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Heute — 20. September 2025Haupt-Feeds

Ligue 1 – 7e journée – Matches avancés – CSS : Attention à la marche !

20. September 2025 um 11:43
La victoire sur le fil acquise aux dépens de l’USBG a fait renaître l’espoir et l’optimisme dans le camp des Sfaxiens. Ce réveil ne doit pas être toutefois de nouveau fragilisé par un faux pas à Gabès   La Presse — L’entraîneur Mohamed Kouki a poussé un gros soupir de soulagement après que son équipe est …

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Ligue 1 – 7e journée – Matches avancés – ESZ : Se remettre

20. September 2025 um 11:27
La première défaite de la saison de l’ES Zarzis contre l’USM lui a fait perdre le leadership. Une réaction contre la JSK s’impose pour rebondir. La Presse — Il fallait voir dans quel état était l’entraîneur Anis Boujelbène après la fin du match contre les Bleus de Monastir pour comprendre l’ampleur de la déception après …

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Gestern — 19. September 2025Haupt-Feeds

Le CSS l’emporte in extremis : Chèrement acquis 

19. September 2025 um 11:23

Il a fallu au CSS un sursaut rageur dans les dernières minutes pour renverser la vapeur aux dépens de l’USBG et s’octroyer les trois points dans la douleur.

La Presse — Une nouvelle fois, l’entraîneur Mohamed Kouki et sa bande ont fait une très mauvaise entame de match et ont encaissé un but en première mi – temps avant de parvenir à redresser une situation fort compromise et à remettre les pendules à l’heure en seconde période.

Si contre le CA ils ont pu arracher le point du nul, face à l’USBG, leur hôte de mercredi, ils ont réussi à remporter un succès à la sueur du front grâce à deux penalties obtenus en fin de rencontre transformés par le spécialiste des coups de pied de réparation Hichem Baccar (80‘ et 90’+ 8).

Une victoire sur le fil qui a été un vrai soulagement après toutes les frayeurs et tous les frissons aussi bien du public dans les gradins que du staff sur le banc. 

Quand Kouki  persiste dans son mauvais casting 

La composition de l’équipe des Sfaxiens au coup d’envoi a surpris plus d’un. On avait pensé que la bonne prestation des Sfaxiens en deuxième mi-temps devant le club Africain a  donné à l’entraîneur Mohamed Kouki les bonnes solutions pour une meilleure animation offensive et lui a indiqué les meilleures formules au milieu et en attaque.

Or, grosse surprise : la paire  Amine Aydi-Emmanuel Ogbole a été maintenue comme fers de lance et le duo Willy Onana-Omar Ben Ali a été gardé comme jokers sur le banc. À l’entrejeu, au poste de demi-sentinelle, Ammar Tayfour a été préféré à Hasamadou Ouédraogo.

Résultat : une mi-temps de gâchée avec pratiquement rien à se mettre sous la dent et un but encaissé avant de regagner les vestiaires.

Mohamed Kouki a été obligé de corriger ses choix erronés à la mi-temps avec la sortie du trio Tayfour- Aydi-Ogbole et l’entrée de Hasamadou, Onana et Ben Ali. Trois changements salutaires qui vont avec le remplacement de Firas Sakkouhi (trop défensif) par Mohamed Absi (milieu créateur), réveiller les Sfaxiens de leur torpeur et de leur jeu pauvre et stérile.

Les trois lignes ont été plus resserrées et plus compactes, le bloc a été avancé pour faire le siège de la surface de l’équipe de Nidhal Khiari. Un pressing haut qui va porter ses fruits non pas par des buts sur actions en mouvement, mais sur deux fautes provoquées dans la surface qui ont donné lieu à deux penaltys.

Hichem Baccar a libéré ses partenaires et sauvé le CSS d’un faux pas qui n’aurait pas manqué d’avoir des répercussions néfastes sur un CSS, qui cherche encore à retrouver l’ADN de son jeu qui en faisait une équipe qui gagne avec la séduction et pas avec des prestations mi-figue, mi-raisin. 

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Ligue 1 – championnat national (6e journée) – ESZ : Garder la boussole

17. September 2025 um 12:03

Leaders inattendus  du championnat, les « Sang et Or » de Zarzis batailleront âprement contre les Usémistes pour continuer leur échappée.  

La Presse — On avait prédit,  certes, une bonne entame de saison pour l’ESZ comme la saison écoulée sous la houlette de l’entraîneur Anis Boujelbène, mais on n’avait pas imaginé un départ aussi tonitruant avec 13 points en cinq matches et la tête du classement.

Ce qu’est en train de montrer l’ESZ est fabuleux et digne d’éloges. Sur les quatre victoires alignées, trois ont été remportées loin des bases sur des équipes pas faciles à manier à domicile : le CSS, le CA et l’ASG. 

Le dernier succès à Gabès a démontré que les Zarzissiens sont capables de mener les  batailles physiques et tactiques les plus coriaces et les plus rudes pour empocher les trois points. Avec intelligence, avec âpreté et avec réalisme. «Ça n’a pas été facile contre le Carrelage, face à une équipe qui se défendait très bien, qui verrouillait à la perfection toutes les issues menant à sa surface de réparation, qui limitait les espaces, de trouver rapidement le chemin du but.

Nous avons su faire preuve de patience, les harceler suffisamment jusqu’à les avoir à l’usure et les faire craquer en fin de match», a avoué Anis Boujelbène tout heureux d’avoir réussi sur le fil à grappiller les trois points. Véritable rouleau compresseur, l’ESZ fait désormais peur à tout le monde. Ce n’est pas par hasard si elle reste invaincue après cinq matches. Comme le ST et comme justement son invité du jour l’USM.

 Une bataille d’invincibilité 

L’objectif de l’entraîneur Anis Boujelbène pour le match de cet après-midi sera donc de continuer cette belle série rose et de garder la tête du peloton. 

Pour aligner ce cinquième succès qui le mettra aux anges, il va lui falloir être prudent et bien sur ses gardes derrière, mais aussi être présent, actif et entreprenant devant. Un équilibre indispensable pour ne pas être piégé par un Montasser Louhichi assez rusé et par des Usémistes qui possèdent un très bon potentiel offensif. Face à de telles équipes qui percutent bien sur les deux couloirs, le 3-5-2 est le schéma de jeu idéal pour les contrer et les surprendre. D’où l’importance des latéraux pour bloquer toutes les percées de l’adversaire par un jeu étiré sur les côtés. 

On s’attend donc à ce que Jassem Belkilani, entré en cours de jeu devant la Zliza, retrouve sa place dans la composition du onze de départ et à ce que Ousmane Combassa reprenne son poste de demi axial avec Kouni Khalfa, la plaque tournante, par qui transitent tous les ballons, et avec Moatez Chouchane, un balayeur de premier ordre. 

Cette ligne à trois avancées constituera une première muraille blindée qui fera tout pour empêcher le milieu de terrain des Monastiriens de carburer et isoler leurs attaquants de pointe dans le périmètre de vérité. 

Une variété de choix pour la ligne avant 

Bien barricadée derrière et au milieu, l’équipe de Boujelbène a aussi beaucoup d’atouts pour les transitions rapides, les montées sur les ailes et les pénétrations par la profondeur. Stanley Ogoh au jeu viril et athlétique est capable de fixer et d’user toute une défense à ses trousses. Noemen Rahmani est la pointe opportuniste qui sait se faire oublier et surgir de derrière pour profiter des ballons les plus anodins comme il l’a fait de façon qui a pris tout le monde de court contre la Zliza. 

Avec de multiples solutions de rechange et des joueurs confirmés qui ont aussi leur mot à dire comme Amir Tajouri, Innocent Nshuti et Achraf Ben Dhiaf, Anis Boujelbène est donc devant l’embarras du choix. 

La seule équation qu’il aura à résoudre c’est de faire le bon casting pour le trio d’attaque de départ et de faire le bon coaching en cours de jeu pour faire entrer ceux qui auront pour tâche de porter à l’adversaire le coup de grâce.  

Le CSS ramène un point de Radès devant le CA : Soulagés, pas plus… 

16. September 2025 um 15:30

Après l’avoir échappé belle en première mi-temps et avoir été à deux doigts du naufrage, les Sfaxiens sont revenus brillamment dans le match en seconde mi- temps et raté d’un cheveu les trois points fort précieux.  

La Presse — Que retenir côté sfaxien du classico contre le CA ? Une première période à oublier avec un visage pas très rassurant, voire inquiétant. Sans le gardien Aymen Dahmen qui a fait des sauvetages miraculeux, les Sfaxiens auraient pu prendre l’eau dès la première mi-temps et le sort du match aurait été scellé prématurément. 

Pourquoi cette entrée en matière ratée ? L’entraîneur Mohamed Kouki a sa propre explication: «Nous avons réussi sur le plan défensif et nous avons pu endiguer les assauts rageurs de nos adversaires même si nous avons pris un but», a-t-il précisé. «Ce qui n’a pas marché dans notre plan de jeu, c’est notre approche offensive dans les transitions défense-attaque.

Nous n’avons pas su garder le ballon dans la deuxième moitié de terrain pour bien l’utiliser dans le périmètre de vérité de l’adversaire. Il fallait donc corriger à la mi-temps. Ça a été fait et ça a bien marché». Mais ce que ne dit pas Mohamed Kouki, c’est que ces changements auraient pu être tardifs si les hommes de Fazouzi Benzarti avaient mieux profité de leurs temps forts, de leur suprématie des quarante-cinq premières minutes de jeu. Et c’est grâce à Dahmen qu’il est rentré aux vestiaires avec le petit handicap d’un seul but. 

Travis Mutyaba,  le tournant  

Le casse-tête pour Mohamed Kouki avant ce classico concernait le choix de ses quatre joueurs étrangers de départ. Au dernier moment, ses réflexes défensifs l’ont emporté sur l’effet surprise qu’il pouvait amorcer en alignant une équipe d’attaque qui aurait mis un frein au pressing haut de Faouzi Benzarti.

Il a préféré un deuxième demi défensif central (Hasamadou Ouédraogo) à un milieu offensif créateur (Travis Mutyaba). Tout son système de jeu a été affecté au point d’être déréglé.  Une équipe, c’est un équilibre minutieux  entre la défense et l’attaque. En voyant son équipe malmenée rudement et sur le point de vaciller, Mohamed Kouki a compris son erreur de casting.

L’entrée de Travis Mutyaba et de Omar Ben Ali a complètement changé le visage de l’équipe. Et Iyed Belwafi, seul fer de lance des attaques, a trouvé une meilleure rampe de lancement: Travis Mutyaba. Huit minutes après la pause, Iyed Belwafi offre à ses partenaires un penalty décisif pour un rapide retour dans le match.

Le but inscrit par Hichem Baccar va libérer tout le groupe.  Ce fut alors un autre visage, une autre équipe, un autre match. Si les essais au but du CA n’ont pas cessé, les meilleures occasions de prendre l’avantage à la marque ont été sfaxiennes. C’est dire combien les hommes de Mohamed Kouki ont été très proches d’une victoire en laquelle ils n’avaient pas assez cru au départ.

C’est dire aussi combien Mohamed Kouki regrette de ne pas avoir été audacieux dès le coup d’envoi et d’avoir perdu une très belle opportunité de rentrer avec les trois points. Car ce point du nul, aussi précieux qu’il est, ne le fait pas trop grimper au classement avec toujours la onzième place et seulement 5 points au compteur en 5 matches.  

Après l’élection par l’assemblée générale de la FTF des six commissions indépendantes : Doutes et craintes…

15. September 2025 um 19:00

Ce n’est pas fort prometteur malgré tous les visages nouveaux.

La Presse — Rien que le fait qu’il a fallu attendre plus de deux heures pour atteindre  le quorum indispensable pour la tenue de l’assemblée générale consacrée à l’élection des 31 membres des Commissions indépendantes de la FTF  montre que les clubs ne croient pas trop au changement.

Un changement dans la méthode de travail des six commissions qui auront à charge de veiller sur le bon déroulement du championnat et de mettre toutes les associations-membres sur un pied d’égalité et garantir l’équité. Le fait d’avoir gardé des fidèles (Ridha Sellami et Faouzi Chamengui) à la tête des deux principales commissions (la Commission nationale d’appel et la Commission de discipline et de fair-play) témoigne bien de la volonté de Moez Nasri de garder, sous contrôle étroit, le travail de ces deux commissions indépendantes très importantes et faire en sorte qu’elles ne soient pas compromettantes.

Les nouvelles figures mises à la tête et au sein des quatre autres commissions n’ont été qu’une « manœuvre » pour donner l’impression aux clubs et à l’opinion publique que bien des choses vont changer et qu’un sang neuf a été injecté. Et pour, soi disant, faire table rase d’un passé pas très reluisant et ouvrir une nouvelle page dans l’application des textes en vigueur.

Car ces textes malgré tous les griefs qu’on leur fait et toutes les zones d’ombre qu’ils comportent, ont juste besoin d’être correctement interprétés et appliqués. Le rôle des hommes et femmes qui vont veiller à leurs destinées est donc important pour éviter ces flux de contestations après les décisions rendues par ces commissions. La fédération a envoyé aux clubs des formulaires à remplir pour désigner leurs candidats dans chacune des six commissions.

La plupart d’entre eux ont rendu une copie blanche et se sont abstenus de présenter leurs propres candidats, parce qu’ils étaient sûrs de ne pas pouvoir s’entendre sur des candidats qui feront l’unanimité. La Fédération a saisi la balle au bond pour désigner ses propres candidats.

Une seule liste pour chaque commission alors qu’elle aurait pu faire jouer la concurrence en proposant plusieurs listes et en laissant les clubs arbitrer. Au final, mis devant le fait accompli, les clubs n’ont pu que lever le bulletin vert sans trop de conviction que les nouveaux élus vont redorer le blason terni.

Alors mieux ne pas trop se bercer d’illusions et attendre de voir comment ces commissions vont s’atteler aux dures tâches qui leur seront confiées et aux dossiers qui vont être mis sur leur table pour prononcer un verdict optimiste à leur sujet.

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