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Kef : une nouvelle zone industrielle de 80 hectares prévue à Sers pour renforcer le tissu industriel régional

Le tissu industriel au gouvernorat du Kef devrait être renforcé au cours de la période à venir avec une nouvelle zone industrielle qui sera aménagée dans la délégation de Sers à l’est de la région.

Selon le directeur général de l’Agence foncière industrielle Kais Mejri, un Bureau d’études a été chargé de l’élaboration du projet, ajoutant que l’approbation de l’appel d’offres pour la réalisation du chantier est prévue vers le mois de juin 2026.

Les travaux liés à la zone industrielle de Sers devront démarrer avant la fin de l’année prochaine, a-t-il ajouté lors de sa participation de la journée régionale de soutien à l’investissement privé, organisée lundi au siège du gouvernorat du Kef en présence de plusieurs acteurs et représentants des structures locales.

A rappeler que l’AFI avait signé en juin 2020, le plan d’aménagement détaillé de la zone industrielle de Sers au Kef, lequel sera le plus important pôle industriel et de développement dans la région et s’étendra sur 80 hectares.

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Marokko – Japanische Finanzierung ebnet Weg für modernen Fischereihafen in Souiria K’dima

FischerDurch ein ergänzendes Finanzabkommen sichert Japan den Ausbau der Infrastruktur an der marokkanischen Küste und festigt damit seine strategische Präsenz im Maghreb. Rabat – Die wirtschaftliche Zusammenarbeit zwischen Marokko und Japan erfährt eine signifikante Vertiefung. In der Hauptstadt Rabat unterzeichneten Vertreter beider Regierungen am gestrigen Dienstag (23. Dezember 2025) ein Abkommen über zusätzliche Finanzhilfen für […]

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Tunisie : révision de la loi sur le change pour harmoniser amnistie, code des changes et lutte contre le blanchiment

La proposition de loi relative à la régularisation des infractions de change doit être amendée pour identifier les infractions de change qui peuvent être régularisées et définir avec précision les bénéficiaires, ont souligné lundi à Tunis, les représentants de la Banque centrale de Tunisie (BCT) et de la Douane tunisienne, lors d’une journée d’étude dédiée à cette proposition de loi.

«La Banque centrale de Tunisie soutient la proposition de loi relative à la régularisation des infractions de change, présentée par l’Assemblée des représentants du peuple, étant donné qu’elle permettra d’améliorer l’intégration des ressources en devises dans le circuit économique organisé, d’impacter positivement la stabilité monétaire et de rétablir les grands équilibres financiers du pays», a indiqué la Directrice générale des opérations de change à la Banque centrale de Tunisie (BCT), Raoudha Boukadida.

«Toutefois, l’Institut d’émission appelle à réunir les conditions permettant de faire réussir cette proposition de loi. Il s’agit, ainsi, d’harmoniser cette proposition de loi avec le projet de code des changes qui sera soumis à la commission des Finances, outre le parachèvement du processus d’adhésion de la Tunisie à l’accord sur l’échange automatique de renseignements en matière fiscale”.

A cet égard, la Directrice générale a rappelé que le projet de code des changes vise à moderniser et à simplifier les opérations de change et à renforcer la confiance entre l’Etat et les citoyens. Il s’agit, également, de l’obligation de prendre en compte les exigences des structures internationales dans le domaine de lutte contre le blanchiment d’argent.

Ainsi, la législation relative à l’amnistie d’infractions de change ou ses textes d’application doivent contenir les quatre principes de base définis par le Groupe d’action financière (GAFI), pour garantir que cette législation ne soit pas exploitée à des fins de blanchiment d’argent .

Ces principes consistent en l’application effective des mesures de diligence raisonnable pour lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, l’interdiction de l’exemption de l’application de ces mesures, la coordination et la coopération au niveau local pendant toute la durée d’application de ces dispositions, et la coopération internationale permettant à la Tunisie d’échanger des informations avec les pays où se trouvent les fonds et les biens.

La Tunisie a connu une période d’amnistie de change en 2007, laquelle a permis au pays de récupérer près de 12 millions d’euros, durant douze mois, soit l’équivalent de 21,02 millions de dinars ( sur la base de 1euro= 1,7519 dinar, ce qui représente 0,05 % du Produit intérieur brut (PIB), a-t-elle rappelé

De son côté, le Colonel Anouar Sebii, Directeur des contentieux et des poursuites à la Direction générale des douanes au ministère des finances, a mis l’accent sur l’importance de cette proposition de régularisation des infractions de change, notamment avec l’accroissement des infractions de change à cause de la pluralité des textes juridiques et réglementaires, en lien avec la législation des changes.

Il a également appelé à adapter cette proposition avec la loi organique relative à la lutte contre le terrorisme et la répression du blanchiment d’argent, dans son article 92 et de faire bénéficier, de cette amnistie, les personnes sous le coup de poursuites judiciaires pour cause d’infractions de change, et de clarifier son domaine d’application.

De son côté, Maher Ketari, membre de la Commission des finances à l’ARP, a indiqué que cette proposition de loi prévoit toutes les garanties nécessaires pour que les personnes concernées par cette amnistie puissent adhérer à ce processus, et ce en arrêtant toutes les poursuites judiciaires à leur encontre, de la part de la douane, des recettes des finances et du ministère de la Justice.

Pour sa part, le Président de la commission de Finances, Abdel jalil El Heni a souligné que cette proposition de loi fera l’objet d’un examen plus approfondi pour prendre en compte les remarques de la Douane tunisienne et de la BCT, notamment en termes d’élargissement du champ d’application de cette amnistie de change (résident et non résident, personnes physiques et morales). Dans l’actuelle proposition de loi, les bénéficiaires de la régularisation des infractions de change sont seulement les personnes physiques résidentes.

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Marokko – König Mohammed VI. ordnet umfassendes Hilfsprogramm für Flutopfer in Safi an

KönigNach königlicher Direktive leitet die Regierung dringende Sanierungsmaßnahmen und finanzielle Unterstützung für die betroffene Bevölkerung in der Region Safi ein. Rabat – Nach den außergewöhnlichen Überschwemmungen, die am Sonntag, dem 14. Dezember 2025, die Stadt Safi erschütterten, hat die marokkanische Regierung ein weitreichendes Sanierungsprogramm initiiert. Die Maßnahmen erfolgen auf ausdrückliche Anweisung von König Mohammed VI. […]

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Blanchiment d’argent | La Tunisie classée 119e sur 177 pays

Selon l’édition 2025 de l’Indice de Bâle sur la lutte contre le blanchiment d’argent, publié chaque année par l’Institut de Bâle sur la gouvernance (Suisse), la Tunisie obtient un score global de 4,75 sur une échelle de 0 à 10 et se classe 119e sur 177 juridictions incluses dans le classement mondial.

Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, Tunis obtient le même score (4,75), dans un contexte où la région présente des niveaux moyens marqués par des problèmes critiques, notamment en matière de «transparence et de normes financières», selon la ventilation des domaines de l’indice.

Sur le continent africain, la Tunisie figure parmi les dix pays présentant le plus faible niveau d’exposition au risque, aux côtés du Botswana, des Seychelles et de Maurice, entre autres.

Cependant, dans le système de classification 2025 cité par les acteurs du secteur, seuls le Botswana, les Seychelles et Maurice appartiennent à la catégorie «faible risque», tandis que la Tunisie, avec un score de 4,75, demeure dans la catégorie «risque moyen». Il y a donc des efforts à faire pour améliorer la transparence financière dans le pays.

Le rapport souligne que l’indice de Bâle sur la lutte contre le blanchiment d’argent ne mesure pas le volume réel des activités de blanchiment d’argent, mais un profil de risque fondé sur un ensemble d’indicateurs et de sources publiques : l’édition 2025 utilise des données provenant de 17 sources, dont des organismes internationaux et des rapports tels que le Groupe d’action financière (Gafi), et agrège les résultats en cinq domaines, allant du cadre réglementaire LBC/FT aux risques politico-juridiques et de transparence.

Dans le contexte mondial, l’édition 2025 met en évidence une moyenne globale globalement stable, avec une légère amélioration (de 5,30 à 5,28), et révèle des tendances divergentes selon les régions. On observe des progrès dans plusieurs juridictions africaines, mais aussi des signes de déclin chez certains pays ayant historiquement affiché de bonnes performances.

Pour le secteur bancaire et financier tunisien, le classement dans cet indice constitue un indicateur de réputation utile pour l’évaluation des risques, notamment en termes de coûts de conformité, de relations de banque correspondante et d’attractivité pour les opérateurs internationaux, même s’il ne certifie pas le niveau réel des flux illicites.

Télécharger le rapport en anglais.

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Marokko – Flutkatastrophe in Safi – Opferzahl auf 37 gestiegen

UnwetterHeftige Regenfälle in der Provinz Safi führten zu einem dramatischen Anstieg der Todesopfer. Neueste Berichte melden 37 Tote und 14 Verletzte. Die Behörden setzen ihre Rettungsaktionen fort und mahnen zu erhöhter Vorsicht. Casablanca – Die durch schwere Gewitter ausgelösten Überschwemmungen in der marokkanischen Provinz Safi haben zu einem weiteren dramatischen Anstieg der Opferzahlen geführt. Nach […]

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Marokko – Unwetterkatastrophe in Safi fordert Dutzende Opfer

UnwetterSchnelle Sturzfluten nach heftigen Gewittern führen zu einer steigenden Zahl von Todesopfern und massiven Schäden in der marokkanischen Provinz Safi. Die Rettungs- und Bergungsarbeiten dauern an. Casablanca – Die marokkanische Provinz Safi wurde am Sonntagabend, dem 14. Dezember 2025, von heftigen Regenfällen und Gewittern heimgesucht, die innerhalb kürzester Zeit zu außergewöhnlichen Überschwemmungen führten. Die dadurch […]

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Maroc : de violentes inondations font au moins 21 morts et des dizaines de blessés

Maroc : de violentes inondations à Safi font au moins 21 morts et des dizaines de blessés

De fortes pluies et des crues soudaines ont fait au moins 21 morts et 32 blessés dans la province côtière de Safi, au Maroc, ont déclaré, dimanche, les autorités locales dans un communiqué. Les inondations ont été provoquées par de violents orages qui ont frappé la province pendant environ une heure, submergeant des dizaines de […]

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Inondations meurtrières au Maroc : Au moins 21 morts après des crues soudaines

Des inondations d’une rare violence ont frappé la ville côtière de Safi, au Maroc, à la suite de pluies torrentielles et concentrées en un laps de temps très court. Les crues soudaines ont surpris les habitants, provoquant un lourd bilan humain et d’importants dégâts matériels. Les autorités locales ont déclenché des opérations de secours d’urgence pour venir en aide aux sinistrés et sécuriser les zones touchées.

Des pluies diluviennes et une montée brutale des eaux

Selon les autorités locales, des précipitations exceptionnelles se sont abattues sur Safi en moins d’une heure, entraînant la montée soudaine des eaux dans plusieurs quartiers urbains. Des rues se sont transformées en torrents, emportant véhicules et piétons, tandis que des habitations et des commerces ont été envahis par les flots, notamment dans des zones densément peuplées proches des oueds.

Les services de protection civile font état d’au moins 21 décès, un bilan encore provisoire, ainsi que de dizaines de blessés pris en charge par les hôpitaux de la région. Des familles entières ont été surprises à leur domicile, certaines personnes ayant été piégées dans leurs véhicules ou dans des locaux en contrebas.

Mobilisation des secours et mesures d’urgence

Les équipes de la protection civile, appuyées par les forces de sécurité et les autorités municipales, ont été déployées toute la nuit pour rechercher d’éventuelles victimes, évacuer les habitants des zones à risque et rétablir la circulation sur les axes coupés. Plusieurs établissements scolaires et infrastructures publiques ont subi des dégâts, tandis que l’électricité et l’eau ont été temporairement interrompues dans certains quartiers.

Les autorités ont appelé les citoyens à la vigilance, les prévisions météorologiques faisant état d’un risque persistant de nouvelles précipitations dans la région.

Ces inondations surviennent dans un contexte marqué par des extrêmes climatiques de plus en plus fréquents au Maroc, alternant entre sécheresse prolongée et épisodes de pluies intenses.

Les spécialistes alertent sur la vulnérabilité accrue des zones urbaines face aux crues soudaines, appelant à un renforcement des dispositifs de prévention, d’aménagement et d’alerte précoce pour limiter l’impact de tels phénomènes à l’avenir.

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Liban : Hannibal Kadhafi libéré sous caution de 11 millions de dollars

Après près de dix années de détention au Liban, Hannibal Kadhafi, fils de l’ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, a obtenu une décision de libération conditionnelle. La justice libanaise a ordonné sa remise en liberté sous caution, assortie de plusieurs restrictions.

Selon des sources judiciaires libanaises, la libération est soumise au versement d’une caution estimée à 11 millions de dollars. Toutefois, cette décision ne signifie pas un retour immédiat à la liberté totale : Hannibal Kadhafi reste soumis à une interdiction de quitter le territoire libanais pendant deux mois, le temps que les procédures complémentaires soient finalisées.

Arrêté en décembre 2015 au Liban, Hannibal Kadhafi avait été détenu dans le cadre de l’enquête sur la disparition en 1978 de l’imam chiite Moussa Sadr, une affaire hautement sensible pour la communauté chiite libanaise. Bien qu’il n’ait jamais été inculpé directement dans cette affaire, il a été maintenu en détention préventive pendant des années, sans procès formel, suscitant de nombreuses critiques d’ONG et de juristes dénonçant une détention arbitraire.

Neuf ans de détention controversée

La décision libanaise intervient dans un contexte de pressions diplomatiques de la part des autorités libyennes, qui réclament depuis longtemps son rapatriement. Sa famille, notamment sa mère Safia Farkash, basée à Oman, affirme qu’Hannibal n’a aucun lien avec l’affaire Moussa Sadr, étant âgé de seulement trois ans au moment des faits.

Cette libération conditionnelle pourrait également ouvrir une nouvelle phase de négociations entre Beyrouth et Tripoli, alors que la question des disparus libyens et libanais reste une plaie ouverte.

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Affaire Ahmed Abdelkefi : Trois mandats de dépôt

L’homme d’affaires et deux anciens directeurs généraux de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), dont Jamel Belhaj et Boutheina Ben Yaghlane, ont été incarcérés après l’émission des mandats de dépôt dans la nuit de mercredi à jeudi.

Le pôle judiciaire économique et financier tunisien a significativement fait progresser son enquête sur les soupçons de corruption et de malversations au sein de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC). L’émission des trois mandats de dépôt est intervenue en l’espace de quelques heures, durant la nuit de mercredi à jeudi, concentrant ainsi l’action judiciaire sur trois figures centrales de la sphère économique.

Les mandats d’incarcération visent :

  • L’homme d’affaires Ahmed Abdelkefi, fondateur de Tunisie Valeurs et figure majeure du monde des affaires.
  • Jamel Belhaj, ancien directeur général de la CDC, qui a précédé sa successeure.
  • Boutheina Ben Yaghlane, ancienne directrice générale de l’institution, en poste d’avril 2016 à août 2021.

Le placement en détention de ces personnalités, qui représentent à la fois le secteur privé et la haute administration financière publique, marque une escalade dans l’instruction de ce dossier sensible.

Le Cœur des Enquêtes

L’affaire, dont la révélation publique remonte au 25 septembre avec la garde à vue d’Ahmed Abdelkefi, porte sur des indices sérieux de corruption financière et administrative. Les investigations se concentrent sur de possibles irrégularités et l’usage présumé illégal de fonds au sein de la CDC, un établissement stratégique placé sous l’égide du ministère des Finances.

Le parquet du pôle judiciaire a justifié les mesures coercitives par la nécessité de faire toute la lumière sur l’étendue des malversations et de déterminer les responsabilités exactes des dirigeants impliqués. L’enquête se focalise notamment sur les mécanismes de corruption présumés qui auraient entaché la gestion de la Caisse.

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Affaire du financement libyen : Nicolas Sarkozy reconnu coupable d’association de malfaiteurs

Le tribunal correctionnel de Paris a rendu ce jeudi un jugement historique : l’ancien président de la République française Nicolas Sarkozy a été reconnu coupable d’association de malfaiteurs dans l’affaire du supposé financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. En revanche, il a été relaxé des accusations de corruption.

La présidente du tribunal, Nathalie Gavarino, a estimé que Nicolas Sarkozy avait « laissé ses proches collaborateurs agir afin d’obtenir des soutiens financiers » du régime de Mouammar Kadhafi. Selon la décision de justice, cette attitude constitue bien une participation à une organisation criminelle, même si aucune preuve directe de corruption personnelle n’a été retenue contre lui.

Ce procès est l’un des volets les plus sensibles de la longue saga judiciaire autour du financement présumé par la Libye de la campagne victorieuse de 2007. L’enquête avait débuté en 2013, après des révélations de la presse et les témoignages d’anciens dignitaires libyens.

Ce que dit la loi

Que dit la loi en matière d’association de malfaiteurs ? « Constitue une association de malfaiteurs tout groupement formé ou entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d’un ou plusieurs crimes ou d’un ou plusieurs délits punis d’au moins cinq ans d’emprisonnement […] la participation à une association de malfaiteurs est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende », selon le Code pénal français.

Ce n’est pas la première condamnation de Nicolas Sarkozy : en mars 2021, il avait été condamné à trois ans de prison, dont un ferme, pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire dite des « écoutes », un verdict confirmé en appel. Il reste par ailleurs visé dans d’autres procédures, notamment liées au financement de ses campagnes électorales.

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