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Luttes internes à l’UGTT : la démission de Taboubi officialise la crise

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a officiellement remis sa lettre de démission au bureau d’ordre central du syndicat. Il reste à présent à savoir si le bureau exécutif de l’UGTT acceptera ou rejettera cette démission.

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UGTT : Noureddine Taboubi jette l’éponge

Un tournant majeur semble se dessiner au sein de l’Union générale tunisienne du travail. Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a présenté sa démission ce mardi, a annoncé le secrétaire général adjoint de l’organisation et son porte-parole, Sami Tahri, selon ce qu’a rapporté l’Agence Tunis Afrique Presse (TAP).

D’après les mêmes sources, cette décision intervient dans un contexte de fortes tensions et de divergences persistantes au sein des structures dirigeantes de l’UGTT.

Des désaccords internes qui se seraient accentués ces dernières semaines, notamment lors des dernières réunions de la commission administrative nationale, au cours desquelles le secrétaire général aurait déjà laissé entrevoir la possibilité d’un retrait.

Quelle suite ?

La démission de Noureddine Taboubi revêt désormais un caractère formel sur le plan administratif. Toutefois, elle ne devient effective qu’après examen par les instances compétentes de l’organisation syndicale, seules habilitées à statuer sur son acceptation ou son rejet, conformément aux statuts de l’UGTT.

Cette évolution ouvre une phase d’incertitude au sein de la principale centrale syndicale du pays, à un moment marqué par des enjeux sociaux et économiques majeurs. Les prochaines décisions des organes dirigeants seront déterminantes pour la suite, tant sur le plan organisationnel que sur l’équilibre interne de l’UGTT.

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Démission de Noureddine Taboubi l Entre adieu et au revoir

En cas de confirmation des informations à ce sujet relayées ce mardi 23 décembre 2025 dans les cercles syndicaux à Tunis, la démission de Noureddine Taboubi serait un abandon en rase campagne du leader syndicaliste le plus controversé que la Tunisie ait eu dans toute son histoire.

Selon des sources habituellement bien informées, le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a déposé sa démission auprès du bureau d’ordre de la puissante centrale syndicale. Il faut dire que des rumeurs de démission du dirigeant syndical ont déjà circulé avant d’être démenties par l’intéressé le 10 décembre courant.

S’agit-il d’une nouvelle manœuvre pour mettre fin à la crise sévissant au sein de l’UGTT depuis plusieurs mois et faire taire les voix de ceux, de plus en plus nombreux, qui exigent sa démission avant même le prochain congrès prévu en février 2026 ?

S’attend-il, plutôt, à ce que ses troupes, ainsi abandonnées, se mobilisent et le rappellent aux commandes, qui plus est à un mois d’un important rendez-vous syndical : la grève générale nationale fixée pour le 21 janvier prochain ?

A moins que, face à une opposition syndicale de plus en plus forte et déterminée à en finir avec son règne et ses pratiques antidémocratiques, il se soit résigné à jeter l’éponge, quitte à sortir par la petite porte. Ce qui ferait le bonheur de beaucoup de Tunisiens, à commencer par le président de la république Kaïs Saïed, qui ne l’a pas reçu depuis 2022. Et l’a souvent accusé, lui et les autres dirigeants de l’UGTT, de corruption.

Wait and see…

I. B.  

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Des élus de Kasserine réclament la révocation du gouverneur

Une vive tension secoue de nouveau la scène locale à Kasserine. Dans un communiqué rendu public lundi 20 octobre 2025, plusieurs députés du Conseil national des régions et des districts représentant la région, rejoints par des membres du conseil régional et des conseils locaux, ont appelé à la révocation immédiate du gouverneur de Kasserine.

Dans un communiqué les élus affirment que « le travail avec le gouverneur est devenu impossible en raison de son attitude d’exclusion et de marginalisation à leur égard ».

Cette prise de position met en lumière un nouveau bras de fer entre les représentants élus et l’autorité régionale, dans un contexte marqué par des tensions récurrentes autour de la gouvernance locale et du partage des compétences entre institutions.

Selon plusieurs sources locales, les tensions entre les élus et le gouverneur ne datent pas d’hier. Des désaccords sur la gestion des projets de développement et la répartition des ressources auraient progressivement détérioré les relations entre les deux parties. Certains élus dénoncent notamment un manque de transparence et de concertation dans la prise de décision, estimant que le gouverneur « agit de manière unilatérale, sans tenir compte des instances représentatives issues des élections locales ».

Aucune réaction officielle du gouverneur n’a encore été publiée. Mais cette nouvelle fronde des élus locaux met en évidence un climat de méfiance grandissant entre l’administration régionale et les représentants du peuple, dans une région déjà marquée par des retards de développement et un fort sentiment de marginalisation.

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Crise politique en France : A peine nommé, Sébastien Lecornu démissionne

Moins de 24 heures après avoir dévoilé la composition de son gouvernement, le Premier ministre français Sébastien Lecornu a remis sa démission au président Emmanuel Macron, qui l’a immédiatement acceptée. Cet événement marque un tournant majeur dans la crise politique que traverse la France.

Sébastien Lecornu, nommé Premier ministre il y a quelques jours seulement, détient désormais le record de la plus courte durée à la tête du gouvernement sous la Ve République. La décision de démissionner intervient après de vives critiques concernant la composition de son équipe.

Dimanche 5 octobre, Lecornu avait présenté un gouvernement de 18 ministres, dont 13 reconduits de l’administration précédente. Cette annonce a suscité un tollé politique :

  • À droite, le parti Les Républicains, par la voix de Bruno Retailleau, a jugé que la nouvelle équipe ne respectait pas la « rupture promise ».
  • À gauche, certaines formations politiques ont évoqué des motions de censure, tandis que le Rassemblement national a appelé à la dissolution de l’Assemblée nationale.

Les coulisses d’une crise

La démission exprime la fragilité du gouvernement actuel et la difficulté pour Emmanuel Macron de composer avec une majorité éclatée et une opposition déterminée. La rapidité de ce départ souligne également les tensions internes au sein de l’exécutif et le poids des critiques dès l’annonce de la nouvelle équipe gouvernementale.

Les discussions sur une éventuelle dissolution de l’Assemblée nationale sont désormais au cœur des débats politiques, et la scène politique française reste en alerte.

Avec cette démission, le président Macron doit rapidement nommer un nouveau Premier ministre capable de stabiliser la situation et de négocier avec une majorité parlementaire fragmentée. La communauté politique et les citoyens attendent désormais des annonces sur la composition d’un gouvernement capable de répondre aux attentes et de relancer l’action gouvernementale.

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