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Heute — 17. September 2025Haupt-Feeds

Ligue 1 – championnat national (6e journée) – EST-ESM (2-0) : La victoire du cœur !

17. September 2025 um 10:00

En dépit d’un manque de réussite par moments dans les 30 derniers mètres, les «Sang et Or» ont fini par remporter une nette victoire face à des Miniers de Métlaoui qui leur ont donné du fil à retordre.

La Presse — Restant sur une défaite au goût amer concédée au Bardo samedi dernier, les «Sang et Or» ont accueilli hier les Miniers de Métlaoui avec la ferme intention de se racheter et de se retaper le moral avant d’entamer leur aventure africaine. En face, les visiteurs sont venus à Radès avec l’espoir de rentrer avec un résultat positif. Sauf que leur hôte était beaucoup plus déterminé, se montrant plus entreprenant en optant pour l’attaque à outrance dès les premières minutes de jeu.

Première alerte à la 17’ lorsque Ben Hmida centre pour Boualia qui reprend de la tête légèrement à côté. L’occasion suivante a été la bonne: Ogbelu profite d’une passe téléphonée pour couper la trajectoire de la balle depuis le centre du terrain, sert Belaïli qui accélère à gauche jusqu’à atteindre la surface de réparation avant de centrer pour Boualia. Servi sur un plateau, ce dernier n’avait qu’à finir le travail en logeant la balle dans les filets d’un Hamza Ben Chérifia, impuissant (21’).

Et comme un malheur n’arrive jamais seul, l’ailier gauche de Métlaoui, Zied Ben Salem, s’est fait expulser après avoir fait tomber Youssef Belaïli, l’empêchant d’aller jusqu’au bout de son action (36’).

Jabri marque enfin…

De retour des vestiaires, les «Sang et Or» ont repris les débats plus déterminés que jamais à profiter de leur supériorité numérique et rendre la note encore plus salée. En face, le gardien de but Hamza Ben Chérifia s’est battu comme il pouvait pour empêcher les attaquants espérantistes d’atteindre sa cage encore une fois. Ben Chérifia a été l’auteur de bons arrêts en s’interposant entre autres à la frappe sur la dernière ligne de Sasse (47’) ou encore en dégageant en corner le puissant tir cadré de Belaïli (59’).

Mais à lui seul, Ben Chérifia ne pouvait arrêter la machine espérantiste qui, malgré le finish qui leur a fait défaut par moments, n’a pas arrêté de carburer à plein régime. La détermination des «Sang et Or» était telle qu’un deuxième but était inévitable. On jouait la 77’ quand Belaïli, encore une fois à la manœuvre, s’infiltre dans la zone de réparation, sert en retrait Sasse dont la frappe est repoussée par Ben Chérifia avant que Achref Jabri ne reprenne directement dans la cage. Jabri retrouve enfin le chemin des filets. Il était temps !

Au final, les «Sang et Or» ont remporté une nette victoire, celle du cœur, venue au bon moment avant d’entamer l’aventure africaine à la fin de la semaine en déplacement à Niamey chez l’Association Sportive des Forces armées nigériennes, en match aller comptant pour le premier tour préliminaire de la Ligue des champions.

EST : Ben Said, Keita (Sasse 46’), Ben Hmida (Laifi 80’), Jelassi, Meriah, Ogbelu, Tka, Jebali (Ben Ali 46’), Boualia (Konaté 69’), Bouassida (Jabri 69’) et Belaili.
ESM : Ben Chérifia, Bahri, Ben Hassine, Meskini (Fajraoui 46’), Soltani, Kouassi (Bouhajeb 69’), Sylla (Brandon 60’), Bangoura, Ouled Bahia (Kachouri 83’), Gasmi et Ben Salem.

Gestern — 16. September 2025Haupt-Feeds

Ligue 1 – championnat national (6e journée) – EST : Sortir la tête de l’eau !

16. September 2025 um 12:26

Alors qu’ils s’apprêtent à entamer leur aventure africaine ce dimanche, les “Sang et Or” accueilleront cet après-midi les Miniers de Métlaoui avec pour objectif de se retaper une santé avant de prendre la direction de Niamey.

La Presse — Le dérapage de Maher Kanzari en plein direct à la télévision lors de la transmission du match, samedi, quand il s’en est pris violemment à son joueur, Chiheb Jebali, reflète la grosse pression qui pèse sur lui. Depuis des semaines déjà et avant-même le coup d’envoi de la saison, le coach “sang et or” est sujet de virulentes critiques sur les réseaux sociaux, doutant même de son aptitude à gérer une équipe de la trempe de l’Espérance.

Certes, l’ambiance lourde qui règne dans le sillage du club avec une demande insistante de faire des recrutements de valeur en pointe de l’attaque et dans l’axe central n’excusent pas les propos déplacés de Maher Kanzari, mais le constat est là : la pression excessive qui pèse sur l’équipe, entraîneur et joueurs, nuit déjà aux résultats de l’équipe en ce début de championnat. 

D’entrée, l’Espérance a trébuché à Gabès. Malgré un jeu à sens unique avec une Espérance qui attaque et une formation gabésienne qui subit le jeu, Achref Jabri et ses camarades de l’attaque n’ont pas pu trouver la faille. Et ce n’est pas le résultat nul sur lequel s’est soldée la deuxième rencontre contre l’USM qui allait arranger les choses. 

Calmer les esprits et retrouver la confiance…

Puis, il y a eu les deux victoires obtenues successivement contre la JSK et l’ASS. Des victoires censées alléger la pression sur les épaules des joueurs. Sauf que les critiques ont toujours fuité sur la Toile et ce qui devait arriver arriva: une défaite concédée au Bardo et les voix appelant au limogeage de Maher Kanzari se sont élevées de nouveau avant qu’un responsable “sang et or” ne réaffirme, dans une déclaration à l’agence TAP : “Il n’y a aucune raison pour se séparer de Kanzari et  l’idée de changer le staff technique n’est pas à l’ordre du jour”.

Un soutien venu à temps, certes, mais cela n’apaisera pas les tensions tant que la prestation de l’équipe ne s’améliore pas. Ceci dit, les défaillances constatées ne résident pas dans le staff technique, mais dans la qualité de l’attaque. Et à vrai dire, ni Achref Jabri qui connaît une baisse de forme, ni Ahmed Bouassida, un recrutement qui n’a même pas convaincu en championnat,  qui allaient rassurer les supporters mécontents.

En attendant l’oiseau rare que devra amener Hamdi Meddeb avant la fin du mercato, il est impératif que les esprits se calment et que les joueurs rassurent tout à l’heure en alliant manière et résultat avant de prendre la direction de la capitale nigérienne, Niamey, où l’Espérance affrontera l’Association Sportive des Forces armées nigériennes en match aller comptant pour le premier tour préliminaire de la Ligue des champions. 

A Youssef Belaïli, Kouceila Boualia, Yan Sasse, Chiheb Jebali et Abdramane Konaté et Onuche Ogbelu de convaincre les supporters les plus sceptiques.

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Ligue 1 – 5e journée – ASG-ESZ (0-1) : Les Zarzissiens en voulaient plus…

15. September 2025 um 12:04

Plus déterminés à faire la différence, les Zarzissiens sont parvenus à ramener une précieuse victoire de Gabès qui leur permet de préserver leur fauteuil de leader.

La Presse —En tête du classement à seulement une longueur d’avance de son dauphin, le Club Africain, l’Espérance de Zarzis s’est déplacée à Gabès en quête des trois points de la victoire. Son hôte, l’AS Gabès, aspirait aussi à se rattraper après la lourde défaite concédée lors de la précédente journée à Sousse (0-3). 

Partageant la même envie de gagner, les deux protagonistes ont opté dès le départ pour un jeu orienté, certes, vers l’offensive, mais sans prendre de risques inutiles. Les Gabésiens comme les Zarzissiens ont cherché à couvrir leur arrières en instaurant un premier rideau défensif. Du coup, il y a eu beaucoup de duels au niveau de l’entrejeu et, par conséquent, les occasions nettes étaient rares. 

Cela dit,  on a eu droit à deux grosses occasions en première mi-temps. A la 28’, la frappe de Hakim Tka a frôlé la transversale. La réaction des Zarzissiens ne s’est pas fait attendre : un puissant centrage de la droite de Lamjed Rjili, boxée par le portier gabésien, Mohamed Yassine Mechri (30’). Et les deux protagonistes ont fini par rejoindre les vestiaires pour la pause mi-temps sur un résultat nul et vierge.

La rage de vaincre…

Conscients que seule la victoire pouvait leur garantir de préserver leur fauteuil de leader sans avoir à regarder dans le rétroviseur, les Zarzissiens ont foulé la pelouse après la pause mi-temps plus déterminés à en découdre, sachant que le Gabésien Mohamed Nasr Hamed a raté une grosse occasion d’ouvrir la marque en ne faisant pas bon usage de la balle quand il s’est retrouvé nez à nez avec le gardien zarzissien suite à un centrage de la gauche de Naoui (66’).

Quelques minutes plus tard, Hamed allait regretter son ratage monstre lorsque Moumen Rahmani, fauché par Mohamed Abdourahmane à la limite de la zone des 16 mètres, obtient un coup franc direct, mais pas que. Après recours à la VAR et comme Rahmani s’est avéré dernier attaquant, Abdourahmane a été expulsé (75’). 

Une infériorité numérique qui allait profiter aux Zarzissiens. En effet, la donne a changé à la 86’ : suite un centrage de la droite de Rjili pour Tajouri qui reprend de la tête pour Moumen Rahmani. Ce dernier, d’une pichenette, loge la balle dans les filets de Mechri. 

Dans le temps additionnel, le gardien zarzissien, Seiffeddine Charfi, auteur d’une jolie parade, efface un but de Mouhib Selmi (90’+6). Plus déterminés, les “Sang et Or” de Zarzis s’imposent à Gabès, ce qui leur permet de rester en tête du classement. 

ASG : Mechri, Béji (Touati 58’), Khedher, Abdourahmane, Helali (Zanati 90’), Yaakoubi (Naoui 58’), Belghith , Boulila, Tka (Sekrafi 90’), Nasr Hamed (Khadhraoui 78’) et Selmi.

ESZ : Charfi, Sghaier, Rjili, Diallo, Maheressi, Tajouri (Kassab 90’+5), Khalfa, Coumbassa (Ben Kilani 90’+4), Chouchen (Ben Dhiaf 57’), Rahmani (Jertila 90’+5) et Oguh (Innocent 57’).

L’EST concède sa première défaite de la saison : Chronique d’une défaite annoncée…

15. September 2025 um 11:18

Avec une préparation d’intersaison écourtée à cause de la participation à la Coupe du monde des clubs et en l’absence d’un renfort de taille en attaque, la défaite concédée devant le Stade Tunisien sonnait comme une évidence.

La Presse — Pour la deuxième année consécutive, les « Sang et or » connaissent des difficultés à l’entame de la saison jusqu’à trébucher et frôler la crise de résultats. Une situation qui se répète au début de cet exercice malgré les deux nettes victoires consécutives obtenues face à la JSK (4-0) et l’ASS (2-0) et qui auraient pu mettre fin au doute qui s’est installé. Sauf que le résultat n’a pas suivi au Bardo faute de percussion. Pourtant, ce n’est pas   faute d’avoir essayé.  

Ceci dit, les deux succès obtenus contre la JSK et l’ASS ne pouvaient pas servir de référence étant donné que ces deux adversaires sont de la deuxième moitié du tableau et n’ont pas les moyens pour rivaliser avec le champion de Tunisie en titre. 

Pour l’Espérance, il était clair que le compartiment offensif n’est pas au beau fixe depuis le match d’ouverture ponctué par un semi-échec en déplacement à Gabès où la bande à Maher Kanzari s’est contentée de tenir en échec son hôte. Un résultat nul et vierge qui témoigne des grosses difficultés rencontrées par l’attaque « sang et or », restée stérile à Gabès malgré le bon volume de jeu développé, les multiples occasions créées et la domination totale des débats. 

Le bloc bas, l’arme fatale…

En ce début de saison encore, l’attaque « sang et or » a eu des difficultés à percer dans les 30 derniers mètres à chaque fois que l’adversaire joue le bloc bas et se recroqueville dans sa moitié du terrain. C’était le cas à Gabès puis au Bardo. Et à vrai dire, ce problème est devenu récurrent ces dernières années du moment où les balles arrêtées ne constituent plus l’un des atouts offensifs de l’Espérance. Il fut un temps où elles faisaient même partie de son identité de jeu. 

A chaque fois qu’un adversaire veut bloquer l’Espérance, il suffit qu’il se replie dans sa moitié de terrain pour gripper sa machine.

 Jabri, l’ombre de lui-même !

Alors qu’il a connu une ascension fulgurante la saison dernière avec une première moitié d’exercice passée à Zarzis où il était le buteur patenté, Achref Jabri est revenu de prêt au mercato hivernal pour connaître un parcours aussi réussi à l’Espérance de Tunis qui l’a conduit jusqu’à la Coupe du monde des clubs. 

Sauf que le jeune attaquant de 23 ans, un âge censé être celui d’une certaine maturité qui permet le décollage de la carrière professionnelle, passe depuis le début de cet exercice par une baisse de forme flagrante avec des ratages à la pelle dans les derniers mètres. Rien que samedi, il a vu sa frappe repoussée en deux temps par le portier stadiste Noureddine Farhati qui lui a tout simplement fermé l’angle de tir. 

Interrogé sur la baisse de forme de son avant-centre, Maher Kanzari s’est montré clément : « Il faut rester toujours aux aguets. Nous devons nous améliorer sur le plan offensif, mais je ne vais pas jusqu’à dire que Achref Jabri est le maillon faible parce qu’il a raté deux occasions. Il nous faut des recrutements de valeur en attaque. Je reste, d’ailleurs, confiant en prévision de la Champions League », et d’ajouter : « C’était un bon, voire un excellent match. Nous avons adopté le style de jeu qu’il fallait.

Sincèrement, nous n’avons pas été chanceux, car nous avons raté trois à quatre occasions nettes. Puis, c’est la première défaite après six mois de travail. Il faut bien qu’on perde un jour. Nous avons fait une première mi-temps catastrophique. Nous n’avons pas pu nous racheter face à une équipe qui s’est très bien défendue ». 

ligue 1 ­- 5e journée – ST-EST (1-0) : Les Stadistes en bons maîtres des lieux

14. September 2025 um 10:03

Plus entreprenants et opportunistes en première mi-temps, solides défensivement en seconde période de jeu, les Stadistes ont démontré au Bardo qu’ils sont bel et bien les maîtres des lieux, et ce, malgré toute la bonne volonté des attaquants «sang et or» de revenir dans le match. 

La Presse — Le derby de la capitale opposant hier après-midi au Stade Hédi-Enneifer le Stade Tunisien à l’Espérance de Tunis a tenu ses promesses avec un jeu intense dès les premières minutes de la rencontre. Ceci dit, le derby a été également un match tactique entre Chokri Khatoui et Maher Kanzari. Du coup, les occasions nettes n’ont pas été nombreuses malgré l’intensité des débats. Une intensité ponctuée, toutefois, par un engagement des joueurs. 

Cela dit, les quelques occasions enregistrées témoignent de la bonne qualité des joueurs des deux équipes. La première grosse occasion du match a été espérantiste quand Youssef Belaïli accélère sur la droite, gagne son duel avec Amath Ndaw, mais se fait rattraper par Youssef Saâfi. Il le dépasse avant de se faire bousculer par Ndaw en pleine surface de réparation. L’arbitre siffle un penalty en faveur de Belaïli. Mais après recours à la VAR, Nidhal Letaïef a annulé le penalty, précédé par une faute de Belaïli sur Saâfi en le poussant avec le bras (18’).

Une dizaine de minutes après, on a eu droit à la première grosse occasion stadiste : suite à un long centre de Ndaw, Ben Hmida coupe maladroitement la trajectoire de la balle qui tombe devant Ndiaye dont le tir s’écrase sur le poteau droit (29’). 

Ndaw est revenu à la charge quelques minutes après pour entamer une nouvelle action offensive en servant Ndiaye, qui a son tour adresse un centre millimétré de la droite pour Mohamed Amine Khémissi qui reprend directement dans les filets de Ben Saïd (41’). 

Dans le temps additionnel et profitant d’un cafouillage au sein de la défense stadiste, Achref Jabri a failli égaliser, mais sa frappe frôle le montant gauche (45’+7). 

Domination stérile…

A l’entame de la deuxième mi-temps, Maher Kanzari incorpore Boualia et Konaté respectivement à la place de Sasse et Ogbelu. Deux changements simultanés qui allaient apporter de la plus-value à l’animation offensive, à même de dominer les débats durant la seconde période de jeu. Par ailleurs, Jabri a été dangereux à la 66’, mais le portier stadiste, Noureddine Farhati, lui a fermé l’angle de tir en deux temps. De son côté, Boualia a été également à deux doigts de marquer le but d’égalisation en profitant d’une balle mal renvoyée par Sahraoui, mais son tir frôle le montant gauche de la cage de Farhati (86’). 

Bref, malgré une domination totale des débats en deuxième mi-temps, les attaquants “sang et or” étaient incapables de déverrouiller la solide défense stadiste. Des Bardelais qui ont su, en jouant le bloc bas et en créant le surnombre dans leur moitié du terrain, réduire considérablement les espaces à Youssef Belaïli et ses camarades qui concèdent une défaite venue au mauvais moment à une semaine de leur première sortie en Ligue des champions. 

ST : Farhati, Khalfa (Riahi 90’+6), Sghaier, Sahraoui, Sayhi, Ndaw (Thiam 77’), Touré, Khemissi (Haboubi 72’), Werghemmi (Smaali 77’), Ndiaye et Saafi.

EST : Ben Saïd, Ben Ali (Bouassida 87’), Ben Hmida, Tougaï, Meriah, Ogbelu (Konaté 46’), Guenichi (Tka 76’), Jebali (Dhaou 76’), Sasse (Boualia 46’), Jabri et Belaïli.

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