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Gestern — 15. Juli 2025Haupt-Feeds

Point de vue : Le paradoxe du Mondial des clubs !

15. Juli 2025 um 19:50

La Presse — Nous en avons terminé avec ce Mondial des clubs version Infantino. Un mois chargé de matches dans l’ambiance spéciale américaine et ses stades chauds. Un événement footballistique aux USA, ce n’est pas quelque chose qui va bouleverser les Américains pour lesquels le foot ne sera jamais un sport-star.

Il faisait chaud, les organisateurs ont dû jouer à midi et trois heures, décalage horaire oblige, ce qui a usé davantage des joueurs qui n’ont pas eu le temps de reprendre leur souffle après la saison 24-25. Le PSG en a été la parfaite illustration : les joueurs de Luis Enrique ont fini par craquer en finale après une folle débauche d’énergie.

Et c’est Chelsea, vrai outsider, qui vient surprendre tout le monde et remporte le titre. Un mondial unique, original qu’on a organisé avec l’esprit américain et ces pauses mi-temps interminables avec une animation musicale. Infantino, qui a tout fait pour imposer cette compétition, a gagné des points auprès des Américains auxquels il a offert l’opportunité de tester leurs moyens à un an de la Coupe du monde.

Et pour faire taire des clubs et des joueurs lassés et fatigués, il y avait un seul moyen : la cagnotte. Cette caravane du mondial des clubs, qui s’est installée aux Etats-Unis pendant un mois, a rapporté un peu plus de 2 milliards de dollars, soit près de 6 milliards de dinars, soit 33 millions de dollars de revenus par match.

Chelsea devrait empocher plus de 125 millions de dollars entre primes et bonus. Tout le monde a gagné avec cette Coupe du monde avec  4 millions de dollars comme la dotation la moins élevée( tous ces montants sont hors taxes). Une compétition usante, parachutée qui n’a pas respecté en quelque sorte le droit des joueurs à se reposer, des matches joués dans une canicule avec une météo hostile et imprévisible, plusieurs matches se sont déroulés dans des stades vides, mais en même temps, beaucoup d’argent généré et distribué aux participants, des matches ouverts et beaucoup de buts ( au fait, à force de se fatiguer, les espaces se créent pour toutes les équipes) et un avant-goût de la Coupe du monde, c’est le paradoxe de ce mondial.

Infantino, seul, peut s’estimer le plus heureux. Il a réussi à mater les clubs et à créer une énorme valeur économique. Ce football-business  va encore plus vite au détriment de tout ce qui est humain. C’est le seul langage parlé et respecté. Les critiques ne sont que de la poudre aux yeux. 

EST-son contrat expire en 2026 : Le cas Youssef Blaili

15. Juli 2025 um 19:30

Son père affirme qu’il ne devrait pas renouveler à l’EST. Une main tendue au MCA ou pression sur les dirigeants «sang et or»?

La Presse — C’est le dossier qui a le plus retenu l’attention hier du mercato. Youssef Blaili reste toujours un joueur spécial qui crée l’événement là où il est dans le bon comme le mauvais sens. Hier donc, cette déclaration imputée au père de Youssef Blaili, qui est son agent en même temps, a fait le buzz. Pour lui, son fils ne devrait pas renouveler son contrat à l’EST qui expire en 2026.

Le MCA, l’ancien club de l’Algérien, reste à l’affût et ne cache pas son intérêt pour le rapatrier. Là, le père de Blaili donne une astuce aux dirigeants algérois : attendre décembre pour l’engager et obtenir son retour gratuitement la saison prochaine. D’après les sources proches de l’EST, ce n’est pas alarmant, le club œuvre doucement pour obtenir le renouvellement d’une année au moins du contrat de l’Algérien.

Mais en même temps, ce que dit le père de Blaili n’est pas déplacé, pour plusieurs observateurs. Il joue la carte du MCA pour mettre la pression sur le président de l’EST qui veut garder Blaili à tout prix et obtenir ainsi un contrat avantageux à 33 ans. C’est un joueur clé dans le dispositif de l’EST, il a une énorme popularité aussi. Blaili et son père sont en position de force en réalité.

N’oublions pas aussi qu’il y aura la CAN puis le mondial. Blaili, s’il ne renouvelle pas son contrat, partira gratuitement et peut accaparer tous les avantages en cas de départ pour un club arabe ou même pour le MCA. 

Dans tous les cas, trois scénarios se précisent déjà : une reconduction du contrat qui va coûter cher à l’EST, une dernière saison passée à l’EST avant de passer en tant que joueur libre, ou une cession qui permettrait à l’EST d’éviter qu’il parte gratuitement. Le premier scénario  reste le plus plausible pour deux raisons : l’EST n’est pas à son premier dossier de renouvellement.

Elle était souvent capable d’offrir les avantages et convaincre même des joueurs dont le contrat a expiré. Youssef Blaili n’a pas 20 ans et sait que son statut à l’EST est très confortable. Seule la tentation de revenir en Algérie au MCA peut lui changer d’avis et celui de son père. A suivre dans les prochains jours. 

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Ligue 1 – le tirage au sort pas encore décidé : C’est déjà tard !

14. Juli 2025 um 20:30

Dans une déclaration à l’agence TAP,  le porte-parole  de la Fédération tunisienne de football, Moez Mestiri, a indiqué que  la Ligue annoncera très prochainement la date et l’heure du tirage au sort du championnat.

La Presse — Ce serait alors le 21 ou le 22 juillet. On reprend l’information de l’agence TAP.  Comment un championnat professionnel qui se respecte n’ait pas de calendrier jusqu’à maintenant? L’annoncer à un peu plus de deux semaines du coup d’envoi du championnat n’est qu’une preuve de plus que la FTF et la Lnfp (l’organe qui ne fait qu’exécuter les ordres du bureau fédéral) prennent les choses à la légère.

Le tirage au sort devait être fait et dévoilé au moins un mois avant le coup d’envoi de la compétition. Ceci pour que chaque entraîneur dose la préparation en fonction des premiers matches, et surtout pour gérer les matches amicaux. On ne peut pas jouer en amical face à un adversaire qu’on va croiser à la 1ère ou la 2e journée.

C’est tard et cela reflète bien entendu le peu de sérieux de l’organe fédéral et de la Ligue. Et pourtant, c’est une saison des plus chargées, des plus intenses avec la coupe arabe, la CAN et le Mondial. Ce serait plus responsable de faire le tirage au sort cette semaine et d’en finir avec ce retard.

La Supercoupe 2022 annulée ?

Concernant la Supercoupe de Tunisie 21-22 reportée  et qui opposera l’Espérance de Tunis et le CS Sfaxien, la même source affirme qu’il serait difficile de programmer de nouveau cette rencontre. Ce serait donc l’idée de l’annuler tout court, faute de temps. Rappelons que le bureau fédéral avait fixé le calendrier de la saison prochaine comme suit : 

— Supercoupe de Tunisie 2024-2025) : 

— Match barrage entre l’US Monastir-Stade Tunisien: le 27 juillet 2025 à Sfax

— Finale de la Supercoupe entre l’Espérance de Tunis et le vainqueur du match barrage : le 3 août 2025 à Radès

— Coup d’envoi de la Ligue 1 : les 9 et 10 août 2025

— Coup d’envoi de la Ligue  2 : les 20 et 21 septembre 2025

— Coup d’envoi du championnat des jeunes : le 31 août 2025

CA – dettes et litiges : De nouveaux dossiers !

12. Juli 2025 um 19:10

Le club retient de nouveau son souffle avec de nouveaux créanciers qui apparaissent tout d’un coup.

La Presse — Décidément, ce dossier des litiges et des dettes ne veut pas se clore au CA. Pourtant, il y a quelques jours, le conseiller de Fergie Chambers, Mohamed Chafai, a déclaré officiellement que plus de 11 millions de dinars ont été injectés et que le dossier des litiges locaux et internationaux, ainsi que les arriérés de salaires, c’est du passé.

C’était une véritable délivrance pour toute la famille clubiste qui a souffert, comme d’autres clubs, de ce fardeau des dettes. Mais comme par enchantement, et puisque c’est le CA, il ne faut jamais croire que tout est calme et que le club repart de nouveau. Il y a toujours quelque chose qui ressurgit de nulle part. Et comme la guerre des clans et les rivalités entre les enfants du club sont quelque chose de très fort, quelques dossiers ont, tout d’un coup, ressurgi.

Certains joueurs, fournisseurs et hébergeurs demandent leur dû. Et il s’avère que les dettes envers les hôtels sont, par exemple, assez importantes. Et voilà un nouveau litige auquel personne ne s’attendait, celui du transfert de Fahd Mismari, ancien joueur du club libyen d’Al-Tahaddy. Un joueur débarqué au mercato hivernal, alors que son club n’est pas encore payé ! Pendant plus de six mois, les dirigeants du CA n’ont pas débloqué le montant convenu.

Et c’est l’ex-président du comité provisoire, Heykel Dkhil, lui-même qui le reconnaît. Il admet que le club libyen n’a pas été payé à temps et que les actuels dirigeants rescapés, comme Mehdi Miled, le savent bien. Hier, le montant a été transféré vers le club libyen et ce dossier est en cours de résolution.

Ce n’est pas tout, car certains ex-joueurs, comme Houssem Souissi, réclament leurs arriérés. L’ex-entraîneur Bettoni change d’avis et demande le paiement de l’intégralité de sa deuxième année de contrat, et ça promet de nouveaux dossiers et probablement de nouvelles sentences contre le club.

Une sorte de spirale interminable et lassante qui prouve une fois de plus que le  mal du CA vient de l’intérieur. Et plus précisément de ses dirigeants qui dilapident les avoirs du club sur des joueurs et leurs agents avec des contrats gonflés et un insoutenable fardeau de dettes qui tire le club vers le bas pour des années. 

En attendant cette fameuse assemblée évaluative de Heykel Dkhil et son équipe, ce casse-tête des dettes refait surface et accable un public qui ne sait plus quoi faire. 

Après Chawat, Ambrose

Les recrutements se poursuivent malgré ces nouveux dossiers de dettes. Après Chawat, qui débarque pour trois ans, voilà une autre opération qui se conclut. Le jeune milieu défensif nigérian de l’ESZarzis Ambrose Ochigbo devra renforcer le milieu, surtout après l’échec du transfert de Boadu. Les deux clubs ont trouvé un terrain d’entente.

En fin de contrat en 2026 : Deux ans de plus pour Ali Youssef

10. Juli 2025 um 19:20

La Presse — C’est incontestablement le meilleur élément de l’effectif durant la dernière saison malgré une étrange baisse de forme en fin du championnat. Ali Youssef (24 ans), défenseur central élégant fort dans l’un contre un,  la couverture et la relance, est la grande attraction du mercato du CA. 

Il lui reste une année de contrat, alors que les rumeurs parlent d’intérêt de maints clubs à l’image d’Al Ahly. Restera, restera pas ? C’est plutôt la première hypothèse qui a prévalu. Les dirigeants clubistes ont accentué leurs efforts depuis deux semaines pour convaincre Ali Youssef et son agent de prolonger pour deux ans de plus.

L’accord de principe y est avec un nouveau contrat qui stipule, bien entendu, une majoration du salaire et des primes pour blinder un joueur-clef en défense. Ça va dans l’intérêt des deux parties. Pour le CA, il évite que le joueur parte la saison prochaine gratuitement, et pour Ali Youssef il améliore son statut avec une stabilité qui lui permettra de progresser encore. D’autant que c’est l’un des rares joueurs à avoir presque l’unanimité du public. 

CA – les dettes enfin résorbées : Un nouveau départ

09. Juli 2025 um 19:30

Les dettes locales de 4 millions de dinars en plus des arriérés de salaires ont été réglés d’après les dirigeants. Soulagement.

La Presse — L’avant-dernière saison, l’ex-président du CA, Youssef El Almi, a dit que le dossier des dettes était du passé. Plus tard, il s’est avéré qu’il n’a pas dit la vérité et que plein de dossiers même internationaux n’étaient pas réglés. Un an après lui, Heykel Dkhil a dit la même chose après la manne financière obtenue grâce au contrat de sponsoring signé avec Fergie Chambers.

Et au bout du compte, c’etait aussi de l’intox avec des dettes locales pas encore acquittées (litiges avec d’ex-joueurs et entraîneurs) et de nouvelles dettes dues à la suspecte et mauvaise gestion financière de la saison dernière. Et puisque la CAF a signifié à la FTF que tous les clubs doivent payer leurs dettes locales et internationales pour pouvoir jouer en championnat (même si réellement, ce n’est pas quelque chose de réalisable à un mois du début de la compétition, surtout pour les clubs du bas du tableau), le CA, comme d’autres clubs, était en course contre-la-montre pour le faire.

Les choses sont allées plus vite après l’investiture du Dr Mohsen Trabelsi à la tête du club avec une équipe dirigeante qui a une bonne réputation. L’appui du mécène américain, qui a renouvelé son contrat de sponsoring et injecté de nouveaux fonds, était capital. Selon Mohamed Chafai, conseiller proche de Chambers et chargé du contrôle et du suivi des dépenses, plus de 11 millions de dinars ont été injectés pour résorber toutes les dettes et repartir de zéro.

Cette fois, il faudra attendre pour s’en assurer et ça prendra quelques jours pour finaliser les virements et les paiements effectués. Mais il semble que c’est acté et que le CA n’aurait plus d’interdiction de recrutement. Même le cas de Bettoni, l’ex-entraîneur qui, tout d’un coup, est monté au créneau (selon les indiscrétions, poussé par un ex-dirigeant du dernier comité provisoire) pour rejeter son licenciement, ça devrait être résolu.

C’est Mehdi Miled, le vice président, qui s’en est chargé. En tout cas, c’est un nouveau départ et c’est même un exploit compte tenu du poids de la dette. Et si ce n’était le mécène américain, que ferait le CA avec des dettes colossales et un comité de sages et des ex-dirigeants aussi faillibles et inutiles ? 

Houssem Ben Ali de nouveau

Après un premier test médical pas complètement réussi, Houssem Ben Ali est revenu à la charge pour renforcer les rangs. Un contrat de deux ans a été signé. Qu’est-ce qui s’est passé entre-temps ? Un nouveau test médical effectué ou un risque pris pour un joueur qui a eu tant de blessures à l’ESS surtout ?  

Le CA en stage à partir d’aujourd’hui : Un premier tri

08. Juli 2025 um 19:00

Sghaier et Kooh mis à l’écart.

La Presse — Un mercato discret par rapport à la dernière intersaison ? Il semble que oui. L’équipe dirigeante multiplie les manœvres et les fausses manœvres ici et là, alors que, d’après nos sources, les bonnes pistes sont restées inconnues et se traitent discrètement, surtout pour les joueurs étrangers et expatriés.

Il s’agit d’un mercato de qualité et non de quantité avec d’abord un tri et une épuration de l’effectif. Mohamed Sahli,  le nouvel entraîneur, a déjà mis à l’écart les joueurs en fin de contrat qui n’ont plus rien à donner. Les Moez Hassan, Srarfi, Hamdi Laabidi, Khelil, Garreb et Bedoui, ne seront pas reconduits. Pour le stage qui commence aujourd’hui à la station Hammam-Bourguiba et qui se prolonge jusqu’au 18 juillet, Sahli a décidé d’écarter Ghaith Sghaier et Armand Kooh, sous contrat encore, mais qui ne figurent pas dans ses plans.

Par contre, il a retenu maints jeunes de l’équipe élite qui devront batailler pour arracher une place parmi l’effectif. Les Abdelhak, Tayachi, Mrad, Zouabi et Sayari, vont-ils saisir cette chance ? C’est de même pour Omri, Ellili  et Mtiri, de retour de prêt. En tout cas, il n’y a que Chamekh et Romdhane comme nouvelles recrues qui font le déplacement pour ce stage. Les autres recrues (on parle de 6 seniors et de 4 moins de 21 ans), ils devront rallier le stage, sinon, rejoindre plus tard le groupe. 

Boadu pour trois ans

Le Ghanéen, qui devait débarquer à l’hiver, devrait finalement le faire cette saison. Un contrat de trois ans va être signé avec lui pour qu’i rejoigne le lieu de stage. 

C’est un pivot solide qui a joué en Libye la dernière saison. Son arrivée va ouvrir la voie du départ pour Simakula, joueur moyen, mais qui a quelques offres intéressantes. A noter que le CA jouera en amical contre le CSS à Tabarka le 12 juillet. L’année dernière, les deux équipes se sont affrontées à Tabarka également. 

Point de vue : Des termes à bannir…

07. Juli 2025 um 21:00

 La Presse Souvent, ce football moderne et ultra-rentable n’a rien à voir avec l’aspect humain et avec toute considération humaine. Autrement dit, ce football de nos jours est impitoyable, si sévère où seuls la performance sans arrêt et l’intérêt financier comptent.

 Au-delà de l’effort, des contraintes humaines que n’importe quel joueur ne peut ignorer. D’ailleurs, on remarque, depuis des années, sur le mercato des termes qui passent tellement inaperçus à tel point qu’ils deviennent usuels et, le plus grave, conventionnels. Il y a surtout deux termes qu’on trouve si déplacés et inappropriés. Ceux de « vendre » ou « acheter » un joueur sur le meracto. On entend, presque tous les jours dans tous les médias, des personnes qui répètent ces deux termes à tort et à travers, bien sûr de bonne foi. 

Même à l’international et dans des pays qui font attention à ce genre de questions sensibles, les termes cession et achat de joueurs sont assez récurrents, mais avec une nuance si pertinente. Les clubs, une fois le recrutement opéré, communiquent officiellement avec des termes différents et respectant la dignité des joueurs. En Italie par exemple, un club dit avoir acquis « le droit à prestation sportive d’un joueur » pour exprimer avec précision l’opération du recrutement.

Les joueurs sont des êtres humains, et ne sont pas des objets qui s’achètent et se vendent. Ces termes sont péjoratifs et renvoient au Moyen âge où l’esclavage était généralisé. Maintenant, c’est difficile quand même de remplacer ces deux termes, courts et simples, mais à la signification blessante, surtout pour le grand public.

 Avec ces sommes astronomiques versées pour le transfert des joueurs, avec la valeur marchande qu’ils représentent pour leurs clubs ( comptablement parlant, les joueurs professionnels d’un club figurent au bilan dans la rubrique des actifs immobilisés) et la  mobilité qui se voit avec des joueurs qui changent de club chaque fois que c’est possible, cette question éthique des termes utilisés passe largement en second lieu. 

Les voix des sociologues et des défenseurs des droits de l’homme, qui s’élèvent pour bannir l’usage des termes acheter et vendre un joueur, ne pèsent pas lourd devant le poids économique et la popularité du football d’aujourd’hui. C’est devenu même un langage usuel et adopté de fait. 

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