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Gestern — 11. Februar 2025Haupt-Feeds

Open de Qatar: Ons Jabeur déroule 

11. Februar 2025 um 17:05

Belle victoire hier de Ons Jabeur face à Zheng. C’était même plus facile que prévu. Après être menée 3 jeux à 1, ons rentre fort sur le match et rafle le premier set 6-4. Puis elle domine une Zheng fébrile et qui a commis trop de fautes directes.

Après avoir raté la première balle de match, elle le fait à 5-2 sur une double faute de la Chinoise. Ons confirme son retour au premier plan. Prochaine adversaire, S. Kenin aux huitièmes.

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Point de vue – Le silence coupable !

07. Februar 2025 um 10:20

La Presse — S’il est un sujet qui devient tabou, c’est bien sûr cette fameuse loi sur les structures sportives qui traîne encore entre le Premier ministère et le ministère des Sports en attendant de la soumettre à l’Assemblée des représentants du peuple pour lecture et approbation. Et jusqu’à aujourd’hui, aucune information fiable, aucune date promise, aucune explication aux Tunisiens pourquoi cette loi tarde encore à voir le jour. L’histoire frôle même le ridicule en devenant lassante et limite utopique. Même si on s’est réjoui il y a quelques mois de la note adressée par le ministre des Sports aux présidents des fédérations qui avaient hâte de prolonger leurs mandats, de ne pas le faire, on était un peu déçu par la suite par cette marche-arrière du ministre qui, pour des raisons encore obscures, n’a pas enchaîné et s’est  réuni avec les différents présidents des fédérations en leur accordant un sursis le temps que la fameuse loi paraisse. Mais justement, qu’est-ce qui l’empêche de paraître? C’est quoi le problème au juste et pourquoi ce retard suspect? Et le plus grave, c’est ce silence coupable qui donne  des raisons de s’inquiéter. Et au fait, on est si étonné que toute une loi qui va permettre de changer le statut des associations en sociétés sportives (quel que soit le statut juridique à retenir) et d’améliorer leur mode de contrôle, de financement et de gouvernance, soit réduire au simple plafond des mandats des présidents des fédérations.

Cette insoutenable et «louche» pression qu’exercent ces présidents ayant dépassé les trois mandats  est-elle vraiment la seule explication de ce retard? Si c’est vraiment le cas, alors ces présidents sont tellement puissants et redoutables pour pouvoir arrêter tout un processus législatif qui bloque depuis plus de 10 ans ! La balle est dans le camp du ministre des Sports qui doit s’exprimer et éclairer l’opinion, car c’est un sujet d’Etat si important. Cette loi est une épreuve de vérité pour l’Etat tunisien et pour sa crédibilité.

Ce ne sont pas cinq ou six présidents de fédérations sportives cloués à leurs sièges depuis plus de 10 et 15 ans qui vont encore empêcher un loi de donner un coup de balai nécessaire dans le sport tunisien. Le ministre des Sports doit éclairer la lanterne des sportifs tunisiens et expliquer quelle est la feuille de route pour promulguer une loi dont le retard nuit au sport et donne à ces présidents et présidents de fédérations un pouvoir et des prouesses inimaginables. Il faut faire quelque chose et accélérer les procédures. Depuis ce conseil ministériel tenu à  propos de cette loi, et depuis ce moment où on a senti que le plafond des mandats va être appliqué, une longue et consternante attente. Un délai qui dépasse le seuil de tolérance, alors que la situation est urgente. Et tant que ce silence dure, tant qu’il  n’y a pas un calendrier sérieux et clair, cette loi des structures sportives est sans doute un serpent de mer. A moins que l’on réagisse enfin et que l’on assume ses responsabilités !

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Équipe nationale : Sami Trabelsi, le dernier choix

07. Februar 2025 um 09:39

La piste Nafti abandonnée à la dernière minute, le bureau fédéral devrait conclure avec Sami Trabelsi.

Le sujet du futur sélectionneur national ne manque pas de revirements et d’invraisemblable même. Alors que Mehdi Nafti était très proche de débarquer en contrepartie du retrait de sa plainte contre la FTF auprès du TAS, la transaction a échoué in extremis. Nafti n’a pas été souple comme nous l’avons annoncé, réclamant un salaire élevé en étant bien sûr en position de force (un mauvais calcul pour un entraîneur moyen que tout le monde a défendu devant Benzarti lors de son éviction en été). Le salaire qu’il a demandé et le staff qu’il a exigé dépassent les moyens de la FTF en ce moment. Il a reculé à la dernière minute et mis la barre très haut on ne sait pour quelle raison.

Donc il ne sera pas le sélectionneur national, et c’est éventuellement Sami Trabelsi qui va faire son retour douze ans après son limogeage. Installé au Qatar comme consultant à Beinsports après un long bail comme entraineur du club d’Al Sylia, Sami Trabelsi a été souple et n’a pas demandé un salaire élevé, ce qui arrange la FTF en ce moment.

C’est une transaction qui va être officialisée dans les heures qui viennent. Ce sera un staff purement tunisien qui ne va pas coûter très cher et qui a l’avantage de connaître la sélection et son ambiance. Est-ce la fin du feuilleton ?

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Point de vue – Le grand Ali Maâloul !

05. Februar 2025 um 17:20

La Presse — En écoutant une radio sportive égyptienne, nous étions un peu surpris (et exaltés sincèrement) de l’affection et de l’admiration du plateau consacré à notre joueur Ali Maâloul.L’animateur, ses invités, les chroniqueurs sollicités et les supporters d’Al Ahly n’étaient pas uniquement admiratifs de Maâloul, mais plus que cela. Ils étaient impressionnés, émus, solidaires et même intransigeants et fermes à tout ce qui touche Ali Maâloul. Au passage, quelques déclarations du latéral gauche tunisien qui vit actuellement un moment sensible avec Al Ahly. Repoussé par son entraîneur suisse, Koler, «protégé» et défendu par Mahmoud Al Khatib, son sort suscite de vives interrogations. Maâloul, qui revient d’une méchante blessure contractée en finale de la ligue des champions contre l’EST, ne sait pas quoi faire et se trouve dans un moment-charnière de sa riche carrière.

Quelle que soit l’issue, ce qu’on retient, c’est que Ali Maâloul est une icône à Al Ahly. Et ce n’est pas facile pour un joueur non égyptien de le faire et de l’être. Dans cette même émission, des chants du public ahlaoui dédiés à notre joueur, considéré par ce public comme l’une des «sagas» du club. Il est, sans exagération aucune, au rang des Khatib, Abdou, Abouzid, Abou Trika, Jomaâ, El Hadhari,…

Peut-être qu’ici, on n’a pas le même son de cloche, tellement Ali Maâloul n’est pas médiatisé à sa juste valeur. Ce qui le lie à Al Ahly, ce n’est pas un simple contrat joueur-club, c’est comme, il le dit lui-même, un contrat «d’affection et de respect». Donc, on est dans un stade très avancé de ce qu’incarne cette relation émotionnelle. Pour conquérir les cœurs des Ahlaouis et pour réussir de cette manière dans le club le plus performant et le plus puissant en Afrique depuis des années, il fallait être fort dans ses jambes et dans sa tête. Pour un joueur qui vit sa 9e saison de suite avec la même admiration pour ce qu’il fait et ce qu’il représente, il faut être aussi généreux et exemplaire pour s’imposer et pour attirer la sympathie dans un club aussi populaire et exigeant tel Al Ahly. On a beaucoup parlé d’autres joueurs tunisiens qui ont réussi en Europe, mais on a peu parlé du cas d’Ali Maâloul. On a peu parlé de cet exemple de longévité et de régularité pour ce joueur humble et très fort là où il est utilisé sur le terrain. Il n’a connu que deux clubs dans sa carrière : le CSS et Al Ahly, ce n’est pas un cv chargé en clubs et ce n’est pas l’Europe, mais Maâloul a joué le haut niveau. Plein de titres, de participations aux Coupes du monde des clubs, une énorme notoriété et une folle passion du public d’Al Ahly envers sa personne, Maâloul mérite bien plus que les louanges.

Il force le respect, et comme l’a dit un des chroniqueurs de l’émission radio, quelle que soit la manière dont Ali Maâloul va sortir d’Al Ahly, ce sera par la grande porte. Il y a quelques années, un autre joueur tunisien était la «coqueluche» du public d’Ezzamalek. Ferjani Sassi est arrivé presque au même stade de popularité d’Ali Maâloul. Mais il a choisi de laisser tomber tout cela pour quelques dollars de plus offerts au championnat du Qatar.

Toute la différence est là.

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