombreux objets connectés permettant de renforcer la sécurité des personnes, mais aussi des biens se trouvant dans une habitation. Certains objets sont directement destinés à assurer une protection comme les caméras de surveillance ou les alarmes.

Dans certains pays où la gestion des données personnelles est très avancée, ces dispositifs permettent non seulement de dissuader les intrus, mais également de fournir des informations sur les personnes entrant par effraction. Il y a également d’autres objets connectés qui ne sont pas destinés à cet usage, mais qui y contribuent. C’est notamment le cas des volets roulants connectés. Ces derniers peuvent être contrôlés à distance, de n’importe quel endroit. Il est alors possible de simuler une présence humaine dans une habitation vide, dans le but de dissuader les intrus d’entrer.

Les objets connectés ont aussi été créés pour améliorer le confort des utilisateurs, puisqu’ils ont l’avantage d’être gérés à distance. Cela peut aider à améliorer le confort en contrôlant à distance l’éclairage, le chauffage, ou même une musique facilement et rapidement à l’aide d’un téléphone portable. Ainsi, la lumière peut s’allumer dès que vous arrivez, les volets se ferment dès que vous allez vous coucher, le chauffage se baisse pendant vos vacances, et cela de manière totalement automatique.

Ces appareils peuvent être également utiles pour réduire la consommation d’énergie et faire des économies.   Les appareils connectés peuvent être gérés de manière plus précise. Les ampoules et le chauffage peuvent être allumés uniquement lorsque cela est nécessaire et éteints lorsqu’on n’en a pas besoin. 

… mais des limites aussi !

Tous les spécialistes ne cachent pas les limites des systèmes domotiques pour les habitations. Oui, une maison connectée a des avantages, mais elle présente certainement des inconvénients  ! Les principales limites de ces systèmes intelligents résident dans la sécurisation des données. Si la maison intelligente offre de nombreux avantages, elle soulève également des questions importantes en matière de confidentialité et de sécurité des données. Car la vulnérabilité aux cyberattaques est une réalité.

Avec des appareils connectés susceptibles d’être piratés, les utilisateurs risquent d’être exposés au vol de données personnelles ou à l’espionnage. La protection de ces systèmes domotiques est donc essentielle pour sécuriser l’habitat contre les intrusions numériques !

Pour éviter ces risques, il faut veiller à utiliser des mots de passe efficaces, faire les mises à jour régulièrement, ou encore limiter l’accès des téléphones à certains appareils.

Une dépendance de la technologie et coûts élevés

L’adoption de la maison intelligente entraîne une inévitable dépendance de la technologie et de ses limites. Ainsi, les risque de pannes ou de dysfonctionnements ne sont pas exclus, cela peut sérieusement perturber les activités quotidiennes. Il y a aussi l’instabilité de la connexion qui peut poser problème lors de coupures internet, rendant les appareils et services inaccessibles ou encore la complexité d’utilisation pour certains équipements, particulièrement pour ceux qui ne sont pas à l’aise avec la technologie.

Pour cela, il faut bien faire ses choix avant de s’engager et ne pas automatiser toutes les tâches quotidiennes et garder un certain contrôle manuel sur la maison. 

Il faut aussi rappeler que tous ces branchements et tout ce confort se paye et parfois les coûts sont relativement élevés. Ce qu’il faut savoir, c’est que faire la transition vers une maison connectée implique souvent un investissement initial significatif ! Il peut englober l’acquisition d’appareils intelligents, les frais d’installation et de mise en place d’un système domotique complet, les éventuels abonnements mensuels pour accéder à des services spécifiques, sans oublier les coûts d’entretien.

Trouver le juste milieu

La maison connectée offre de nombreuses potentialités pour améliorer le confort, la sécurité et la gestion du quotidien. Cependant, il est important de bien peser les avantages et les inconvénients avant de se lancer et de prendre les mesures nécessaires pour minimiser les risques !

Il suffit donc de définir clairement les besoins et évaluer les priorités en identifiant les aspects du quotidien qu’il est souhaitable de simplifier ou d’améliorer. 

L’article Électroménager et appareillage connectés : Tout devient compliqué est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

❌
❌