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Tout le monde est connecté? Pas vraiment: les disparités numériques en 2026

En 2025, 84% des adultes dans les pays en développement possèdent un téléphone mobile, selon le Global Findex. Mais un adulte sur quatre n’a qu’un téléphone basique, sans Internet ni applications. Donc, seulement deux tiers des adultes ont un smartphone capable de naviguer sur le web et d’utiliser des services numériques.

Source: Frontières officielles de la Banque mondiale, Base de données Global Findex 2025, Gallup World Poll, 2024.

Une grande différence selon les régions

La possession de smartphones est très différente selon les pays. Dans les pays développés, le smartphone est devenu essentiel pour la vie quotidienne, l’éducation, le travail et l’accès aux services en ligne. Dans certaines régions comme l’Afrique subsaharienne et l’Asie du Sud, beaucoup de gens n’ont pas de smartphone. Cela s’explique par les faibles revenus et des infrastructures insuffisantes.

Ces inégalités touchent surtout les femmes et les ménages à faibles revenus. Les téléphones basiques sont assez répandus, mais les smartphones restent hors de portée pour beaucoup. L’accès au smartphone dépend du niveau de développement, des revenus et du genre.

Le smartphone est un symbole de modernité et de connectivité, mais tout le monde n’y a pas accès. Réduire ces écarts est important pour permettre à tous d’utiliser Internet et de soutenir le développement des régions défavorisées.

Des usages numériques différents selon les régions

En 2024, les réseaux sociaux et l’envoi de messages numériques sont les usages les plus répandus, surtout en Asie de l’Est-Pacifique et en Europe-Asie centrale.

Source: Base de données Global Findex 2025.


La lecture d’actualités en ligne est aussi fréquente. L’accès aux services publics en ligne reste limité, mais il progresse. Pour l’éducation, seulement 20 à 30% des adultes utilisent Internet à cette fin. Pour le travail ou gagner de l’argent en ligne, les usages restent très faibles, surtout en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud. Même quand les smartphones sont disponibles, l’usage d’Internet dépend des connaissances, des infrastructures et du revenu.

Les obstacles à l’inclusion numérique

Le coût des smartphones reste le principal obstacle, surtout en Asie du Sud et en Afrique subsaharienne. Même lorsque des appareils sont gratuits ou subventionnés, cela ne suffit pas toujours. Certains utilisateurs les revendent ou les laissent à d’autres membres de la famille. D’autres difficultés limitent l’accès aux services numériques, tels que le prix des forfaits de données, les problèmes de lecture, d’écriture ou d’utilisation des touches, la dépendance au téléphone d’une autre personne… D’autre part, l’accès à certains services nécessite souvent une pièce d’identité, par exemple pour acheter une carte SIM, ouvrir un compte d’argent mobile, ou même pour s’inscrire sur des plateformes de travail en ligne. Dans les pays où moins de 70% des adultes possèdent une pièce d’identité, l’enregistrement d’une carte SIM devient un obstacle majeur à l’inclusion numérique.

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Le Ghana et le Japon lancent un programme de formation en IA pour les jeunes

Selon la Banque mondiale, 230 millions d’emplois en Afrique subsaharienne nécessiteront des compétences numériques d’ici à 2030, soulignant l’importance stratégique de développer ces compétences pour soutenir la croissance et l’emploi sur le continent.

Dans ce contexte, la transformation numérique apparaît comme un levier majeur pour l’économie du Ghana. La GSMA estime que cette transition pourrait générer à peu près 2,9 milliards USD d’ici à 2027. Cependant, le pays est confronté à un chômage des jeunes élevé, avec un taux de 32% pour les 15‑24 ans en 2024, ce qui rend urgente la mise en place de programmes de formation adaptés aux besoins du marché du travail numérique.

Source: Ministry of Communication, Digital Technology and Innovations (MoCDTI)

 

Pour répondre à ces enjeux, le Ghana considère la formation en intelligence artificielle (IA) et en technologies numériques comme un outil clé pour réduire le chômage, accroître la productivité et renforcer sa position dans l’économie numérique mondiale. Dans cette optique, le gouvernement ghanéen prévoit un programme structuré de formation en IA et science des données, en partenariat avec le Japon, via l’Université de Tokyo et la JICA. Ce programme s’inscrit dans le cadre de l’initiative africaine du laboratoire Matsuo. Il vise à former 30 000 professionnels en IA sur 3 ans, avec des certifications orientées vers l’employabilité et les compétences pratiques. Par ailleurs, le recours à des partenariats internationaux montre que le Ghana reconnaît l’importance des standards mondiaux en matière de formation numérique et souhaite accélérer la montée en compétence locale grâce à l’expertise japonaise.

En effet, les formations seront dispensées en ligne et en anglais, ciblant les étudiants des universités publiques ainsi que certaines écoles secondaires sélectionnées. Les certifications obtenues sont conçues pour favoriser l’insertion professionnelle immédiate, tant dans l’écosystème numérique local qu’international. Parallèlement, des programmes complémentaires, comme One Million Coders, visent à former 1 million de jeunes Ghanéens en 4 ans, en collaboration avec des acteurs technologiques mondiaux tels que Google, Microsoft, TikTok ou AWS.

Ainsi, ce projet dépasse le simple cadre académique. Il ambitionne de créer un écosystème numérique complet, où formation, emploi et innovation se nourrissent mutuellement, renforçant à la fois la compétitivité économique et l’insertion professionnelle des jeunes Ghanéens.

 

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Le Canada supprime le visa pour ce pays arabe

Les citoyens qataris n’ont plus besoin de visa pour se rendre au Canada. Et ce, depuis le 25 novembre 2025. Toutefois, ils doivent obtenir une AVE (Autorisation de voyage électronique) pour voyager par avion.

Les ressortissants du Qatar qui possèdent déjà un visa de résident temporaire valide peuvent continuer à l’utiliser pour voyager au Canada jusqu’à son expiration ou jusqu’à celle de leur passeport, selon la première échéance. Ceux qui n’ont pas de visa valide doivent faire une demande d’AVE pour voyager vers le Canada. Les voyageurs peuvent consulter le site canada.ca/AVE  pour vérifier leur admissibilité et connaître la procédure à suivre.

Cette mesure vise à faciliter les déplacements touristiques et professionnels, à renforcer les liens bilatéraux entre Ottawa et Doha, et à stimuler le tourisme et les échanges économiques, tout en maintenant une migration gérée et sécurisée.

«La levée des exigences en matière de visa est une étape importante dans nos relations avec le Qatar et permet aux voyageurs admissibles de découvrir plus facilement tout ce que le Canada a à offrir. Non seulement cela renforcera les possibilités d’affaires et d’investissement, mais cela apportera également des avantages économiques au pays et à l’étranger, tout en approfondissant les liens solides qui unissent nos deux pays», a déclaré Lena Metlege Diab, ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté.

En 2024, le commerce bilatéral entre le Canada et le Qatar s’élevait à environ 325 millions de dollars canadiens. La même année, près de 9 000 visiteurs qataris ont voyagé au Canada, soit une hausse de 11,5% par rapport à 2023.

Pour rappel, l’AVE est un document de voyage numérique pour la plupart des voyageurs dispensés de visa qui se rendent au Canada par voie aérienne. Elle permet aux agents de procéder à un contrôle rapide avant le départ. La majorité des demandes sont acceptées en quelques minutes et ne nécessitent qu’un passeport valide, une carte de crédit et une adresse e-mail.

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Le ministère des Finances fixe un plafond pour les taux d’intérêt des micro-financements

La Tunisie renforce la régulation du secteur de la micro-finance. Un arrêté de la ministre des Finances, publié au Journal officiel le 26 décembre 2025, fixe un plafond aux taux d’intérêt annuels appliqués aux micro-financements accordés sur des ressources non budgétaires.

Plutôt que d’imposer un taux fixe, le mécanisme repose sur une référence évolutive. Tous les 6 mois, l’Autorité de contrôle de la micro-finance (ACMF) calcule, pour chaque type de micro-financement, un taux annuel effectif global moyen (TAEG), basé sur les taux pratiqués par les institutions du secteur au semestre précédent. Autrement dit, ces moyennes, calculées sur la base pondérée des taux appliqués par les institutions durant le semestre précédent, servent de référence pour le semestre suivant afin de déterminer les taux d’intérêt ou marges bénéficiaires jugés excessifs. 

L’ACMF publiera par note officielle:

  • les taux de référence,

  • les catégories de micro-financements concernées,

  • et le mode de calcul du TAEG.


Pour les bénéficiaires, ce dispositif apporte plus de transparence et de sécurité, en limitant les risques de surcoût. Pour le secteur, il constitue un outil de discipline et d’encadrement, renforçant la confiance dans la micro-finance tunisienne.

 

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Nationalité française en 2024: le Maroc et l’Algérie devancent la Tunisie

En 2024, 7 250 ressortissants tunisiens ont acquis la nationalité française par décret, plaçant la Tunisie au troisième rang des nationalités les plus concernées, derrière le Maroc et l’Algérie. Les Tunisiens représentent 7,5 % de l’ensemble des acquisitions par décret.

  • Marocains: 14 454 acquisitions (+8,7 %)

  • Algériens: 12 002 acquisitions (+5,2 %)

  • Tunisiens: 7 250 acquisitions (+13,9 %)

La dynamique est particulièrement marquée, avec une hausse de 13,9 % par rapport à 2023, supérieure à la moyenne générale (+ 6,7 %). En revanche, la part des déclarations anticipées reste relativement limitée pour les Tunisiens (27,5 %), ce qui indique que l’acquisition de la nationalité française se fait majoritairement par naturalisation individuelle, notamment après plusieurs années de résidence en France.

À noter qu’en 2024, un total de 103 661 personnes ont acquis la nationalité française, soit une augmentation de 6,6 % par rapport à 2023, selon les données du ministère de l’Intérieur français. Cette progression est principalement portée par les acquisitions par décret, qui atteignent 48 829 toutes nationalités confondues, en forte hausse de 21,9 % sur un an.

 

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Maroc: que propose l’aéroport Mohammed V pendant la CAN 2025?

Le principal hub aérien du Maroc, l’aéroport Mohammed V de Casablanca, a transformé l’expérience des voyageurs grâce à un parcours passager digitalisé, activé spécialement pour faire face à l’affluence liée à la Coupe d’Afrique des Nations 2025. Ce dispositif combine technologies self‑service, automatisation et outils biométriques pour rendre le passage dans l’aéroport plus rapide, plus fluide et moins stressant.

Voici ce que cela offre concrètement:

  1. Automatisation de l’enregistrement (check‑in) et du dépôt des bagages: 10 bornes Self Bag Drop (au niveau 0 du Terminal 1) permettent aux passagers de s’enregistrer, d’imprimer leur carte d’embarquement, d’étiqueter et de déposer leurs bagages, sans passer par les comptoirs traditionnels, ce qui réduit les files d’attente.

  2. Bornes d’enregistrement libre‑service pour les voyageurs sans bagages en soute: au Terminal 2, des kiosques permettent aux passagers sans bagages en soute à enregistrer de faire leurs formalités seuls et d’accéder directement aux zones de contrôle et d’embarquement, gagnant du temps. 

  3. Technologies biométriques et intégration avec les compagnies aériennes: le système utilise des solutions numériques et biométriques avancées et est déjà utilisé par plusieurs compagnies, renforçant l’interopérabilité du parcours digital.

En effet, plusieurs compagnies aériennes, dont Air Arabia, Saudia et EgyptAir, ont déjà intégré leurs applications à ces bornes, renforçant l’interopérabilité du système, comme l’ont relayé plusieurs médias, dont Yabiladi.

D’ailleurs, ces innovations interviennent dans un contexte où l’aéroport a vu un trafic exceptionnel, avec des centaines de milliers de passagers transitant en quelques jours et une croissance historique du trafic global. Par exemple, entre le 8 et le 18 décembre, l’aéroport Mohammed V a accueilli 292 221 passagers, soit 33,7% du trafic total du pays, confirmant son rôle de hub aérien majeur durant la compétition.

L’ensemble s’inscrit dans la stratégie «Décollage 2025» de l’ONDA, visant la numérisation complète des aéroports marocains. La création d’une Digital Factory, le déploiement d’e-gates biométriques et le lancement du système Smart Airport permettent de surveiller en temps réel les infrastructures et d’anticiper les dysfonctionnements, posant les bases d’un parcours passager fluide et sécurisé.

Pourquoi cette innovation est utile pour les professionnels tunisiens?

Pour les professionnels et les entreprises du secteur transport, tourisme et logistique, ce déploiement constitue un exemple concret de digitalisation réussie des processus opérationnels. L’exemple marocain illustre plusieurs bonnes pratiques applicables en Tunisie:

  • Fluidification des flux et réduction des temps d’attente, essentielles pour améliorer l’expérience client et optimiser les opérations.

  • Digitalisation progressive des parcours, combinant solutions automatiques et assistance humaine pour sécuriser et accélérer les services.

  • Anticipation des pics de trafic, permettant de gérer efficacement les périodes de forte affluence, que ce soit pour des événements sportifs ou des saisons touristiques.

 

 

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L’Afrique renforce sa recherche stratégique: ce que les entrepreneurs doivent savoir

L’Union africaine met en place une stratégie pour que la recherche et les analyses économiques, sociales et sanitaires influencent réellement les décisions politiques à l’échelle du continent.

Pour cela, elle soutient 3  grands réseaux de think tanks africains qui couvrent toutes les régions et des thématiques clés comme la transformation économique, la sécurité alimentaire et la transition numérique. L’objectif est donc de produire des analyses fiables et pertinentes pour orienter les politiques publiques à l’échelle du continent.  

Chaque consortium dispose d’un financement pouvant atteindre 10 millions de dollars sur deux ans et demi, ce qui leur permet de produire des analyses solides, directement utiles aux décideurs et, indirectement, aux acteurs économiques.

Pour un entrepreneur ou un CEO, cela signifie:

  • Opportunités d’accès à des données fiables et actualisées sur le marché africain.

  • Possibilité de partenariats ou collaborations avec ces think tanks pour anticiper les tendances et politiques.

  • Vision stratégique du continent: comprendre où l’Afrique investit en recherche peut guider vos décisions d’expansion, d’innovation ou d’investissement.

Les trois consortiums clés

  • RAISED Africa (Economic Research Forum): spécialisé dans les économies du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.

  • BRIDGE-Africa (African Centre for Economic Transformation, ACET): se concentre sur la transformation économique et le développement structurel.

  • Consortium APHRC (African Population and Health Research Centre): expert en données démographiques et santé.

Pourquoi c’est important pour les entrepreneurs? Ces réseaux couvrent toutes les régions du continent, de l’Afrique de l’Ouest à l’Afrique australe, en passant par le Nord, l’Est et le Centre et offrent des analyses pointues sur des secteurs stratégiques (économie, numérique, santé, sécurité alimentaire), ce qui peut aider à anticiper les tendances de marché et la réglementation.

L’initiative, financée par la Banque mondiale sur 5 ans, vise à transformer la connaissance en moteur de développement et à rapprocher la recherche de la décision publique. Rappelons que cette initiative s’inscrit dans le prolongement d’un appel à candidatures lancé en juillet 2025.

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Industrie automobile: le CETIME et la TAA unissent leurs forces

Un nouveau cap vient d’être franchi dans le développement de l’industrie automobile tunisienne. Le CETIME Tunisie et la Tunisian Automotive Association (TAA) ont officialisé, mardi 23 décembre 2025, la signature d’un partenariat stratégique destiné à renforcer la compétitivité du secteur.

La convention a été conclue à l’issue d’une réunion de travail tenue au siège du CETIME, en présence de Noureddine Guizani, Directeur général du CETIME, et de Fatma Kolsi, Directrice générale de la TAA. Les cadres dirigeants des deux institutions ont également pris part aux échanges, aux côtés de Adnan Boubaker, Directeur des ressources humaines et de la durabilité sociale à la TAA.

Au cœur des discussions; la mise en place d’une coopération structurée autour de plusieurs axes prioritaires, visant à accompagner l’évolution d’un secteur considéré comme stratégique pour l’économie nationale. À forte valeur ajoutée, l’industrie automobile s’impose aujourd’hui comme un levier majeur de croissance, d’innovation et d’intégration dans les chaînes de valeur régionales et internationales.

Le partenariat prévoit notamment le renforcement des compétences et du capital humain, un appui technique ciblé aux entreprises, ainsi que la promotion de l’innovation, de la qualité et de la normalisation. L’amélioration durable de la productivité industrielle figure également parmi les objectifs clés de cette collaboration.

En mutualisant leurs expertises et leurs réseaux, le CETIME et la TAA entendent favoriser l’émergence de synergies entre les acteurs de l’écosystème automobile et accompagner la montée en gamme de la filière tunisienne, afin de répondre aux standards et aux exigences des marchés internationaux.

Au-delà de la signature, cet accord traduit la volonté commune des deux institutions de s’inscrire dans une dynamique de développement industriel durable, créatrice de valeur, de performance et de nouvelles opportunités pour les entreprises du secteur automobile.

Source: TAA

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Douane tunisienne: régularisation des véhicules R.S. avant le 30 décembre 2025

La douane tunisienne a annoncé, dans un communiqué publié le vendredi 27 décembre 2025, que le 30 décembre 2025 constitue la date limite pour finaliser les demandes de régularisation des véhicules automobiles et des motocycles immatriculés sous la série (R.S.), importés dans le cadre du régime de la franchise totale des droits et taxes au titre du retour définitif des Tunisiens résidant à l’étranger.

À cet effet, la douane appelle les personnes ayant déposé une demande de régularisation auprès des services de la Direction générale des douanes avant le 31 octobre 2025, sans avoir procédé au paiement des sommes dues, à compléter leurs demandes au plus tard le 30 décembre 2025.

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Australie, Brésil, France, Kenya… la diffusion mondiale de l’IA s’accélère

L’intelligence artificielle n’est plus l’apanage de la Silicon Valley. Selon le rapport State of Enterprise AI 2025 d’OpenAI, l’IA s’installe durablement dans le monde professionnel et gagne rapidement du terrain à l’échelle mondiale. L’adoption progresse «à travers les géographies», mais elle reste marquée par des disparités économiques et organisationnelles.

                 Source: rapport d’OpenAI  

Le rapport repose sur les données de clients professionnels OpenAI Enterprise, principalement situés dans les grandes économies technologiquement avancées, comme les États‑Unis, l’Europe ou le Japon. Pourtant, d’autres régions connaissent une croissance spectaculaire: l’Australie arrive en tête, suivie du Brésil, des Pays-Bas, de la France et du Canada, avec des hausses de plus de 140 % du nombre de clients professionnels en un an. Les États‑Unis, le Royaume‑Uni et l’Allemagne figurent également parmi les plus grands marchés en termes d’adoption d’IA d’entreprise, notamment pour les offres Enterprise. 

Au‑delà des marchés avancés, la progression est encore plus rapide dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Dans certaines régions, l’utilisation de ChatGPT et d’autres outils IA croît jusqu’à 4 fois plus vite que la moyenne mondiale. Mais l’adoption n’est pas uniforme: là où les économies avancées intègrent l’IA dans des fonctions professionnelles diversifiées, d’autres régions l’utilisent surtout pour des tâches pratiques et quotidiennes.

Une transformation profonde du monde du travail

L’IA ne se limite plus à faire gagner du temps ou améliorer la qualité des résultats. Elle redéfinit les méthodes de travail, transforme la collaboration et ouvre de nouvelles perspectives d’innovation et de création de valeur. Hier confinée à des projets pilotes, elle est désormais un élément constitutif des outils et workflows professionnels.

L’Afrique face à l’IA: un continent en mouvement

Certaines données externes permettent de se faire une idée de l’adoption sur le continent africain. Selon le Global Digital Report de juillet 2025, 42,1 % des internautes kényans âgés de 16 ans et plus ont utilisé ChatGPT dans le dernier mois, ce qui place le Kenya en tête mondiale pour l’usage de cet outil.

Le continent montre toutefois une divergence notable. Le Kenya devance largement ses voisins africains. L’Afrique du Sud affiche un taux de 15,3 %, l’Égypte 9,8 % et le Nigeria 8,2 %. Le Maroc et l’Afrique du Sud apparaissent également parmi les marchés les plus sensibilisés à l’IA dans certaines enquêtes.

Rappelons qu’OpenAI a récemment lancé ChatGPT Go en Afrique, une version plus abordable de son IA. Par ailleurs, des investissements majeurs, comme le milliard de dollars des Émirats pour développer l’IA sur le continent, viennent stimuler les infrastructures et la formation, même si ces initiatives ne sont pas directement issues du rapport OpenAI.

 

Source: rapport d’OpenAI  

Lire aussi: 

 

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L’IPSI adopte un nouveau système intelligent de correction des examens

L’Institut de presse et des sciences de l’information (IPSI) engage une nouvelle étape dans la modernisation de son système d’évaluation avec l’adoption de Smart exam. Selon communiqué, ce dispositif repose sur l’utilisation des technologies numériques afin d’améliorer l’organisation des épreuves et d’optimiser le processus de correction.

À travers cette initiative, l’IPSI entend renforcer la transparence, la précision et l’efficacité des examens. Concrètement, les étudiants seront tenus de se présenter en salle d’examen 10 minutes avant l’horaire prévu, munis de leur carte universitaire et de leur carte d’identité nationale, avant de signer le registre d’entrée.

Chaque candidat recevra également un code-barres individuel, crypté et apposé sur la copie d’examen. Ce système permet de garantir l’anonymat des étudiants tout en assurant une correction plus fiable et plus rapide. L’institut insiste par ailleurs sur la nécessité de manipuler ce code avec précaution et de ne ni l’endommager ni le modifier, celui-ci étant indispensable au bon déroulement du processus d’évaluation.

Source: IPSI

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Aucune grève des institutions bancaires et financières prévue les 29, 30 et 31 décembre

Les informations faisant état d’une grève dans le secteur bancaire à la fin décembre 2025 ont été formellement démenties. La Fédération générale des banques , des établissements financiers, et des compagnies d’assurance a précisé qu’aucune action n’était prévue pour les 29, 30 et 31 décembre. 

Cependant, ce report ne signifie pas un renoncement aux revendications. Comme le souligne Ahmed Jaziri, secrétaire général de la Fédération générale des banques, des institutions financières et des assurances, relevant de l’UGTT. Les mouvements de protestation visant des augmentations salariales et l’amélioration des conditions de travail restent à l’ordre du jour et ne seront envisagés qu’après l’entrée en vigueur de la nouvelle année administrative.

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Adoption massive de l’IA en entreprise: OpenAI révèle les usages 2025

On évoque l’intelligence artificielle à tout propos. Elle fascine, inquiète, promet des révolutions. Mais au-delà du discours, une question demeure: où en est réellement son usage dans les entreprises?

Le rapport annuel publié par OpenAI début décembre 2025 apporte une réponse sans détour. Et le constat est clair! L’IA n’est plus un gadget expérimental, elle est devenue un outil de travail à part entière. Intitulé Rapport sur l’état de l’intelligence artificielle en entreprise, ce document repose sur une enquête menée auprès de 9 000 salariés, répartis dans près de 100 entreprises à travers le monde. Il dresse le portrait d’une adoption massive, structurée et désormais profondément ancrée dans les pratiques professionnelles quotidiennes.

Un cap symbolique franchi

En 2025, OpenAI a atteint le seuil emblématique du million de clients professionnels. Un jalon qui, selon l’entreprise, place sa plateforme parmi les solutions professionnelles à la croissance la plus rapide de l’histoire récente. Ce chiffre ne traduit pas seulement un succès commercial. Il reflète surtout une transformation profonde: les entreprises n’utilisent plus l’IA «pour voir ce que cela donne», mais pour produire, décider et optimiser.

De l’expérimentation à l’intégration durable

L’époque des tests isolés semble révolue. L’IA est aujourd’hui intégrée de manière durable et structurée dans les processus métiers. Cette maturité se mesure notamment à l’intensité des usages.

Dans l’espace professionnel, le volume hebdomadaire de messages échangés via ChatGPT Enterprise a été multiplié par huit en un an. Un indicateur fort : les salariés ne se contentent plus d’interactions ponctuelles, ils s’appuient sur l’IA au quotidien pour accomplir leurs tâches.

Des gains de productivité tangibles

Les bénéfices ne sont plus théoriques. Ils sont mesurés, quantifiés et revendiqués par les utilisateurs eux-mêmes. En moyenne, les employés interrogés estiment gagner entre 40 et 60 minutes par jour grâce à l’IA. Certains profils intensifs déclarent même plus de 10 heures économisées par semaine.

Au-delà du temps, c’est la qualité du travail qui est mise en avant:

  • 85 % des salariés affirment produire un travail de meilleure qualité,

  • 87 % des professionnels de l’IT constatent une résolution plus rapide des incidents,

  • 85 % des équipes marketing finalisent leurs campagnes plus vite,

  • 73 % des ingénieurs accélèrent la livraison de leur code.

Des usages sectoriels contrastés

L’IA ne se déploie cependant pas de manière uniforme selon les secteurs. Les technologies, la santé et l’industrie manufacturière connaissent des croissances spectaculaires, tandis que les services professionnels, la finance et la tech restent les domaines où l’usage est déjà le plus mature et étendu.

Ce constat souligne que l’intelligence artificielle s’adapte aux besoins spécifiques de chaque secteur, devenant à la fois un outil de productivité et un levier stratégique pour innover et optimiser les processus.

Un changement de paradigme

Ces chiffres traduisent un basculement. L’intelligence artificielle n’est plus perçue comme une menace ou une curiosité technologique, mais comme un levier opérationnel. Elle s’inscrit désormais au cœur des organisations, modifiant les rythmes, les méthodes et les standards de performance.

En filigrane, le rapport d’OpenAI raconte une histoire plus large : celle d’un monde du travail en mutation, où l’IA devient un partenaire silencieux, mais omniprésent.
 

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Vous partez en Allemagne? Un nouveau portail en ligne pour ces catégories de visas

TLS a récemment annoncé des nouveautés importantes concernant les procédures de demande de visa pour l’Allemagne. Dans le cadre de cette simplification, il est désormais possible de déposer sa demande via un nouveau portail en ligne, accessible pour certaines catégories de visas.

Parmi ces catégories, on retrouve notamment :

  1. Études et préparation aux études,

  2. Formation professionnelle,

  3. Emploi pour travailleurs qualifiés,

  4. Carte de possibilités/opportunités.

Cette initiative vise à rendre le processus plus rapide et plus transparent, tout en offrant aux candidats une expérience plus fluide pour la soumission de leurs documents et le suivi de leur demande.

TLS Contact invite tous ceux qui souhaitent obtenir davantage d’informations à consulter le lien:  https://digital.diplo.de/  .Ces ressources détaillent étape par étape les nouvelles démarches et fournissent des conseils pratiques pour préparer efficacement sa demande.

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Le paiement de la taxe de circulation se fera en ligne dès janvier 2026

Dès le début de l’année prochaine, le paiement de la taxe de circulation en Tunisie deviendra plus simple et entièrement accessible en ligne. Une nouvelle plateforme sera mise à la disposition des citoyens pour régler leur taxe depuis chez eux, tout en maintenant la possibilité de paiement physique auprès des recettes des finances.

Après le règlement en ligne, chaque automobiliste pourra obtenir un reçu électronique comportant un QR code. Ce document servira de preuve lors des contrôles routiers et ainsi permettra aux agents de vérifier immédiatement que la taxe a été payée. Le paiement pourra se faire par carte bancaire ou via la carte électronique e-Dinar, peu importe le type de véhicule ou le montant de la taxe. Aziza Ben Salem, directrice générale de la comptabilité publique et du recouvrement au ministère des Finances, souligne que ce système vise à simplifier les démarches pour les citoyens et à rendre la gestion des taxes plus efficace.

Cette initiative marque un pas important vers la digitalisation des services publics en Tunisie.

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Lancement d’E-FOPPRODEX à partir de janvier 2026 pour accélérer le soutien aux exportateurs

Le ministère du Commerce et du Développement des exportations annonce dans un communiqué le lancement, à partir de janvier 2026, de la plateforme E-FOPPRODEX. Cette dernière vise à simplifier les procédures, réduire les délais de traitement et accélérer le versement des subventions accordées dans le cadre du Fonds.

En effet, l’étude des conditions et procédures d’attribution des subventions dans leurs différents domaines (soutien au transport, aide directe, opérations publicitaires et promotionnelles, etc.) sera sous la responsabilité d’un comité consultatif. Selon le ministère, ce comité donnera son avis sur les demandes de soutien soumises, de déterminer les taux et délais d’octroi, ainsi que de suivre la mise en œuvre des décisions de soutien et d’évaluer l’efficacité des interventions du Fonds.

 
 

 

 

 

 

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Recettes touristiques en hausse: 7,8 milliards de dinars enregistrés en 2025

Le secteur touristique tunisien continue de confirmer sa reprise. Selon la Banque Centrale de Tunisie (BCT), les recettes touristiques ont atteint 7,8 milliards de dinars à la date du 25 décembre 2025, soit une augmentation de 6,3 % par rapport à la même période en 2024.

La Tunisie, destination touristique phare de la Méditerranée

Cette progression s’accompagne d’un nombre record de visiteurs: plus de 11 millions de touristes ont choisi la Tunisie depuis le début de l’année jusqu’au 22 décembre, a déclaré le ministre du Tourisme, Sofien Tekia, lors d’une cérémonie organisée dans le cadre de la campagne « Tounes Lik », dédiée à la promotion du tourisme intérieur. Comme relayé par l’agence TAP. Cette rencontre a également été l’occasion de présenter le programme « Tunis, capitale du tourisme arabe en 2027 », visant à renforcer l’attractivité de la capitale, selon la même source.

Pour mettre ces chiffres en perspective, ils dépassent largement ceux de 2019, année pré-pandémie, où 9,4 millions de touristes avaient visité le pays. Selon le ministre, cette performance illustre que le secteur a dépassé sa phase de redressement et amorce désormais une stratégie de développement durable, centrée sur un tourisme haut de gamme et une diversification de l’offre touristique.

Cette dynamique, souligne-t-il, démontre la capacité de la Tunisie à attirer davantage de visiteurs et à générer des recettes significatives, malgré les incertitudes économiques et géopolitiques internationales. Le tourisme tunisien s’affirme ainsi comme un moteur de croissance clé, renforçant la réputation du pays comme une destination touristique incontournable en Méditerranée.

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Fin de l’amnistie fiscale sur les immeubles bâtis fixée au 31 décembre

  

Le ministère des Finances invite les contribuables qui ont des arriérés concernant la taxe sur les immeubles bâtis à se rapprocher des recettes municipales pour régulariser leur situation et profiter de l’amnistie fiscale.

Selon l’agence TAP, la Direction générale de la comptabilité publique et du recouvrement (DGCPR) rappelle que le délai pour bénéficier de cette mesure exceptionnelle est fixé au 31 décembre 2025.

 

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Prochainement, un centre sportif pour la jeunesse construit par une société chinoise à Ben Arous

Le projet de construction du Centre sportif pour la jeunesse de Ben Arous a récemment pris une place centrale dans les discussions entre la FIPA-Tunisia et China CAMC Engineering Co., Ltd. (CAMCE), la société publique chinoise affiliée à SINOMACH.

Lors de cette rencontre, Joey Zhou, Directeur Général Adjoint, et Eason Li, Chef de projet, ont eu l’occasion d’échanger avec Jalel Tebib, Directeur Général de la FIPA, sur les perspectives de coopération et les possibilités d’investissements dans de nouveaux projets d’infrastructure en Tunisie. L’accent a notamment été mis sur des secteurs stratégiques comme les aéroports et les ports, qui représentent de véritables leviers pour le développement du pays.

Pour mieux comprendre CAMCE, il faut savoir que cette entreprise publique chinoise, supervisée par le gouvernement central, a été créée pour développer des projets « clés en main » à l’international. Cotée à la Bourse de Shenzhen depuis 2006, elle a déjà joué un rôle majeur dans plusieurs projets en Tunisie, renforçant ainsi son image de partenaire fiable pour des investissements ambitieux.

Mais ce n’est pas tout. La Tunisie a de grands projets structurants en cours ou à venir, tels que l’extension de l’aéroport international de Tunis-Carthage, le port en eau profonde d’Enfidha ou encore le projet Taparura à Sfax. Ces initiatives illustrent parfaitement la volonté du pays de renforcer sa coopération avec ses partenaires internationaux et d’attirer davantage d’investissements étrangers dans ses infrastructures stratégiques. 

En somme, cette rencontre témoigne d’une dynamique encourageante : le dialogue est ouvert, les ambitions sont claires, et la Tunisie continue de se positionner comme un acteur attractif pour les investissements internationaux.

 

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