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Tunisiens Résidents à l’Etranger – TRE : Trois axes pour renforcer le lien entre la Tunisie et sa diaspora

Chaque année, lors de la saison estivale, des centaines de milliers de Tunisiens établis à l’étranger rentrent au pays, avec des attentes renouvelées en matière d’accueil et de services. Rencontré en marge du “Tunisian digital Summit” le DG par intérim de l’Office des Tunisiens à l’Étranger (OTE), esquisse une stratégie articulée autour de trois axes : garantir les droits socio-économiques des expatriés, renforcer leurs liens avec la mère patrie et mobiliser les compétences pour le développement national.

Entretien :

A l’approche de la saison estivale, quelles mesures spécifiques ont été prises pour accompagner le retour des Tunisiens de l’étranger ?

Chaque été, le retour des Tunisiens établis à l’étranger se fait de manière massive et organisée. Ce retour n’est pas exceptionnel, il est presque rituel. Il traduit un attachement profond au pays d’origine.

Nous ne parlons pas de « mesures exceptionnelles », mais bien de dispositifs spécifiques qui tiennent compte de cette affluence. Qu’il s’agisse de nouveaux défis, des mutations du profil migratoire ou encore des programmes de digitalisation que nous développons activement et de la synergie entre les différentes institutions que nous essayons d’optimiser.

Quels sont les grands axes de votre stratégie pour mieux répondre aux attentes des Tunisiens de l’étranger ?

Notre stratégie repose sur trois piliers. Le premier consiste à préserver les droits sociaux et économiques de nos compatriotes à l’étranger, à travers, entre autres, la signature de nouvelles conventions bilatérales en matière de sécurité sociale.

Le deuxième vise à entretenir un lien fort, culturel et émotionnel, avec la Tunisie, surtout dans un contexte où le profil migratoire évolue rapidement : la migration est plus jeune, plus mobile, et s’oriente vers de nouvelles destinations.

Enfin, le troisième axe est la mobilisation des compétences pour le développement du pays. Mais pour pouvoir parler d’investissement ou de transfert d’expertise, il faut d’abord que les deux premiers piliers soient solides.

« Nous avançons sur trois axes : protection des droits, maintien du lien avec la Tunisie et mobilisation des compétences pour le développement national. »

Vous évoquez un changement dans le profil des migrants. De quelle manière ?

Nous assistons à une mutation significative. Environ 30 % des Tunisiens de l’étranger sont aujourd’hui des jeunes. Ils sont plus exigeants, plus formés, plus connectés. Beaucoup d’entre eux aspirent à contribuer au développement de la Tunisie, à condition d’avoir un interlocuteur crédible, des services réactifs, et une infrastructure à la hauteur de leurs ambitions.

C’est un défi pour l’administration tunisienne, mais aussi une formidable opportunité si on sait établir une relation de confiance. Pour précision, au terme du premier trimestre 2025, 653 Tunisiens ont été recrutés à l’étranger, contre 732 en 2024. Première destination, l’Allemagne suivie du Canada, de l’Arabie Saoudite, de la France et de l’Italie.

Quant aux transferts des TRE, ils ont atteint près de 8 milliard de dinars à fin novembre 2025, ce qui de nouveau met en avant leur rôle important dans la consolidation des réserves nationales de devises.

Le rôle de l’OTE est-il bien compris par les Tunisiens de l’étranger ?

Pas toujours. Il est vrai qu’il y a parfois une confusion des rôles entre les différents intervenants : l’OTE, les missions diplomatiques, les consulats, etc. Mais il faut clarifier : nous ne sommes pas une structure diplomatique, mais une institution sociale sous la tutelle du ministère des Affaires sociales.

Nos attachés sociaux sont hébergés dans les ambassades et consulats, et travaillent sous l’autorité des chefs de poste. Il n’y a ni concurrence, ni chevauchement : nous sommes complémentaires, avec un objectif commun – servir au mieux nos compatriotes, où qu’ils soient.

Comment renforcer la coordination entre les différents acteurs institutionnels ?

Cela passe par la création de synergies. Prenons un exemple : un Tunisien de l’étranger exprime une doléance dans son pays de résidence. Elle peut être transmise par le consulat à notre délégation régionale en Tunisie, qui prendra en charge le suivi. Ce type de traitement en chaîne montre bien l’importance de la coordination entre les ministères, les structures régionales et les représentations à l’étranger. Il faut sortir de la logique cloisonnée pour aller vers une approche intégrée.

« Environ 30 % des expatriés sont aujourd’hui de jeunes profils, formés, mobiles et désireux de contribuer au pays, à condition d’avoir un interlocuteur fiable. »

Justement, la digitalisation semble au cœur de votre réforme. Quels sont vos projets concrets en la matière ?

Nous avons fait de 2025 l’année de la transformation numérique. Cela se traduit par une refonte complète de notre site web, une présence renforcée sur les réseaux sociaux – notamment Facebook – et surtout le lancement imminent d’une application mobile dédiée aux Tunisiens de l’étranger.

Cette plateforme permet un accès simplifié aux services, une interaction directe avec l’attaché social et un traitement des demandes en temps réel via nos délégations régionales.

C’est une révolution silencieuse, mais décisive.

Le numérique suffira-t-il à renforcer le lien avec les diasporas, notamment les plus qualifiés ?

Non, le numérique est un outil, pas une fin en soi. Nous avons besoin de contacts physiques, de relais locaux, d’antennes qui permettent de fédérer les Tunisiens autour de projets concrets.

Les compétences tunisiennes installées à l’étranger sont une richesse inestimable. Mais encore faut-il qu’elles soient sollicitées, écoutées et accompagnées.

Nous travaillons à la mise en réseau de ces talents, notamment dans les domaines technologiques, à travers des événements B2B, des sommets et des plateformes de dialogue. Le potentiel est énorme.

« La transformation numérique marque un tournant : site refondu, réseau social renforcé et application mobile pour des services en temps réel. »

Comment favoriser leur retour ou leur investissement en Tunisie ?

Tout dépend de l’environnement que nous leur offrons ici. Un jeune entrepreneur tunisien formé à l’étranger se posera la question suivante : puis-je réellement porter mon projet technologique en Tunisie ?

Existe-t-il les infrastructures, les incitations, l’écosystème nécessaire ? Tant que ces conditions ne sont pas réunies, il hésitera.

Notre rôle, à nous est de créer un climat favorable, de rendre le retour ou l’investissement faisable, attractif et sécurisé. Et cela suppose aussi de réduire la fracture numérique entre la Tunisie et les pays d’accueil. Il reste beaucoup à faire. Mais rien ne sera possible sans la contribution active des Tunisiens de l’étranger eux-mêmes.

Le développement à l’échelle nationale réclame et réclamera toujours les compétences de nos compatriotes, ces élites sises à l’international. C’est ensemble, en créant des synergies – ici et là-bas – que nous pourrons bâtir une relation de confiance durable.

L’OTE s’engage à rester à leur écoute, à évoluer avec eux, et à incarner une administration moderne, accessible et utile.

Entretien conduit par Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • Stratégie structurée autour de la protection des droits, du lien culturel et de la mobilisation des compétences.
  • Diaspora plus jeune, plus mobile, avec un rôle économique majeur grâce aux transferts financiers.
  • Accélération de la digitalisation : site refondu, présence sociale renforcée et application mobile imminente.
  • L’OTE vise une coordination intégrée et un climat propice à l’investissement et au retour des compétences.

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Souveraineté et liberté : Le Président défend la voie tunisienne face aux pressions

Le Président de la République, Kaïs Saïed, a rencontré hier jeudi 4 décembre 2025 au palais de Carthage, Mme Sarra Zaafrani Zenzri, Cheffe du gouvernement, ainsi que M. Samir Abdelhafidh, ministre de l’Économie et de la Planification, et M. Fethi Zouhir Nouri, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie. Au cours de cette réunion, le […]

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La Banque mondiale alerte sur la dette des pays en développement

La Banque mondiale a révélé que l’écart entre le coût du service de la dette des pays en développement et les nouveaux financements est à son plus haut sur plus de 50 ans. Il atteint 741 milliards de dollars entre 2022 et 2024. L’institution financière multilatérale exhorte les pays à profiter des conditions financières mondiales plus détendues pour assainir leurs finances.

 

Dans son rapport annuel sur la dette internationale, la Banque mondiale a constaté que les paiements d’intérêts totaux avaient atteint un nouveau record de 415,4 milliards de dollars en 2024, en dépit d’un certain soulagement dû à la baisse des taux d’intérêt.

Cependant, même si les conditions financières mondiales s’amélioraient, les pays en développement ne devraient pas se faire d’illusions : ils sont toujours en danger, car l’accumulation de la dette se poursuit.

Les marchés obligataires se sont rouverts pour la plupart des pays avec la fin du long cycle de hausse des taux d’intérêt mondiaux, donnant le coup d’envoi à des milliards de dollars de nouvelles émissions. Cela s’est fait à des taux d’intérêt proches de 10%, environ le double de ceux d’avant 2020, et des options de financement à faible coût qui se raréfient.

 

Les marchés obligataires se sont rouverts pour la plupart des pays avec la fin du long cycle de hausse des taux d’intérêt mondiaux, donnant le coup d’envoi à des milliards de dollars de nouvelles émissions.

 

Plus de dette locale, moins de coopération bilatérale

Les pays émergents se tournent également de plus en plus vers les marchés de la dette intérieure pour se financer. Dans 50 pays, la dette intérieure a progressé plus rapidement l’année dernière que la dette extérieure. Pour la Banque mondiale, cela est un signe de l’évolution des marchés du crédit locaux, mais a mis en garde contre le risque de réduire les prêts bancaires locaux au secteur privé et d’augmenter potentiellement le coût du refinancement en raison d’échéances plus courtes.

Les marchés émergents ont renégocié près de 90 milliards de dollars de dette extérieure en 2024, encore un niveau record depuis 14 ans, incluant des restructurations au Ghana, en Zambie, au Sri Lanka, en Ukraine et en Éthiopie, ainsi que des annulations de dette en Haïti et en Somalie.

Pendant ce temps, les flux nets de prêts bilatéraux se sont effondrés de 76% à 4,5 milliards de dollars, un niveau jamais vu depuis la crise financière de 2008, forçant les pays à rechercher des financements privés plus coûteux.

 

Les marchés émergents ont renégocié près de 90 milliards de dollars de dette extérieure en 2024, encore un niveau record depuis 14 ans, incluant des restructurations au Ghana, en Zambie, au Sri Lanka, en Ukraine et en Éthiopie, ainsi que des annulations de dette en Haïti et en Somalie.

 

Bien que les prêts multilatéraux aient augmenté et que la Banque mondiale elle-même ait accordé un record de 36 milliards de dollars, 54% des pays à faible revenu sont désormais en situation de détresse ou confrontés à des risques élevés d’endettement. Les décideurs politiques devraient profiter au maximum de la marge de manœuvre qui existe aujourd’hui pour assainir leurs finances, plutôt que de se précipiter à nouveau sur les marchés de la dette extérieure.

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Un officier israélien se suicide après avoir participé à la guerre sur Gaza

Un nouvel épisode vient illustrer la profondeur du traumatisme que traverse l’armée israélienne depuis le déclenchement de la guerre contre la bande de Gaza. Selon le journal israélien Israel Hayom, un officier de réserve du bataillon « Givati », âgé de 28 ans, s’est suicidé jeudi après un long combat psychologique lié directement à sa […]

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Kais Saied réunit le gouvernement et la BCT : un avertissement contre “les choix non nationaux” et un appel à restaurer la souveraineté économique

Le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé hier après-midi, jeudi 4 décembre, une réunion au palais de Carthage avec la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, ainsi que le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, Fethi Zouhair Nouri. La rencontre a porté […]

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Les événements majeurs dans le monde et dans l’économie ces dernières 12 heures

Alors que la nuit tombait sur Tunis, l’actualité mondiale s’est accélérée entre escalade au Proche-Orient, repositionnements diplomatiques en Asie et signaux contradictoires de l’économie mondiale. TunisieNumerique vous propose un panorama clair et développé des faits essentiels à retenir. Gaza et Liban : une situation toujours explosive malgré les appels internationaux Plus de deux ans après […]

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Plus de 420 kg de cannabis saisis | Un réseau international démantelé

La Direction générale de la garde nationale (DGGN) a annoncé, ce jeudi 4 décembre 2025, le démantèlement d’un réseau international de trafic de drogue.

Dans son communiqué, la DGGN a indiqué que l’opération a permis la saisie de plus de 420 kg de cannabis et l’arrestation de deux suspects, membres dudit réseau.

Les unités de la GN ont également saisi deux véhicules utilisés dans ce trafic pour le compte d’un réseau dont d’autres membres sont établis dans un pays européen.

L’enquête a par ailleurs permis l’identification de sept autres individus qui font désormais l’objet de mandats de recherche en Tunisie.

Y. N.

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Tunisie : L’ARP adopte la Loi de Finances 2026 et valide l’impôt sur la fortune

À l’issue d’une séance plénière marquée par d’intenses échanges, les députés ont approuvé la Loi de Finances 2026 dans son ensemble ainsi que l’article introduisant un impôt sur la fortune. Un vote qui confirme l’orientation fiscale du gouvernement et ravive le débat autour de la justice fiscale.

Une adoption globale après un long marathon parlementaire

Réunis en séance plénière, les députés ont approuvé la Loi de Finances pour l’exercice 2026 avec 89 voix pour, 23 contre et 12 abstentions. Le vote consacre plusieurs jours de délibérations et d’amendements, clôturant l’un des chantiers législatifs les plus importants de la session.

Dans la foulée, les élus ont également validé l’article 50 du projet, après une seconde présentation du ministre des Finances, Michkat Slama, qui a remis le texte dans sa version initiale. L’article a été adopté par 72 voix pour, 14 contre et 16 abstentions, alors même qu’il avait été rejeté en commission.

L’impôt sur la fortune, nouvelle pierre angulaire de la réforme fiscale

Inscrit dans le chapitre dédié à la réforme fiscale et à la numérisation des services publics, l’article 50 abroge l’article 23 du décret-loi n°79 de 2022. La mesure introduit un impôt sur la fortune, applicable aux revenus tirés des biens immobiliers et mobiliers détenus par les personnes physiques, y compris ceux appartenant à leurs enfants mineurs à charge.

Cet impôt se décline en deux tranches :

  • 0,5% pour les patrimoines évalués entre 3 et 5 millions de dinars,
  • 1% pour les patrimoines dépassant 5 millions de dinars.

Le dispositif couvre les biens situés en Tunisie, quel que soit le lieu de résidence du contribuable, ainsi que les biens détenus en Tunisie ou à l’étranger si le contribuable est considéré comme résident fiscal.

Un périmètre large mais assorti d’exemptions

L’impôt s’applique à l’ensemble des propriétés immobilières et mobilières, à l’exception d’un ensemble d’actifs jugés essentiels ou non représentatifs d’une capacité contributive élevée.

Sont exclus :

  • la résidence principale,
  • les biens utilisés à des fins professionnelles,
  • les fonds de commerce exploités,
  • les véhicules non utilitaires dont la puissance fiscale ne dépasse pas 12 chevaux.

Ces aménagements visent à cibler les patrimoines les plus élevés tout en préservant les outils d’activité économique et les biens familiaux de première nécessité.

Des débats politiques toujours vifs autour de la justice fiscale

L’adoption de la mesure intervient dans un climat marqué par des divergences persistantes entre groupes parlementaires. Pour ses défenseurs, l’impôt sur la fortune constitue un instrument de rééquilibrage fiscal, permettant de mobiliser de nouvelles ressources sans peser sur les classes moyennes.

Ses opposants dénoncent au contraire un risque d’érosion de l’investissement privé, estimant que la mesure pourrait décourager une partie des détenteurs de capitaux.

Ce vote intervient alors que les finances publiques cherchent à se stabiliser après plusieurs exercices marqués par la hausse de l’endettement, la contraction de l’espace budgétaire et l’urgence de nouvelles réformes.

L’article 50, déjà rejeté en commission, illustre la sensibilité du débat fiscal dans un contexte où la modernisation de l’administration et la mobilisation des recettes représentent des priorités nationales.

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Tunisie – ARP | La Loi de finances 2026 adoptée

Après de nombreuses plénières, la loi de finances 2026 a finalement été adoptée dans son intégralité, dans la soirée de ce jeudi 4 décembre 2025.

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a précisé que la Loi de finances 2026 a été adoptée par 89 députés alors que 13 autres ont voté contre et douze se sont abstenus.

On notera que près de 30 % des députés n’ont pas participé à la plénière ce jour et n’ont donc même pas voté.

Y. N.

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Sami Trabelsi : « Si Dieu le veut, la qualification arrivera » (vidéo)

En conférence de presse d’après-match contre la Palestine, le sélectionneur tunisien Sami Trabelsi n’était plus satisfait de ce résultat nul 2-2 et a assumé sa responsabilité malgré que son équipe a inscrit deux buts, au contraire du premier match où ils ont dominé la Syrie mais sans inscrite des buts. Trabelsi a indiqué aussi que […]

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