Tunis, UNIVERSNEWS (SPORTS) – Le bureau fédéral de tennis vient d’être dissous par le ministère de la Jeunesse et des Sports en raison de manquements aux textes légaux régissant les structures sportives.
La nature de ces manquements n’a pas été précisée par le ministère. Le bureau fédéral provisoire qui a été nommé sera composé des membres suivants : Lotfi Chelly : Président. Malika Taboubi, Slim Boukassa, Akila Hattabi, Houssam Boussarsar : membres. (M.S)
Tunis, UNIVERSNEWS (Météo) – Températures maximales comprises entre 14 et 19 degrés dans le nord, aux alentours de 13 degrés sur les hauteurs et entre 20 et 25 degrés dans le reste des régions. Vent de secteur nord-ouest, relativement fort à fort sur le nord et les hauteurs et près des côtes et modéré sur le reste des régions.
Temps parfois très nuageux avec pluies éparses, le matin, sur les régions côtières du nord et le nord-ouest. Les pluies seront provisoirement orageuses et parfois intenses sur l’extrême nord-ouest et concerneront progressivement les régions du nord, du centre et du sud-est, l’après-midi, avec des chutes de grêle par endroits.
Tunis, UNIVERSNEWS (Social) – Avoir un emploi valorisant équivalent des efforts fournis pour gravir l’échelle sociale, sans favoritisme est le droit de tous les Tunisiens, mais, il semble que certains errements dans l’enseignement supérieur ont fait de certaines filières des machines à produire des diplômés chômeurs et des doctorants qui ne trouvent pas d’emploi, alors que plusieurs secteurs manquent de personnel compétent.
Conséquences, la contestation s’installe et va en s’amplifiant, alors que l’Etat manque de moyens pour recruter ces diplômés et ces doctorants qui, en principe, devraient faire honneur au pays, avec leur compétence et leur savoir-faire qui reste, quand même, inexploité. En parallèle, il faut savoir, aussi, que la fonction publique, les entreprises et les établissements publics ne peuvent pas tout absorber… et que chaque élément de la machine économique doit jouer pleinement son rôle, avec honnêteté.
Revendication d’un emploi sans concours
Dans la logique des choses, un certain nombre de doctorants-chercheurs au chômage ont revendiqué « le recrutement direct sans concours ». Leur porte-parole Abderrahmane Khlifi a indiqué, dans une conférence de presse, qu’environ 5 mille titulaires de doctorat sont confrontés au chômage ou travaillent dans des secteurs non adaptés à leur qualification, soulignant la nécessité de « régulariser la situation des doctorants à travers le recrutement direct et l’annulation des concours ».
« Il s’agit de la deuxième conférence de presse organisée en l’espace de deux mois » a-t-il précisé, signalant l’importance de régulariser ce dossier et de facilité l’intégration des doctorants afin de préserver leur dignité.
Sit-in ouvert des diplômés au chômage
Pour sa part, la Coordination nationale des diplômés en chômage prolongé a annoncé l’organisation d’une action nationale les 8 et 9 avril prochains pour revendiquer le droit à l’emploi, suivie d’un sit-in ouvert.
Dans une déclaration publiée sur sa page Facebook, la Coordination a appelé à une mobilisation massive, qualifiant cette initiative d' »étape d’escalade » pour faire pression en faveur de leurs revendications. Elle dénonce « la persistance de l’État à ignorer leurs droits légitimes » et réaffirme sa détermination à poursuivre la lutte pacifique jusqu’à l’obtention de solutions durables.
Cette action s’inscrit dans la continuité du mouvement entamé le 19 février dernier, où des diplômés sans emploi s’étaient rassemblés place de la Kasbah, réclamant leur intégration dans la fonction publique et la fin des emplois précaires.
Les promesses fusent de partout, mais la réalité sur le terrain… reste amère !!!
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – La médina de Tunis s’est parée d’une lumière exceptionnelle dans la soirée du mercredi 19 mars 2025, inaugurant la troisième édition de « Biben El Medina », une expérience immersive où la technologie réinvente l’histoire et où l’industrie créative revisite la mémoire, offrant un regard artistique contemporain sur la ville ancienne.
L’événement a été officiellement inauguré par la ministre des Affaires culturelles, Amina Srarfi, à Dar Hussein, siège de l’Institut national du patrimoine (INP), ainsi que dans plusieurs monuments et édifices historiques de la médina de Tunis. Organisée par le Centre international de Tunis pour l’économie culturelle numérique (TICDCE), en collaboration avec l’Institut national du patrimoine, cette manifestation en sons et en lumières se poursuivra jusqu’au 23 mars 2025.
Suivant le parcours interactif, la ministre a assisté à un spectacle du hakawati (conteur) avant de se rendre au « Marché des startups », où plusieurs projets numériques innovants mettant en valeur le patrimoine culturel national ont été présentés.
Elle s’est ensuite rendue sur la place de la mosquée El Ksar, où elle a découvert l’expérience du laboratoire créatif itinérant « Madad », avant de visiter « Dar el-sfaksia », qui abrite « Légendes de la Médina », une exposition de photographies générées par intelligence artificielle.
A l’Institut national du patrimoine -Dar Hussein-, le spectacle musical interactif « Electro Koufi » a proposé un voyage à travers l’histoire et l’évolution de l’écriture, où la lettre et la calligraphie deviennent un guide à travers le temps.
Elle a également assisté à des projections numériques et à une présentation sur l’histoire de Tunis et de ses portes emblématiques donnée par l’historien Abdessattar Amamou.
Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – Le pouvoir d’achat correspond à la quantité de biens et de services qu’un revenu permet d’acheter. Le pouvoir d’achat dépend alors du niveau du revenu et du niveau des prix. L’évolution du pouvoir d’achat correspond donc à la différence entre l’évolution des revenus des ménages et l’évolution des prix. Si la hausse des revenus est supérieure à celle des prix, le pouvoir d’achat augmente. Dans le cas contraire, il diminue. A l’échelle d’un pays, le pouvoir d’achat global est égal au revenu disponible brut . À long terme, il croit au même rythme que le produit national brut t du pays, mesuré en volume. La Parité de Pouvoir d’Achat (PPA) est un indicateur économique fondamental permettant de comparer le pouvoir d’achat réel des citoyens à travers différents pays, en ajustant les valeurs monétaires aux différences de coût de la vie.
Contrairement au Produit Intérieur Brut (PIB) nominal par habitant, qui mesure la richesse produite sans tenir compte du niveau des prix, le PIB ajusté en PPA offre une perspective plus réaliste du bien-être économique des populations. Selon les estimations de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) révélées par Africa Business Insider, plusieurs pays africains se distinguent par un pouvoir d’achat élevé. Ce classement révèle des différences significatives entre les économies du continent : La Tunisie, avec un PPA de 14 718 dollars par habitant, se positionne en 10éme. Ce résultat s’explique par un coût de la vie relativement modéré, permettant aux citoyens d’accéder à davantage de biens et services par rapport à leurs revenus nominaux.Seychelles occupe la première place (43.070 dollars par habitant) suivi par l’Île Maurice (33.954) le Gabon (24682) l’Egypte (21.609) Botswana (20.798) la Guinée équatoriale (20.477)l’ Algérie (18.348) la Libye (17.588) et l’Afrique du Sud (16.009)
La Tunisie 5e dans l’indice du coût de la vie et 2025
En se classant 5ᵉ, la Tunisie occupe une place de choix dans le TOP 5 africain et affirme son statut de pays où la vie est accessible. Voici le TOP 5 des pays africains selon l’indice du coût de la vie :
Libye (18,6) : Avec une économie en reconstruction, le pays affiche un indice du coût de la vie relativement bas.
Égypte (19,0) : Deuxième du classement avec des prix abordables, bien que l’inflation y soit plus marquée qu’en Tunisie
Madagascar (20,7) : Troisième du classement, avec un indice légèrement supérieur à celui de l’Égypte.
Algérie (24,5) : Une position solide dans le TOP 5, confirmant une vie relativement abordable.
Tunisie (25,5) : Un coût de la vie légèrement plus élevé que celui de l’Algérie. (M.S)
Tunis, UNIVERSNEWS (SPORTS) – La sélection tunisienne de football sera opposée au Libéria ce mercredi, pour le compte de la 5e journée des qualifications pour la Coupe du Monde 2026 (groupe H). Ce match, qui se déroulera à Monrovia à partir de 17h00 (heure tunisienne), est loin d’être une formalité pour les aigles de Carthage au même titre que les Libériens, d’ailleurs, qui nourrissent des ambitions bien définies dans cette course à la qualification. Toutefois, c’est le match qu’il faut gagner, afin de jouer le reste des rencontres plus à l’aise et sans pression !!!
Le leader incontesté du groupe H avec 10 points, l’équipe de Tunisie arrive en position de force, à la faveur des performances solides enchaînées lors des éliminatoires (trois victoires et un match nul). Cependant, ce déplacement au Libéria ne sera pas une simple formalité, d’autant plus que l’équipe devra composer avec certaines absences dont le forfait du nouveau venu, le portier de l’US Monastir Abdesselam Hlaoui, victime d’une blessure musculaire lors de la séance d’entraînement de dimanche et remplacé par le gardien de but de l’US Ben Guerdane, Noureddine Farhati.
Le Onze national devra, également, se passer de son milieu de terrain phare, Élias Skhiri. Ce dernier, blessé dimanche lors du match opposant son club, l’Eintracht Francfort, à Bochum en Bundesliga, est un absent de taille pour la sélection. Sa vision du jeu et son impact défensif ôteront bien des options au sélectionneur Sami Trabelsi pour sa première sortie à la tête du Onze national après son come-back.
Trabelsi pourra compter, toutefois, sur d’autres éléments clés, dont Issa Laidouni et Naim Selliti, pour assurer la charge offensive aux côtés des Khadhraoui, Chawat et autres Achouri et Letaief.
La dernière séance d’entraînement a eu lieu lundi au stade de la Marsa avant le départ du onze national pour Monrovia.
Au classement du groupe H, la Tunisie occupe, actuellement, la première place avec 10 points devant la Namibie (2e, 8 points), le Libéria (3e, 7 points), le Malawi (4e, 6 points), la Guinée Equatoriale (5e, 3 points). La Sao Tomé-Et-Principe ferme la marche avec zéro point.
Et, à deux journées du dénouement de cette phase de groupe, chaque point pris ou perdu aura un impact significatif sur la qualification. Les premiers de chaque groupe se qualifient automatiquement pour la phase finale, tandis que les quatre meilleurs deuxièmes devront passer par un tournoi de barrage de la CAF pour tenter de décrocher leur billet.
Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – Lorsque le chat n’est pas là, les souris dansent !!! Cette expression s’applique aux conditions d’approvisionnement actuelles des marchés, à l’occasion du mois de Ramadan, et cela n’est pas pour plaire au consommateur qui se voit délesté de son argent, pour obtenir des nouilles, seulement… ce qui revient à dire que le citoyen paie très cher des choses sans valeur !!!
Tout s’est ligué pour faire de Ramadan, le mois de tous les excès et celui des contradictions entre la volonté des décideurs politiques et la réalité sur le terrain, avec des spéculateurs, des intermédiaires et des corrompus qui se donnent à cœur joie pour enfreindre toutes les lois, sans craintes, ni peur des sanctions possibles, parce qu’ils sont assurés que cela n’arrivera pas.
Le constat est alarmant… et il suffit de voir les étalages dans, pratiquement, la quasi-totalité des marchés et l’indifférence face à l’absence d’affichage des prix qui font l’ascenseur, selon l’affluence des consommateurs, les heures de pointe et l’engouement pour certains produits.
Au marché, ne vous étonner pas de voir certains commerçants vous intimer l’ordre de prendre tout en vrac, sans chercher à trier ce que vous allez prendre… et si vous ne convenez pas à la règle, on vous traite comme un voleur et un malfrat qui piétine leurs platebandes.
En outre, certains prix sont sujets à des marges bénéficiaires exorbitantes… avec, par exemple, les pommes qui ont atteint des prix astronomiques allant de 16 à 25 dinars, les melons à 10 DT le kilo… jusqu’aux pommes de terre dont les prix ont été fixés par le ministère du Commerce à 1,6 DT, mais qui dépassent les 2,5 DT, ce qui doit être considéré comme une infraction grave.
Entretemps, on continue à rabattre les oreilles du citoyen par le nombre des infractions relevés, sur les marchés… mais, est-ce la solution ??!!! Mais, ce qui est à retenir,
Le nombre des infractions économiques relevées au cours de la première moitié du mois de Ramadan a augmenté de 18% à 9955 infractions, par rapport à la même période de l’année dernière, selon des données publiées par le ministère du Commerce et du Développement des exportations.
D’après la même source, 54735 opérations de contrôle économique ont été effectuées au cours de la première quinzaine du mois de Ramadan, soit une hausse de 6% par rapport à la même période de Ramadan dernier. Ces opérations ont couvert 2370 zones d’intervention avec un taux de couverture de 95%.
Les infractions concernent essentiellement le non-respect de l’obligation de transparence des transactions (5019 infractions), le non-respect des prix et les pratiques monopolistiques (3276 infractions), le non-respect des normes de qualité et de métrologie (1578 infractions) et le détournement des produits subventionnés (82).
Le département du commerce a également fait savoir que 5349 infractions concernent les produits agricoles et de pêche frais, 3361 infractions sont liées aux produis agroalimentaires outre les 821 infractions relevées dans les boulangeries, restaurants et cafés et 424 infractions qui concernent plutôt les produits industriels divers.
Le ministère a, en outre, fait état d’une baisse de 26% du nombre des réclamations recueillies par ses services, à 154 réclamations, contre 209 réclamations au cours de la première moitié du mois de Ramadan dernier.
La situation nécessite une grande vigueur, dans la réaction à ces méfaits, parce que ces corrompus, ces indifférents, ces spéculateurs et ces complaisants jouent avec le pain quotidien du citoyen. Le pays n’a pas besoin de responsables qui font des constats… il aimerait bien qu’ils soient des responsables qui agissent pour remettre les choses en ordre !!!
Tunis, UNIVERSNEWS (SPORTS) – L’équipe nationale de football reprend, enfin, du service, et tout le monde a le cœur sur la main, pour voir son comportement, lors des deux rencontres qui l’attendent cette semaine et qui seront décisifs, pour la qualification à la coupe du monde. Les Aigles de Carthage entament leur campagne pour la reconquête de leur prestige à partir du Libéria, jeudi.
Les joueurs de la sélection tunisienne de football ont souligné, dimanche, l’importance d’obtenir un résultat positif face au Libéria, mercredi prochain, à Monrovia, à l’occasion de la 5e journée des qualifications africaines pour la Coupe du monde 2026, afin de conserver leur leadership du groupe H et conforter leurs chances de qualification pour le Mondial.
Dans une déclaration aux médias, l’entraîneur-adjoint du onze national, Hammadi Daou, a souligné, avant le début de la séance d’entraînement de la sélection tunisienne au stade annexe de Radès, que « vu la courte durée de préparation pour les matches face au Liberia et au Malawi, l’accent a été mis sur le volet communication et sur le renforcement du sentiment de responsabilité chez les joueurs. En effet, le public sportif attend un nouveau visage de l’équipe nationale, différent de celui qu’elle avait montré précédemment.
Il a indiqué que la forme physique et mentale ont été déterminants dans le choix des joueurs, tout en faisant appel aux cadres de la sélection qui ont une solide expérience des compétitions continentales.
« Cette équipe est un mélange d’expérience et d’ambition afin de créer une combinaison idéale capable de relever les défis à venir, en commençant par le match contre le Libéria et ensuite celui face au Malawi », a estimé Daou.
Il est à rappeler que la sélection tunisienne effectue, aujourd’hui, lundi sa dernière séance d’entraînement au stade de la Marsa, avant de s’envoler, l’après-midi, pour la capitale libérienne, à bord d’un avion spécial. Le match contre le Libéria aura lieu mercredi à partir de 17h00 HT.
La Tunisie occupe la première place du groupe H avec 10 points, tandis que le Libéria est troisième avec 7 points.
Tunis, UNIVERSNEWS (NAT) – Les villes tunisiennes n’ont pas, seulement, besoin de campagnes contre l’occupation des trottoirs… et, même de la chaussée, contre les étalages anarchiques qui transforment les rues en dépotoirs… de campagnes de sécurité routière, de campagnes de dégradation de biens publics, de campagnes contre les taggueurs, de campagnes contre les stationnements anarchiques, de campagnes contre les mendiants qui prolifèrent à outrance à tous les feux tricolores de la circulation et on ne sait, encore, quoi !!! Le pays a besoin d’une application stricte de la loi, sans favoritisme, ni nonchalance ou populisme ostentatoire!!!
Malheureusement, les campagnes se multiplient, à travers le pays, avec les résultats qui sont visibles à l’œil nu… et qu’on peut qualifier de catastrophiques. Les trottoirs sont, toujours, occupés, juste après que l’inspection est passée, les pneus des voitures reviennent pour empêcher les automobilistes de stationner, les gardiens de parking anarchiques reviennent à la charge pour vous déposséder d’une somme consistante… et les mendiants reprennent leur service comme si de rien n’était… Est-ce là la Tunisie que nous voulons ??!!!
Une autre campagne municipale -qui ne sera pas certes la dernière- contre l’occupation illégale des trottoirs par les commerces et cafés se poursuit depuis vendredi dernier à la ville de Tunis. Prenant part aux opérations de contrôle, vendredi soir, à la Médina, le gouverneur de Tunis, Imed Boukhris, a souligné la nécessité d’intégrer ces campagnes de contrôle contre l’occupation illégale des trottoirs dans le travail municipal quotidien, appelant les agents de contrôle économique et sanitaire, les municipalités, la police municipale et la sécurité publique à œuvrer pour que toute personne qui viole la loi et occupe illégalement la voie publique soit tenue pour responsable.
Il a, par ailleurs, mis l’accent sur l’impératif de mettre fin à ce qu’il considère comme tentatives de « légitimer le désordre pendant ce mois saint » -et, il ne croit pas si bien dire, mais ce désordre ne concerne plus, seulement le mois de Ramadan-, mettant en garde contre les dangers de l’occupation de la chaussée, qui oblige les citoyens à circuler au milieu de la route, encourant ainsi le risque d’accidents.
Dans le cadre de cette campagne, des opérations de contrôle contre l’exploitation illégale de la voie publique ont été effectuées aussi dans le Centre Urbain Nord. Ces opérations ont permis de relever plusieurs infractions et de saisir des équipements (chaises, tables, parasols, enseignes, etc.) appartenant à des cafés et restaurants n’ayant pas respecté les avertissements qui leur ont été adressés à plusieurs reprises par les autorités municipales.