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Heute — 27. Dezember 2024Haupt-Feeds

L’EST s’impose avec une formation remaniée : Ben Ali, Kada, Ben Saïd et les autres…

27. Dezember 2024 um 17:13

Malgré les absences enregistrées à cause de blessures et de suspensions et les choix faits par Laurentia Reghecampf de ménager certains joueurs-cadres en prévision du classico face au CSS, les joueurs utilisés à Gafsa ont livré le match qu’il faut, Mohamed Ben Ali, Zinedine Kada et Béchir Ben Saïd, notamment.

La Presse— Les « Sang et Or » ont remporté, dans la logique des choses, une victoire nette et facile à Gafsa. Il faut avouer que l’adversaire, même s’il a évolué à domicile, ne pouvait pas faire le poids. De plus, les joueurs d’EGSG ont porté le brassard rouge pour réclamer leur paie. Pour revenir à l’Espérance, l’effectif très bien garni à la disposition de Laurentia Reghecampf l’a aidé à faire face aux absences enregistrées. En effet, le technicien « sang et or » était privé des services de Belaïli et Bouchniba suspendus, sans compter Rodrigues blessé et Maacha resté sous observation médicale.  Ceci dit, l’entraîneur « sang et or » s’est permis le luxe de ménager certains joueurs cadres en prévision du classico face au CSS. Il a dû donc aligner des remplaçants.

Deux passes décisives

Parmi les remplaçants qui ont sorti leur match à Gafsa, l’arrière droit Mohamed Ben Ali.

Ce dernier a été l’auteur de deux passes décisives: un centrage millimétré pour Zinedine Kada qui a ouvert le score et un autre centre, toujours de la droite, pour Kebba Sowe, ce qui lui a permis de tripler la mise dans le temps additionnel. Le jeune Zinedine Kada a aussi sorti son match, rien que pour avoir débloqué la situation après près d’une demi-heure de jeu, en ouvrant le score après s’être fait oublier. Il a réussi un excellent placement qui lui a valu de se trouver au bon endroit.

Ben Saïd : une première réussie

Depuis son arrivée au Parc B en juillet dernier, Béchir Ben Saïd est resté dans l’ombre du jeune Amanallah Memmiche bien que ce dernier ait accumulé les erreurs. Cela dit, Ben Saïd, qui n’a que 32 ans, a encore de belles années devant lui. Sauf que son choix de rester dans l’ombre lui a coûté sa place de premier gardien de l’équipe nationale. Avant-hier, Béchir Ben Saïd est ressorti de l’ombre à la lumière face à EGSG. Et même si c’était un match facile pour lui, son jeu n’a pas été entaché de déchets pour un gardien de but qui n’a disputé aucun match officiel depuis près de six mois.

Les spécialistes vous le diront : contrairement aux joueurs de champ, les gardiens de but perdent rapidement leurs repères du moment où ils ne disputent pas des matchs.Puis, ce serait dommage pour l’Espérance de Tunis de ne pas profiter de l’expérience de Béchir Ben Saïd.Il y a tant de matchs à jouer cette saison et il y a de la place pour deux gardiens de but, peu importe qui sera le premier et qui sera le deuxième gardien de but. Bref, l’Espérance de Tunis a un choix bien garni qui lui permet de jouer sur plus d’un front.

Toutefois, le club semble avoir hiérarchisé ses objectifs : « Les matchs de championnat nous servent de préparation pour nos rencontres en Champions League », a déclaré l’entraîneur adjoint, Chamseddine Dhaouadi.

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Ligue 1 – Mise à jour de la 11e journée – CSS- ST (1-2) : Le réalisme des Stadistes a prévalu

27. Dezember 2024 um 10:14

Les Stadistes ont parfaitement maîtrisé les débats en première mi-temps. En deuxième période et même si les Sfaxiens sont parvenus à réduire le score, les Stadistes ont su atténuer les ardeurs de leurs adversaires.

Sans round d’observation, les Stadistes sont entrés dans le vif du sujet, en se montrant beaucoup plus entreprenants. Ils ont, d’ailleurs, annoncé la couleur dès la 8’ en menaçant pour la première fois la cage de Aymen Dahmen : Oumarou a failli ouvrir la marque quand sa frappe s’écrasa sur le poteau droit avant que le portier sfaxien n’intercepte la balle sur la ligne.

Deux minutes plus tard, Dahmen a dû s’interposer en deux temps, d’abord en repoussant le tir de Bilel Mejri avant d’intercepter la frappe de Youssouf Oumarou (10’).

La réaction des Sfaxiens ne s’est pas fait attendre : Baraket El Hmidi s’infiltra sur la gauche avant d’adresser un centrage, mais Sami Hlel, aux aguets, intercepta le ballon en pleine course (11’).

Et alors qu’on pensait que les débats allaient devenir équilibrés, la donne a changé tout juste cinq minutes après : Touré servit dans le dos des défenseurs Bilel Mejri, à son tour de servir Zied Berrima qui, d’une tête plongeante, trompa le portier sfaxien (16’).

L’ouverture du score a boosté le moral des Stadistes qui allaient dominer les débats. Ils sont parvenus, d’ailleurs, à doubler la mise vers la fin de la première mi-temps: au terme d’une jolie action collective et des passes courtes en pleine surface de réparation, Hédi Khalfa profita d’une mauvaise communication entre Dahmen et sa défense pour loger la balle dans les filets (41’).

Un penalty, et c’est tout !

De retour des vestiaires, les changements opérés par Olivier Perrin ont donné du tonus au jeu des Sfaxiens. Et à force de presser, les Sfaxiens ont fini par obtenir gain de cause quand, au milieu d’un cafouillage de la défense sur un corner, Youssouf Touré piétina un joueur adverse. Sans hésitation, l’arbitre accorda un penalty, transformé par Mohamed Absi (52’).

Et bien qu’ils aient livré une meilleure prestation sur le plan offensif, les Sfaxiens n’ont pu égaliser. Maher Kanzari, réaliste à souhait, a su jouer la carte de la prudence au bon timing, renforçant sa défense en incorporant Werghemmi puis Ouattara. le Stade Tunisien s’impose à Sfax et devient le nouveau leader.

CSS : Dahmen, Derbali, Baccar, Harabi, Nasraoui, Traoré, El Hmidi (Aydi 46’), Absi (Guesmi 70’), Winley (Kouamé 46’), Haj Hsan (Ben Ali 80’) et Habboubi (Becha 46’).
ST : Hlel, Sahraoui, Khalfa, Arous, Laifi, Touré (Ndaw 77’), Bonheur, Oumarou (Ayadi 62’), Saafi (Ouattara 90’), Berrima (Atoui 62’) et Mejri (Werghemmi 90’).

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Gestern — 26. Dezember 2024Haupt-Feeds

Mise à jour de la 11e journée : L’Espérance, puissance trois !

26. Dezember 2024 um 17:31

Même s’ils ont foulé le terrain avec une formation remaniée, les “Sang et Or” n’ont eu aucune difficulté à imposer leur loi face à une formation gafsienne qui a tenté de résister selon ses moyens. En vain.

À vrai dire, l’état piteux de la pelouse du stade Mohamed-Rouached, un véritable champ de patates, n’a pas aidé les attaquants “sang et or” à entrer de suite dans le vif du sujet. Aucune occasion digne de ce nom n’a été enregistrée durant les 27 premières minutes de jeu. Et il a fallu attendre la 28’ pour voir la donne changer sur la première occasion dangereuse du match : s’infiltrant sur la droite, Mokwana servit Ben Ali, à son tour d’adresser un centrage millimétré à Zinedine Kadra qui, sans surveillance, parvint à tromper la vigilance du portier gafsien, Rami Jeridi (28’).

Quelques minutes après, les “Sang et Or” étaient à deux doigts de doubler la mise : coup franc de la droite bien botté par Ben Ali et la reprise de la tête de Tougaï de frôler la transversale (39’).

Il n’y avait pas photo…

En deuxième mi-temps, les deux entraîneurs ont opéré, chacun de son côté, des changements. Jamel Khecharem a procédé à des changements à vocation offensive. Sauf que ses attaquants ont manqué de percussion dans les 30 derniers mètres. Quant à Laureniu Reghecampf, il a fait le choix dès le départ de ménager des joueurs-cadres et de donner du temps de jeu à ceux qui ont manqué.

Cela n’a pas empêché les “Sang et Or” de rendre la note encore plus salée. D’abord à la 59’ quand, sur un corner tiré par Azzouni, Mokwana, d’une pichenette, logea la balle dans les filets d’un Rami Jeridi impuissant (59’).

Puis dans le temps réglementaire : centrage de la droite de Ben Ali pour Kebba Sowe qui, laissé sans surveillance, s’est positionné nez à nez avec Rami Jeridi et n’avait qu’à mettre la balle dans les filets (90’+1).

Bref, il n’y avait pas photo entre un champion en titre à l’effectif bien garni et une lanterne rouge du championnat aux moyens humains beaucoup plus modestes.

EGSG : Jeridi, Horchani, Chebbi, Chayeb, Chaabani, Barbati, Traoré (Ben Mbarek 86’), Mhamedi (Taleb 67’), Jouini (Ajmi 46’), Ben Hssine (Omrani 46’) et Mbarek (Bangoura 67’).
EST : Ben Saïd, Jelassi, Tougaï, Ben Hmida (Koudhai 87’), Ben Ali, Konaté (Sasse 62’), Ogbelu (Sowe 76’), Azzouni, Derbali (Tka 62’), Mokwana et Kada (Smiri 76’).

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L’EST a eu des moments forts et d’autres faibles : Quand le physique lâche…

24. Dezember 2024 um 17:10

Au-delà du résultat du derby, trois joueurs ont vu leur physique lâcher et ont dû quitter le terrain pour cause de blessure. Il s’agit de Rodrigues, Maacha et Tougaï. Quant à Belaïli, il est sorti à cause de la fatigue.

L’infirmerie ne risque pas de désemplir de sitôt à l’Espérance à cause d’une condition physique pas vraiment au point. Hormis Elias Mokwana qui a sauté le derby à cause d’une grippe qu’il a attrapée au cours de la semaine dernière, le physique a lâché dimanche soir pour bon nombre de joueurs qui ont dû quitter le terrain en cours de jeu. Il y a eu, d’abord, Rodrigo Rodrigues remplacé après seulement 13 minutes de jeu. Puis, c’était au tour d’un autre avant, Koussay Maâcha, de quitter le terrain pour cause de blessure, remplacé par Youssef Abdelli à la 37’.

Des changements forcés, mais bien utiles… 

Ces deux changements forcés se sont avérés bien utiles. En effet, tout au long des minutes qu’ils ont jouées, Rodrigues et Maâcha étaient bien loin de leur  niveau habituel, même si le premier s’est évertué à apporter de la plus-value. En s’efforçant de vouloir jouer à son niveau, Rodrigues s’est blessé. En somme,  il n’a pas vraiment été utile à l’équipe à cause d’un physique pas vraiment au top. C’est aussi le cas de Koussay Maâcha.

Des changements forcés, certes, mais qui ont été bien utiles au moment où l’équipe était menée au score. Le revenant Yan Sasse, qui a fait son entrée à la place de Rodrigues alors qu’il devait faire son apparition en deuxième mi-temps, a débloqué la situation à la faveur d’un exploit individuel. Servi dans le dos des défenseurs, il a accéléré avant d’adresser un tir cadré à ras de terre, pour égaliser à six minutes de la fin de la période initiale. Il faut dire aussi que Youssef Abdelli, même s’il est encore loin des prouesses pour lesquelles il a été recruté, a livré une meilleure prestation que Maâcha. A défaut de mettre la balle dans la cage, il a fait l’effort de peser par moments sur la défense clubiste. Et c’est déjà quelque chose, mais c’était insuffisant pour un attaquant qui cherche toujours une place de choix dans le dispositif de jeu de l’Espérance.

Tougaï : la rage de vaincre a ses limites

Il aurait dû quitter le terrain tout juste après Rodrigues après un contact avec Garreb, mais il a tenu bon et a doublé la mise d’une jolie reprise de la tête quand il est monté plus haut que tout le monde pour un second but.  Sauf que la rage de vaincre a ses limites et Mohamed Amine Tougaï a eu le gros mérite de tenir pendant 72 minutes avant de le payer de sa santé puisqu’il a dû quitter le terrain (sensation de vertige). Un autre joueur a lâché physiquement lors du derby. Il s’agit de Youssef Belaïli qui a quitté le terrain en même temps que Tougaï et qui a cherché un carton jaune gratuit en traînant les pieds au moment de sortir. Un troisième avertissement suspensif qui lui  coûtera  le déplacement  demain à Gafsa. Ceci dit, on critique Laurentiu Reghecampf d’avoir fait sortir Belaïli, alors qu’il sait mieux que quiconque que son joueur est fatigué et qu’il l’a exploité plus qu’il ne faut.

Le technicien roumain ne peut, d’ailleurs, qu’exprimer des regrets après le coup de sifflet final : “C’est bien dommage qu’on perde deux points sur deux corners, et en plus de cela, on perd Belaïli, Tougaï et Rodrigues.”, a déclaré le coach “sang et or” lors de la conférence de presse d’après-match. Laurentiu Reghecampf ne peut que regretter les moments faibles de son équipe en deuxième mi-temps.

Car si on peut comprendre ses choix forcés, on ne peut tolérer à ses joueurs leur baisse de régime en deuxième mi-temps qui, en subissant de plein fouet le pressing mené par les Clubistes, ont encaissé logiquement le but de l’égalisation. Et pour ne pas trop blâmer les joueurs, il faut reconnaître que leur condition physique précaire a minimisé l’intensité de leur rendement. Cela dit, le préparateur physique, Léo Djaoui, a, à coup sûr, du pain sur la planche.

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Ligue 1 – 12e journée : Et de cinq pour l’ESS !

23. Dezember 2024 um 12:45

Dans un match à sens unique, les Etoilés ont imposé leur loi à leur hôte, la JSO. Une écrasante victoire, la cinquième d’affilée.

Les Etoilés ont le vent en poupe. Ils ont poursuivi, hier, leur série rose en s’imposant largement face à leur hôte, la JSO. Une écrasante victoire sur le score sans appel (3-0). Firas Chaouat et ses camarades alignent ainsi la passe de cinq au grand bonheur de leur entraîneur, Mohamed Mkacher.

Et à vrai dire, les attaquants omranais n’ont pas entrepris grand-chose pour inquiéter Anas Khardeni et sa défense. Alors que les attaquants étoilés ont multiplié les tentatives pour déverrouiller la défense omranaise. Une défense qui a beau résister une vingtaine de minutes durant, mais a dû fléchir au terme de la 24’ de jeu quand, servi à l’approche de la zone des 16 mètres, Raki Aouani n’avait qu’à contrôler la balle, s’infiltrer en pleine surface avant d’adresser un tir puissant qui laissa sans voix le portier omranais, Oussema Hanzouli.

A partir de cet instant, le match s’est joué à sens unique. Les visiteurs couraient, certes, derrière la balle, ils n’en ont pas fait bon usage. Côté étoilé, le proverbe “l’appétit vient en mangeant” s’est appliqué à la perfection.

Au terme d’une jolie action collective, Zied Boughattas doubla la mise à la 33’, permettant à son équipe de rejoindre les vestiaires pour la pause mi-temps avec un ascendant confortable.

Un avantage au score que les Etoilés ont su accentuer en deuxième mi-temps, toujours à l’issue d’une action collective bien menée de bout en bout : servi sur un plateau par Houssem Ben Ali, Firas Chaouat s’infiltra en pleine surface de réparation adverse et, d’un tir cadré, tripla la mise au profit des siens (59’).

Il n’en fallait pas plus pour que l’ESS signe une large victoire, la cinquième d’affilée. De quoi être sur un nuage.

Victoire étriquée de l’ESM

A Métlaoui, la confrontation ESM-CSS n’a livré tous ses secrets que dans le temps additionnel. Une victoire étriquée, mais précieuse des Miniers qui ont cueilli les fruits de leur abnégation dans le temps additionnel au moment où les débats s’acheminaient vers un partage des points.

Les Métlaouis ont ouvert tôt le score par le biais de Yousri Arfaoui (7’). Un ascendant qu’ils ont préservé tout au long de la période initiale avant de se faire rattraper au score au début de la seconde mi-temps quand Firas Sekkouhi égalisa pour le CSS (47’). Et il a fallu attendre le temps additionnel pour voir Ahmed Mazhoud signer le but de la victoire (90’+2).

A Tataouine, la rencontre UST-ESZ s’est soldée par un résultat nul, un but partout (1-1). Youssef Snana a ouvert le score pour l’ESZ à la 75’ avant que Zied Ounelli n’égalise pour l’UST (90’+4).

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Handisport – 2025 pointe à l’horizon : Les défis ne manqueront pas

23. Dezember 2024 um 12:15

Nos sportifs débuteront l’année 2025 par le Grand Prix de Dubaï et la clôtureront par les Championnats du monde de para-athlétisme à New Delhi.

Après avoir participé aux Jeux paralympiques de Paris à la fin de l’été dernier avec, comme à leur habitude, une belle moisson de médailles, 11 en tout : 5 or, 3 argent et 3 bronze, nos sportifs à besoins spécifiques se projettent déjà dans le nouveau cycle paralympique en prévision des prochains jeux qui se dérouleront à Los Angeles en 2028.

En ce sens, la première année du nouveau cycle, 2025, est pleine de défis à relever. Nos sportifs débuteront l’année par le Grand Prix de Dubaï et la clôtureront par les Championnats du monde de para-athlétisme à New Delhi.

Entre-temps, ils disputeront deux autres échéances de grande envergure.

Les débuts en février

Le Grand Prix de Dubaï sera la première échéance internationale à laquelle prendront part nos champions, et ce, du 10 au 13 février 2025. Deux mois après, ils mettront le cap sur Marrakech pour participer du 24 au 26 avril à la 9e édition du Meeting International « Prince Héritier Moulay El Hassan ».

Au mois de juin, précisément du 16 au 18, ils restent au pays pour participer au 19e Meeting international d’athlétisme de Tunis, une échéance parvenue au fil des années à prendre une place de choix dans l’échiquier mondial.

Le dernier rendez-vous important de l’année se déroulera à New Delhi. Il s’agit des Championnats du monde de para-athlétisme 2025 prévus au mois de novembre au stade Jawaharlal Nehru. A noter que les dates exactes pour ces Mondiaux n’ont pas été communiquées.

Bref, c’est une nouvelle année pleine de challenges que nos sportifs paralympiques, ceux issus de la nouvelle génération notamment, s’apprêtent à attaquer avec la même ambition d’exceller, à l’instar de Wajdi Boukhili, Louay Jebabli et Amanallah Tissaoui.

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