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Gestern — 12. April 2025Haupt-Feeds

Ligue 1 – 26e journée – Ca : A ne pas rater…

12. April 2025 um 11:10

Après le retrait de deux points, les Clubistes n’auront pas de choix que de gagner à Métlaoui pour préserver leurs chances.

Le CA s’engage en ce moment dans une double bataille : une bataille sportive dans ce dernier sprint du championnat avec 5 journées intenses et déterminantes et une autre bataille administrative contre la Commission nationale d’appel et la FTF après le retrait des deux points de la réclamation  contre l’USBG. Restons dans la première bataille qui s’annonce ardue. Trois points séparent  désormais le CA du duo de tête EST-USM.

Autant dire que les Clubistes doivent gagner tous leurs matches et attendre un faux pas des deux leaders (dont l’EST qui sera l’adversaire la  journée prochaine journée). Cette opération du sprint final commence cet après-midi contre l’ESMétlaoui. Un match pas si facile que cela. On peut même dire que c’est aussi délicat que le derby tunisois. L’ESM est très dure à manier à domicile.

Débarassée du spectre de la rélégation, l’ESM jouera sans grande pression et si on voit ses matches contre les prétendants cette saison on est sûr que l’ESM n’aura pas le trac. Elle a toujours perturbé les favoris.  Le CA va à Métlaoui avec deux atouts : une défense solide emmenée par Ali Youssef avec une série de 4 matches (y compris celui de la coupe) sans encaisser le moindre but. Et puis, aussi, une capacité à imposer un bon tempo et à acculer ses adversaires, faute de grande variété dans le jeu. Bettoni devra surtout trouver une meilleure formule en attaque, là où il s’est obstiné à changer le poste de maints joueurs et à ne pas jouer avec un vrai avant-centre.

Des changements, il y en aura toujours, c’est la devise de Bettoni. En défense, Yefreni, Zaâlouni, Tiny Wells, Youssef et Ben Abda ne devront pas rater une titularisation. C’est au milieu et en attaque que l’on s’attend à quelques réajustements pour donner plus de vivacité et de percussion au jeu.  Khelil reste inamovible, alors que pour le poste de relayeur, Zemzmi, Sghaïer et le jeune Sadok Mahmoud sont en ballottage. Aït Malek sera éventuellement là, mais va-t-il faire le troisième milieu  ou va-t-il avancer? 

Bettoni a jusqu’à maintenant opté pour la première option. Devant, seul Khadhraoui est attendu, mais est-ce dans le nouveau rôle d’avant-centre qui ne lui sied pas ou dans le rôle d’ailier gauche? L’entraîneur français opte plutôt pour la première option. En l’absence de Hamdi Laabidi (mis hors liste), Kizumbi et Srarfi sont attendus ensemble en attaque.
Les cartes Glalech, Mismari et Kooh restent valables en cours de match.

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Point de Vue : Pas si transparent !

11. April 2025 um 19:40

Ce championnat 2025 se joue dans les coulisses, dans les lectures subjectives et parachutées de textes flous et louches. En tout cas, c’est un championnat qui ne se joue pas en grande partie sur le terrain.

Des réclamations à la pelle, des décisions juridictionnelles controversées et contradictoires entre la Lnfp et la commission d’appel, mais où va-t-on ? On ne pouvait pas imaginer un seul instant que les choses iront encore plus vers le ridicule et l’insensé après les décisions de la fameuse commission nationale d’appel. Là, on atteint l’apogée de la suspicion et de l’invraisemblable.

Ce n’est pas le fait que cette commission nationale d’appel ait cassé complètement les décisions de la Ligue de football de première instance qui interpelle seulement. C’est déjà étonnant de voir cassées en appel toutes les décisions prises. Cela veut dire quoi pour des cas qui répondent aux mêmes textes ? Cela veut dire tout simplement, et en supposant la bonne foi (ce qui n’est pas sûr !), que l’une des deux instances ne sait pas interpréter les textes. Cela peut aussi signifier que l’on a pris les décisions en obéissant à des instructions.

Mais venons-ens surtout au «timing» des décisions de la commission d’appel. Annoncées pour mardi, les médias ont dû attendre pendant des heures et jusqu’au soir, mais aucun membre de cette commission d’appel n’est apparu. Bien au contraire, les membres de cette commission ont choisi de quitter le bâtiment par l’arrière-porte ! Déjà, ce retard était suspect.

Pourquoi a-t-on hésité à décider ? Donc, on s’attendait à ce que la commission délibère le lendemain, mais contre toute attente, elle le fait à minuit et demi ! Pourquoi ces horaires ? Qu’est-ce qui s’est passé le soir pour que l’on n’attende pas le lendemain? Cet empressanent est lui aussi étrange. Ce n’est pas seulement le timing de ces décisions qui intrigue (et vous pouvez imaginer toutes les interprétations et scénarios qui en découlent), mais aussi la manière dont ces décisions sont prises. Que ce soit en première ou en seconde instance, c’est le vote qui tranche.

On ne lit pas les textes pour arriver à un jugement équitable et qui respecte les normes, mais chacun des membres fait sa lecture et puis on vote ! Et, bien sûr, un vote c’est souvent subjectif et pas innocent. Les membres votants de cette commission d’appel ont des appartenances sportives déclarées. (comme ceux de la première instance !), et défendent sans scrupules leurs clubs. Comment peut-on assurer un minimum d’équité alors que les cas exposés influencent les intérêts d’autres clubs chers au cœur de ces membres?

Ce qui se passe ne fait qu’attiser le feu. On en arrive à la rue avec des supporteurs qui protestent et menacent. En même temps, la tension atteint son paroxysme ces jours avant ce derby tunisois du 20 avril. Attention, ce football et cette fin du championnat risquent fort de nous entraîner à des dérapages incontrôlables.

Ce n’est pas négligeable ce qui se dit et ce qui se dessine dans les coulisses. Tout cela, parce que la Lnfp et surtout cette commission d’appel, qui n’est pas du tout indépendante (ses membres sont nommés selon le quota des représentations des grands et influents clubs), a tout fait pour créer une polémique. Ce qu’elle a fait n’a rien de sensé.

C’est même louche et pas transparent, alors qu’elle est un organe d’appel (le dernier en Tunisie) et que le TAS, comme dernier recours, va encore compliquer les choses. Le TAS, lui aussi bizarre dans les délais qu’il prend pour trancher (le cas du CSChebba par exemple), peut créer un flou sur cette fin de championnat s’il décide tard. On pouvait éviter tout cela, si les organes juridiques sportifs faisaient normalement leur travail sans rentrer dans les petits calculs et dans le dangereux jeu de la complaisance, de la conspiration et des appartenances sportives. 

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M. Sundowns passe en demi-finale : L’effet Cardoso !

10. April 2025 um 19:10

Le Portugais a transformé une équipe spectaculaire mais docile en une équipe impassible et hyper efficace.

Licencié par l’EST alors qu’il a réussi à atteindre la finale de la Ligue des champions 2024 avec un effectif pas très fort et dans une saison transitoire, Miguel Cardoso se fait justice, sportivement parlant. M. Sundowns prend sa revanche, elle aussi, après son élimination face à l’EST l’année dernière en demi-finale. Et sans s’attarder sur les détails des deux matches, on peut parler d’effet Cardoso.

C’est un entraîneur réaliste, qui sait communiquer et qui croit beaucoup en l’organisation défensive. En quelques mois, il a métamorphosé M. Sundowns d’une équipe charmante et spectaculaire qui produit un énorme volume de jeu offensif en une équipe impassible qui gagne sans charmer et sans se porter à outrance dans la zone de l’adversaire.

Sundowns a gagné à l’aller en tenant le ballon, mais en se créant trois occasions, et a résisté au retour grâce à un bloc bas et cette capacité à faire circuler la balle et user l’adversaire. L’EST pouvait gagner, oui, car elle avait certains atouts offensifs, et surtout parce que la défense sud-africaine était prenable quand il y avait un centrage précis sur balle arrêtée. 

Si Cardoso a atténué le danger Blaïli avec deux voire trois joueurs sur lui pour réduire les espaces et l’obliger à décrocher et passer en largeur, il a compris que l’EST était marquée par la fatigue et la pression. Connaissant tous les joueurs qu’il a entraînés il y a quelques mois, le Portugais, avec une dose de chance et de réussite qui lui colle à la perfection, a bien lu son match et a bien préparé ses joueurs.

C’est le genre d’entraîneur capable de changer le visage de son équipe même avec des joueurs ayant un profil différent de ce qu’il aime. On peut ne pas aimer la forme et l’esthétique de ce qu’il présente, mais sur le fond, c’est un gagneur, c’est quelqu’un qui joue pour le résultat et non pour plaire. Al Ahly, son futur adversaire, et son entraîneur suisse Koler vont devoir se surpasser pour mater leur bête noire en Afrique. Rendrez-vous la semaine prochaine !

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Ligue des champions – Quart de finale retour – EST-M.Sundowns (0-0) : Ils auront tout essayé mais…

09. April 2025 um 09:17

L’EST a manqué de réussite et de consistance en attaque. Un but refusé à Jabri sur un hors-jeu de quelques centimètres déclaré par la VAR.

La Presse — Le match d’hier était sur le papier un match à fort enjeu, à pression spéciale pour l’EST, menée à l’aller 1-0 face à un adversaire sérieux et qui avait maints atouts. Un stade de Radès plein et garni avec un public venu en grand nombre dès la fin d’après-midi pour porter son équipe à bout de bras, le décor était bien planté. L’EST, qui a toujours cette expérience continentale, misait sur ce métier, sur cette faculté à répondre présent à toute épreuve quel que soit le contexte. Côté choix, et par rapport à la manche de l’aller, Maher Kanzari a choisi de faire revenir Tka à l’entrejeu à la place de Guenichi, et Rodrigues comme avant-centre classique. En défense, c’était la même composition qu’à l’aller en Afrique du Sud avec cette fois un Blaili placé à gauche, là où il aime évoluer. Il n’y avait pas de choix devant pour les «Sang et Or» que de faire plaisir à leur public.

Toute cette ambiance chaude n’a pas vraiment perturbé M. Sundowns qui, pendant la première mi-temps, a usé de son organisation et de la qualité de ses demis, en premier lieu Allende, pour tenir la balle et écraser le rythme d’une EST qui aurait pu scorer dès la 4’ mais Tougai, seul devant Williams, n’a pas mis son pied convenablement pour ajuster le tir. Pendant une mi-temps, l’EST joue vite et essaye d’alerter le duo Blaili-Sasse pour trouver la faille dans la défense de zone SUD Africaine, mais sans trouver la faille. Il manquait ce dernier geste, cette réussite à percer l’axe et à déjouer le hors-jeu à chaque fois. Certes, Sundowns n’était pas dangereux jusqu’à la 43’, mais en deux minutes, un crochet de Ribreiro et un tir qui flirte avec le poteau, et puis ce tir puissant et enveloppé d’Allende qui s’écrase sur la transversale de Ben Saïd. Tout Radès a retenu son souffle. La mi-temps se termine 0-0.

La défense des Sud-Africains

L’EST, qui utilise Jbali, Jabri et Mokwana pour déverrouiller le bloc adverse, et M.Sundowns qui ferme toute les issues et qui tient la balle pour gagner du temps, c’était ça la suite du match. A l’EST a manqué cette touche offensive, ce joueur capable de trouver la faille face à une défense regroupée mais pas imbattable. Seul Jabri a pu marquer en lobant Williams à la 62’, mais le but a été refusé par la VAR pour un léger hors-jeu. On en restera là. L’EST a tout donné, mais il lui a manqué cette réussite des grands matches. Sundowns a résisté jusqu’au bout. Il y avait la touche Cardoso sûrement.

EST : Ben Said-Bouchniba-Ben Hmida-Jlassi-Tougai-Ogbelu-Tka-Konaté (Jbali)-Blaili-Sasse(Mokwana)-Rodrigues (Jabri)

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