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Capital humain : la Tunisie n°1 en Afrique

EnseignementLongtemps réduite à ses fragilités économiques, la Tunisie demeure pourtant l’un des rares pays africains à pouvoir revendiquer une véritable puissance éducative. Derrière les clichés, les chiffres révèlent un leadership discret mais solide en matière de capital humain, fruit d’une histoire millénaire, de choix politiques structurants et d’un attachement profond au savoir. De Carthage à l’université moderne, ce texte rappelle pourquoi l’éducation reste, pour la Tunisie, le plus sûr des investissements stratégiques.

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Alertes virus : grippe saisonnière en hausse et signaux de surveillance virale

VirusSur les sept derniers jours, les signaux de veille concernent surtout les virus respiratoires saisonniers (grippe A(H3N2)) et, en Afrique, la surveillance d’événements à potentiel épidémique rapportés par des organismes de santé. En Tunisie, les communications publiques se concentrent sur la vaccination antigrippale et la surveillance de certains virus.

Tunisie : rappel vaccination antigrippale et messages de surveillance

Le 22 décembre 2025, le ministère de la Santé a appelé les groupes à risque (personnes âgées, femmes enceintes, pèlerins, diabétiques, patients cardio-respiratoires) à se faire vacciner contre la grippe saisonnière. La même communication rappelle la mise à disposition (annoncée en octobre) de 280 000 doses, avec une protection estimée 70–80% contre quatre souches, et un prix indiqué entre 37 et 41 TND la dose.

En parallèle, les canaux institutionnels tunisien publient des contenus de sensibilisation sur la grippe et la prévention.

Monde : hausse de la grippe A(H3N2) et sous-clade « K »

L’OMS signale une augmentation mondiale de l’activité grippale ces derniers mois, avec une prédominance de la grippe A et une proportion accrue de virus A(H3N2). L’OMS mentionne une montée rapide (depuis août 2025) de virus A(H3N2) sous-clade K ; les données disponibles n’indiquent pas d’augmentation de sévérité, et la vaccination reste recommandée, notamment pour prévenir les formes graves.

En Europe, l’OMS (via sa communication relayée le 17 décembre 2025) évoque une activité grippale élevée dans la région, avec une forte part attribuée à A(H3N2) sous-clade K et un impact sur les systèmes de soins.

Afrique : points de veille sur événements à risque

Des organismes de veille publient des mises à jour sur des événements en cours sur le continent. À titre d’exemple, le NICD (Afrique du Sud) indique qu’en Éthiopie, au 15 décembre 2025, le ministère de la Santé a rapporté 14 cas confirmés de maladie à virus Marburg et 9 décès.

ProMED diffuse aussi des alertes de surveillance, dont un signal sur l’augmentation de la grippe en Algérie (publication datée 23 décembre 2025).

Symptômes et risques associés aux virus sous surveillance

Symptômes les plus fréquemment rapportés (virus respiratoires, dont la grippe)

  • Fièvre (souvent brutale)
  • Toux, maux de gorge
  • Fatigue intense, courbatures
  • Maux de tête
  • Congestion ou écoulement nasal
  • Essoufflement dans certains cas
    (Les symptômes peuvent varier selon l’âge, l’état de santé et le virus en cause.)

Populations à risque de formes graves

  • Personnes âgées (≥65 ans)
  • Femmes enceintes
  • Personnes atteintes de maladies chroniques (diabète, maladies cardiaques ou respiratoires)
  • Personnes immunodéprimées
  • Jeunes enfants, notamment nourrissons

Risques et complications possibles

  • Aggravation de maladies chroniques existantes
  • Complications respiratoires (ex. pneumonie)
  • Hospitalisation, notamment chez les groupes à risque
  • Surcharge des systèmes de soins en période de forte circulation virale

Mesures de prévention rappelées par les autorités sanitaires

  • Vaccination antigrippale pour les groupes à risque
  • Hygiène des mains régulière
  • Port du masque en cas de symptômes respiratoires
  • Aération des espaces clos
  • Consultation médicale en cas de symptômes sévères ou persistants

Encadré établi à partir des communications des autorités sanitaires tunisiennes et internationales sur la grippe saisonnière et la surveillance virale.

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CAN 2025 Maroc : la Tunisie face à l’Ouganda pour son entrée en lice

CAN FOOTBALL 2025La Tunisie et l’Ouganda s’affrontent mardi à Rabat pour leur entrée en lice dans le Groupe C de la Coupe d’Afrique des Nations. Le match se jouera au Stade Annexe Olympique Prince Moulay Abdellah, avec un coup d’envoi prévu à 21h00 heure locale.

Un historique largement favorable à la Tunisie

Il s’agira de la troisième confrontation entre les deux sélections en phase finale de CAN. Les précédents datent de 1962 et 1978, avec deux succès tunisiens. En 1962, la Tunisie s’était imposée 3-0 lors du match pour la troisième place. En 1978, les Aigles de Carthage avaient de nouveau gagné, 3-1, en phase de groupes. Sur l’ensemble de leurs confrontations, toutes compétitions confondues, la Tunisie affiche un bilan parfait avec six victoires et un score cumulé de 16-1.

Une Tunisie en quête de relance

La Tunisie dispute sa 22e phase finale de CAN, la 17e consécutive, un record de régularité depuis 1994. Championne d’Afrique en 2004, elle reste toutefois sur une élimination dès la phase de groupes lors de la CAN 2023, sans la moindre victoire. Les Tunisiens n’ont remporté qu’un seul de leurs six derniers matches de CAN et restent sur cinq matches d’ouverture sans succès.

Le sélectionneur Sami Trabelsi connaît bien la compétition. Ancien international, il avait déjà dirigé la Tunisie lors des CAN 2012 et 2013. Sous sa direction, la sélection avait remporté ses matches inauguraux lors de ces deux éditions. En qualifications, la Tunisie s’est classée deuxième de son groupe derrière les Comores, avec des succès notables face à Madagascar et en Gambie.

L’Ouganda retrouve la CAN

L’Ouganda participe à sa huitième phase finale, la première depuis 2019. Finalistes en 1978, les Cranes restent une équipe irrégulière en phase finale. Ils ont perdu leur match d’ouverture lors de cinq de leurs sept précédentes participations. Leur dernière victoire en CAN remonte à 2019 contre la RDC.

Le sélectionneur Paul Put dispute sa quatrième CAN en tant qu’entraîneur. Il n’a encore jamais remporté de match d’ouverture dans la compétition. L’Ouganda s’est qualifié en terminant deuxième de son groupe derrière l’Afrique du Sud, avec Denis Omedi comme meilleur buteur des qualifications.

CHIFFRES CLES
  • 22 participations : La Tunisie figure parmi les nations les plus régulières de la CAN. Cette longévité reflète une présence constante au plus haut niveau africain.
  • 17 CAN consécutives : Depuis 1994, la Tunisie n’a manqué aucune édition. Un record partagé au sommet du continent.
  • 6 victoires en 6 matches : Le bilan parfait face à l’Ouganda souligne une domination historique.
  • 8 participations ougandaises : Une présence plus rare, marquée par de longues absences entre les éditions.
  • 1978 : L’Ouganda avait atteint la finale, son meilleur résultat à ce jour.

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La Tribune de l’IA | Bourse de Tunis : Un marché qui n’a plus besoin de courir

BourseLa séance du 22 décembre 2025 à la Bourse de Tunis n’a rien d’anecdotique. À première vue, les chiffres semblent sages : une progression marginale du TUNINDEX, un TUNINDEX20 quasi stable, des variations sectorielles contenues. Pourtant, derrière cette apparente tranquillité se cache un message bien plus profond : le marché tunisien est entré dans une phase de maturité.

Avec une performance annuelle supérieure à 33 %, les indices évoluent désormais à proximité de leurs plus hauts historiques. Dans ce contexte, l’absence de volatilité excessive n’est pas un signe de faiblesse, mais bien de discipline. Le marché ne corrige pas brutalement, il consolide. Et cette nuance est essentielle.

La rotation sectorielle comme boussole

La séance a été marquée par une orientation claire vers les valeurs financières, notamment les assurances et les banques. Ce mouvement n’a rien de conjoncturel. Il traduit une préférence assumée des investisseurs pour les secteurs offrant visibilité, régularité des résultats et capacité de distribution.

À l’inverse, les replis observés dans le bâtiment, les matériaux de construction ou certaines industries lourdes rappellent une réalité simple : en phase de marché avancée, la croissance seule ne suffit plus. La qualité du bilan, la génération de cash et la soutenabilité du modèle économique deviennent les véritables critères de sélection.

Le signal clé : la liquidité

S’il fallait retenir un seul indicateur de cette séance, ce serait sans hésitation celui des capitaux échangés. Près de 18,8 millions de dinars traités en une journée, et plus de 4,9 milliards de dinars cumulés sur l’année 2025, en hausse de plus de 50 % par rapport à 2024. Ce chiffre est structurant.

Il signifie que la Bourse de Tunis n’est plus un marché marginal animé uniquement par des flux opportunistes. Elle attire désormais des investisseurs institutionnels, des arbitrages de long terme et une véritable profondeur de marché, comme en témoigne la montée en puissance des transactions de blocs et du marché obligataire.

Banques : pilier, pas simple moteur

Les valeurs bancaires continuent de concentrer l’essentiel de l’activité. BIAT à encore joué un rôle central, non seulement en terme de capitalisation, mais surtout comme repère de confiance pour le marché. Elle n’est plus simplement un moteur de performance, mais un piliers de stabilité.

Autour de ce noyau dur, certaines valeurs industrielles et de consommation réussissent à capter l’attention, à condition de présenter un récit crédible : visibilité opérationnelle, discipline financière et capacité d’adaptation. La sélectivité n’est plus une option, elle est devenue la règle.

2026 : la fin de l’innocence boursière

La consolidation actuelle ne doit pas être interprétée comme un avertissement, mais comme une transition. Le marché tunisien entre dans une phase où la performance ne sera plus collective, mais différenciée. Les investisseurs devront abandonner les réflexes de suivi d’indice pour renouer avec l’analyse fondamentale et le timing.

En ce sens, la séance du 22 décembre 2025 pourrait bien rester comme un marqueur : celui d’un marché qui a réussi sa hausse, et qui s’apprête désormais à affronter l’exigence de la maturité.

Palmarès de la séance

🔥 Valeurs les plus actives (capitaux)

– BIAT – 1,92 MD TND

  • ATB – 0,94 MD TND
  • SOTUVER – 0,50 MD TND
  • SAH – 0,21 MD TND
  • TPR – 0,18 MD TND

➡ Forte domination des banques et des mid caps industrielles liquides.

📈 Top hausses

  • STAR : +4,49 %
  • STIP : +4,35 %
  • UADH : +3,57 %
  • SANIMED : +3,51 %
  • UIB : +3,32 %

📉 Top baisses

  • SIPHAT : -4,42 %
  • ESSOUKNA : -4,26 %
  • BTE (ADP) : -4,05 %
  • Ciments de Bizerte : -4,00 %
  • OfficePlast : -3,66 %

📌 Lecture :
Les baisses touchent surtout :

  • des titres faiblement liquides,
  • ou structurellement fragiles (ciment, immobilier, santé publique).
Avertissement — Le présent article a été généré à l’aide d’un outil d’intelligence artificielle à partir des informations publiques contenues dans La physionomie quotidienne de la Bourse de Tunis. Les analyses, scénarios et simulations proposés ont une vocation strictement informative et pédagogique. Ils ne constituent ni une recommandation d’investissement ni un conseil financier personnalisé. Les données sources demeurent la propriété de leurs émetteurs respectifs.

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L’UVT dévoile le Plan d’action 2025 pour l’intégration de l’IA dans l’enseignement supérieur tunisien

Une feuille de route nationale pour l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) dans l’enseignement supérieur et la recherche scientifique a été dévoilée par l’Université virtuelle de Tunis (UVT), marquant une étape stratégique pour le secteur académique tunisien.

Sur sa page Facebook officielle, l’UVT a annoncé la mise à disposition de l’ensemble des documents officiels élaborés à l’issue de consultations élargies avec toutes les parties prenantes. Parmi ces documents figurent les orientations stratégiques ainsi que le Plan d’action 2025 pour l’intégration de l’IA, désormais accessibles au public.

Deux publications majeures accompagnent cette annonce : une étude prospective sur l’intégration de l’IA dans l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, disponible via le lien suivant : https://lnkd.in/dvq_tKnb, ainsi que le Plan d’action 2025 détaillé, accessible à l’adresse : https://lnkd.in/dsqM7JCu.

Cette initiative fait suite à la tenue, le 4 décembre 2025, d’une journée consacrée au thème « La stratégie de l’IA dans l’enseignement supérieur, en action », dont un compte rendu détaillé est disponible via le lien : https://lnkd.in/dqgbTHqh.

Créée en 2002, l’Université virtuelle de Tunis a pour mission de soutenir le développement de l’enseignement supérieur en Tunisie à travers la promotion de l’enseignement à distance, l’intégration des technologies de l’information et de la communication (TIC), ainsi que la conception de programmes en ligne innovants destinés aux étudiants et aux enseignants.

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FISCALITE : Régime forfaitaire, 38,9 % des contribuables pour seulement 0,5 % des recettes fiscales

Régime ForfaitaireTunis, 20 décembre – Le régime forfaitaire illustre les déséquilibres du système fiscal tunisien. Bien qu’il regroupe 38,9 % des contribuables, sa contribution aux recettes fiscales n’a pas dépassé 0,5 % au cours des cinq dernières années. Ce constat figure dans un rapport récent de l’Institut Tunisien des Études Stratégiques (ITES), intitulé « Vers un système fiscal équitable, incitatif et résilient, au service de la vision 2035 ».

Déséquilibres d’équité horizontale et verticale

Selon l’ITES, l’analyse du système fiscal tunisien met en évidence des déséquilibres à la fois horizontaux et verticaux. Sur le plan horizontal, la coexistence de nombreux régimes préférentiels a généré des distorsions importantes. Une étude menée en 2022 par le Centre de Recherches et d’Études Sociales (CRES) a recensé 347 mesures dérogatoires au droit fiscal commun. Ces dispositifs auraient entraîné un manque à gagner estimé à 2,8 % du PIB, bénéficiant principalement aux secteurs exportateurs et aux zones de développement régional, sans évaluation systématique de leur efficacité économique.

L’équité verticale apparaît également fragilisée. D’après les calculs de l’Institut National de la Statistique (INS) pour 2023, les ménages appartenant au décile le plus pauvre supportent un taux d’imposition effectif de 18,2 %, contre 16,7 % pour le décile le plus riche. Cette situation a motivé la réforme du barème de l’impôt sur le revenu introduite par la loi de finances 2025, avec un taux marginal porté à 40 % et un réaménagement des paliers de l’IRPP.

Un cadre fiscal complexe et instable

L’ITES souligne aussi la complexité du cadre fiscal. Plus de 1 000 mesures ont été introduites dans la législation en moins de 14 ans. Cette instabilité normative alimente une incertitude juridique jugée défavorable à l’investissement et accroît les coûts de conformité pour les entreprises.

Un rendement inférieur aux standards internationaux

Le rendement global du système fiscal tunisien reste en deçà des références internationales. En 2023, le ratio des recettes fiscales au PIB s’est établi à 25,2 %, contre 33,9 % en moyenne dans les pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). L’ITES évalue le « Tax Gap » à environ 4,2 % du PIB, soit près de 5,2 milliards de dinars.

Les axes d’une réforme structurelle

Pour l’Institut, une réforme fiscale structurelle s’impose. Elle devrait s’appuyer sur la digitalisation intégrale de l’administration fiscale, l’introduction d’une fiscalité verte alignée sur les Objectifs de développement durable, le renforcement de l’équité et de l’inclusion sociale, ainsi que l’adaptation aux standards internationaux et aux règles anti-évasion.

Une telle réforme permettrait d’augmenter les recettes fiscales de 3 à 4 points de PIB à l’horizon 2035, soit 4 à 5 milliards de dinars de ressources annuelles supplémentaires. Elle s’inscrirait dans le cadre de la Vision Tunisie 2035, fondée sur la gouvernance, la compétitivité économique, le développement humain et la durabilité environnementale.

Chiffres Clés

  • 38,9 % des contribuables : Les forfaitaires constituent une part importante des assujettis. Leur contribution reste cependant marginale. Cela interroge l’équité du régime.
  • 347 mesures dérogatoires : Elles réduisent l’assiette fiscale. Leur efficacité économique n’est pas systématiquement évaluée. Leur coût est estimé à 2,8 % du PIB.
  • Tax Gap de 4,2 % du PIB : Cet écart révèle des inefficiences structurelles. Il représente environ 5,2 milliards de dinars. Sa réduction constitue un levier majeur de réforme.

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La Tribune de l’IA | Bourse de Tunis : fin d’année solide, mais place à la sélectivité

Bourse HebdoLa Bourse de Tunis a clôturé la semaine du 15 au 19 décembre sur une note globalement positive, confirmant la solidité du marché après une année exceptionnelle. Derrière la stabilité des indices, les investisseurs opèrent une rotation sectorielle marquée, ouvrant la voie à des opportunités tactiques à court terme pour les profils actifs.

Un marché en consolidation après une année record

Le TUNINDEX s’est établi à 13 248,80 points à la clôture de la semaine, en progression hebdomadaire de 0,17 %. Sur l’ensemble de l’année, la performance dépasse désormais les 33 %, illustrant un cycle haussier particulièrement robuste. Le TUNINDEX20, baromètre des plus grandes capitalisations, a quant à lui légèrement reculé (-0,08 %), signalant une phase de consolidation plutôt qu’un retournement de tendance.

La capitalisation boursière franchit le seuil des 34 milliards de dinars, soutenue par un volume hebdomadaire supérieur à 56 millions de dinars. Ces chiffres traduisent un marché toujours liquide, mais devenu plus exigeant. Les investisseurs ne cherchent plus une exposition globale, mais privilégient des arbitrages précis, guidés par les volumes et le momentum.

Rotation sectorielle : le véritable moteur du court terme

La dynamique de la semaine a été dominée par une rotation sectorielle nette. Le secteur des assurances s’est distingué avec une progression hebdomadaire proche de 6 %, s’imposant comme le principal moteur du marché. Les matériaux de base et l’agroalimentaire ont également enregistré des performances positives, confirmant l’intérêt pour les valeurs liées à la consommation et aux fondamentaux défensifs.

À l’inverse, les banques et le secteur du bâtiment et matériaux de construction ont subi des prises de bénéfices. Cette évolution reflète une stratégie classique de fin d’année : sécuriser les gains accumulés sur les secteurs les plus lourds et redéployer les capitaux vers des segments offrant encore un potentiel tactique.

La Bourse de Tunis reste haussière, mais la performance se gagne désormais au cas par cas.

Valeurs en vue : volumes et momentum au cœur des stratégies

Certaines valeurs ont concentré l’essentiel de l’activité. SFBT, TPR, Carthage Cement, STAR et Poulina Group Holding figurent parmi les titres les plus échangés en valeur, confirmant leur statut de références pour les investisseurs court terme.

Côté performances, STIP a signé la meilleure hausse hebdomadaire (+18,3 %), suivie par STAR (+12,8 %), Magasin Général (+11,3 %) et Cellcom (+10,8 %). Ces progressions, souvent accompagnées de volumes significatifs, témoignent d’un regain d’intérêt spéculatif, mais aussi de l’anticipation de catalyseurs favorables.

Un marché porteur, mais réservé aux investisseurs disciplinés

Si la tendance de fond reste haussière, la Bourse de Tunis n’offre plus un terrain uniforme. Les opportunités existent, mais elles sont ciblées et de court terme. La sélectivité, le timing et la gestion du risque deviennent déterminants dans cette phase de marché plus mature.

Opportunités court terme

À privilégier

  • STAR : dynamique haussière solide, soutenue par les flux
  • SFBT : valeur liquide, intéressante sur repli technique
  • TPR : configuration favorable avec volumes soutenus

À jouer avec prudence

  • Magasin Général : potentiel de rattrapage, profil plus spéculatif

À éviter pour l’instant

  • BTP et matériaux de construction : tendance fragile, volatilité élevée
Avertissement — Le présent article a été généré à l’aide d’un outil d’intelligence artificielle à partir des informations publiques contenues dans Le Bulletin hebdomadaire de la Bourse de Tunis. Les analyses, scénarios et simulations proposés ont une vocation strictement informative et pédagogique. Ils ne constituent ni une recommandation d’investissement ni un conseil financier personnalisé. Les données sources demeurent la propriété de leurs émetteurs respectifs.

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ALERTE MARCHÉS : records historiques de l’or et de l’argent dans un contexte d’incertitudes

ORSur la semaine écoulée, l’or et l’argent ont prolongé leur hausse, avec de nouveaux sommets observés en séance le 22 décembre 2025. Les mouvements sont notamment associés (dans les dépêches de marché) aux anticipations de baisse de taux de la Fed, à un dollar plus faible et à une demande refuge.

Or : progression hebdomadaire et nouveau record en séance

Sur les 7 derniers jours, le prix de l’or en USD/oz affiche une hausse hebdomadaire d’environ +3,31%, avec un plus bas proche de 4.274,31 $/oz et un plus haut proche de 4.443,03 $/oz.

Le 22 décembre 2025, Reuters rapporte un passage au-dessus de 4.400 $/oz pour la première fois (spot), avec un record intraday autour de 4.400,29 $/oz et un spot autour de 4.397,16 $/oz au moment de la dépêche.

Argent : hausse plus rapide, record en séance

Sur la même période, l’argent progresse d’environ +7,99% sur “Last Week”, avec un plus bas proche de 62,40 $/oz et un plus haut proche de 69,68 $/oz.

Le 22 décembre 2025, Reuters indique un plus haut historique de l’argent (spot), autour de 69,44 $/oz au moment de la publication.

Repères de marché cités par les sources

Reuters associe la hausse des métaux précieux aux anticipations de baisses de taux après une réduction récente, à la demande refuge et à un dollar plus faible, avec mention d’achats de banques centrales pour l’or.

Le 19 décembre 2025, Reuters faisait état d’un gain hebdomadaire de l’or d’environ +1,1% (spot ~4.347,07 $/oz à l’heure citée dans l’article).

Niveau spot “live”

APMEX affiche un spot argent autour de 69,21 $/oz (mise à jour 12/22/2025 12:36:22).

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Marché financier : le CMF renforce les obligations de conformité et de gestion des risques

Le Conseil du Marché Financier (CMF) vient de publier une note destinée aux intermédiaires en bourse et aux sociétés de gestion de portefeuilles de valeurs mobilières pour le compte de tiers, pour les rappeler qu’ils sont tenus de procéder à la mise à jour de leur évaluation interne des risques, ainsi que d’élaborer et d’actualiser leurs politiques et procédures internes en matière de conformité, notamment en ce qui concerne la gestion des risques, la vigilance permanente et la mise en œuvre des sanctions financières ciblées. La finalité est de garantir la bonne application du cadre législatif et réglementaire en vigueur et de renforcer l’intégrité et la transparence du secteur financier tunisien.

Le CMF a précisé que ces mesures s’inscrivent dans le cadre du soutien aux efforts nationaux visant à lutter contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et la prolifération des armes, et en vue de renforcer l’efficacité du dispositif national face aux défis liés à ces risques.

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Temps instable en Tunisie : pluies diluviennes attendues au Nord-Ouest

Pluies MétéoTunis, 22 décembre – Le temps sera, lundi matin, localement brumeux, avant de devenir partiellement nuageux sur l’ensemble du pays. Selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM), la couverture nuageuse s’épaissira progressivement durant la nuit, notamment sur les régions de l’Ouest.

Des pluies sont attendues, temporairement orageuses et parfois diluviennes sur l’extrême Nord-Ouest, accompagnées localement de chutes de grêle.

Le vent soufflera du secteur sud à ouest, relativement fort près des côtes et sur le Sud-Est, et faible à modéré ailleurs. La mer sera agitée à localement très agitée.

Les températures maximales varieront généralement entre 14 et 19 degrés, et avoisineront les 11 degrés sur les hauteurs de l’Ouest.

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Grippe saisonnière : un nouveau variant K se propage, les autorités appellent à la vaccination

Un spécialiste en virologie, Mahjoub Aouni a appelé, samedi, les personnes âgées, les personnes atteintes de maladies chroniques et celles ayant une santé fragile à se faire vacciner contre la grippe saisonnière, en particulier avec la propagation du nouveau variant K, dérivé du virus de la grippe saisonnière A (H3N2).

Aouni a souligné dans une déclaration à la TAP que ce variant n’est pas nouveau, mais résulte de changements et de mutations qui se produisent chaque année sur la souche originale, ce qui la rend rapidement transmissible et plus contagieuse, tout en conservant les caractéristiques habituelles du virus de la grippe.

Il a expliqué que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) prend en compte ces changements lors de la composition des vaccins annuels.

Il a indiqué que le vaccin contre la grippe saisonnière de cette année comprend des anticorps contre le nouveau variant, vu qu’il est composé d’anticorps contre les virus A (H1N1 et H3N2) et le virus saisonnier B.

Le spécialiste en virologie a relevé que le nouveau variant K est apparu pour la première fois en Australie en août 2025, puis a commencé à se propager pour atteindre aujourd’hui plus de 30 pays, appelant à la nécessité de respecter les mesures de prévention et de se faire vacciner.

“Il est encore temps de se faire vacciner avant d’atteindre le pic des infections prévu en janvier 2026”, a-t-il souligné.

Aouni a affirmé qu’aucun pays n’est actuellement en mesure de freiner la propagation de ce variant, surtout à l’approche des vacances de fin d’année et des vacances scolaires. Il a appelé les femmes enceintes, les enfants et les personnes ayant une santé fragile à se faire vacciner, tout en respectant le protocole sanitaire notamment, la distanciation sociale, le port du masque, le lavage des mains et l’aération des espaces clos.

 

 

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La Tribune de l’IA | Bourse de Tunis : après l’euphorie de 2025, l’année 2026 s’annonce comme un test de maturité

BourseLa Bourse de Tunis a signé en 2025 l’une de ses meilleures performances de la dernière décennie. Avec un TUNINDEX en hausse de plus de 32% et un TUNINDEX20 dépassant les 34%, le marché actions tunisien a opéré un net changement de régime. Mais après une telle accélération, l’année 2026 ne sera plus une simple prolongation du rallye : elle s’annonce comme une année de sélection, d’arbitrages et de gestion active du risque.

Un marché porté par les banques et les dividendes

La hausse de 2025 s’est appuyée sur des fondamentaux solides. Le secteur bancaire, qui représente près de la moitié de la capitalisation boursière, a joué un rôle moteur, soutenu par une amélioration de la rentabilité et des politiques de distribution attractives.

À l’échelle du marché, le rendement moyen du dividende dépasse 5%, tandis que la valorisation reste modérée, avec un PER proche de 11x — un niveau encore raisonnable au regard de la performance réalisée.

Malgré un léger repli de la liquidité en fin d’année, l’activité transactionnelle est restée soutenue, traduisant un intérêt persistant des investisseurs locaux, dans un contexte où la participation étrangère demeure limitée mais stable.

2026 : la fin de la hausse facile

Après une telle progression, le consensus implicite pour 2026 penche vers une normalisation. Le scénario central anticipe une croissance plus modérée des bénéfices, une stabilisation des multiples de valorisation et une performance boursière davantage tirée par les dividendes que par l’expansion des cours.

Dans ce cadre, le marché pourrait enregistrer une progression annuelle comprise entre 6% et 10%, à condition que l’environnement macroéconomique reste maîtrisé et que le secteur bancaire conserve sa dynamique.

Des scénarios contrastés, mais crédibles

Un scénario plus favorable n’est toutefois pas à exclure. Une amélioration des équilibres macroéconomiques, un regain de confiance des investisseurs et une reprise de la liquidité pourraient prolonger le cycle haussier, avec une performance potentielle allant jusqu’à 15% à 18%.

À l’inverse, une dégradation du contexte économique ou un choc de liquidité pourrait provoquer une correction cyclique. Dans ce cas, le marché subirait une phase de consolidation plus marquée, avec des baisses concentrées sur les grandes capitalisations financières.

L’allocation d’actifs, clé de la performance

Dans ce nouvel environnement, la performance ne sera plus uniforme. Elle dépendra avant tout des choix d’allocation.

Les investisseurs prudents privilégieront des portefeuilles défensifs, axés sur les banques à rendement, l’agroalimentaire et les assurances, avec un objectif de préservation du capital et un rendement annuel de 3% à 6%.

Les profils équilibrés opteront pour une exposition diversifiée reflétant la structure du marché, combinant rendement et croissance modérée, avec un potentiel de 6% à 10%.

Les investisseurs plus offensifs miseront sur la poursuite du cycle haussier, en acceptant une volatilité plus élevée, dans l’espoir d’une performance supérieure à 12%.

Un message clair pour 2026

L’année 2026 ne devrait pas reproduire l’euphorie de 2025. Elle marque plutôt l’entrée du marché tunisien dans une phase de maturité, où la discipline, la sélectivité et la gestion du risque redeviendront centrales.

👉 En clair : après une année exceptionnelle, la Bourse de Tunis reste attractive, mais elle ne récompensera plus l’exposition passive. En 2026, la performance viendra avant tout de la qualité des allocations et du choix des valeurs.

Avertissement — Le présent article a été généré à l’aide d’un outil d’intelligence artificielle à partir des informations publiques contenues dans La Lettre mensuelle de la Bourse de Tunis – édition de novembre 2025. Les analyses, scénarios et simulations proposés ont une vocation strictement informative et pédagogique. Ils ne constituent ni une recommandation d’investissement ni un conseil financier personnalisé. Les données sources demeurent la propriété de leurs émetteurs respectifs.

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CAN 2025 Maroc : Phase de groupes, équipes, format et qualifications

CAN FootballLa Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies Maroc 2025 débute par une phase de groupes réunissant 24 sélections africaines, réparties en six groupes de quatre équipes chacun. Cette organisation constitue la première étape du tournoi, programmé du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026.

Le groupe A réunit le Maroc, pays hôte, la Zambie, les Comores et le Mali. Le Maroc ouvre la compétition dans une poule où figurent deux équipes habituées des phases finales, le Mali et la Zambie, ainsi qu’une sélection comorienne en progression.

Le groupe B comprend l’Égypte, l’Afrique du Sud, l’Angola et le Zimbabwe. Cette poule associe des sélections au palmarès continental établi à des équipes cherchant à franchir un cap lors de cette édition.

Dans le groupe C, le Nigeria affronte la Tunisie, l’Ouganda et la Tanzanie. Ce groupe rassemble des équipes aux profils contrastés, avec un favori historique et trois sélections aux dynamiques différentes.

Le groupe D est composé du Sénégal, de la République démocratique du Congo, du Bénin et du Botswana. Le Sénégal, tenant du titre [à vérifier], figure dans une poule où plusieurs équipes visent une qualification parmi les deux premières places ou via le classement des meilleurs troisièmes.

Le groupe E réunit l’Algérie, le Burkina Faso, la Guinée équatoriale et le Soudan. Cette configuration met en présence des sélections régulièrement présentes dans les phases à élimination directe.

Enfin, le groupe F rassemble la Côte d’Ivoire, le Cameroun, le Gabon et le Mozambique. Ce groupe se distingue par la présence de plusieurs anciens vainqueurs de la compétition.

Un format qualificatif élargi

À l’issue de cette phase, les deux premières équipes de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes, accèdent aux huitièmes de finale. Cette formule renforce l’importance de chaque match dès la phase initiale.

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150 ans du Collège Sadiki : une revue pour retracer l’héritage

Collège SADIKITUNIS, 21 décembre – À l’occasion du 150ᵉ anniversaire du Collège Sadiki (1875-2025), une nouvelle publication de la revue Essadikia en langue arabe revient sur l’héritage intellectuel et éducatif de cette institution. Édité par l’Association des anciens élèves du Collège Sadiki, ce numéro commémoratif met en lumière la place du collège dans l’histoire nationale, à travers des textes historiques, des témoignages, des archives photographiques et des analyses consacrées à une mémoire toujours active.

Un numéro spécial au cœur de la mémoire sadikienne

Le 70ᵉ numéro spécial de la revue, fondée en 1920 et daté de décembre 2025, rassemble des contributions retraçant les grandes étapes de l’histoire du Collège Sadiki et de son environnement éducatif. Les auteurs y soulignent le rôle de l’établissement dans la formation de générations de penseurs, de responsables et d’acteurs de la vie publique tunisienne, sans élargir le propos à des données extérieures.

Figures marquantes et débats éducatifs

Plusieurs textes en langue arabe reviennent sur des personnalités associées à l’institution, dont Cheikh Mohamed Taher Ben Achour. Le numéro aborde également des débats éducatifs fondateurs, à travers une contribution consacrée à l’obligation de l’éducation des jeunes filles musulmanes, un thème présenté comme révélateur de la modernité qui a marqué l’histoire du collège.

Correspondances et échanges historiques

D’autres contributions s’intéressent à la mosquée d’Essadikia, à des correspondances historiques et à des échanges entre figures de l’époque. Sont notamment évoqués les échanges entre Kheireddine Pacha et Mohamed Larbi Zarrouk, alors directeur du collège, ainsi que ceux entre Habib Bourguiba et Mustapha Kaak, président de l’Association des anciens élèves à l’époque.

Activités de l’association et contributions en français

Le numéro propose par ailleurs un aperçu des activités culturelles de l’Association des anciens du Collège Sadiki prévues pour l’année 2025 et consacre un espace à la mémoire de figures et pionniers de l’établissement. Deux contributions en langue française complètent la publication, dont un dossier de classement historique du collège préparé par l’historienne et urbaniste tunisienne Jamila Binous, ainsi qu’un texte intitulé « Le modèle sadikien : un symbole de réussite », consacré à l’esprit et à la singularité de cette institution.

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La Tunisie Qui Gagne : 5 tunisiens parmi les 100 Africains les plus influents en 2025

Les 5 tunisiensTunis, 21 décembre – Cinq Tunisiens figurent dans le classement annuel des 100 Africains les plus influents en 2025, publié le 19 décembre par le magazine New African. La sélection distingue des personnalités dont l’action a eu un impact notable à l’échelle du continent et au-delà, dans des secteurs variés.

Les Tunisiens cités sont Hazem Ben Gacem, investisseur, Lotfi Karoui, financier, Semia Gharbi, activiste écologiste, Myriam Ben Salah, conservatrice d’art, et Fadhel Kaboub, économiste et conseiller en politiques publiques. Ils figurent respectivement dans les catégories Affaires, Acteurs du changement, Créatifs et Penseurs et leaders d’opinion.

Une présence tunisienne parmi les pays les plus représentés

Avec cinq personnalités classées, la Tunisie se positionne dans le top 5 des pays africains les plus représentés, derrière le Nigeria (21), l’Afrique du Sud (10), le Kenya (7) et le Ghana (7).

Le classement 2025 répartit les 100 personnalités en sept catégories : Affaires (21), Créatifs (19), Penseurs et leaders d’opinion (15), Fonction publique (15), Sports (13), Acteurs du changement (9) et Technologies (8).

Parcours dans la finance et l’investissement

Classé dans la catégorie Affaires, Hazem Ben Gacem a évolué pendant trois décennies dans les marchés privés mondiaux. Ancien co-PDG d’Investcorp, il a lancé fin 2024 BlueFive Capital, un gestionnaire d’investissements basé à Abu Dhabi, visant à orienter les capitaux du Golfe vers les régions du Sud à forte croissance. La société se concentre sur les infrastructures, l’énergie et les nouveaux matériaux.

Toujours dans la catégorie Affaires, Lotfi Karoui a rejoint, en octobre dernier, PIMCO en tant que directeur général et stratège en crédit multi-actifs, après un long parcours chez Goldman Sachs. Il est également engagé dans le mentorat et la mise en réseau des acteurs financiers de la diaspora africaine.

Engagement environnemental, création et pensée économique

Dans la catégorie Acteurs du changement, Semia Gharbi est distinguée pour son combat contre le trafic international de déchets. Lauréate du Prix Goldman pour l’environnement 2025, elle alerte sur les impacts humains et environnementaux du « colonialisme des déchets ».

Classée parmi les Créatifs, Myriam Ben Salah mène une carrière internationale dans l’art contemporain. Directrice de The Renaissance Society, elle sera commissaire de l’exposition de l’artiste Yto Barrada à la Biennale de Venise en 2026.

Enfin, Fadhel Kaboub, classé parmi les Penseurs et leaders d’opinion, est reconnu pour ses travaux sur la transition énergétique équitable et la souveraineté économique des pays du Sud. Il plaide pour des politiques climatiques axées sur l’équité et la réduction de la dépendance à la dette extérieure.

Bio Express

Hazem Ben Gacem

Les 5 tunisiensInvestisseur tunisien actif depuis plus de trente ans sur les marchés privés mondiaux. Ancien co-PDG d’Investcorp, il a fondé en 2024 BlueFive Capital à Abu Dhabi, un gestionnaire d’investissements axé sur les infrastructures, l’énergie et les régions à forte croissance du Sud global.

Lotfi Karoui

Lotfi KarouiFinancier tunisien, directeur général et stratège en crédit multi-actifs chez PIMCO. Ancien responsable mondial de la recherche crédit chez Goldman Sachs, il est également engagé dans le mentorat de la diaspora financière africaine et le développement des flux d’investissement vers l’Afrique.

Semia Gharbi

Semia GharbiActiviste écologiste tunisienne reconnue pour son combat contre le trafic international de déchets. Lauréate du Prix Goldman pour l’environnement 2025, elle alerte sur les impacts humains, environnementaux et éthiques du « colonialisme des déchets ».

 

Myriam Ben Salah

Myriam Ben SalahConservatrice d’art, écrivaine et éditrice tunisienne, active sur la scène internationale de l’art contemporain. Directrice de The Renaissance Society à Chicago, elle a dirigé plusieurs projets artistiques majeurs et sera commissaire à la Biennale de Venise 2026.

 

Fadhel Kaboub

Fadhel KaboubÉconomiste tunisien et conseiller en politiques publiques, spécialiste de la transition énergétique équitable et de la souveraineté économique des pays du Sud. Professeur associé à l’université Denison, il plaide pour des politiques climatiques axées sur l’équité et la réduction de la dépendance à la dette extérieure.

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Tout savoir sur la CAN 2025 au Maroc : format et calendrier

CAN 2025La 35ᵉ Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2025), nom officiel TotalEnergies CAF Africa Cup of Nations, se déroule au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026. C’est la deuxième fois que le royaume accueille cette compétition après l’édition de 1988.

  • 24 équipes participent, réparties en 6 groupes, pour un total de 52 matchs dans 9 stades répartis sur 6 villes : Rabat, Casablanca, Fès, Marrakech, Agadir et Tanger.
  • Ivory Coast est le champion en titre (vainqueur de la CAN 2023).
  • C’est la première édition disputée sur la période de Noël et du Nouvel An.

Déroulement & enjeux

  • Match d’ouverture : Maroc vs Comores, au Prince Moulay Abdellah Stadium à Rabat.
  • Le match final aura lieu le 18 janvier 2026 au même stade, théâtre de la grande finale.
  • Le tournoi offre une prime record pour le vainqueur — 10 millions de dollars, une augmentation significative confirmée par la CAF.

Organisation & aspects logistiques

  • Les infrastructures hôtes comprennent neuf stades rénovés ou nouvellement construits pour l’événement, avec une forte demande de billets.
    Confédération Africaine de Football
  • La CAF a mis en place des facilités pour les supporters, y compris des e-Visas gratuits via l’application Yalla.

Favoris, équipes et perspectives

  • Le Maroc, malgré la pression d’être hôte, est considéré comme l’un des favoris, avec une équipe compétitive issue d’une forte présence en clubs européens.
  • D’autres nations comme Égypte, Sénégal, Côte d’Ivoire et Nigeria font aussi figure de challengers.
  • Certaines équipes comme Mozambique, Bénin, Tanzanie et Botswana sont attendues avec ambition, mais n’ont jamais remporté de match en phase finale avant cette édition.

Évolution du calendrier CAF

Lors d’un comité exécutif au Maroc, la CAF a annoncé que, dès 2028, la CAN sera disputée tous les quatre ans (cycle quadriennal) pour s’aligner sur le calendrier international.

En bref

La CAN 2025 se tient au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 avec 24 équipes disputant 52 matchs dans 9 stades à travers six villes. C’est la première édition sur la période de Noël et la deuxième au Maroc après 1988. Le pays hôte, favori malgré la pression, affronte les Comores lors de l’ouverture. La CAF a augmenté les primes à 10 M $, et annonce que la CAN passera à un rythme quadriannuel après 2028.

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Football africain : tout savoir sur la phase finale de la CAN 2025 au Maroc

CAN 2025TUNIS, 21 décembre 2025 – La phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations 2025 débute ce dimanche au Maroc et se poursuivra jusqu’au 18 janvier prochain. Cette 35ᵉ édition réunit 24 sélections africaines, engagées dans une compétition organisée sur près d’un mois.

Le match d’ouverture opposera la sélection du Maroc à celle des Comores, dimanche à 20h00, au stade Prince Moulay Abdallah de Rabat. Cette rencontre compte pour le groupe A de la phase de groupes.

Une formule inchangée et six villes hôtes

Les 24 équipes sont réparties en six groupes de quatre. À l’issue de cette première phase, les deux premiers de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes, accéderont aux huitièmes de finale. La compétition se poursuivra ensuite selon un système à élimination directe jusqu’à la finale.

Les rencontres se dérouleront dans six villes marocaines : Rabat, Casablanca, Marrakech, Agadir, Fès et Tanger. Les infrastructures mises à disposition accueilleront l’ensemble des matches du tournoi.

Un enjeu sportif et financier majeur

Outre le prestige sportif, les sélections engagées visent le titre continental et la prime du vainqueur, estimée à 10 millions de dollars. Cette récompense constitue l’un des montants les plus élevés jamais attribués dans l’histoire de la compétition.

Sur les 24 équipes qualifiées, 13 ont déjà remporté au moins une fois la CAN. L’Égypte demeure la sélection la plus titrée avec sept sacres, devant le Cameroun (cinq titres) et le Ghana (quatre titres). Le Nigéria et la Côte d’Ivoire comptent chacun trois titres, tandis que l’Algérie et la RD Congo en ont remporté deux.

La Tunisie, le Maroc, le Soudan, la Zambie, l’Afrique du Sud et le Sénégal ont chacun soulevé le trophée une fois. L’Éthiopie et le Congo, vainqueurs respectivement en 1962 et 1972, sont absents de cette édition.

La Tunisie face à l’Ouganda pour son entrée en lice

La sélection tunisienne entamera son parcours mardi face à l’Ouganda, à 21h00, au stade Prince Moulay Abdallah, pour le compte du groupe C. Cette poule comprend également le Nigéria et la Tanzanie.

Enfin, la Côte d’Ivoire, tenante du titre remporté lors de l’édition 2023 organisée sur son sol, tentera de conserver son trophée. Depuis le triplé historique de l’Égypte entre 2006 et 2010, aucune sélection n’a réussi à s’imposer lors de deux éditions consécutives.

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Football africain : la CAN organisée tous les quatre ans dès 2028

Ligne de crédit italienneLa Coupe d’Afrique des Nations (CAN) va connaître un tournant historique. La Confédération africaine de football (CAF) a décidé de mettre fin à la périodicité biennale de la compétition continentale pour adopter un rythme de quatre ans à partir de 2028. Cette réforme, annoncée officiellement par l’instance dirigeante du football africain, marque un changement structurel majeur dans l’organisation du calendrier sportif africain.

Une décision officialisée par la CAF

La décision a été confirmée par la Confédération africaine de football à l’issue de réunions consacrées à l’harmonisation des compétitions africaines avec le calendrier international. Le président de la CAF, Patrice Motsepe, a indiqué que cette évolution vise à renforcer la valeur sportive et commerciale de la CAN, tout en réduisant les tensions récurrentes avec les clubs, notamment européens.

Jusqu’à présent, la Coupe d’Afrique des Nations se disputait tous les deux ans, une spécificité qui la distinguait des autres grandes compétitions internationales comme la Coupe du monde ou le Championnat d’Europe.

2025 et 2027, dernières éditions biennales

Dans le nouveau schéma validé par la CAF, les éditions 2025 et 2027 resteront organisées selon le format actuel.

La CAN 2025 se déroulera au Maroc, tandis que l’édition 2027 sera coorganisée par le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda. Ces deux tournois marqueront la fin d’un cycle entamé en 1957, date de la première édition de la compétition.

À partir de 2028, la CAN basculera officiellement dans un cycle quadriennal, avec une organisation prévue tous les quatre ans, à l’image des autres grandes compétitions internationales.

Harmonisation avec le calendrier mondial

Selon la CAF, cette réforme répond à un objectif clair : réduire les conflits de calendrier entre les sélections nationales africaines et les clubs, souvent pénalisés par la libération de joueurs en pleine saison sportive. Le nouveau format doit également faciliter la planification des compétitions FIFA et continentales, dans un contexte de calendrier international de plus en plus dense.

La CAF estime par ailleurs que l’espacement des éditions pourrait accroître l’attractivité médiatique et économique de la CAN, en renforçant son caractère événementiel.

Une Ligue des nations africaine en compensation

Pour compenser la diminution de la fréquence de la CAN, la CAF prévoit le lancement d’une Ligue des nations africaine, une nouvelle compétition appelée à se tenir de manière régulière à partir de la fin de la décennie. Ce tournoi vise à offrir davantage de rencontres compétitives aux sélections africaines en dehors des phases finales de la CAN.

Avec cette réforme, la CAF engage une transformation profonde de son écosystème sportif, ouvrant une nouvelle ère pour le football africain sur la scène internationale.

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Journées cinématographiques de Carthage – JCC 2025 : The Stories remporte le Tanit d’or

Tunis, 20 décembre – Le film égyptien The Stories du réalisateur Abu Bakr Shawky a remporté le Tanit d’or du long métrage de fiction lors de la 36ᵉ édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC). Le palmarès a été dévoilé samedi soir au Théâtre de l’Opéra de Tunis, à l’issue de la manifestation tenue du 13 au 20 décembre.

Le Tanit d’argent a été attribué à My Father’s Shadow du Nigérian Akinola Davies Jr, également lauréat du Prix Tahar Chériaa de la meilleure première œuvre. Le Tanit de bronze est revenu à Sink du réalisateur jordanien Zain Duraie.

Fondées en 1966, les JCC ont réuni cette année plus de 200 films issus de 44 pays, confirmant leur rôle de rendez-vous majeur des cinémas arabe et africain.

Le Tanit d’or de la 35ᵉ édition des Journées cinématographiques de Carthage avait été attribué à Les Enfants rouges de Lotfi Achour, dixième film tunisien à décrocher la plus haute distinction du festival depuis sa création en 1966.

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