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Gestern — 07. Juli 2025Haupt-Feeds

CSS – démission surprenante du président du Haut Comité de soutien, Mohamed Aloulou : Le torchon brûle

07. Juli 2025 um 20:40

Une décision survenue certainement au mauvais moment.

La Presse — Pas ça,  pas maintenant ! C’est ce qu’on entend dans l’entourage du CSS comme réaction après l’annonce faite par Mohamed  Aloulou de sa démission de la présidence du Haut comité de soutien, poste qu’il a occupé en février 2025 en remplacement de Mondher Ben Ayed.

Alors que les préparatifs de la saison 2025/2026 vont bon train dans l’attente de la levée de l’interdiction de recrutement et que le club de la capitale du sud semble épouser une sûre remontée de la pente, cette démission a été perçue comme un mauvais coup aux bonnes relations entre le Haut comité de soutien et le Comité directeur en exercice en place.

Cette démission est aussi perçue comme une riposte au point de presse du président du Comité de direction provisoire, Mehdi Frikha, qui a dressé un nouvel état des lieux pour les trois mois de son second mandat. Si le retrait de Mohamed Aloulou à un moment aussi crucial, en pleine préparation de l’entame d’un exercice 2025/2026, prouve une chose, c’est bien le fait que ce n’est pas encore la vie en rose dans le camp des «Noir et Blanc» de Sfax et qu’il y a encore pas mal de grands obstacles à franchir

Pourtant, tout semblait bien marcher 

Peut-on reprocher à Mehdi Frikha d’avoir notamment souligné dans son point de presse «qu’il faut tourner la page d’une décennie de mauvaise  gouvernance et qui a conduit le CSS à cette grande crise financière assez aiguë dont la sortie  n’est possible qu’au terme d’un combat assez long et qu’au prix de réformes douloureuses mais nécessaires» ?

Peut-on lui faire grief d’avoir précisé que « son comité de direction a mis comme objectif de mettre fin aux recrutements pêle-mêle où tout le monde se mêle et de s’orienter vers des choix ciblés pour ne s’engager qu’avec des joueurs confirmés qui apportent le plus sur le plan sportif et les résultats souhaités» ?

Certainement pas. Surtout que s’il y a un point positif à retenir dans les cinq mois d’exercice de cette jeune direction installée en février dernier, c’est, selon les termes de Mehdi Frikha, «la fin de la crise de confiance entre les dirigeants et les fans du club et le retour à la sérénité pour une meilleure sortie de crise».  Mehdi Frikha a salué « la bonne qualité de travail de l’entraîneur Mohamed Kouki et de son adjoint Chaker Bergaoui et de tout le staff  malgré un effectif pas encore au complet». 

Stage à Ain Draham

L’équipe partira en stage à Ain-Draham du 8 au 15 juillet et disputera deux ou trois matches avec des équipes de haut niveau qui seront sur place. En même temps, la Commission technique, sous la houlette du directeur sportif Tarek Salem, continuera de gérer le chapitre recrutement. A pas lents mais sûrs. 

Après l’attaquant camerounais Willy Onana, qui rejoindra le groupe fin juillet, un autre joueur de couloir a été engagé. Il s’agit de l’international ougandais de 19 ans, Travis Mutyaba, qui a quitté les Girondins de Bordeaux et accepté de porter les couleurs du CSS. 

Pour les joueurs de nationalité tunisienne qui viendront renforcer l’effectif, les discussions sont en cours et Tarek Salem a plus d’un nom sous la main. Il n’attend que la levée officielle de l’interdiction de recrutement pour foncer. 

«L’interdiction de recrutement sera levée dans la deuxième quinzaine de juillet», a tenu à rassurer Mehdi Frikha. «Nous avons pour l’instant deux dossiers sur la table à régulariser au plus vite. Celui de Hafia Conakry ( 302 mille dinars) et de l’agent intermédiaire du transfert de Alaâ Ghram ( 670 mille dinars ).

Ce n’est pas une mission  impossible pour nous qui avons réussi à collecter 2,9 millions de dinars pour terminer les engagements de fin de la saison passée, mais il faut reconnaître que le plus dur reste à faire.» Le plan sauvetage du CSS marche bien et ont tort ceux qui ont tendance à continuer à peindre le tableau en noir. 

Mehdi Frikha et son équipe sont sur la bonne voie. Et à défaut d’un grand optimisme, l’heure est à un vrai et réel espoir. Plutôt que de se diviser en si bon chemin, les efforts doivent être conjugués pour la sortie du bout du tunnel. Ce n’est pas maintenant que les différends sur le projet de restructuration  du club vont surgir. Le plus urgent sera donc de s’unir et d’éviter cette rupture entre les deux plus grandes composantes du CSS : le Haut comité de soutien et le bureau directeur en exercice. 

Réglementation du championnat professionnel 2025-2026 : Rien n’a changé !

07. Juli 2025 um 20:20

Les anciens textes de qualification de joueurs, de nombre maximum de joueurs tunisiens et étrangers à recruter, ont été maintenus au grand dam de ceux ont poussé pour une augmentation des quotas.

La Presse — Dans sa note circulaire adressée aux clubs professionnels et amateurs en date du 30 juin 2025, note qu’il a l’habitude d’envoyer avant l’ouverture de chaque mercato estival, le Bureau Fédéral n’a apporté aucune modification majeure dans les principaux règlements régissant le  championnat professionnel et le championnat amateur.

Concernant les dates des deux périodes de transfert de joueurs, elles n’ont pas dérogé aux dates habituelles : mercato estival (du 1er juillet au 20 septembre 2025) et mercato hivernal (du 2 janvier au 31 janvier 2026 ) . Pour les catégories d’âge des clubs de Ligue 1 et 2, ce sera comme suit : âge senior ( natifs 2004 et moins), élite (natifs 2005 /2006 ), juniors ( natifs 2007 / 2008 ), cadets ( natifs 2009 / 2010 ), minimes ( natifs 2011 / 2012 ), écoles ( natifs 2013 / 2014 ) et benjamins ( natifs  2015 / 2016 ). 

Geste symbolique envers les clubs

Pour l’effectif des joueurs seniors à enregistrer sur le système TMS de la FTF, ce nombre est toujours limité à 30 joueurs seniors (y compris les 6 joueurs étrangers). Chaque club des Ligues 1 et 2 est autorisé durant le mercato d’été à recruter, sous forme de transfert définitif ou de prêt, un nombre maximum de dix ( 10 ) joueurs d’âge senior ( les natifs 2004 , 1ère année seniors n’entrent pas dans ce quota des dix).

Le nombre de joueurs recrutés à titre de prêt ne doit pas dépasser cinq ( 5 ) joueurs. Durant le mercato d’hiver,  un club de Ligue 1  n’est autorisé qu’à remplacer au maximum que cinq ( 5 ) parmi les dix ( 10 )  joueurs recrutés en été à condition de résilier les contrats des joueurs à remplacer ou de les transférer et de présenter un quitus de règlement signé de leur part de toutes les rémunérations leur revenant durant la période passée avec le club et de la régularisation de leur situation financière .

Ce nombre est limité à quatre (4) remplacements pour les clubs de Ligue 2. Le Bureau Fédéral est resté de marbre face aux pressions de certains clubs nantis pour augmenter le quota des joueurs étrangers à engager. Ce quota est toujours limité à six (6) joueurs d’âge seniors plus la possibilité d’inscrire un septième à la condition qu’il ait évolué la saison passée sous les couleurs de ce club en tant que joueur élite.

Le nombre d’au moins sept (7) joueurs tunisiens sur le terrain tout au long de la rencontre (donc toujours quatre (4) joueurs étrangers au maximum sur le terrain est toujours en vigueur) a été aussi maintenu pour respecter au minimum le principe d’égalité des chances pour le championnat national entre les 16 clubs. Et aussi pour réduire au minimum ce fléau de litiges inquiétant chaque année qui frappe des clubs tunisiens et qui n’a cessé d’augmenter avec une moyenne presque stable de 10 clubs interdits de recrutement. 

Le Bureau Fédéral a fait un geste symbolique envers les clubs en maintenant les frais d’engagement pour la saison sportive 2025 / 2026 ( 3000 dinars pour les clubs de Ligue 1 et 2.500 dinars pour les clubs de Ligue 2 ) et en n’augmentant pas le prix des imprimés et vignettes de qualification des joueurs et d’ homologation des contrats d’entraîneurs qui sont déjà exorbitants avec une moyenne de 50.000 dinars pour un club de Ligue 1 et de 30.000 dinars pour un club de Ligue 2. 

 

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USBG – Pas d’assemblée élective : En chute libre

05. Juli 2025 um 18:50

Après le report de l’assemblée extraordinaire élective à une date inconnue,  la crise s’amplifie de plus en plus.

La Presse  Comme pressenti, l’assemblée générale élective de l’USBG, prévue jeudi,  n’a pas été tenue. Ce n’est pas la grosse surprise pour un club qui traverse actuellement une grande crise. Aucun candidat ne s’est présenté dans les délais pour prendre le relais. 

C’est triste comme constat : après le départ au sein des joueurs (un record effarant de 18 partants), c’est le sauve-qui-peut au niveau des dirigeants. Le dernier à avoir mordu à l’hameçon, Fethi Hlel, cherche à s’en sortir par tous les moyens,  mais n’a pas toujours présenté sa démission. On dit qu’il met une forte pression pour ne quitter son poste qu’après avoir effacé au moins une partie des dettes dont il s’est porté garant.

Blocage  

L’annulation de l’assemblée générale évaluative, qui devait se tenir le même jour que l’assemblée élective, a été perçue comme un bras de fer qui prend le club en otage. Car, si le non-déroulement d’une assemblée générale élective n’est pas un handicap insurmontable avec la possibilité pour les autorités de désigner sur le champ un comité de direction provisoire, la non-tenue d’une assemblée générale évaluative, le même jour, est un fait de blocage.

C’est une infraction grave, c’est même une lourde atteinte aux statuts des clubs sportifs qui stipulent que la tenue de l’assemblée générale évaluative doit être maintenue pour la date annoncée, même si l’assemblée générale élective est reportée à une date ultérieure pour absence de candidature. 

Pourquoi la direction actuelle de l’Usbg n’a-t-elle pas respecté les règlements en annulant l’assemblée évaluative ? Il ne faut pas trop chercher pour en connaître les raisons. Le rapport financier, qui devait être présenté aux adhérents pour lecture et approbation, n’est pas achevé pour permettre la passation entre le comité en exercice et la nouvelle direction qui devrait lui succéder. 

Une situation de blocage qui ne pourrait qu’amplifier la crise administrative et financière de l’Usbg et entretenir le grand flou à un mois du démarrage du championnat. 

ESZ : Volonté intacte

03. Juli 2025 um 19:00

Après une saison 2024-2025 magnifique et prolifique, les Zarzisiens ont envie de rester aussi performants. Boujelbene revient, mais ce sera un autre effectif.

La Presse  Le Stade Abdesslem-Kazouz de Zarzis a repris de la couleur la semaine dernière avec la reprise des entraînements de l’équipe senior. Une belle ambiance et une grande envie de bien préparer le coup d’envoi du championnat avec l’espoir de rééditer la remarquable entame de la saison écoulée ponctuée par une honorable 5e place au classement final.

Le podium a été raté d’un cheveu et aurait pu être une consécration amplement méritée d’un parcours exceptionnel pour un promu en Ligue 1. Mais pour les « Sang et Or » de Zarzis, rien ne sert de trop s’attarder sur cet amer goût d’inachevé. Ce bel acquis doit être un tremplin pour continuer sur cette lancée afin de poursuivre le chemin 

Anis Boujelbène reprend les manettes 

Pour assurer la continuité de ce projet sportif ambitieux, la direction du club zarzissien a commencé par rappeler celui qui en a été le principal instigateur et artisan : l’entraîneur Anis Boujelbène. Après une courte aventure de 3 mois (du 24 février au 18 mai) avec le club égyptien d’Al Masry, ce technicien a préféré le retour au bercail pour s’engager de nouveau avec le club qui a fait braquer les feux sur lui.

Le grand challenge que doit relever Anis Boujelbène, c’est d’arriver de donner un sang neuf à un effectif où il y a eu beaucoup de changements, avec de nombreux départs de joueurs clés du dispositif qu’il a eu le mérite d’installer. «Je suis revenu plein d’ambition, avec un grand capital-confiance pour m’atteler à la lourde charge qui m’attend», a-t-il déclaré. «Je sais que  je ne dispose plus du même groupe, mais je suis loin d’être découragé ou sceptique.

Pour moi, c’est toujours le collectif qui fait la force d’une équipe même si je dois avoir plus d’un pilier dans chaque compartiment pour bâtir un socle solide sur lequel je peux compter», précise-t-il. 

Un mercato pour le moment timide

Comme on le voit, l’optimisme est de mise  dans le camp de l’ESZ même si la tâche semble plus ardue cette saison. Après Khalil Guenichi et Achraf Jabri qui ont rejoint les «Sang et Or» de Tunis durant le dernier mercato hivernal, deux autres joueurs cadres partent cet été : Younes Rached et Houssem Hassen Romdhane.

L’ESZ n’a effectué que trois recrutements pour le moment en vue de colmater les brèches dans le groupe : Jassem Belkilani (un arrière gauche formé au CA avant de passer à l’ESS puis à Al Ahly-Musrata), Louay Dahnous et Louay Hamdi ( attaquants ). En parallèle, le gardien Seifeddine Charfi et l’attaquant Amine Tajouri ont renouvelé leur contrat. Ce ne sont bien entendu que les premiers pas dans la reconstruction d’un effectif qui a besoin d’autres renforts de plus grande qualité.

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