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Heute — 16. Januar 2025Haupt-Feeds

Elections FTF – Les trois listes validées : Peut-on faire du neuf avec du vieux?

16. Januar 2025 um 17:10

Les trois listes candidates comprennent d’anciens responsables fédéraux et de ligues, des ex-footballeurs et des juristes. Le vieux système est toujours de rigueur.

La Presse — “On ne peut pas faire du neuf avec du vieux”. L’expression résume les quatre prochaines années qui ponctueront le mandat du nouveau bureau fédéral qui sera élu le 25 janvier. Peu importe qui gagnera ces élections, le constat sera le même. On aura affaire à la même approche de gestion qui a donné lieu au marasme actuel que vit le football tunisien.

Que ce soit Jalel Tekaya, Mahmoud Hammami ou encore Moez Nasri, les trois candidats et la composition de leurs listes sont le prolongement du vieux système.

A bout de souffle 

La question n’est pas relative aux profils propres que nous proposent les trois listes candidates. Sur le papier, certains profils paraissent intéressants. D’anciens responsables dont des ex-membres fédéraux censés être armés de l’expérience nécessaire pour diriger les affaires du football tunisien.

Or, ce dont a besoin notre football, ce n’est pas de gérer ses affaires courantes. Il ne s’agit pas de continuer à gérer avec les mêmes personnes, les mêmes idées. Car le système qu’on nous a proposé jusque-là est à bout de souffle. Et ce qui a changé dans les compositions des listes proposées, c’est le repositionnement de la vieille garde.

A titre d’exemple et ce n’est pas contre la personne, la candidature de Hussein Jenayah comme vice-président de Moez Nasri est le prolongement du dernier bureau fédéral et d’un système qui a perduré pendant une dizaine d’années. Un système qui agonise. Il faut donc de nouvelles idées qui ne peuvent être appliquées par la vieille garde qui ne peut proposer que d’anciennes recettes. Des méthodes de gestion d’un temps révolu.

Les ex-internationaux : une plus-value ou juste pour le décor ?

Sur les trois candidats à la présidence de la FTF, Mahmoud Hammami a choisi d’insérer dans sa liste deux ex-internationaux: Karim Haggui  comme vice-président et Khaled Badra comme membre. Une question s’impose : ces deux ex-internationaux vont-ils constituer une plus-value (peuvent-ils) ou seront là juste pour le décor?

Connaissant la personnalité de Karim Haggui et au vu de son riche parcours et la manière avec laquelle il a géré impeccablement sa carrière de footballeur professionnel, le bonhomme a sans doute des idées novatrices qui peuvent faire une petite révolution dans le football tunisien.

En ce qui concerne Khaled Badra, il sera bien utile dans l’accompagnement des équipes nationales, la sélection A notamment. Une sélection A qui, justement, est en phase de reconstruction étant donné qu’il faut penser à assurer la relève. Karim Haggui et Khaled Badra peuvent apporter peut-être une réelle plus-value au football tunisien à condition d’être dans un bureau plus blindé. Pour le reste des candidats, il est temps de céder la place à une nouvelle génération.

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Ligue des champions – L’EST gagne à Bamako et file en quarts : Des choix et des hommes…

14. Januar 2025 um 11:08

A Bamako, Laurentiu Reghecampf a fait les bons choix, sachant motiver sa troupe et, surtout, amener ses joueurs à rester concentrés jusqu’au coup de sifflet final. Les « Sang et Or » ont pu revenir ainsi avec la qualification en poche aux quarts de finale.

La Presse — Contrairement à leur attitude au Caire une semaine plus tôt, Laurentiu Reghecampf et ses hommes ont eu la bonne attitude à Bamako, livrant le match qu’il faut. La victoire est, certes, courte, mais l’essentiel a été fait sans que les joueurs ont eu à se compliquer la tâche. On ne va pas aller jusqu’à dire que Elias Mokwana et ses camarades ont livré le match parfait. Néanmoins, ils ont su faire preuve de réalisme en se montrant d’abord prudents en première mi-temps, réussissant à calmer les ardeurs des attaquants maliens, particulièrement dangereux durant les dix premières minutes de jeu, avant que les défenseurs et les joueurs du milieu ne réussissent à les stopper tout net.

Ce qui est bien c’est qu’à aucun moment, les joueurs de l’Espérance ne sont tombés dans la précipitation et ce n’est qu’en deuxième mi-temps que la machine “sang et or” a carburé à plein régime, un petit quart d’heure durant le temps qu’Elias Mokwana mette la balle dans les filets deverses. Par la suite, il fallait gérer l’ascendant, mais sans commettre les erreurs du Caire.

Belaïli jusqu’au bout

Parmi les erreurs faites au Caire, les remplacements simultanés de Youssef Belaïli et Yan Sasse, deux avants qui pesaient lourdement sur les défenseurs de Pyramids, même sans ballon, étant qu’ils étaient surveillés en permanence, ce qui permettait d’ouvrir des brèches. Au Caire, c’est Youssef Belaïli qui a demandé à être remplacé. Parallèlement, Yan Sasse qui ne pouvait pas jouer un match entier vu qu’il revient de blessure. La suite, tout le monde la connaît.

Des changements forcés, certes, mais qui ont conduit à deux erreurs, permettant aux Cairotes de s’imposer dans le temps additionnel

A Bamako, Belaïli a fait le sacrifice de jouer un match entier étant donné que Sasse n’a pas encore 90 minutes dans les jambes. L’avantage avec Belaïli est que même quand il joue sans ballon, il a cette faculté de faire diversion et de bloquer avec lui un défenseur, voire deux.

Tka libère une place supplémentaire

Pour permettre une meilleure transition rapide au niveau de l’entrejeu, le coach “sang et or” a fait le choix de faire entrer Aholou à la place de Azouni et Ogbelu en remplacement de Ben Ali. Quant à Houssem Tka, il s’est reconverti en arrière droit à la place de Ben Ali. Et à vrai dire, Houssem Tka a si bien réussi son rôle d’arrière droit, qu’il offre désormais une nouvelle perspective pour Laurentiu Reghecampf. Il est vrai que ce n’est pas la première fois de sa carrière qu’il occupe ce poste, il faut penser plus souvent à l’option de le garder sur le terrain et le décaler, si besoin est ,sur le flanc droit de la défense pour libérer une place supplémentaire à l’entrejeu.

Bref, Laurentiu Reghecampf a fait les choix adéquats à Bamako et ses hommes ont livré le match qu’il faut.

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