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Heute — 13. Mai 2025Haupt-Feeds

L’Espérance conserve son titre de champion de Tunisie : Au prix de la persévérance et du long souffle…

13. Mai 2025 um 19:20

Le parcours des «Sang et Or» n’a pas été un fleuve tranquille cette saison. Après les moments de doute, voire de crise, Maher Kanzari a pu redresser la barre et conserver le titre de champion de Tunisie à une journée de la fin de l’exercice. La saison n’est pas finie pour autant.

La Presse — « Quand j’ai pris en main l’équipe, nous étions ex aequo avec l’USM. A une journée de la fin, nous remportons le titre de champion de Tunisie avec en prime quatre longueurs d’avance sur les Monastiriens, un écart que nous sommes en mesure de creuser davantage puisqu’il nous reste encore un match à disputer », a déclaré Maher Kanzari, le sourire aux lèvres. 

Si l’Espérance de Tunis ajoute un 34e titre de champion de Tunisie, pour Maher Kanzari, c’est son premier sacre en tant qu’entraîneur en chef : « Il est vrai que je suis habitué à remporter des titres. En tant que joueur et membre du staff technique, j’ai 10 titres à mon actif, sans compter un titre remporté en Arabie saoudite. Cela dit, être sacré champion avec l’Espérance a toujours une sensation spéciale d’autant plus que c’est mon premier titre de champion en tant qu’entraîneur en chef. J’ai pris le train en marche au moment où l’équipe traversait une période difficile. Nous avons gagné tous nos matchs et c’est important. Je ne prétends rien. J’ai fait ce que j’avais à faire. Dieu merci, le défi a été relevé ».

Kanzari : Un parcours sans faute

S’il n’a pas réussi à qualifier l’équipe en demi-finales de la Ligue des champions alors qu’il avait pris en main les rênes de l’équipe à peine deux semaines auparavant, Maher Kanzari est parvenu à redresser la barre en championnat : quatre victoires en autant de matchs disputés avec en prime le derby remporté sur le score de 3-1. 

Sur les quatre matchs disputés, l’attaque a bien carburé avec 10 buts marqués. Et si la première sortie en championnat a été ponctuée par une courte victoire devant EGSG, la suite était nettement plus forte Les « Sang et Or » n’ont, en effet, pas fait de cadeau aux Kasserinois (6-0) et Hammam-lifois en coupe (4-0) avant d’infliger une correction aux Béjaois dimanche (5-0). Outre que le résultat a été associé dimanche à la manière, l’Espérance a surtout profité du faux pas de son adversaire direct, l’USM, qui a concédé le nul face à l’ESM. 

Par ailleurs, la fête sera au rendez-vous après-demain étant donné que le trophée du championnat sera décerné aux « Sang et Or » lors de l’ultime sortie contre l’USM. Un match qui s’apparentera finalement à une simple formalité. Une grande fête qui sera bien utile aux joueurs pour décompresser le temps d’un après-midi après les moments difficiles qu’ils ont pu traverser au cours de la saison.

Des périodes de doute 

Le parcours des champions de Tunisie en titre n’a pas été un fleuve tranquille cette saison. Le 20 octobre dernier, la défaite concédée à Zarzis a signé le départ de Miguel Cardoso. Un départ qui s’expliquait par un blocage des joueurs qui n’arrivaient pas à s’exprimer pleinement sur le terrain. Le paradoxe est que Miguel Cardoso a réussi à remporter le championnat et atteindre la finale de la Champions League la saison précédente avec un effectif de moindre qualité. 

Le technicien portugais, qui avait tout l’été devant lui pour faire la préparation d’intersaison et les recrutements qu’il fallait au mercato, a présenté une copie peu convaincante. Dans les esprits, on s’est toujours interrogé sur la capacité de cette équipe à aller loin en Ligue des champions et quel visage est-elle en mesure de présenter en Coupe du monde des clubs. Pour la première question, on a déjà la réponse, sauf que Cardoso, passé sur le banc des sud-africains, connaissait si bien l’Espérance.

Si le paradoxe de Miguel Cardoso était de ne pas avoir réussi au moment où toutes les conditions lui avaient été propices, Laurentiu Reghecampf manquait tout simplement de punch. Il s’est toujours obstiné à l’idée que l’effectif dont il disposait ne lui permettait pas d’atteindre les objectifs escomptés, alors qu’il était recruté pour donner un nouveau départ à l’équipe, chose que le technicien roumain n’a pas réussi à faire pour, au final, revenir au même blocage connu sous la houlette de Miguel Cardoso. 

L’enfant du club à la rescousse 

A la mi-mars, donc, il fallait trouver un nouveau capitaine pour mener la barque. Un capitaine qui connaît bien le fonctionnement de la maison, car il n’y avait plus le temps à l’adaptation. C’est pourquoi Hamdi Meddeb a fait appel à une vieille connaissance, un enfant du club, en l’occurrence Maher Kanzari qui a retrouvé le Parc B 12 ans après. 

S’il a échoué à sauver la face en Ligue des champions et c’est logique quelque part, Kanzari a réussi son premier défi, celui de préserver le titre de champion. Son deuxième défi est le doublé en s’adjugeant le trophée de la Coupe de la Tunisie, un titre qui échappe à l’Espérance depuis neuf longues années. 

Bref, la saison n’est pas encore terminée. Loin de là. Les ambitions ne font qu’être renouvelées pour Maher Kanzari et l’Espérance de Tunis, appelés à présenter un visage plus qu’honorable en Coupe du monde des clubs. Ce sera la meilleure façon de faire oublier la débâcle de la Ligue des champions. Eh oui, à l’Espérance, les célébrations des sacres sont souvent de courte durée, car il y a toujours de nouvelles épreuves à réussir.

Gestern — 12. Mai 2025Haupt-Feeds

Handisport – Une nouvelle génération s’apprête à prendre la relève : Aymen Lakoum, un nom à retenir !

12. Mai 2025 um 19:30

Au Meeting de Marrakech, le jeune athlète Aymen Lakoum a réalisé une jolie performance : une médaille d’argent au lancer du poids, battant son propre record. Un athlète qui promet. Un futur champion en devenir.

La Presse — Si Maroua Brahmi, Samar Ben Koelleb, Raoua Tlili et Walid Ktila, entre autres, en ont encore pour un cycle paralympique au meilleur des cas, une nouvelle génération est en train de faire son apprentissage dans les meetings dans la perspective d’assurer la relève. Un nom est sorti du lot récemment, Aymen Lakoum, qui s’est illustré lors du Meeting de Marrakech en remportant une médaille d’argent au lancer du poids. Il a battu par là-même son record personnel avec un lancer de 9,57m. 

Pour Aymen Lakoum, comme pour les autres athlètes tunisiens du reste, le Meeting de Marrakech a servi d’étape préparatoire pour le 19e Meeting international de Tunis qui se déroulera du 16 au 18 juin.  

Belhaj Salem et Soltane : des prémices de bon augure…

La nouvelle génération comprend d’autres athlètes qui ont les profils de champions en devenir. Parmi eux, on citera Nourhène Belhaj Salem qui a décroché la médaille de bronze au lancer du poids (7,34m) et Amir Soltane au lancer du disque ( 30,81 m), toujours au Meeting de Marrakech. 

Des prémices rassurantes pour des jeunes au talent certain et à la détermination indéfectible de mener une grande carrière de sportif de haut niveau. Cela dit, il est impératif de les encadrer et de leur assurer les conditions minimales dignes de sportifs d’élite. En ce sens, l’édification d’un centre d’élite paralympique est essentielle pour éviter que les jeunes talents ne décrochent faute de moyens, sachant que la plupart d’entre eux sont issus de milieux défavorisés.

La création d’un centre d’élite paralympique,  voilà une idée qui doit faire son chemin d’autant que le Comité national paralympique tunisien est prêt à financer. A l’Etat de faire don d’un lot de terrain. Le Meeting de Tunis sera donc la prochaine échéance de grande envergure à laquelle nos jeunes athlètes seront appelés à prendre part. Un Meeting qui est parvenu, au fil des années, à prendre une place de choix dans l’échiquier mondial, ce qui l’a rendu de plus en plus compétitif, attirant des athlètes d’un niveau relevé. Une belle opportunité qui s’offre donc à nos jeunes athlètes pour côtoyer des sportifs aguerris.

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Ligue 1 – 29e journée – EST : Maintenir le cap…

11. Mai 2025 um 13:20

Une victoire tout à l’heure face aux Béjaois permettra à l’Espérance de maintenir son statut de leader, peu importe le résultat obtenu par son adversaire direct, l’USM, contre l’ESM.

La Presse — Pour les “Sang et Or”, le résultat importe le plus pour leurs deux dernières sorties du championnat, à commencer par la rencontre de cet après-midi contre l’OB. Un statut de leader que l’Espérance cherchera à préserver avant la confrontation directe contre l’USM lors de l’ultime journée du championnat. 

D’ores et déjà, les “Sang et Or” ont deux longueurs d’avance sur leur adversaire monastirien. Une avance qu’ils sont en mesure de préserver même si l’USM gagne son match contre l’ESM, à condition, bien sûr, de battre l’OB. Bref, les “Sang et Or”, tout comme les Usémistes du reste, ont leur destin entre les mains. Les Espérantistes ont, toutefois, ce bonus de deux points d’avance. 

Sans Tougaï et Ben Hmida,  Belaïli qualifié

Lors de la dernière sortie du championnat disputée contre le CSS, Mohamed Amine Tougaï et Mohamed Amine Ben Hmida ont écopé, chacun, d’un troisième avertissement suspensif. En ce qui concerne Youssef Belaïli, l’entraîneur Maher Kanzari avait déclaré après le match du CSS : “C’est nous qui avons demandé à Youssef Belaïli de prendre un carton jaune pour sauter le prochain match afin qu’il puisse jouer contre l’USM. Peu importe le résultat de la rencontre contre l’OB, un résultat nul, une victoire ou même une défaite, c’est le dernier match contre l’USM qui sera décisif pour le titre.

Or, après vérification des règlements, il s’est avéré que le coach “sang et or” s’est trompé et, dans la foulée, les médias aussi : la suspension de deux matchs par la LNFP de Youssef Belaïli, à cause de son geste déplacé quand il a célébré son but contre la JSO pour le compte de la 25e journée, efface les sanctions précédentes. Du coup, il n’a que deux avertissements.   

Ceci dit, il n’est pas exclu que Maher Kanzari ménage quand même Belaïli pour éviter qu’il soit suspendu contre l’USM. Par contre, le coach “sang et or” est contraint d’apporter un changement sur le flanc gauche de la défense en raison de la suspension de Ben Hmida qui sera remplacé par Aymen Ben Mohamed. Le reste de la composition de la défense ne devra pas connaître de changements. On s’attend à ce que Ben Saïd soit fidèle au poste et garde les cages. Sur le flanc droit, Ben Ali est bien parti pour préserver son rang de titulaire. Dans l’axe, on devra retrouver le duo Jelassi-Guenichi, aligné contre le CSS. Cela dit, Mohamed Mouhli est susceptible de remplacer Belaïli.  

Ligue 1 – 29e journée : EGS Gafsa et l’US Tataouine relégués en Ligue 2

11. Mai 2025 um 10:22

A une journée de la fin du championnat, on connaît les deux clubs relégués en Ligue 2. Il s’agit d’El Gawafel de Gafsa et de l’Union Sportive de Tataouine qui quittent la première division après avoir perdu respectivement devant l’ASG et le ST.

La Presse — La relégation fait partie des règles du jeu, tout comme la défaite. Les Gafsiens et les Tataouinois l’ont appris, hier, à leurs dépens après la 29e journée.

A Gafsa, Haythem Ben Mbarek doit regretter le penalty qu’il a raté à la 59’. Un tir intercepté par le gardien de but gabésien, Abdelkader Chouaya qui, d’ailleurs, a livré un grand match et a sauvé son club.

Quelques minutes après et alors que ce sont les Gafsiens qui se montraient les plus entreprenants, Mouhib Selmi inscrit un but contre le cours de jeu à la 80’, prenant au dépourvu Rami Jeridi et sa défense. 

Par ailleurs, les joueurs de l’UST n’ont pas profité non plus du fait qu’ils évoluaient à domicile, concédant la défaite devant les Stadistes sur le score de 1à2. Menés par deux buts, Hosni Guezmir a réduit le score à un très bon timing, la 58’. Mais il fallait faire preuve de plus de détermination pour espérer renverser les Stadistes.

Le bonheur des Gabésiens et des Omranais

Le malheur des Gafsiens et des Tataouinois a fait le bonheur des Gabésiens et des Omranais. En effet, l’ASG et la JSO assurent leur maintien en première division. L’ASG a assuré son maintien à la faveur de sa victoire devant EGSG. Quant à la JSO, elle s’est imposée face à l’USBG sur le score de 2-1 au Zouiten. Les buts de la victoire de la JSO, ceux également du maintien, ont été signés Mustapha Souissi qui a transformé un penalty à la 32’ et Malek Jamel qui a doublé la mise au début de la seconde mi-temps, précisément à la 59’. 

Un grand bravo pour la JSO qui assure sa place parmi l’élite alors qu’elle a évolué cette saison en Ligue 1 pour la première fois de son histoire. Un grand bravo aussi à toute l’équipe de l’ASG. Les Gabésiens ont remporté une courte, mais précieuse victoire à Gafsa. Ils n’étaient peut-être pas les plus entreprenants. Ils étaient, en tout cas, les plus réalistes et, surtout, plus efficaces. Un but marqué contre le courant de jeu qui vaut son pesant d’or.

Notons enfin que la rencontre ASS-ESZ s’est soldée par un résultat nul, un but partout dans un match sans grand enjeu

Résultats

Au Zouiten :

JS Omrane 2 Mustapha Souissi (32 sp), Malek Jamel (59)

US Ben Guerdane 1 Iyed Belouafi (40)

A Bir Bouregba :

AS Soliman 1 Amenallah Mejhed (86 sp)

ES Zarzis 1 Nassim Douihech (90+1)

A Gafsa :

EGS Gafsa 0

AS Gabès 1 Mouhib Selmi (80)

 A Tataouine :

US Tataouine 1 Hosni Guezmir (58)

Stade Tunisien 2 Nacef Atoui (10), Bonheur Mugisha (30 sp)

CAN U20 – La tunisie perd face au maroc : Mais où est passé Thomas Zouaghi ?

09. Mai 2025 um 19:00

Censé être le dernier grand rempart, Thomas Adem Zouaghi a failli à sa mission, encaissant deux buts-gags. Le Maroc n’a pas finalement volé sa victoire. Zouaghi la lui a offerte, en revanche, sur un plateau.

La Presse — Dans les catégories jeunes, la stabilité du staff technique et le travail sur le moyen et long termes sont cruciaux pour établir une stratégie qui apporte des résultats. C’est l’un des facteurs qui a fait la différence avant-hier. Mohamed Ouahbi, le sélectionneur U20 du Maroc, est en place depuis mars 2022. Il accompagne ses jeunots depuis trois ans déjà. 

Chez nous, Anis Boussaïdi a pris les commandes de la sélection U20 de juillet 2023 à juin 2024. Puis, Slim Benachour a pris la relève de juillet 2024 à janvier 2025. Depuis janvier et jusqu’au 16 avril, date de la nomination d’Abdelhay Ben Soltane, le poste est resté vacant. A souligner que Ben Soltane a été nommé dix jours seulement avant le coup d’envoi de la CAN d’Egypte. Une période insuffisante pour préparer comme il se doit un tournoi de grande envergure tel que la Coupe d’Afrique des nations.

Gardien de but, le poste le plus important

En football, un autre critère et pas le moindre est à prendre en considération si on veut aborder dans les meilleures dispositions un grand tournoi : disposer d’un très bon gardien de but. 

Par ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’on qualifie le gardien de but de « dernier grand rempart ». Cela n’a pas été le cas, avant-hier, de Thomas Adem Zouaghi qui, en l’espace de six minutes, a conduit la sélection U20 à sa perte en commettant deux erreurs monumentales. D’abord, à la 86’sur coup franc. Le mur est déjà mal placé et c’est le rôle du gardien, patron de la défense, de le placer et replacer. Zouaghi repousse mal la balle devant Ismail Bakhri.  Dans le temps additionnel, le portier tunisien ferme l’angle de tir à Jones El-Abdellaoui, mais perd bêtement la balle. Quand un jeune footballeur atteint le palier où il dispute des tournois de très haut niveau tels que la CAN, il ne peut se permettre de commettre des erreurs de débutant.

Ceci dit, le courant ne s’est pas bien passé entre Slim Benachour et Thomas Adem Zouaghi en novembre dernier lors du Tournoi Unaf. Décidément, il a bien raison Benachour. Le jeune Zouaghi doit penser à revoir sérieusement sa copie s’il veut faire une grande carrière. Il doit surtout se montrer plus discipliné dorénavant. 

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