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Tebboune clarifie : L’armée algérienne n’interviendra jamais sur le territoire tunisien !

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune est intervenu, ce mardi 30 décembre, pour clarifier la polémique entourant un prétendu accord militaire entre la Tunisie et l’Algérie, après la diffusion d’un document présenté comme authentique sur certaines plateformes et dans des médias d’opposition tunisiens.

S’exprimant lors de son discours annuel devant le Parlement algérien réuni en congrès au Palais des Nations à Club des Pins et cité par plusieurs médias locaux, le chef de l’État algérien a tenu à réaffirmer la solidité des relations algéro-tunisiennes et à rejeter toute accusation d’ingérence dans les affaires intérieures de la Tunisie.

Dès l’entame de son intervention, Abdelmadjid Tebboune a insisté sur le positionnement diplomatique de la Tunisie, déclarant que le pays « ne fait pas partie des normalisateurs », en allusion aux accords de normalisation avec Israël. Sans citer de pays nommément, il a évoqué l’existence de parties cherchant, selon lui, à nuire aux relations entre Alger et Tunis.

Le président algérien a également dénoncé ce qu’il a qualifié de tentatives de déstabilisation visant la Tunisie et l’amitié historique entre les deux pays. « Ils essaient de nous diviser et de semer la zizanie », a-t-il affirmé, soulignant que la sécurité de la Tunisie et celle de l’Algérie sont étroitement liées.

L’Armée nationale populaire algérienne n’est jamais intervenue

Face aux accusations relayées autour du faux document, Abdelmadjid Tebboune a été catégorique. Il a assuré que l’Armée nationale populaire algérienne n’est jamais intervenue et n’interviendra jamais sur le territoire tunisien. Il a également déclaré ne s’être jamais immiscé dans les affaires internes de la Tunisie, affirmant le respect d’Alger pour les choix et la direction tunisienne.

Le document controversé évoquait notamment la possibilité pour l’armée algérienne de pénétrer jusqu’à cinquante kilomètres à l’intérieur du territoire tunisien pour des opérations antiterroristes, allant jusqu’à mentionner un rôle dans le « rétablissement de la stabilité institutionnelle » en cas de troubles. Des dispositions que Tunis comme Alger ont formellement démenties.

Le 18 décembre dernier, le président Kaïs Saïed avait déjà rejeté le contenu de ce document, affirmant qu’il s’agissait d’une manipulation visant à semer le doute et à alimenter des tensions artificielles.

Pour rappel, la Tunisie et l’Algérie ont signé, le 7 octobre, un accord de coopération dans le domaine de la défense, qui constitue une mise à jour de l’accord conclu en 2001. Selon les autorités des deux pays, ce cadre vise essentiellement le renforcement de la coordination sécuritaire face aux menaces communes, dans le strict respect de la souveraineté nationale de chaque État.

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Tunisie – Huile d’olive : La production attend encore la cueillette

La campagne de récolte des olives avance à un rythme soutenu. Selon le ministre du Commerce, Samir Abid, le taux de progression de la cueillette pour la saison en cours a atteint environ 30 %. Une déclaration faite mardi matin à Sfax, lors de l’ouverture de la conférence régionale consacrée aux perspectives d’exportation de l’huile d’olive pour les gouvernorats du quatrième district.

Le ministre a souligné que la production de cette saison est qualifiée de « record », permettant à la Tunisie de renouer avec la compétition pour la première place mondiale en matière d’exportation d’huile d’olive. Cette performance marque, selon lui, un retour progressif du pays sur le devant de la scène internationale, après plusieurs saisons marquées par des fluctuations de rendement.

Malgré cette dynamique positive, des contraintes structurelles continuent de freiner l’exportation dans certaines régions. Le président de la Chambre de commerce et d’industrie du Sud-Ouest, Youssef Salem, a indiqué que les gouvernorats de Gafsa et de Sidi Bouzid font face à plusieurs difficultés, en dépit de la qualité reconnue du produit. Parmi les principaux obstacles figure la question du stockage, qui repose encore largement sur des méthodes traditionnelles peu adaptées aux exigences des marchés internationaux.

Environ 50 millions d’arbres à l’horizon 2040

Youssef Salem a également mis en avant l’essor remarquable de la culture de l’olivier dans ces deux régions. Les dernières statistiques disponibles pour l’année 2025 font état de 13 millions d’oliviers à Gafsa et de 23 millions à Sidi Bouzid. Les projections tablent sur un total d’environ 50 millions d’arbres à l’horizon 2040 pour l’ensemble des deux gouvernorats.

Ces chiffres traduisent le potentiel considérable de la filière oléicole dans le centre et le sud du pays, tout en posant la question de l’accompagnement logistique, industriel et commercial nécessaire pour transformer cette croissance agricole en véritable levier de développement économique et d’exportation durable.

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CAN 2025 : La Tunisie concède le nul face à la Tanzanie mais qualifiée pour les huitièmes

La sélection tunisienne a conclu la phase de groupes de la Coupe d’Afrique des nations 2025 sur un match nul face à la Tanzanie (1–1), un résultat suffisant pour valider son billet pour les huitièmes de finale.

Les Aigles de Carthage ont ouvert le score grâce à Ismaël Gharbi, qui a transformé un penalty en première période, récompensant une entame globalement maîtrisée.

Toutefois, la Tanzanie est parvenue à revenir au score par Feisal Salum, profitant d’un moment d’inattention défensive pour relancer la rencontre.

Malgré une possession favorable, la Tunisie n’a pas réussi à reprendre l’avantage, terminant la rencontre sur un score de parité qui laisse un goût d’inachevé mais assure l’essentiel.

Le Mali nous attend

Grâce à ce résultat, la Tunisie termine la phase de groupes en deuxième position et affrontera le Mali en huitièmes de finale, dans un choc samedi prochain.

Le staff technique devra notamment corriger les lacunes observées dans l’animation offensive et la gestion des temps faibles, afin d’aborder ce rendez-vous décisif avec davantage de rigueur et d’efficacité. Face au Mali, la Tunisie n’aura plus droit à l’erreur si elle veut poursuivre son aventure continentale.

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Médecine en prime time : Samir Elwafi dans le viseur de l’Ordre !

À force d’inviter des médecins et de traiter de sujets de santé dans ses émissions, Samir Elwafi se retrouve au cœur d’une crispation avec l’Ordre des médecins, qui resserre le contrôle sur les interventions médiatiques des praticiens.


Le Conseil national de l’Ordre des médecins a rappelé, ce mardi, l’obligation pour les praticiens d’obtenir une autorisation préalable avant toute participation aux médias. Une mise au point qui intervient dans un contexte de tension croissante entre l’Ordre et certaines émissions très suivies, au premier rang desquelles celles animées par Samir Elwafi.

L’ordre a insisté sur le caractère impératif de cette procédure, présentée comme une garantie du respect des règles professionnelles et déontologiques. Les médecins souhaitant intervenir dans les médias audiovisuels, écrits ou numériques sont désormais tenus de déposer une demande officielle via l’espace dédié sur le site électronique de l’Ordre, afin qu’elle soit examinée avant toute autorisation formelle.

Le communiqué précise également que le numéro d’autorisation délivré doit obligatoirement être mentionné dans tout contenu diffusé, y compris sur les réseaux sociaux. L’objectif affiché est clair : encadrer strictement les prises de parole publiques des médecins et prévenir toute dérive susceptible de porter atteinte à l’éthique de la profession.

Un programme consacré à la psychiatrie

Derrière cette décision, difficile de ne pas voir une réaction directe à certaines émissions diffusées récemment sur des chaînes privées, et notamment à celles animées par Samir Elwafi, qui invite régulièrement des médecins ou aborde des questions médicales sensibles. Dimanche dernier, un programme consacré à la psychiatrie a particulièrement suscité l’ire de l’Ordre, qui estime que le sujet a été traité d’une manière contraire aux valeurs professionnelles et éthiques de la médecine.

Sans être cité nommément, l’animateur vedette semble ainsi devenir la bête noire de l’Ordre des médecins. Ses émissions, connues pour leur ton direct et leur forte audience, sont régulièrement accusées de brouiller la frontière entre information, spectacle et expertise médicale, en exposant des praticiens à des débats jugés parfois simplificateurs ou sensationnalistes.

Cette sortie ferme de l’Ordre relance un débat récurrent en Tunisie : jusqu’où peut aller la liberté d’expression des médecins dans l’espace médiatique, à l’heure de la multiplication des plateaux télévisés et des contenus numériques dédiés à la santé ? Entre impératif d’information du public et responsabilité professionnelle, la ligne de crête apparaît plus étroite que jamais, surtout lorsque la télévision transforme la médecine en sujet de prime time.

Lire aussi : L’Ordre des médecins impose une autorisation préalable pour toute intervention médiatique

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Tunisie : Trois écoles de terrain pour valoriser les semences locales

La Banque nationale des gènes a annoncé l’installation de trois écoles de terrain dans les gouvernorats de Sousse (M’saken), Sfax (El Hzeg) et Bizerte (Frétissa), en partenariat avec l’Association tunisienne pour l’agriculture durable et avec le financement de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Ces écoles de terrain, dédiées aux semences et à la génétique agricole, se situent au cœur de parcelles agricoles et offrent un cadre de formation pratique. Les agriculteurs, étudiants et techniciens y découvrent les caractéristiques des différentes variétés végétales et apprennent les principes de base de la génétique appliquée à l’agriculture, notamment la résistance, la productivité et la qualité des cultures.

Cette initiative repose sur une approche participative visant à favoriser le partage des connaissances et des expériences entre les acteurs du terrain. Elle contribue au renforcement des capacités locales en matière de conservation et de valorisation des semences traditionnelles, tout en promouvant des pratiques agricoles durables respectueuses des équilibres environnementaux. Ces actions permettent également d’améliorer la productivité, de renforcer la résilience des systèmes agricoles face aux changements climatiques et de soutenir la sécurité alimentaire.

Identifier les maladies et les ravageurs

Les participants apprendront à sélectionner et améliorer localement les semences, à identifier les maladies et les ravageurs et à comprendre leur impact sur les différentes variétés. Cette démarche s’inscrit dans le cadre du programme « Renforcement de la biodiversité agricole par la multiplication des semences locales pour les céréales et les fourrages et l’adoption de pratiques agricoles écologiques ».

Selon le National Gene Bank, les premières sessions de formation débuteront en janvier et se poursuivront régulièrement tout au long de la saison agricole. L’institution réaffirme ainsi son engagement à soutenir les agriculteurs et à préserver le patrimoine génétique local, garantissant sa continuité dans les systèmes agricoles et la protection du capital génétique national.

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Hamas confirme la mort de son porte-parole militaire Abu Oubeida

Le mouvement palestinien de résistance Hamas a annoncé, lundi 29 décembre 2025, le décès d’Abu Obeida, porte-parole de sa branche armée, les Brigades Ezzedine Al-Qassam. L’annonce a été faite à travers un communiqué officiel diffusé par les Brigades, mettant fin à plusieurs mois de spéculations autour de son sort.

Selon le texte publié, Abu Obeida, de son vrai nom Hudhayfah Samir al-Kahlout, est tombé en martyr lors d’une frappe israélienne menée dans la bande de Gaza au cours de l’été 2025. Le communiqué précise que sa mort remonte à plusieurs mois, sans fournir davantage de détails sur les circonstances exactes de l’opération.

Cette confirmation intervient alors que l’armée israélienne avait, à plusieurs reprises, affirmé avoir ciblé et éliminé des responsables de premier plan du Hamas, dont son porte-parole militaire, sans que le mouvement palestinien ne confirme officiellement ces déclarations à l’époque.

Figure centrale de la communication militaire du Hamas depuis le début de la guerre à Gaza, Abu Obeida s’était imposé comme l’un des visages les plus médiatisés du conflit, à travers des messages vidéo et audio diffusés régulièrement. Son identité réelle était restée longtemps inconnue du grand public, le mouvement ayant toujours veillé à préserver le caractère symbolique et clandestin de cette fonction.

Mort de plusieurs autres hauts responsables

Dans le même communiqué, les Brigades Ezzedine Al-Qassam ont également annoncé la mort de plusieurs autres hauts responsables, dont Mohammed Sinwar, présenté comme l’un des dirigeants du Hamas dans la bande de Gaza, ainsi que d’autres commandants militaires.

Cette annonce s’inscrit dans un contexte de poursuite des hostilités à Gaza, marqué par de lourdes pertes humaines et une intensification de la guerre de communication entre les différentes parties au conflit. Elle pourrait avoir un impact symbolique important sur le mouvement, sans que ses implications opérationnelles immédiates ne soient, à ce stade, clairement établies.

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Tunisie – Grippe : un nouveau variant alimente une vague de contagion

Une nouvelle vague de contagion semble gagner du terrain en Tunisie à la faveur de la propagation rapide d’un nouveau variant grippal. Les autorités sanitaires tirent la sonnette d’alarme et appellent à renforcer les mesures de prévention, notamment en cette période marquée par les rassemblements liés aux célébrations de fin d’année.

Le directeur général du Centre de vigilance pharmaceutique au ministère de la Santé, le docteur Riadh Daghfous, a confirmé lundi 29 décembre 2025 la circulation active du nouveau variant « K », issu de la souche H3N2. Selon lui, ce variant se distingue par une capacité de transmission élevée, favorisant une hausse notable des cas d’infection à travers plusieurs régions du pays.

Intervenant sur les ondes de la radio nationale, le responsable sanitaire a toutefois tenu à nuancer, précisant que ce variant ne présente pas, à ce stade, un niveau de gravité élevé. Cette évolution épidémiologique impose néanmoins, selon lui, une vigilance accrue afin d’éviter une pression supplémentaire sur le système de santé.

Nécessité de respecter rigoureusement les gestes de prévention

À l’approche des festivités du Nouvel An, Riadh Daghfous a insisté sur la nécessité de respecter rigoureusement les gestes de prévention. Il a notamment recommandé une bonne aération des espaces fermés, le lavage régulier des mains ainsi que le port du masque dans les lieux bondés, autant de mesures jugées essentielles pour freiner la chaîne de transmission.

Le responsable a également rappelé l’importance de la vaccination contre la grippe saisonnière, en particulier pour les personnes âgées, celles souffrant de maladies chroniques et les femmes enceintes. Il a assuré que le vaccin actuellement disponible conserve son efficacité face au nouveau variant, appelant les populations concernées à se faire vacciner dans les plus brefs délais.

Dans un contexte marqué par une recrudescence des infections respiratoires, les autorités sanitaires misent sur la prévention et la vaccination pour contenir cette vague de contagion et limiter ses répercussions sur la santé publique.

Lire aussi : Tunisie – Virus respiratoires : Les précautions à adopter…

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Deglet Nour : La Tunisie pèse 30 % à l’échelle mondiale

La Tunisie confirme la place stratégique de son agriculture sur l’échiquier international, portée notamment par les filières de l’olive et de la datte. Lors des travaux du Forum d’affaires saoudo-tunisien, la directrice générale de l’Agence de promotion des investissements agricoles (APIA), Engi Degui, a mis en lumière le poids économique de ces deux secteurs et les opportunités qu’ils offrent aux investisseurs.

Selon les chiffres présentés, 40 % de la superficie agricole exploitée en Tunisie est consacrée à l’olivier. À l’échelle mondiale, le pays contribue à hauteur de 30 % à la production de dattes de variété Deglet Nour, confirmant son leadership dans ce segment à forte valeur ajoutée. La Tunisie se positionne par ailleurs comme le deuxième exportateur d’olives après l’Union européenne et occupe le quatrième rang mondial en matière de production d’huile d’olive.

La responsable a précisé que 70 % des dattes tunisiennes produites sont de la variété Deglet Nour et que plus de 30 % de la production nationale est destinée à l’exportation. Ces performances renforcent l’attractivité du secteur agricole, notamment dans un contexte de recherche de partenariats durables et de montée en gamme des produits.

S’agissant des perspectives d’investissement, Engi Degui a souligné que les opportunités les plus prometteuses dans la filière oléicole concernent le conditionnement de l’huile d’olive, l’extraction et l’emballage de l’huile d’olive biologique, ainsi que la valorisation des sous-produits et déchets issus de la production. Cette approche s’inscrit dans une logique d’économie circulaire et de durabilité.

Des primes pouvant dépasser 50 à 60 % pour certains projets

La directrice générale de l’APIA a également présenté les principaux avantages prévus par le cadre légal de l’investissement en Tunisie. Le Code de l’investissement prévoit des incitations financières et fiscales significatives, avec des primes pouvant dépasser 50 à 60 % pour certains projets. Ces incitations ciblent en priorité les investissements axés sur la durabilité, la gestion rationnelle des ressources naturelles, l’exploitation des énergies renouvelables, l’irrigation intelligente, les solutions innovantes proposées par les start-up, ainsi que l’agriculture écologique.

Au-delà de l’agriculture terrestre, les opportunités d’investissement dans le secteur de la pêche maritime ont aussi été mises en avant, notamment dans les activités de transformation et de mise en conserve du thon et des crustacés, des filières à fort potentiel d’exportation.

Engi Degui a enfin insisté sur le fait que le cadre juridique tunisien vise à encourager des investissements agricoles durables, intégrant des pratiques responsables en matière de gestion des ressources. Elle a rappelé, à ce titre, que l’Agence de promotion des investissements agricoles constitue un acteur clé de l’écosystème, récemment accrédité par le Fonds vert pour le climat, un atout supplémentaire pour attirer des financements internationaux orientés vers la transition écologique.

Lire aussi : Tunisie : Vers une récolte exceptionnelle d’huile d’olive

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Sousse : Le propriétaire d’un restaurant huppé arrêté pour vente de poissons avariés

La justice tunisienne a autorisé la détention d’un restaurateur et distributeur de poissons à Sousse, après la découverte de quantités importantes de poissons et fruits de mer jugés impropres à la consommation, a indiqué une source proche de l’affaire à Mosaïque.

Selon les informations disponibles, les services de l’Administration centrale des enquêtes économiques et financières ont été alertés dans le cadre de la lutte contre les infractions commerciales et économiques, notamment la spéculation et le stockage illégal de denrées, à l’approche de la nouvelle année administrative.

Les investigations ont révélé que le propriétaire d’un restaurant haut de gamme spécialisé dans les produits de la mer, possédant également un réseau de distribution à Sousse, Moknine et Sidi Bouzid, stockait ses marchandises dans des chambres froides non autorisées, ne respectant pas les normes d’hygiène et de sécurité sanitaire.

Descente sur place

En coordination avec le ministère du Commerce et l’Autorité nationale de sécurité sanitaire, les équipes ont procédé à une descente sur place, découvrant un stockage anarchique et non agréé. Les analyses réalisées par l’Autorité nationale de sécurité sanitaire ont confirmé que les poissons et fruits de mer saisis étaient non comestibles.

La personne concernée a été placée en détention sur instruction du parquet, pour « stockage et vente de produits destinés à la consommation sans respect des normes sanitaires et commercialisation à des prix non légaux ».

Cette affaire souligne la vigilance accrue des autorités tunisiennes face aux pratiques commerciales illégales dans le secteur alimentaire, notamment à l’approche des périodes de forte demande, et illustre la coopération entre la police, le ministère du Commerce et les instances sanitaires pour protéger la santé publique.

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Brigitte Bardot, icône du cinéma, est décédée à l’âge de 91 ans

Brigitte Bardot, l’une des plus grandes icônes du cinéma français et figure emblématique de la défense des animaux, est décédée ce dimanche à l’âge de 91 ans, a annoncé la Fondation Brigitte Bardot.

Née le 28 septembre 1934 à Paris, Brigitte Bardot s’est imposée dans les années 1950 et 1960 comme un symbole mondial de la beauté et de la liberté féminine grâce à des films emblématiques tels que Et Dieu… créa la femme (1956) ou Le Mépris (1963). Son charisme et son style ont marqué durablement la culture populaire, faisant d’elle une star internationale.

Après avoir quitté le cinéma au début des années 1970, Bardot a consacré sa vie à la protection des animaux, créant en 1986 la Fondation Brigitte Bardot, qui œuvre encore aujourd’hui pour la défense des droits des animaux à travers le monde.

Les réseaux sociaux et les médias français se sont rapidement mobilisés pour rendre hommage à cette figure majeure du XXᵉ siècle. De nombreuses personnalités du cinéma, de la culture et de la cause animale ont exprimé leur émotion et leur gratitude pour l’héritage laissé par Bardot.

Héritage culturel et humanitaire unique

Des rumeurs sur son état de santé avaient circulé ces derniers mois, mais l’actrice avait démenti en octobre 2025, assurant qu’elle se portait relativement bien malgré quelques problèmes de santé.

Brigitte Bardot laisse derrière elle un héritage culturel et humanitaire unique, ayant marqué non seulement l’histoire du cinéma, mais également celle de la lutte pour le bien-être animal.

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Pétition en France pour alerter contre la situation « catastrophique » du zoo de Gafsa

La situation du jardin zoologique de Gafsa suscite une vive inquiétude, après la publication d’un rapport sur un site amateur français évoquant un état jugé « catastrophique » des animaux hébergés sur le site. Le document, rédigé par un militant écologiste, dresse un tableau alarmant des conditions de vie au sein de cette structure publique tunisienne.

Selon le rapport, plusieurs animaux apparaissent amaigris, souffrant de la faim, de la soif et d’un manque total de soins vétérinaires. L’auteur dénonce une absence manifeste de suivi et de prise en charge, affirmant que certains animaux seraient livrés à eux-mêmes, dans un environnement dégradé et inadapté à leurs besoins biologiques. Les primates, en particulier, seraient touchés par des troubles assimilés à des formes de détresse psychologique, liés à l’isolement et au confinement prolongé.

Le rapport n’hésite pas à employer un ton sévère pour qualifier la situation, évoquant des créatures privées de leur environnement naturel et de leur liberté. Il parle d’une réalité « choquante » et « intolérable », mettant en cause la responsabilité humaine dans la souffrance infligée à ces animaux.

Face à ce constat, un appel urgent a été lancé pour sauver les animaux du zoo de Gafsa. Le rapport appelle à une mobilisation collective à travers la diffusion d’une pétition et le contact avec de grandes organisations internationales de protection animale, afin d’exercer une pression suffisante pour provoquer une intervention rapide.

Nécessité d’agir avant qu’il ne soit trop tard

« Nous ne pouvons pas attendre que les responsables de ce lieu changent d’eux-mêmes le destin de ces animaux », souligne le texte, insistant sur la nécessité d’agir avant qu’il ne soit trop tard, notamment pour les espèces les plus vulnérables. Les animaux sont décrits comme des « victimes silencieuses », incapables de faire entendre leur souffrance.

Cette mobilisation semble déjà trouver un écho. Près de 14000 signatures ont été recueillies en ligne en faveur d’une pétition pour une intervention urgente pour sauver le jardin zoologique et améliorer les conditions de vie des animaux qui y sont détenus.

Parallèlement, plusieurs vidéos circulant récemment sur les réseaux sociaux montrent des animaux dans un état préoccupant à l’intérieur du zoo, alimentant l’indignation et relançant le débat sur la gestion des parcs zoologiques en Tunisie, leur conformité aux normes internationales et la responsabilité des autorités locales.

Cette affaire remet sur le devant de la scène la question de la protection animale et de la nécessité d’un contrôle rigoureux des structures censées garantir le bien-être des espèces sauvages, dans un pays où ce sujet reste encore largement marginal dans le débat public.

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Après la défaite contre le Nigeria, les plateaux télévisés impitoyables avec Sami Trabelsi

La défaite de la sélection tunisienne face au Nigeria a provoqué une vive réaction dans le paysage sportif national, notamment les plateaux télévisés. Au-delà du résultat, ce sont surtout les choix tactiques et la gestion du match par le sélectionneur national, Sami Trabelsi, qui se retrouvent au centre d’une tempête de critiques émanant aussi bien des observateurs que des supporters.

Dès le coup d’envoi, la composition de départ a suscité l’incompréhension. L’option d’un schéma jugé prudent, combinée à l’alignement de joueurs en manque de rythme ou peu complémentaires, a rapidement montré ses limites face à une équipe nigériane athlétique, organisée et capable d’imposer un pressing haut. La Tunisie a peiné à construire le jeu, affichant des difficultés récurrentes à la relance et un déficit flagrant dans la transition offensive.

CAN 2025 : La Tunisie dos au mur face à la Tanzanie

La gestion du temps fort nigérian a également été pointée du doigt. Après l’ouverture du score adverse, l’équipe nationale a semblé manquer de réaction tactique immédiate. Les changements opérés par le staff technique sont intervenus tardivement, sans véritable rééquilibrage du milieu de terrain ni ajustement clair pour contenir les projections rapides des Super Eagles. Pour de nombreux analystes, cette inertie a facilité la maîtrise du match par le Nigeria.

CAN 2025 : Sur quelles chaînes suivre Tunisie-Tanzanie

Sur le plan individuel, certains choix continuent d’alimenter la polémique. L’absence ou la mise sur le banc de joueurs jugés plus en forme, ainsi que la persistance à faire confiance à des profils en difficulté lors des dernières sorties, renforcent le sentiment d’un manque de lecture objective de l’état du groupe. Cette situation relance le débat sur la concurrence au sein de l’effectif et sur les critères réels de sélection.

Manque d’audace tactique

Sur les réseaux sociaux, la réaction a été immédiate et virulente. Les critiques visant Sami Trabelsi se sont multipliées, accusant le sélectionneur d’un manque d’audace tactique et d’une gestion approximative des temps faibles. Si certains appellent à la patience et rappellent le contexte de reconstruction de l’équipe nationale, d’autres estiment que cette défaite met en lumière des limites structurelles dans l’approche technique actuelle.

En conférence d’après-match, Sami Trabelsi a défendu ses choix, évoquant des erreurs individuelles et le manque d’efficacité offensive. Une justification qui peine toutefois à convaincre une opinion publique focalisée sur l’absence de plan de jeu lisible et sur l’incapacité de l’équipe à s’adapter au scénario de la rencontre.

CAN 2025 : Le onze attendu de la Tunisie face à la Tanzanie

Cette défaite face au Nigeria pourrait ainsi marquer un tournant. Au-delà du résultat, elle pose avec acuité la question du projet de jeu, de la gestion du groupe et de la capacité du staff technique à tirer les enseignements nécessaires. À court terme, la pression sur le sélectionneur s’annonce forte, alors que les prochaines échéances seront déterminantes pour restaurer la confiance autour des Aigles de Carthage.

Lire aussi : La Tunisie dominée, puis réveillée trop tard contre le Nigeria

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Tunisie : Dette extérieure en recul, réserves stables

Les indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque centrale de Tunisie (BCT) le 26 décembre 2025 font état d’une amélioration notable de certains équilibres extérieurs, dans un contexte économique encore marqué par de fortes contraintes budgétaires et monétaires.

Selon les données officielles, les services de la dette extérieure cumulés ont reculé de 13,8 % entre 2024 et 2025, pour s’établir à 12 milliards de dinars à la date du 20 décembre, contre 14 milliards de dinars un an auparavant. Cette évolution traduit un allègement relatif de la pression exercée par le service de la dette sur les finances extérieures du pays, rapporte l’agence TAP.

Parallèlement, les principales sources de devises ont poursuivi leur dynamique haussière. Les revenus du travail cumulés ont progressé de 6 %, atteignant 8,4 milliards de dinars, tandis que les recettes touristiques ont augmenté de 6,3 % pour avoisiner 7,9 milliards de dinars sur la même période. Depuis le début de l’année et jusqu’au 20 décembre 2025, l’ensemble de ces recettes a permis de couvrir les services de la dette extérieure à hauteur de 135,9 %.

Cette capacité de couverture a contribué à la stabilisation des avoirs nets en devises, maintenus à un niveau de 25 milliards de dinars, correspondant à 108 jours d’importation. Un seuil jugé relativement confortable au regard des standards internationaux, même s’il demeure sensible aux chocs externes et aux fluctuations des marchés.

Contraction du volume global du refinancement bancaire

Sur le plan monétaire, la BCT relève également une contraction du volume global du refinancement bancaire, passé de 12,1 milliards de dinars fin décembre 2024 à 10,4 milliards de dinars à la même période de 2025. Cette baisse peut être interprétée comme le signe d’une amélioration de la liquidité bancaire ou d’un resserrement maîtrisé de l’intervention de la banque centrale.

En revanche, les échanges interbancaires ont enregistré une légère progression de 4 %, atteignant 3,7 milliards de dinars contre 3,5 milliards de dinars un an plus tôt, traduisant une activité relativement stable sur le marché monétaire.

Un autre indicateur attire l’attention : la forte hausse de la monnaie fiduciaire en circulation. Les billets et pièces ont augmenté de 19 % pour s’élever à 26,5 milliards de dinars. Cette évolution alimente les interrogations sur l’ampleur de l’économie informelle et sur la préférence persistante pour le cash, malgré les efforts engagés en matière de paiement électronique.

Dans l’ensemble, ces chiffres confirment une amélioration graduelle des équilibres financiers externes, portée par les recettes en devises, tout en mettant en lumière des défis structurels persistants, notamment en matière de circulation monétaire et de profondeur du marché financier.

Lire aussi : Endettement : La Tunisie défend sa souveraineté financière

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Transport ferroviaire : Le ministre appelle à accélérer la remise en état des équipements lourds

Le ministre du Transport, Rachid Amri, s’est rendu, ce vendredi 26 décembre 2025, au dépôt de Jebel Jelloud relevant de la Société des travaux ferroviaires tunisiens, afin de s’enquérir de l’état des équipements lourds et du déroulement des opérations de maintenance.

Cette visite s’est déroulée en présence de l’administrateur délégué de la société, du président-directeur général de la Société nationale des chemins de fer tunisiens (SNCFT), ainsi que de plusieurs responsables du ministère.

Lors de cette visite de terrain, le ministre a insisté sur la nécessité d’établir un calendrier précis pour l’achèvement des travaux de réparation des équipements lourds, accompagné d’une estimation rigoureuse du budget de maintenance. Il a également appelé à la réhabilitation de ces équipements et à leur remise en exploitation dans les plus brefs délais, et ce, de manière optimale, afin de contribuer à l’amélioration de l’état du réseau ferroviaire et à la réalisation des projets programmés dans le secteur.

Mise en œuvre des projets d’investissement

Rachid Amri a souligné que la remise à niveau du matériel constitue un levier essentiel pour renforcer les performances du transport ferroviaire et améliorer la qualité des services offerts aux usagers, tant en matière de transport de voyageurs que de marchandises.

Le ministre a, par ailleurs, appelé à redoubler d’efforts pour accélérer la mise en œuvre des projets d’investissement de la Société des travaux ferroviaires tunisiens, estimant que celle-ci dispose de nombreux atouts lui permettant de réussir aussi bien sur le plan national qu’international.

Cette démarche s’inscrit dans l’orientation stratégique de l’État visant à développer le transport ferroviaire, considéré comme un mode de transport à forte valeur ajoutée en raison de ses avantages comparatifs et de son rôle central dans la réalisation des objectifs de développement économique et social du pays.

Lire aussi : Tunisie : le transport ferroviaire au cœur de la stratégie de collecte des céréales ?

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Paris : Trois femmes blessées par arme blanche dans un métro

Trois femmes ont été blessées jeudi après-midi dans plusieurs stations du métro parisien après une série d’agressions à l’arme blanche, ont confirmé les autorités policières.

Selon les premiers éléments de l’enquête, un individu aurait attaqué successivement trois passagères entre 16h15 et 16h45 dans des stations très fréquentées du centre de la capitale : Arts-et-Métiers, République et Opéra.

Les victimes ont été prises en charge par les services de secours présents sur place. Leur pronostic vital n’est pas engagé, mais elles ont subi des blessures nécessitant des soins hospitaliers, selon les informations disponibles à ce stade.

Immédiatement après les faits, la police a lancé une vaste opération de recherche pour localiser l’auteur présumé. Initialement en fuite, l’individu a finalement été interpellé à Sarcelles, une commune située au nord de Paris, d’après des sources proches du dossier.

Les circonstances exactes qui ont motivé ces agressions restent à préciser. Aucune revendication n’a été signalée dans l’immédiat, et les motivations de l’agresseur — qu’elles soient personnelles, psychologiques ou d’un autre ordre — ne sont pas encore établies publiquement. L’enquête a été confiée aux services compétents de la police judiciaire.

Récents rassemblements

Cet incident intervient dans un contexte où la question de la sécurité dans les transports en commun parisiens, et plus largement dans les grandes métropoles européennes, continue de focaliser l’attention des autorités et du public. De récents rassemblements à Paris ont appelé à des mesures accrues contre la violence envers les femmes, un sujet d’actualité en France ces derniers mois.

La violence faite aux femmes dans les espaces publics, y compris dans les transports, est un sujet de préoccupation majeur en France. Les manifestations récentes à Paris, rassemblant plusieurs milliers de personnes, ont exigé une action plus ferme des pouvoirs publics pour protéger les femmes contre toutes formes d’agression et de violence.

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Tunisie – Douane : Dernier délai pour régulariser les véhicules immatriculés RS

L’administration générale des douanes a rappelé, dans un communiqué publié ce lundi, que le mardi 30 décembre 2025 constitue le dernier délai pour la régularisation des situations douanières des voitures et des motos immatriculées sous la série « R S ».

Ce rappel concerne les citoyens ayant déposé, avant le 31 octobre 2025, des demandes de régularisation dans le cadre des dispositions de l’article 80 de la loi de finances pour l’année 2025, sans toutefois finaliser la procédure par le paiement des droits et taxes exigibles.

Selon la douane, toute demande non régularisée avant cette échéance sera considérée comme caduque, exposant les propriétaires concernés aux sanctions prévues par la législation douanière en vigueur. L’administration insiste ainsi sur la nécessité d’achever les démarches dans les délais impartis afin d’éviter d’éventuelles poursuites ou pénalités financières.

Régulariser leur situation selon des modalités encadrées

L’article 80 de la loi de finances 2025 avait ouvert une fenêtre exceptionnelle permettant aux détenteurs de véhicules et de deux-roues immatriculés « RS » de régulariser leur situation selon des modalités encadrées, dans un objectif de mise en conformité et d’assainissement du parc concerné.

À l’approche de l’échéance, la douane appelle les personnes concernées à se rapprocher sans tarder des services compétents pour finaliser leurs dossiers et procéder au règlement des montants dus, soulignant qu’aucune prorogation de délai n’a été annoncée à ce stade.

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Prix de l’or : Vers un nouveau record en Tunisie ?

La flambée des prix de l’or ne semble pas près de s’essouffler. Selon les prévisions de Taher Gharbal, président de la Chambre des commerçants de l’or et de la bijouterie à Sfax, le prix du gramme d’or en Tunisie pourrait atteindre les 500 dinars à l’horizon 2026, poursuivant ainsi une dynamique haussière déjà bien installée.

Dans une déclaration aux médias, le responsable professionnel a indiqué que le métal jaune évolue actuellement dans une fourchette comprise entre 380 et 430 dinars le gramme, selon le titre et le marché. Une situation qu’il qualifie de transitoire, estimant que les mois à venir seront marqués par de nouvelles augmentations.

Face à cette tendance, Taher Gharbal a appelé les citoyens, notamment les couples sur le point de se marier, à anticiper leurs achats de bijoux et de parures. « Les prix actuels restent relativement plus avantageux que ceux attendus à moyen terme », a-t-il souligné, mettant en garde contre un renchérissement progressif mais continu.

Contexte international

Cette envolée des prix s’explique principalement par le contexte international. L’or, valeur refuge par excellence, profite de l’instabilité économique mondiale, des tensions géopolitiques persistantes et des incertitudes liées aux politiques monétaires des grandes puissances. La hausse des cours internationaux se répercute directement sur le marché tunisien, fortement dépendant des importations et des fluctuations du marché mondial.

Paradoxalement, cette situation ne profite pas aux professionnels du secteur. Bien au contraire, les bijoutiers et artisans figurent parmi les principales victimes de cette hausse inédite. La cherté de la matière première pèse lourdement sur la demande, réduit les marges et freine les ventes, dans un contexte où le pouvoir d’achat des ménages demeure sous pression.

Entre valeur refuge pour les épargnants et produit de consommation de plus en plus inaccessible, l’or cristallise ainsi de multiples enjeux économiques et sociaux. Si les projections se confirment, l’année 2026 pourrait marquer un tournant historique pour le marché de l’or en Tunisie, avec des conséquences durables sur les habitudes de consommation et l’ensemble de la filière.

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Tunisie – Alerte météo : Plusieurs régions placées en vigilance orange

L’Institut national de la météorologie a placé, ce vendredi 26 décembre 2025, les gouvernorats du Grand Tunis, de Nabeul, de Zaghouan et de Sousse sous vigilance orange, en raison de prévisions de pluies orageuses temporairement intenses.

Selon les données publiées par l’INM, ces perturbations devraient s’accompagner localement de quantités de pluie importantes en un laps de temps réduit, avec un risque de chutes de grêle sur des zones limitées. Des rafales de vent dépassant ponctuellement les 60 km/h sont également attendues lors du passage des cellules orageuses.

Ces conditions météorologiques pourraient perturber les activités quotidiennes et compliquer la circulation routière, notamment dans les zones urbaines et les axes vulnérables à l’accumulation des eaux. L’institut met en garde contre la formation rapide de ruissellements, la montée des oueds, ainsi que le risque de saturation des réseaux d’assainissement, pouvant entraîner des inondations localisées et des coupures d’électricité.

Faire preuve de vigilance

Face à ces risques, l’INM appelle les citoyens à faire preuve de vigilance, à s’informer de l’évolution de la situation météorologique avant tout déplacement et à respecter les consignes de sécurité, notamment lors de la conduite. Il est recommandé d’éviter les routes secondaires, de ne pas s’engager à pied ou en voiture sur des chaussées submergées, de se tenir à l’écart des cours d’eau et de ne pas descendre dans les sous-sols ou les zones basses durant les épisodes pluvieux.

Par ailleurs, les gouvernorats de Bizerte, Jendouba, Béja, Le Kef, Siliana, Kairouan, Mahdia et Monastir ont été placés en vigilance jaune. Ce niveau implique une attention particulière lors de la pratique d’activités sensibles aux aléas météorologiques.

La vigilance météorologique vise à alerter la population ainsi que les services de la protection civile et les autorités sanitaires, afin de faciliter l’anticipation des risques et la mobilisation des équipes d’intervention. La carte de vigilance est actualisée au minimum deux fois par jour, à 7 heures et à 17 heures, et fournit une estimation des dangers potentiels sur les 24 heures à venir.

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Incident ferroviaire sans dégâts sur la ligne Tunis–Ghardimaou

La Société nationale des chemins de fer tunisiens a confirmé, jeudi, qu’aucun dégât matériel ni blessé n’a été signalé à la suite du déraillement de la dernière voiture d’un train de voyageurs reliant Tunis à Ghardimaou.

Selon un communiqué officiel, l’incident s’est produit à 17h09 entre les gares de Sidi Ismaïl et de Bou Salem. Le train avait quitté la gare de Tunis à 13h05. Les circonstances exactes de ce déraillement partiel n’ont pas été précisées dans l’immédiat.

La SNCFT a indiqué que la voiture concernée sera détachée du reste de la rame afin de permettre la poursuite des opérations dans des conditions de sécurité. Les voyageurs ont été acheminés vers la gare de Bou Salem, point à partir duquel la compagnie a assuré la continuité du trajet vers les autres destinations au moyen de bus.

Enjeu central pour la mobilité des voyageurs

La société ferroviaire a tenu à rassurer les usagers quant à la sécurité du trafic, soulignant que cet incident n’a pas entraîné de perturbations majeures ni de conséquences graves. Elle n’a toutefois pas précisé si une enquête technique serait ouverte pour déterminer les causes exactes de l’incident.

Cet épisode intervient dans un contexte où le transport ferroviaire demeure un enjeu central pour la mobilité des voyageurs, notamment sur les lignes reliant le nord-ouest du pays à la capitale.

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