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«Injaz-Tunisie» fête ses 15 ans : Une nouvelle génération de jeunes talents

14. September 2024 um 11:25

 

Cette ONG n’est pas uniquement un phénomène associatif, mais plutôt une vraie fourmilière de bénévoles qui rivalisent d’ingéniosité, de dévouement et d’innovation. Et c’est ainsi qu’elle faisait ses premiers pas, dès sa création en 2010.

Injaz-Tunisie, une association active dans la société civile nationale, membre du réseau international «Junior Achievement», dans 127 pays, et partie intégrante du bureau régional Injaz Al Arab, vient de fêter ses 15 ans, sous le signe du labeur, du bénévolat et de formation d’une génération de jeunes talents, tout feu tout flamme.

Cette cérémonie festive, qui fut l’occasion de rendre hommage aux fondateurs de l’association, à ses membres, à son staff actuel, à ses volontaires, ainsi qu’ à ses bailleurs de fonds, a également été le bon moment de s’arrêter sur les faits réalisés et prévoir comment aborder l’étape suivante. Soit, de quoi sera fait demain ? L’événement était aussi celui marquant la quinzième édition du concours national du programme «Entrepreneurs de Demain», qui s’est déroulé, les 11 et 12 courant, à l’Iace, aux Berges du Lac, à Tunis.

Un bilan probant

Organisé en partenariat avec l’Ecole polytechnique de Tunisie (EPT), dans le droit fil de la volonté de l’association de promouvoir l’entrepreneuriat et la culture financière en Tunisie, ce concours, a-t-on appris, est une manière de récompenser les efforts des jeunes entrepreneurs. Il s’agit, ce alors, de 15 jeunes entreprises, ayant remporté les concours locaux dans les universités, qui ont présenté leurs projets devant un jury spécialisé, composé de professionnels et d’experts du monde des affaires et du secteur éducatif. Et, par conséquent, «l’entreprise gagnante représentera la Tunisie au concours régional de la Fondation «Injaz Al-Arab» pour la meilleure entreprise étudiante au niveau du monde arabe pour l’année 2024, lors d’une cérémonie prévue le 23 novembre prochain, à Dubaï», annoncent les organisateurs. Que le meilleur gagne.

Devant un parterre de jeunes étudiants, d’universitaires, de coachs et de chefs d’entreprise chevronnés, son président, Mohamed Toumi, a dressé un bref bilan qu’il a qualifié de probant.

En témoignent les chiffres dévoilés : «Un demi-million de jeunes bénéficiaires des programmes de «Injaz», 238 institutions partenaires et un travail de terrain touchant les 24 gouvernorats», fait-il valoir, fier.

En outre, continue-t-il à louer les succès, «Injaz a été primée deux fois à l’échelle de la région Mena, en recevant le 1er prix de «Company Program” 2016-2017, ainsi que celui de la meilleure entreprise étudiante en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, décerné à l’équipe de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Tunis (Enit), lors d’un concours, tenu à Doha en 2023..». Cette année, ces jeunes talents, en lice dans le même programme, ont de nouveau relevé les challenges sur lesquels ils ont beaucoup travaillé, durant les deux journées passées.

La preuve par trois, dirait-on : l’économie d’énergie comme premier challenge, en guise de solution consistant en l’installation d’une micro- turbine hydroélectrique qui utiliserait de l’eau après la séparation de pétrole pour générer de l’électricité.

«C’est une idée innovante proposée par de jeunes étudiants en génie biomédical», juge leur coach, ingénieur dans le domaine. Deuxième challenge, la meilleure idée impactante dans le domaine de l’environnement basée sur l’intelligence artificielle.

Ensuite, «la meilleure jeune entreprise», comme un 3e challenge relevé par ces jeunes candidats.

Une telle reconnaissance internationale a valu à l’association encore plus d’efforts et de défis. «Désormais, on va encore plus loin sur le même engagement au profit des jeunes, parce qu’on se rend compte de plus en plus que l’entrepreneuriat est une affaire de culture, d’où il faut en finir avec la mentalité de «clou dans le mur», voit-il grand. Pour lui, l’entrepreneur c’est quelqu’un qui prend, volontiers, les risques pour opérer un changement vers le mieux.

De l’idée au projet

En fait, Injaz-Tunisie n’est pas uniquement un phénomène associatif, mais plutôt une vraie fourmilière de bénévoles qui rivalisent d’ingéniosité, de dévouement et d’innovation. Et c’est ainsi qu’elle faisait ses premiers pas, dès sa création en 2010. D’ailleurs, son directeur exécutif, Abdallah Ben Abdallah, y voit un rêve qui se concrétise, au fil des mois et des ans.

Manifestement ému, il a relaté l’histoire du départ, sans pour autant oublier de s’arrêter sur les moments fort impressionnants de ladite association, ainsi que les rapports qui la lient avec ses pères fondateurs et ses amis partenaires.

Certes, les débuts furent difficiles, mais seuls les ambitieux s’aventurent à persévérer. De la bonne idée jaillit le projet.

Et voilà que ce nouveau-né nommé «Injaz» a bien grandi et fait du chemin pour devenir, au bout de 15 ans, un vivier de formation, de savoir-faire et de coaching professionnel. Car, un demi- million de jeunes bénéficiaires à l’échelle nationale n’est pas quelque chose d’insignifiant.

«Mettre un peu de lumière sur le chemin de ces jeunes qui vont être demain les responsables du pays», souhaite M. Ben Abdallah.

Et de s’exprimer, en s’adressant aux jeunes entrepreneurs, «vous devez être fiers de vous, vous êtes la crème de la société et c’est nous qui devons vous transmettre le flambeau pour poursuivre le chemin. Afin que la Tunisie continue d’exister et de briller».

Rendez-vous à Dubaï

Venons-en au couronnement, l’entreprise étudiante lauréate qui a été, alors, primée, se qualifiant ainsi pour la finale du concours régional, attendu le 23 novembre prochain, à Dubaï. Somme toute, «la meilleure idée innovante», «la meilleure idée d’impact sociale et environnementale», ainsi que «la meilleure jeune entreprise» sont, alors, les équipes gagnantes de «Injaz-Tunisie» qui se sont distinguées, dans le cadre de la 14e édition de la compétition nationale «Entrepreneurs de demain».

Et c’est l’équipe remportant «la meilleure jeune entreprise» qui s’envolera, en novembre prochain, pour Dubaï, pour participer au concours régional de la Fondation Injaz Al-Arab.

Donc, ces jeunes étudiants de l’EPT porteront haut l’étendard national dans l’arène des grands. Un succès de plus qui leur fraierait un chemin vers le monde des affaires. «Nous avons des jeunes qui sont animés d’énergie et de dynamisme, ayant une grande capacité intellectuelle de créer et d’innover.

Toutefois, on est, malheureusement, en train de dilapider notre capital humain qu’est notre vraie ressource vitale», se désole le directeur exécutif de «Injaz-Tunisie».

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1er Salon professionnel de l’artisanat d’art, au Kram : Une première édition qui marque un tournant

12. September 2024 um 11:27

 

En gestation il y a plus d’une année, le 1er Salon professionnel dédié à l’artisanat «ArtiCrea» vient de s’ouvrir, lundi dernier, au Parc des expositions du Kram, à Tunis, marquant ainsi un tournant dans la promotion du secteur et l’amélioration de ses exportations.

Cela fait suite à la décision prise, lors d’un conseil ministériel, réuni le 16 mars 2023, à l’occasion de la Journée nationale de l’habit traditionnel, visant à doter l’artisanat tunisien d’opportunités professionnelles et lui ouvrir des perspectives prometteuses, car il y a encore place pour conquérir d’autres marchés africains et américains.

Inauguré, mardi, par Sofiane Tekaya, nouveau ministre du Tourisme, accompagné de Faouzi Ben Hlima, directeur général de l’Office national de l’artisanat (ONA), cette édition inaugurale a été rehaussée par la présence de trois membres du gouvernement, à savoir les ministres du Commerce et du Développement des exportations, des Technologies de la communication et le Secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères.

Un message politique de motivation

Il y a là un message politique fort de motivation, à même de vouloir revigorer l’activité artisanale et faire fonctionner la diplomatie économique pour le grand bonheur et la prospérité du secteur. «Certes, l’ONA, l’Office du tourisme, les chambres commerciales à l’intérieur du pays, le Cepex, mais aussi nos ambassades à l’étranger, peuvent, ici, jouer un rôle de premier plan», souligne le ministre, évoquant la multiplication des manifestations artisanales tant au niveau régional, national qu’international. Idem, la qualité de participation des artisans et professionnels du secteur. Et partant, la Tunisie était, à maintes fois, invitée d’honneur dans pas mal de foires et salons.

Car ce secteur, qui compte 300.000 artisanes et artisans, générateur de plus de 7.000 postes d’emploi, chaque année, mérite, plus que jamais, de se développer et de mieux s’exporter. Ainsi, sa commercialisation à une plus large échelle en vaut la chandelle. D’ailleurs, M. Tekaya, qui était avant sa nouvelle nomination, directeur des foires à l’ONA, sait à quoi s’en tenir : mettre le cap sur l’exportation. Surtout que, argue-t-il, «plusieurs mécanismes et incitations sont mis en place par l’Etat, comme des catalyseurs pour encourager les exposants et les artisans tunisiens à accéder à de nouveaux marchés extérieurs».

Un simple article de cadeau compte

En effet, «ArtiCrea» se veut une vitrine pour des professionnels sélectifs spécialistes dans le domaine. «A ce rendez-vous sont conviés 45 professionnels du métier venus de l’étranger, dont des acheteurs et des médias internationaux spécialisés en matière d’artisanat et de décoration d’intérieur… Ils ont répondu présent pour prendre connaissance de nos produits d’artisanat, de l’emballage utilisé et des structures de soutien et d’assistance relevant de l’Etat», révèle le ministre dans sa déclaration aux médias.

Et comme le tourisme a toujours été une véritable locomotive de l’artisanat, il y a lieu d’insister sur la forte présence de nos produits sur les sites touristiques et leur promotion auprès des touristes. Ces derniers, qui reviennent chez eux, avec dans leurs bagages autant de souvenirs, ont de quoi se faire plaisir et livrer leurs impressions quant à la qualité de notre artisanat.

Cela dit, un article de cadeau, des objets d’art ou bibelots de décoration seraient de nature à mieux véhiculer l’identité tunisienne et faire rayonner son image, en tant que plaque tournante d’innovation et de création artisanale. Cette touche magique conçue des doigts de fées est souvent perçue comme une plus-value qui puisse faire vendre le secteur, ici et ailleurs.

Autre point positif que l’artisanat tunisien vient de marquer, au cours de ces dernières années, c’est plutôt la promotion de ses exportations. A ce niveau, a-t-il fait, l’année dernière, de bonnes recettes estimées à 150 millions de dinars, avec une augmentation de 6%. Ces rentrées en devises permettraient, en quelque sorte, de renflouer les caisses de l’Etat et alléger, un tant soit peu, le fardeau d’une balance commerciale jugée souvent déficitaire.

L’équation de l’offre et de la demande

Mais qu’en est-il de l’équation de l’offre et de la demande, face aux prix aussi chers des produits d’artisanat sur le marché local ? D’après le ministre, le consommateur tunisien a dû trouver son compte, de par l’éventail des choix qui lui sont proposés par des milliers d’artisanes et d’artisans opérant dans plusieurs secteurs d’activités, tels que les fibres végétales, le bois de palmier, verre et céramique et bien d’autres articles de cadeau, de design et de décoration d’intérieur.

En faisant le tour des stands et pavillons, ce salon «ArtiCrea» semble se distinguer par une sélection d’artisans, dont la qualité des produits fait la différence. Conçus à base de mosaïques de verre recyclé et savamment recollé, des bijoux, des abat-jours en verre soufflé, des articles de cadeau raffinés, des bibelots faits maison, bien finis fabriqués en bois, cuir et en tissu et bien d’autres objets d’art décoratifs, les produits exposés relèvent d’un goût subtil, de design attractif et flamboyant, avec des couleurs gaies recherchées.

Workshops et ateliers thématiques

Cette première édition, qui s’étend du 9 au 15 de ce mois, s’ouvre à 150 exposants, issus de plusieurs régions, et qui auront, à cette occasion, à nouer des contacts d’affaires, établir des rencontres B to B et lancer des négociations de marchés. Professionnels et visiteurs peuvent ensemble prendre part à d’importants ateliers et workshops. Aujourd’hui, jeudi, le débat portera essentiellement sur la présentation de la plateforme numérique de marketing des produits d’artisanat «Ileycom », soit un forum d’échange entre plus de 400 artisans et designers tunisiens et africains. En fait, la plateforme fait la promotion de pas moins de 5.000 produits sur les marchés internationaux.

D’autres ateliers ont également été organisés sur l’expérience tunisienne en matière d’exportation d’artisanat et l’assouplissement des formalités douanières y afférentes. Prochainement, ce salon compte s’ouvrir à l’international, afin de dénicher de nouveaux marchés, outre les classiques très fréquemment conquis.

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7e édition du Forum mondial de la mer, le 13 septembre à Bizerte : Quel avenir pour notre grande bleue ?!

10. September 2024 um 11:29

 

« De Bizerte à Nice, un chemin pour restaurer la Méditerranée », voilà la thématique choisie, cette année, pour la 7e édition du Forum mondial de la mer, attendue le 13 de ce mois, à Bizerte, ville la plus septentrionale de l’Afrique.

A ce grand rendez-vous annuel dédié à la mer dans tous ses aspects, s’invitent un aréopage d’experts scientifiques tunisiens et internationaux, des acteurs économiques, des responsables politiques, des startup  et sociétés civiles. Soit, des spécialistes- écologistes qui vont, certes, se réunir, comme chaque année, autour d’un éternel débat qui tient fort à l’enjeu d’une grande bleue, où il fait bon vivre. Cette fois-ci, la restauration des écosystèmes marins, afin de garantir leur préservation pour le grand bonheur des communautés intimement liées à la Méditerranée, fera, semble-t-il, l’objet des assises.

Ça se discute !

Faire de cette Méditerranée un havre de paix et un vrai carrefour d’affaires aux intérêts mutuellement bénéfiques, ça se discute pour la bonne cause de l’humanité, et particulièrement celle des pays des deux rives nord-sud. En fait, l’idée d’organiser un tel forum d’envergure vint en 2018, en réponse au besoin pressant de doter la Tunisie d’une stratégie maritime nationale, afin de mieux maîtriser son espace marin et de renforcer sa présence dans ce domaine au niveau régional et international.

Et depuis, cet évènement se veut une opportunité de rencontres euro-méditerranéennes de l’environnement et de l’économie bleue. « La Saison bleue », initiative née, il y a déjà six ans, d’un collectif associatif, avait eu le privilège d’y penser et de l’ériger en manifestation annuelle récurrente sur les rivages de Bizerte. Ce fut, ainsi, un atout majeur, de par sa position stratégique comme portail de l’Europe et de par le gisement maritime dont elle dispose sur ses 200 km du littoral, ainsi révélait, texto, son maire, lors de l’édition inaugurale de l’événement, en septembre 2018.

Du coup, les éditions se succédèrent et les questions liées à la mer continuent de se poser avec acuité. Restaurer la Méditerranée et sa biodiversité n’est guère un simple fait. Ceci étant, il faut tout mettre sur le tapis.

Une soixantaine d’intervenants

Par ailleurs, l’ouverture des travaux, vendredi prochain, dans la zone touristique de Sidi Salem, à Bizerte, sera marquée par la présentation de la mise en œuvre de ce qu’on appelle la Mission de l’Union européenne intitulée « Restaurer notre Océan et les eaux, d’ici 2030, dans la région méditerranéenne et au-delà ». Et dont lecture sera faite par la présidente de « la Saison bleue », Rym Benzina. Cette dernière en a toujours été la cheville ouvrière, la cheffe d’orchestre des actions Med- Environnement et des projets d’économie bleue montés sous nos cieux. Pascal Lamy, président du Forum mondial de la mer-Bizerte, lui, aura, certainement, son mot à dire sur ce qui est réalisé et ce qui ne l’est pas encore.

En une seule journée, une soixantaine d’intervenants se pencheront  sur le présent écologique de la Méditerranée et son futur bleu, à l’aune d’une nouvelle économie circulaire censée être en mesure de faire changer la donne et générer autant d’emplois verts. La lutte contre la pollution maritime et la valorisation des déchets sont des exemples édifiants, illustrant un engagement sérieux pour la préservation de nos écosystèmes marins et la restauration de la Méditerranée. Cependant, faute d’une volonté politique commune des deux rives nord-sud, le chemin à parcourir de Bizerte à Nice serait encore plus long et n’aura abouti à rien.

Par la même occasion, de nombreux sujets vont être débattus, sur fond d’un programme bien chargé de communications scientifiques et de réflexions analytiques. D’emblée, on commencera par s’attaquer au sujet de la préservation des écosystèmes marins et les solutions durables apportées pour un futur bleu.

« Quels sont les défis et les solutions pour restaurer la biodiversité de la Méditerranée ? Grand Océan et Méditerranée : De Cherbourg à Bizerte, les combats sont-ils les mêmes ? Quelle science pour l’Océan ? », voilà, ce alors, les trois questions dont les panélistes tunisiens et internationaux seront invités à discuter, durant la matinée.

L’économie toujours en vedette

Bien souvent, l’économie bleue n’a pas manqué de figurer en tête de liste des sujets soumis au débat du forum, à travers ses six dernières éditions écoulées. Elle l’est aussi pour l’édition de cette année, où la pêche et l’aquaculture, le transport maritime et portuaire, ainsi que le tourisme durable constituent bel et bien les trois principaux leviers pour sa durabilité et sa régénération. L’examen de ces questions de l’environnement marin et de l’économie bleue et les défis  liés puisent dans les préparatifs pour la 3e Conférence des Nations unies sur l’Océan (UNOC 3), prévue, en juin 2025, à Nice. D’où, il serait important, selon les intervenants, de savoir « Comment sauver la Méditerranée, depuis le forum de Bizerte à la conférence de Nice ? La réponse devrait, en effet, s’inscrire dans la durée. Cela dépend d’une large mobilisation maritime et d’un véritable engagement des communautés, ambassadeurs de la Mission bleue.

Parlons-en ainsi, cela se répète telle une rengaine politique et économique, sans suite. Et les recommandations issues des éditions successives ont l’effet d’un pétard mouillé. Et là, l’on peut dire que loin du tapage médiatique l’entourant, ce forum a du mal, semble-t-il, à sortir de son cercle vicieux. Ceci étant, dans la mesure où il n’a pas encore livré tous ses secrets. Aucun bilan d’évaluation des sessions passées n’a été établi.

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