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Gestern — 17. September 2025Haupt-Feeds

Ligue 1 – championnat national (6e journée) – ESZ : Garder la boussole

17. September 2025 um 12:03

Leaders inattendus  du championnat, les « Sang et Or » de Zarzis batailleront âprement contre les Usémistes pour continuer leur échappée.  

La Presse — On avait prédit,  certes, une bonne entame de saison pour l’ESZ comme la saison écoulée sous la houlette de l’entraîneur Anis Boujelbène, mais on n’avait pas imaginé un départ aussi tonitruant avec 13 points en cinq matches et la tête du classement.

Ce qu’est en train de montrer l’ESZ est fabuleux et digne d’éloges. Sur les quatre victoires alignées, trois ont été remportées loin des bases sur des équipes pas faciles à manier à domicile : le CSS, le CA et l’ASG. 

Le dernier succès à Gabès a démontré que les Zarzissiens sont capables de mener les  batailles physiques et tactiques les plus coriaces et les plus rudes pour empocher les trois points. Avec intelligence, avec âpreté et avec réalisme. «Ça n’a pas été facile contre le Carrelage, face à une équipe qui se défendait très bien, qui verrouillait à la perfection toutes les issues menant à sa surface de réparation, qui limitait les espaces, de trouver rapidement le chemin du but.

Nous avons su faire preuve de patience, les harceler suffisamment jusqu’à les avoir à l’usure et les faire craquer en fin de match», a avoué Anis Boujelbène tout heureux d’avoir réussi sur le fil à grappiller les trois points. Véritable rouleau compresseur, l’ESZ fait désormais peur à tout le monde. Ce n’est pas par hasard si elle reste invaincue après cinq matches. Comme le ST et comme justement son invité du jour l’USM.

 Une bataille d’invincibilité 

L’objectif de l’entraîneur Anis Boujelbène pour le match de cet après-midi sera donc de continuer cette belle série rose et de garder la tête du peloton. 

Pour aligner ce cinquième succès qui le mettra aux anges, il va lui falloir être prudent et bien sur ses gardes derrière, mais aussi être présent, actif et entreprenant devant. Un équilibre indispensable pour ne pas être piégé par un Montasser Louhichi assez rusé et par des Usémistes qui possèdent un très bon potentiel offensif. Face à de telles équipes qui percutent bien sur les deux couloirs, le 3-5-2 est le schéma de jeu idéal pour les contrer et les surprendre. D’où l’importance des latéraux pour bloquer toutes les percées de l’adversaire par un jeu étiré sur les côtés. 

On s’attend donc à ce que Jassem Belkilani, entré en cours de jeu devant la Zliza, retrouve sa place dans la composition du onze de départ et à ce que Ousmane Combassa reprenne son poste de demi axial avec Kouni Khalfa, la plaque tournante, par qui transitent tous les ballons, et avec Moatez Chouchane, un balayeur de premier ordre. 

Cette ligne à trois avancées constituera une première muraille blindée qui fera tout pour empêcher le milieu de terrain des Monastiriens de carburer et isoler leurs attaquants de pointe dans le périmètre de vérité. 

Une variété de choix pour la ligne avant 

Bien barricadée derrière et au milieu, l’équipe de Boujelbène a aussi beaucoup d’atouts pour les transitions rapides, les montées sur les ailes et les pénétrations par la profondeur. Stanley Ogoh au jeu viril et athlétique est capable de fixer et d’user toute une défense à ses trousses. Noemen Rahmani est la pointe opportuniste qui sait se faire oublier et surgir de derrière pour profiter des ballons les plus anodins comme il l’a fait de façon qui a pris tout le monde de court contre la Zliza. 

Avec de multiples solutions de rechange et des joueurs confirmés qui ont aussi leur mot à dire comme Amir Tajouri, Innocent Nshuti et Achraf Ben Dhiaf, Anis Boujelbène est donc devant l’embarras du choix. 

La seule équation qu’il aura à résoudre c’est de faire le bon casting pour le trio d’attaque de départ et de faire le bon coaching en cours de jeu pour faire entrer ceux qui auront pour tâche de porter à l’adversaire le coup de grâce.  

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Le CSS ramène un point de Radès devant le CA : Soulagés, pas plus… 

16. September 2025 um 15:30

Après l’avoir échappé belle en première mi-temps et avoir été à deux doigts du naufrage, les Sfaxiens sont revenus brillamment dans le match en seconde mi- temps et raté d’un cheveu les trois points fort précieux.  

La Presse — Que retenir côté sfaxien du classico contre le CA ? Une première période à oublier avec un visage pas très rassurant, voire inquiétant. Sans le gardien Aymen Dahmen qui a fait des sauvetages miraculeux, les Sfaxiens auraient pu prendre l’eau dès la première mi-temps et le sort du match aurait été scellé prématurément. 

Pourquoi cette entrée en matière ratée ? L’entraîneur Mohamed Kouki a sa propre explication: «Nous avons réussi sur le plan défensif et nous avons pu endiguer les assauts rageurs de nos adversaires même si nous avons pris un but», a-t-il précisé. «Ce qui n’a pas marché dans notre plan de jeu, c’est notre approche offensive dans les transitions défense-attaque.

Nous n’avons pas su garder le ballon dans la deuxième moitié de terrain pour bien l’utiliser dans le périmètre de vérité de l’adversaire. Il fallait donc corriger à la mi-temps. Ça a été fait et ça a bien marché». Mais ce que ne dit pas Mohamed Kouki, c’est que ces changements auraient pu être tardifs si les hommes de Fazouzi Benzarti avaient mieux profité de leurs temps forts, de leur suprématie des quarante-cinq premières minutes de jeu. Et c’est grâce à Dahmen qu’il est rentré aux vestiaires avec le petit handicap d’un seul but. 

Travis Mutyaba,  le tournant  

Le casse-tête pour Mohamed Kouki avant ce classico concernait le choix de ses quatre joueurs étrangers de départ. Au dernier moment, ses réflexes défensifs l’ont emporté sur l’effet surprise qu’il pouvait amorcer en alignant une équipe d’attaque qui aurait mis un frein au pressing haut de Faouzi Benzarti.

Il a préféré un deuxième demi défensif central (Hasamadou Ouédraogo) à un milieu offensif créateur (Travis Mutyaba). Tout son système de jeu a été affecté au point d’être déréglé.  Une équipe, c’est un équilibre minutieux  entre la défense et l’attaque. En voyant son équipe malmenée rudement et sur le point de vaciller, Mohamed Kouki a compris son erreur de casting.

L’entrée de Travis Mutyaba et de Omar Ben Ali a complètement changé le visage de l’équipe. Et Iyed Belwafi, seul fer de lance des attaques, a trouvé une meilleure rampe de lancement: Travis Mutyaba. Huit minutes après la pause, Iyed Belwafi offre à ses partenaires un penalty décisif pour un rapide retour dans le match.

Le but inscrit par Hichem Baccar va libérer tout le groupe.  Ce fut alors un autre visage, une autre équipe, un autre match. Si les essais au but du CA n’ont pas cessé, les meilleures occasions de prendre l’avantage à la marque ont été sfaxiennes. C’est dire combien les hommes de Mohamed Kouki ont été très proches d’une victoire en laquelle ils n’avaient pas assez cru au départ.

C’est dire aussi combien Mohamed Kouki regrette de ne pas avoir été audacieux dès le coup d’envoi et d’avoir perdu une très belle opportunité de rentrer avec les trois points. Car ce point du nul, aussi précieux qu’il est, ne le fait pas trop grimper au classement avec toujours la onzième place et seulement 5 points au compteur en 5 matches.  

Après l’élection par l’assemblée générale de la FTF des six commissions indépendantes : Doutes et craintes…

15. September 2025 um 19:00

Ce n’est pas fort prometteur malgré tous les visages nouveaux.

La Presse — Rien que le fait qu’il a fallu attendre plus de deux heures pour atteindre  le quorum indispensable pour la tenue de l’assemblée générale consacrée à l’élection des 31 membres des Commissions indépendantes de la FTF  montre que les clubs ne croient pas trop au changement.

Un changement dans la méthode de travail des six commissions qui auront à charge de veiller sur le bon déroulement du championnat et de mettre toutes les associations-membres sur un pied d’égalité et garantir l’équité. Le fait d’avoir gardé des fidèles (Ridha Sellami et Faouzi Chamengui) à la tête des deux principales commissions (la Commission nationale d’appel et la Commission de discipline et de fair-play) témoigne bien de la volonté de Moez Nasri de garder, sous contrôle étroit, le travail de ces deux commissions indépendantes très importantes et faire en sorte qu’elles ne soient pas compromettantes.

Les nouvelles figures mises à la tête et au sein des quatre autres commissions n’ont été qu’une « manœuvre » pour donner l’impression aux clubs et à l’opinion publique que bien des choses vont changer et qu’un sang neuf a été injecté. Et pour, soi disant, faire table rase d’un passé pas très reluisant et ouvrir une nouvelle page dans l’application des textes en vigueur.

Car ces textes malgré tous les griefs qu’on leur fait et toutes les zones d’ombre qu’ils comportent, ont juste besoin d’être correctement interprétés et appliqués. Le rôle des hommes et femmes qui vont veiller à leurs destinées est donc important pour éviter ces flux de contestations après les décisions rendues par ces commissions. La fédération a envoyé aux clubs des formulaires à remplir pour désigner leurs candidats dans chacune des six commissions.

La plupart d’entre eux ont rendu une copie blanche et se sont abstenus de présenter leurs propres candidats, parce qu’ils étaient sûrs de ne pas pouvoir s’entendre sur des candidats qui feront l’unanimité. La Fédération a saisi la balle au bond pour désigner ses propres candidats.

Une seule liste pour chaque commission alors qu’elle aurait pu faire jouer la concurrence en proposant plusieurs listes et en laissant les clubs arbitrer. Au final, mis devant le fait accompli, les clubs n’ont pu que lever le bulletin vert sans trop de conviction que les nouveaux élus vont redorer le blason terni.

Alors mieux ne pas trop se bercer d’illusions et attendre de voir comment ces commissions vont s’atteler aux dures tâches qui leur seront confiées et aux dossiers qui vont être mis sur leur table pour prononcer un verdict optimiste à leur sujet.

L’USBG – se fait renverser à la fin : Un scénario fatal ! 

15. September 2025 um 10:47

Un revers cuisant et une dure leçon pour Nidhal Khiari et ses protégés qui ont payé cher leur stratégie de jeu attentiste et leur manque d’efficacité.

La Presse — Une défaite à domicile comme celle de l’USBG face au CAB suite à un but encaissé dans les dernières secondes du temps additionnel (90’ + 10) ne peut que faire mal et avoir un goût des plus amers. Elle va laisser plus que de simples traces, mais une plaie profonde qui mettra du temps pour cicatriser.

La colère des fans «Jaune et Noir» de Ben Guerdane après ce revers est légitime, mais se focaliser sur un arbitrage contestable pour expliquer le triste passage à côté de la plaque ne pourrait que camoufler les vraies raisons. On peut s’en prendre autant qu’on le voudrait à l’arbitre central, Houssem Boulaâres, qui a annulé le penalty sifflé suite à une intervention de l’arbitre de la chambre du VAR, Dorsaf Ganouati.

Penalty qui aurait pu être celui de la délivrance pour Ghazi Abderrazak et ses partenaires qui ne sont pas parvenus à trouver la faille dans une défense bizertine solide et bien regroupée devant le gardien Wassim Bougatfa.

Mauvaise gestion tactique  

Il faudra reconnaître que Nidhal Khiari a eu une très mauvaise approche de ce match en n’utilisant pas tout son potentiel offensif d’entrée. Une défense à cinq (Yeken, Touis, Abcha ,Harrsbi et Abserrazak), un milieu à quatre (Maâouani, Bida, Abdi et Amri) et une seule pointe en attaque (Hadj Khlifa) dans un match à domicile, face à un adversaire qui cherche encore la plénitude de ses moyens, ça paraît bizarre quand même.

Sur le banc des remplaçants, il y avait Idriss Mhirsi et Borhane Hakimi qui auraient pu donner plus de poids et de verve à la ligne avant, mais Nidhal Khiari ne les a sollicités qu’en seconde période quand le CAB de Chokri Béjaoui a pu éviter l’orage. Résultat: un volume de jeu très moyen, peu d’occasions nettes de but et un score de parité logique pour une équipe qui a tardé à entres dans le vif du sujet.

C’était donner à l’adversaire un cadeau inespéré pour non seulement sauvegarder le point du nul mais pour croire en une possible victoire plus que jamais à la portée. Avec une autre perche que les Cabistes ne vont pas laisser passer : un carton rouge gratuit à Idriss Mhirisi qui va réduire son équipe à dix à un moment crucial du match. Avec un autre coup de pouce qui s’est avéré fatal.

Celui d’avoir laissé dans la confusion un attaquant aussi redoutable que Ahmed Amri libre de tout marquage et de lui avoir donné l’occasion de trouver le chemin du but de Lassaâd Hammami au moment où l’arbitre Houssem Boulaâres s’apprêtait à annoncer la fin du match. Un scénario fatal pour une équipe de Ben Guerdane qui se mordra longtemps les doigts pour n’avoir pas mis tout son poids dans la balance en première mi-temps. 

ligue 1 – 5e journée – CSS : Les soucis de Mohamed Kouki

14. September 2025 um 11:35

Un match à hauts risques pour un CSS qui n’est pas dans une période faste face à un CA mieux armé. L’entraîneur du CSS affiche des appréhensions.

La Presse — Il est certain que l’entraîneur des Sfaxiens Mohamed Kouki aurait aimé ne pas affronter le Club Africain dès la 5e journée avec tous les soucis qu’il a en ce moment dans la gestion de son effectif. Ses déclarations avant ce classico qu’il appréhende le confirment.

En parlant des absents pour ce match (Hamza Mathlouthi et Ali Mâaloul qui ne sont pas encore opérationnels, Mhadhebi, Baccar et Absi qui ont contracté de légères blessures et qui ne se sont pas bien remis de ce contretemps), il a voulu montrer qu’il n’a pas tous les atouts en main pour bien négocier ce premier virage important d’un parcours qui sera long et harassant.

Cette appréhension dans le camp des Sfaxiens s’est traduite aussi par les vives protestations adressées à la DNA à propos de la désignation de l’arbitre central du match, Sadok Selmi, et de l’arbitre de la VAR, Naim Hosni, comme pour évacuer la lourde pression qui pèse déja sur cette partie avec les «Rouge et Blanc» bien avant son commencement. Est-ce raisonnable pour autant cette crainte d’un duel dont une issue négative pour les Sfaxiens pourrait avoir de très mauvaises répercussions ? Ça peut paraître compréhensible, mais il faut avouer que c’est un peu exagéré.

Les joueurs étrangers : un vrai casse-tête  

En réalité, Mohamed Kouki a d’autres soucis à l’esprit et semble plutôt confronté à un vrai dilemme qui est celui des quatre joueurs étrangers à aligner dans le onze rentrant. Tellement sa marge de manœuvre paraît très étroite jusqu’à devenir un vrai casse-tête. S’il obéit à ses réflexes défensifs pour mieux assurer sa base arrière, trois des quatre étrangers sont indispensables dans la zone de sécurité: l’arrière central Kévin Mondeka et les deux demis axiaux Ammar Tayfour et Hasamadou Ouédraogo.

Un seul joker lui resterait dans ce cas de figure parmi les six étrangers qui seront inscrits sur la feuille de match pour bien muscler et étoffer son compartiment offensif. Travis Mutyaba, Willy Onana et Emmanuel Ogbole seront trois à se disputer une place de titulaire dans la ligne d’attaque et ça ne va pas être facile pour Mohamed Kouki d’arbitrer et de trancher entre eux.

Il ne lui reste comme plan de rechange qu’à puiser dans le réservoir des joueurs tunisiens. En cas de l’option pour le 3- 5 – 2, il ne disposera que du duo Belwafi – Ben Ali comme fers de lance et ce serait très insuffisant comme cartes à jouer pour une bonne animation offensive.

 A moins de sacrifier Firas Sekkouhi au milieu,  ce qui est autant improbable qu’insensé pour un entrejeu qui devra être bien garni et équilibré. Des contraintes qui forceront sans doute Mohamed Kouki à observer un long round d’observation, à se livrer à un petit jeu au chat et à la souris avec Faouzi Benzarti avant de donner le ton à la partie. Ce classico assez prématuré pour un technicien dans la tourmente, pour ne pas dire aux abois, qui est encore à la recherche de son Onze type.

ligue 1 ­- 5e journée – ESZ : La victoire pour rester en première ligne

14. September 2025 um 11:17

Les « Sang et Or » de Zarzis aspirent à briguer les trois points contre le Carrelage pour rester seuls en tête du classement.

La Presse — Le match des protégés de l’entraîneur Anis Boujelbène contre l’USBG à Zarzis a été un coup d’arrêt brutal qui n’a pas été apprécié. Ce coup de frein brusque, au moment où les «Sang et Or» de Zarzis semblaient devant une très belle opportunité de prendre le large et de réaliser quatre succès consécutifs historiques, a fait revenir Anis Boujelbène sur terre, lui qui avait commencé à caresser les rêves les plus fous et à nourrir des espoirs qui peuvent paraître insensés pour une  équipe qui a perdu ses meilleurs éléments et ne les a pas remplacés.

« C’était douloureux comme semi faux- pas, mais c’est utile pour revoir quelques trucs à rectifier, notamment la nécessité de ne plus s’appuyer sur un système de jeu rigide et de chercher plus de flexibilité  et de variété dans les options et les choix tactiques», a-t-il avoué avec encore un brin de déception. Signe qui ne trompe pas que dans l’autre derby du Sud-Est, cette fois contre l’ASG, de grands changements sont pressentis. 

Rahmani – Ogoh , un duo de choc 

Anis Boujelbène a choisi durant la petite trêve un adversaire de second plan pour jouer deux matches amicaux en vue de tester une autre approche de jeu. Deux victoires sur l’UST par 4 buts à 0 et par 1 but à 0 lui ont donné une petite satisfaction surtout au niveau de la finition avec un quadruplé de Noêmen Rahmani dans la première période du premier match contre les Tatatouinis.

Stanley Ogoh a, lui, inscrit le but du succès du deuxième match. L’association du duo Rahmani-Ogoh comme paire d’attaque est devenue un atout maître dans tout schéma de jeu dans les matches à domicile comme lors des parties loin des bases. Plus question donc pour Anis Boujelbène de tergiverser et de philosopher avec un jeu en contre qui repose sur une seule pointe. 

«Quand on possède de tels joueurs avec un grand flair du but, opportunistes et très efficaces même sur de petites occasions, on ne peut pas continuer à gâcher d’aussi belles munitions», a-t-il fini par reconnaître. Tout donc va dans le sens d’une ligne d’attaque renforcée, avec un bloc plus haut que d’habitude et un pressing à partir du milieu de terrain pour étouffer la Zliza dans son périmètre de vérité et la faire reculer dans ses derniers retranchements.

«Pour renouer avec la victoire et ne pas courir le risque de perdre notre fauteuil de leader, nous n’avons pas d’autre choix que de jouer pour nous octroyer les trois points», a indiqué Anis Boujelbène, pressé qu’il est de gommer le fâcheux revers et l’accident de parcours devant l’USBG. 

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