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Heute — 16. September 2025Haupt-Feeds

Le CSS ramène un point de Radès devant le CA : Soulagés, pas plus… 

16. September 2025 um 15:30

Après l’avoir échappé belle en première mi-temps et avoir été à deux doigts du naufrage, les Sfaxiens sont revenus brillamment dans le match en seconde mi- temps et raté d’un cheveu les trois points fort précieux.  

La Presse — Que retenir côté sfaxien du classico contre le CA ? Une première période à oublier avec un visage pas très rassurant, voire inquiétant. Sans le gardien Aymen Dahmen qui a fait des sauvetages miraculeux, les Sfaxiens auraient pu prendre l’eau dès la première mi-temps et le sort du match aurait été scellé prématurément. 

Pourquoi cette entrée en matière ratée ? L’entraîneur Mohamed Kouki a sa propre explication: «Nous avons réussi sur le plan défensif et nous avons pu endiguer les assauts rageurs de nos adversaires même si nous avons pris un but», a-t-il précisé. «Ce qui n’a pas marché dans notre plan de jeu, c’est notre approche offensive dans les transitions défense-attaque.

Nous n’avons pas su garder le ballon dans la deuxième moitié de terrain pour bien l’utiliser dans le périmètre de vérité de l’adversaire. Il fallait donc corriger à la mi-temps. Ça a été fait et ça a bien marché». Mais ce que ne dit pas Mohamed Kouki, c’est que ces changements auraient pu être tardifs si les hommes de Fazouzi Benzarti avaient mieux profité de leurs temps forts, de leur suprématie des quarante-cinq premières minutes de jeu. Et c’est grâce à Dahmen qu’il est rentré aux vestiaires avec le petit handicap d’un seul but. 

Travis Mutyaba,  le tournant  

Le casse-tête pour Mohamed Kouki avant ce classico concernait le choix de ses quatre joueurs étrangers de départ. Au dernier moment, ses réflexes défensifs l’ont emporté sur l’effet surprise qu’il pouvait amorcer en alignant une équipe d’attaque qui aurait mis un frein au pressing haut de Faouzi Benzarti.

Il a préféré un deuxième demi défensif central (Hasamadou Ouédraogo) à un milieu offensif créateur (Travis Mutyaba). Tout son système de jeu a été affecté au point d’être déréglé.  Une équipe, c’est un équilibre minutieux  entre la défense et l’attaque. En voyant son équipe malmenée rudement et sur le point de vaciller, Mohamed Kouki a compris son erreur de casting.

L’entrée de Travis Mutyaba et de Omar Ben Ali a complètement changé le visage de l’équipe. Et Iyed Belwafi, seul fer de lance des attaques, a trouvé une meilleure rampe de lancement: Travis Mutyaba. Huit minutes après la pause, Iyed Belwafi offre à ses partenaires un penalty décisif pour un rapide retour dans le match.

Le but inscrit par Hichem Baccar va libérer tout le groupe.  Ce fut alors un autre visage, une autre équipe, un autre match. Si les essais au but du CA n’ont pas cessé, les meilleures occasions de prendre l’avantage à la marque ont été sfaxiennes. C’est dire combien les hommes de Mohamed Kouki ont été très proches d’une victoire en laquelle ils n’avaient pas assez cru au départ.

C’est dire aussi combien Mohamed Kouki regrette de ne pas avoir été audacieux dès le coup d’envoi et d’avoir perdu une très belle opportunité de rentrer avec les trois points. Car ce point du nul, aussi précieux qu’il est, ne le fait pas trop grimper au classement avec toujours la onzième place et seulement 5 points au compteur en 5 matches.  

Gestern — 15. September 2025Haupt-Feeds

Après l’élection par l’assemblée générale de la FTF des six commissions indépendantes : Doutes et craintes…

15. September 2025 um 19:00

Ce n’est pas fort prometteur malgré tous les visages nouveaux.

La Presse — Rien que le fait qu’il a fallu attendre plus de deux heures pour atteindre  le quorum indispensable pour la tenue de l’assemblée générale consacrée à l’élection des 31 membres des Commissions indépendantes de la FTF  montre que les clubs ne croient pas trop au changement.

Un changement dans la méthode de travail des six commissions qui auront à charge de veiller sur le bon déroulement du championnat et de mettre toutes les associations-membres sur un pied d’égalité et garantir l’équité. Le fait d’avoir gardé des fidèles (Ridha Sellami et Faouzi Chamengui) à la tête des deux principales commissions (la Commission nationale d’appel et la Commission de discipline et de fair-play) témoigne bien de la volonté de Moez Nasri de garder, sous contrôle étroit, le travail de ces deux commissions indépendantes très importantes et faire en sorte qu’elles ne soient pas compromettantes.

Les nouvelles figures mises à la tête et au sein des quatre autres commissions n’ont été qu’une « manœuvre » pour donner l’impression aux clubs et à l’opinion publique que bien des choses vont changer et qu’un sang neuf a été injecté. Et pour, soi disant, faire table rase d’un passé pas très reluisant et ouvrir une nouvelle page dans l’application des textes en vigueur.

Car ces textes malgré tous les griefs qu’on leur fait et toutes les zones d’ombre qu’ils comportent, ont juste besoin d’être correctement interprétés et appliqués. Le rôle des hommes et femmes qui vont veiller à leurs destinées est donc important pour éviter ces flux de contestations après les décisions rendues par ces commissions. La fédération a envoyé aux clubs des formulaires à remplir pour désigner leurs candidats dans chacune des six commissions.

La plupart d’entre eux ont rendu une copie blanche et se sont abstenus de présenter leurs propres candidats, parce qu’ils étaient sûrs de ne pas pouvoir s’entendre sur des candidats qui feront l’unanimité. La Fédération a saisi la balle au bond pour désigner ses propres candidats.

Une seule liste pour chaque commission alors qu’elle aurait pu faire jouer la concurrence en proposant plusieurs listes et en laissant les clubs arbitrer. Au final, mis devant le fait accompli, les clubs n’ont pu que lever le bulletin vert sans trop de conviction que les nouveaux élus vont redorer le blason terni.

Alors mieux ne pas trop se bercer d’illusions et attendre de voir comment ces commissions vont s’atteler aux dures tâches qui leur seront confiées et aux dossiers qui vont être mis sur leur table pour prononcer un verdict optimiste à leur sujet.

L’USBG – se fait renverser à la fin : Un scénario fatal ! 

15. September 2025 um 10:47

Un revers cuisant et une dure leçon pour Nidhal Khiari et ses protégés qui ont payé cher leur stratégie de jeu attentiste et leur manque d’efficacité.

La Presse — Une défaite à domicile comme celle de l’USBG face au CAB suite à un but encaissé dans les dernières secondes du temps additionnel (90’ + 10) ne peut que faire mal et avoir un goût des plus amers. Elle va laisser plus que de simples traces, mais une plaie profonde qui mettra du temps pour cicatriser.

La colère des fans «Jaune et Noir» de Ben Guerdane après ce revers est légitime, mais se focaliser sur un arbitrage contestable pour expliquer le triste passage à côté de la plaque ne pourrait que camoufler les vraies raisons. On peut s’en prendre autant qu’on le voudrait à l’arbitre central, Houssem Boulaâres, qui a annulé le penalty sifflé suite à une intervention de l’arbitre de la chambre du VAR, Dorsaf Ganouati.

Penalty qui aurait pu être celui de la délivrance pour Ghazi Abderrazak et ses partenaires qui ne sont pas parvenus à trouver la faille dans une défense bizertine solide et bien regroupée devant le gardien Wassim Bougatfa.

Mauvaise gestion tactique  

Il faudra reconnaître que Nidhal Khiari a eu une très mauvaise approche de ce match en n’utilisant pas tout son potentiel offensif d’entrée. Une défense à cinq (Yeken, Touis, Abcha ,Harrsbi et Abserrazak), un milieu à quatre (Maâouani, Bida, Abdi et Amri) et une seule pointe en attaque (Hadj Khlifa) dans un match à domicile, face à un adversaire qui cherche encore la plénitude de ses moyens, ça paraît bizarre quand même.

Sur le banc des remplaçants, il y avait Idriss Mhirsi et Borhane Hakimi qui auraient pu donner plus de poids et de verve à la ligne avant, mais Nidhal Khiari ne les a sollicités qu’en seconde période quand le CAB de Chokri Béjaoui a pu éviter l’orage. Résultat: un volume de jeu très moyen, peu d’occasions nettes de but et un score de parité logique pour une équipe qui a tardé à entres dans le vif du sujet.

C’était donner à l’adversaire un cadeau inespéré pour non seulement sauvegarder le point du nul mais pour croire en une possible victoire plus que jamais à la portée. Avec une autre perche que les Cabistes ne vont pas laisser passer : un carton rouge gratuit à Idriss Mhirisi qui va réduire son équipe à dix à un moment crucial du match. Avec un autre coup de pouce qui s’est avéré fatal.

Celui d’avoir laissé dans la confusion un attaquant aussi redoutable que Ahmed Amri libre de tout marquage et de lui avoir donné l’occasion de trouver le chemin du but de Lassaâd Hammami au moment où l’arbitre Houssem Boulaâres s’apprêtait à annoncer la fin du match. Un scénario fatal pour une équipe de Ben Guerdane qui se mordra longtemps les doigts pour n’avoir pas mis tout son poids dans la balance en première mi-temps. 

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ligue 1 – 5e journée – CSS : Les soucis de Mohamed Kouki

14. September 2025 um 11:35

Un match à hauts risques pour un CSS qui n’est pas dans une période faste face à un CA mieux armé. L’entraîneur du CSS affiche des appréhensions.

La Presse — Il est certain que l’entraîneur des Sfaxiens Mohamed Kouki aurait aimé ne pas affronter le Club Africain dès la 5e journée avec tous les soucis qu’il a en ce moment dans la gestion de son effectif. Ses déclarations avant ce classico qu’il appréhende le confirment.

En parlant des absents pour ce match (Hamza Mathlouthi et Ali Mâaloul qui ne sont pas encore opérationnels, Mhadhebi, Baccar et Absi qui ont contracté de légères blessures et qui ne se sont pas bien remis de ce contretemps), il a voulu montrer qu’il n’a pas tous les atouts en main pour bien négocier ce premier virage important d’un parcours qui sera long et harassant.

Cette appréhension dans le camp des Sfaxiens s’est traduite aussi par les vives protestations adressées à la DNA à propos de la désignation de l’arbitre central du match, Sadok Selmi, et de l’arbitre de la VAR, Naim Hosni, comme pour évacuer la lourde pression qui pèse déja sur cette partie avec les «Rouge et Blanc» bien avant son commencement. Est-ce raisonnable pour autant cette crainte d’un duel dont une issue négative pour les Sfaxiens pourrait avoir de très mauvaises répercussions ? Ça peut paraître compréhensible, mais il faut avouer que c’est un peu exagéré.

Les joueurs étrangers : un vrai casse-tête  

En réalité, Mohamed Kouki a d’autres soucis à l’esprit et semble plutôt confronté à un vrai dilemme qui est celui des quatre joueurs étrangers à aligner dans le onze rentrant. Tellement sa marge de manœuvre paraît très étroite jusqu’à devenir un vrai casse-tête. S’il obéit à ses réflexes défensifs pour mieux assurer sa base arrière, trois des quatre étrangers sont indispensables dans la zone de sécurité: l’arrière central Kévin Mondeka et les deux demis axiaux Ammar Tayfour et Hasamadou Ouédraogo.

Un seul joker lui resterait dans ce cas de figure parmi les six étrangers qui seront inscrits sur la feuille de match pour bien muscler et étoffer son compartiment offensif. Travis Mutyaba, Willy Onana et Emmanuel Ogbole seront trois à se disputer une place de titulaire dans la ligne d’attaque et ça ne va pas être facile pour Mohamed Kouki d’arbitrer et de trancher entre eux.

Il ne lui reste comme plan de rechange qu’à puiser dans le réservoir des joueurs tunisiens. En cas de l’option pour le 3- 5 – 2, il ne disposera que du duo Belwafi – Ben Ali comme fers de lance et ce serait très insuffisant comme cartes à jouer pour une bonne animation offensive.

 A moins de sacrifier Firas Sekkouhi au milieu,  ce qui est autant improbable qu’insensé pour un entrejeu qui devra être bien garni et équilibré. Des contraintes qui forceront sans doute Mohamed Kouki à observer un long round d’observation, à se livrer à un petit jeu au chat et à la souris avec Faouzi Benzarti avant de donner le ton à la partie. Ce classico assez prématuré pour un technicien dans la tourmente, pour ne pas dire aux abois, qui est encore à la recherche de son Onze type.

ligue 1 ­- 5e journée – ESZ : La victoire pour rester en première ligne

14. September 2025 um 11:17

Les « Sang et Or » de Zarzis aspirent à briguer les trois points contre le Carrelage pour rester seuls en tête du classement.

La Presse — Le match des protégés de l’entraîneur Anis Boujelbène contre l’USBG à Zarzis a été un coup d’arrêt brutal qui n’a pas été apprécié. Ce coup de frein brusque, au moment où les «Sang et Or» de Zarzis semblaient devant une très belle opportunité de prendre le large et de réaliser quatre succès consécutifs historiques, a fait revenir Anis Boujelbène sur terre, lui qui avait commencé à caresser les rêves les plus fous et à nourrir des espoirs qui peuvent paraître insensés pour une  équipe qui a perdu ses meilleurs éléments et ne les a pas remplacés.

« C’était douloureux comme semi faux- pas, mais c’est utile pour revoir quelques trucs à rectifier, notamment la nécessité de ne plus s’appuyer sur un système de jeu rigide et de chercher plus de flexibilité  et de variété dans les options et les choix tactiques», a-t-il avoué avec encore un brin de déception. Signe qui ne trompe pas que dans l’autre derby du Sud-Est, cette fois contre l’ASG, de grands changements sont pressentis. 

Rahmani – Ogoh , un duo de choc 

Anis Boujelbène a choisi durant la petite trêve un adversaire de second plan pour jouer deux matches amicaux en vue de tester une autre approche de jeu. Deux victoires sur l’UST par 4 buts à 0 et par 1 but à 0 lui ont donné une petite satisfaction surtout au niveau de la finition avec un quadruplé de Noêmen Rahmani dans la première période du premier match contre les Tatatouinis.

Stanley Ogoh a, lui, inscrit le but du succès du deuxième match. L’association du duo Rahmani-Ogoh comme paire d’attaque est devenue un atout maître dans tout schéma de jeu dans les matches à domicile comme lors des parties loin des bases. Plus question donc pour Anis Boujelbène de tergiverser et de philosopher avec un jeu en contre qui repose sur une seule pointe. 

«Quand on possède de tels joueurs avec un grand flair du but, opportunistes et très efficaces même sur de petites occasions, on ne peut pas continuer à gâcher d’aussi belles munitions», a-t-il fini par reconnaître. Tout donc va dans le sens d’une ligne d’attaque renforcée, avec un bloc plus haut que d’habitude et un pressing à partir du milieu de terrain pour étouffer la Zliza dans son périmètre de vérité et la faire reculer dans ses derniers retranchements.

«Pour renouer avec la victoire et ne pas courir le risque de perdre notre fauteuil de leader, nous n’avons pas d’autre choix que de jouer pour nous octroyer les trois points», a indiqué Anis Boujelbène, pressé qu’il est de gommer le fâcheux revers et l’accident de parcours devant l’USBG. 

LIGUE 1 – championnat national (5e journée) – USBG : La victoire pour se relancer

13. September 2025 um 12:27

Le match nul contre l’ESZ à Zarzis a donné des ailes à Nidhal Khiari et son équipe pour faire une rapide remontée au classement.

La Presse —  En quatre matches, l’USBG a récolté 5 points avec un succès, deux matches nuls et une défaite. «Trop maigre comme premier bilan pour parler d’un bon démarrage de la saison», reconnaît l’entraîneur Nidhal Khiari. «Mais pas très frustrant vu les conditions contraignantes de notre préparation de l’intersaison», s’empresse-t-il d’ajouter. Le dernier match contre le leader, l’ESZ , a donné plus d’un signe encourageant.

Un nul amplement mérité et même une victoire ratée d’un cheveu en terre adverse. « L’équipe est en train d’épouser une bonne courbe ascendante et nous avons pu pallier nos lacunes sur plus d’un plan », précise-t-il. «Physiquement, nous sommes bien en jambes et nous pouvons jouer sur un bon rythme en dosant nos efforts.

Cette fraîcheur physique a failli porter ses fruits en seconde mi-temps contre Zarzis qui n’est pas parvenue à endiguer nos assauts rageurs des vingt dernières minutes. Il nous a manqué juste de la lucidité devant les buts et plus de variété dans les échanges. S’il y avait eu un autre joueur aussi opportuniste et aussi précis dans la touche finale que Hadj Khlifa, nous aurions pu rentrer avec les trois points du succès», a-t-il enchaîné.

Une trêve au bon moment  

Nidhal Khiari et sa bande ont profité des 10 jours de trêve pour se réoxygéner à Djerba avec un stage de 5 jours.

Le match d’aujourd’hui contre le CAB est pour eux une belle opportunité à ne pas louper pour signer le deuxième succès de la saison et grimper vers le milieu du tableau.

«Les trois points nous sont indispensables pour se relancer dans la compétition et retrouver l’appétit et le goût des victoires. Surtout à domicile où nous n’avons pas droit à l’erreur devant un public qui nous soutient avec beaucoup de ferveur. On doit lui prouver qu’on est bien prêts pour réaliser une saison tranquille,  loin des frayeurs et du spectre de la relégation», conclut Nidhal Khiari. Tous les indices sont rassurants pour lui avec un effectif au grand complet même si côté joueurs étrangers, seul le demi défensif axial Juniors Vida est pressenti dans le onze de départ 

Assemblée générale pour l’élection des Commissions indépendantes de la FTF : Nouveaux visages pour redémarrer

12. September 2025 um 18:50

A part quelques noms conservés, Moez Nasri et son bureau fédéral proposent de nouveaux noms pour gérer ces différentes commissions sensibles.

La Presse — Le bureau fédéral a bien fait de reporter l’assemblée générale consacrée à l’élection des présidents et des membres des diverses commissions indépendantes.

Après la qualification de l’équipe de Tunisie au Mondial américain et le gain financier colossal que cette qualification va engendrer, c’est dans une ambiance de fête que cette assemblée va se dérouler. Les associations membres ne vont donc pas rater ce rendez-vous et l’on s’attend à ce que leurs représentants soient nombreux à venir entériner par leur vote les listes des six commissions indépendantes que le bureau fédéral leur aura proposées.

L’opération va être, à coup sûr, réglée durant la matinée  en quelques heures, sans débat sur le bien-fondé de ces choix et sans réserves sur les candidats. Seules deux commissions sur six vont être présidées par des « anciens » qui ne sont pas à leur premier mandat. Ridha Sellami, fidèle de première heure au président de la FTF Moez Nasri, est proposé président de la Commission nationale d’appel avec cinq nouvelles figures : Samir Boujeddi comme bras droit et premier vice-président, Lotfi Tlissi, Sami Mohsni, Wajdi Chater et Atef Ansari comme membres.

Un autre « ancien de la maison », en l’occurrence Faouzi Chamengui, a été choisi pour le fauteuil de président de la Commission de discipline et de fair-play avec du sang neuf dans la composition des membres. Ramzi Ben Ach Billah comme premier adjoint, Amor Anis Zermati, Aymen Abdeddayem et Mariem Ellafi comme membres.

La Commission électorale a été entièrement réformée avec Hamadi Ben Jaza comme président, un autre Ben Ach Billah (Riadh) comme vice-président, Moez Ben Nasr, Mohamed Ouertatani et Nourhen Akremi en tant que membres. La Commission  électorale d’appel est une nouveauté créée pour étudier les recours concernant les processus électoraux.

A sa tête, une nouvelle figure : Béchir Ghachem. Limayem Achouri est deuxième de la liste en compagnie de Bilel Marzouk, Rim Ghaîgi et Mohamed Gueblaoui. La Commission de gouvernance et d’audit a été confiée à une équipe new-look avec Lassaâd Wali comme président, Zied Fatnassi en tant que vice-président, Hamdi Lejmi, Skander Arfaoui et Mohamed Zied Hadhri comme membres.

Enfin, la fameuse Commission d’éthique, qui aura du pain sur la planche avec une équipe nouvelle, elle aussi, est composée de Sami Smadehi comme président, Zine El Abidine Oueslati, l’ex-secrétaire général du Club Africain durant des années, comme vice-président, Nabil Mouhi, Mohamed Hassani et Makrem Abdellatif en tant que membres.

Selon quels critères ces choix ont été faits ? Pourquoi la présence féminine, avec trois femmes seulement (Mariem Ellafi, Nourhen Akremi, Rim Ghaîgi) contre vingt-huit hommes, est-elle si faible? Questions auxquelles doit répondre Moez Nasri pour convaincre et inciter la majorité des votants à lever le bulletin vert et entériner ces choix «parachutés» après une timide concertation avec les clubs.

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