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La Tribune de l’IA | Bourse de Tunis : après l’euphorie de 2025, l’année 2026 s’annonce comme un test de maturité

BourseLa Bourse de Tunis a signé en 2025 l’une de ses meilleures performances de la dernière décennie. Avec un TUNINDEX en hausse de plus de 32% et un TUNINDEX20 dépassant les 34%, le marché actions tunisien a opéré un net changement de régime. Mais après une telle accélération, l’année 2026 ne sera plus une simple prolongation du rallye : elle s’annonce comme une année de sélection, d’arbitrages et de gestion active du risque.

Un marché porté par les banques et les dividendes

La hausse de 2025 s’est appuyée sur des fondamentaux solides. Le secteur bancaire, qui représente près de la moitié de la capitalisation boursière, a joué un rôle moteur, soutenu par une amélioration de la rentabilité et des politiques de distribution attractives.

À l’échelle du marché, le rendement moyen du dividende dépasse 5%, tandis que la valorisation reste modérée, avec un PER proche de 11x — un niveau encore raisonnable au regard de la performance réalisée.

Malgré un léger repli de la liquidité en fin d’année, l’activité transactionnelle est restée soutenue, traduisant un intérêt persistant des investisseurs locaux, dans un contexte où la participation étrangère demeure limitée mais stable.

2026 : la fin de la hausse facile

Après une telle progression, le consensus implicite pour 2026 penche vers une normalisation. Le scénario central anticipe une croissance plus modérée des bénéfices, une stabilisation des multiples de valorisation et une performance boursière davantage tirée par les dividendes que par l’expansion des cours.

Dans ce cadre, le marché pourrait enregistrer une progression annuelle comprise entre 6% et 10%, à condition que l’environnement macroéconomique reste maîtrisé et que le secteur bancaire conserve sa dynamique.

Des scénarios contrastés, mais crédibles

Un scénario plus favorable n’est toutefois pas à exclure. Une amélioration des équilibres macroéconomiques, un regain de confiance des investisseurs et une reprise de la liquidité pourraient prolonger le cycle haussier, avec une performance potentielle allant jusqu’à 15% à 18%.

À l’inverse, une dégradation du contexte économique ou un choc de liquidité pourrait provoquer une correction cyclique. Dans ce cas, le marché subirait une phase de consolidation plus marquée, avec des baisses concentrées sur les grandes capitalisations financières.

L’allocation d’actifs, clé de la performance

Dans ce nouvel environnement, la performance ne sera plus uniforme. Elle dépendra avant tout des choix d’allocation.

Les investisseurs prudents privilégieront des portefeuilles défensifs, axés sur les banques à rendement, l’agroalimentaire et les assurances, avec un objectif de préservation du capital et un rendement annuel de 3% à 6%.

Les profils équilibrés opteront pour une exposition diversifiée reflétant la structure du marché, combinant rendement et croissance modérée, avec un potentiel de 6% à 10%.

Les investisseurs plus offensifs miseront sur la poursuite du cycle haussier, en acceptant une volatilité plus élevée, dans l’espoir d’une performance supérieure à 12%.

Un message clair pour 2026

L’année 2026 ne devrait pas reproduire l’euphorie de 2025. Elle marque plutôt l’entrée du marché tunisien dans une phase de maturité, où la discipline, la sélectivité et la gestion du risque redeviendront centrales.

👉 En clair : après une année exceptionnelle, la Bourse de Tunis reste attractive, mais elle ne récompensera plus l’exposition passive. En 2026, la performance viendra avant tout de la qualité des allocations et du choix des valeurs.

Avertissement — Le présent article a été généré à l’aide d’un outil d’intelligence artificielle à partir des informations publiques contenues dans La Lettre mensuelle de la Bourse de Tunis – édition de novembre 2025. Les analyses, scénarios et simulations proposés ont une vocation strictement informative et pédagogique. Ils ne constituent ni une recommandation d’investissement ni un conseil financier personnalisé. Les données sources demeurent la propriété de leurs émetteurs respectifs.

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La Tribune de l’IA | Bourse de Tunis : Consolidation des indices et nouvelles opportunités sectorielles

Après une année 2025 marquée par une progression exceptionnelle, la Bourse de Tunis a connu une semaine de consolidation maîtrisée. Entre le 08 et le 12 décembre, les indices ont légèrement reculé, sans pour autant remettre en cause la dynamique positive de fond. Une évolution qui traduit avant tout un marché plus sélectif, où l’attention se déplace des indices vers les valeurs et les secteurs.

Les indices marquent une respiration

Le TUNINDEX a clôturé la semaine à 13 226,89 points, en baisse modérée de 0,31 %, tandis que le TUNINDEX20 s’est établi à 5 895,88 points, en recul de 0,33 %.
Ces variations limitées interviennent après une performance annuelle supérieure à 30 %, confirmant qu’il s’agit davantage d’une pause technique que d’un retournement de tendance.

👉 La tendance de fond demeure haussière, mais le marché devient plus exigeant.

Une activité soutenue, mais plus ciblée

L’activité hebdomadaire a totalisé 54,4 millions de dinars échangés, pour près de 9,5 millions de titres. Un détail attire toutefois l’attention : les volumes progressent, tandis que les capitaux échangés reculent par rapport à la semaine précédente.

Ce décalage reflète un marché davantage animé par les valeurs moyennes et cycliques, plutôt que par les grandes capitalisations financières, traditionnellement plus consommatrices de liquidités.

Rotation sectorielle : les investisseurs reviennent à l’économie réelle

Le fait marquant de la semaine reste la rotation sectorielle observée sur la cote. Plusieurs secteurs liés à l’économie réelle ont enregistré de solides performances :

  • Bâtiment et matériaux de construction : +5,53 %, meilleur secteur de la semaine
  • Matériaux de base : +1,67 %
  • Agroalimentaire et boissons : +1,44 %
  • Biens de consommation : +1,04 %

À l’inverse, les banques, les assurances et les sociétés financières ont terminé dans le rouge, pénalisées par des prises de bénéfices après leur forte hausse depuis le début de l’année.

👉 Cette évolution traduit un repositionnement vers des secteurs perçus comme plus visibles et plus résilients à court terme.

Carthage Cement et Poulina Group Holding en lumière

Sur le plan des valeurs, Carthage Cement s’est distinguée comme la plus active de la semaine, avec plus de 9,4 millions de dinars échangés et une hausse de 7,18 %. Portée par la dynamique du secteur du bâtiment, la valeur attire aussi bien les investisseurs institutionnels que les opérateurs tactiques.

De son côté, Poulina Group Holding a confirmé son statut de valeur défensive de référence. Avec plus de 4,3 millions de dinars de capitaux échangés, le titre est resté stable sur la semaine, tout en conservant une trajectoire haussière de fond.

Un marché à deux vitesses

La semaine a également été marquée par une forte dispersion des performances. Certaines valeurs ont enregistré des hausses spectaculaires, portées par un regain d’intérêt spéculatif, tandis que d’autres ont subi de lourdes corrections.

Cette configuration confirme que la Bourse de Tunis évolue actuellement comme un marché de sélection, où la performance dépend moins de l’indice que du choix des titres.

Quelles perspectives à court terme ?

Pour la semaine à venir, le scénario privilégié reste celui d’un marché stable à légèrement haussier, avec :

  • une poursuite possible de la dynamique sur les valeurs du BTP et de l’industrie,
  • un rôle toujours central des valeurs défensives,
  • et une vigilance accrue sur les valeurs financières, en attente de nouveaux catalyseurs.

Dans ce contexte, la stratégie gagnante repose moins sur une exposition globale que sur une lecture fine des tendances sectorielles et techniques.

À retenir

✔ Une consolidation saine après une année exceptionnelle
✔ Une rotation sectorielle favorable à l’économie réelle
✔ Un marché exigeant, propice à la sélection active des valeurs

La Bourse de Tunis ne ralentit pas : elle change de rythme. Et dans ce nouvel environnement, l’analyse et la discipline restent les meilleurs alliés des investisseurs.

Avertissement — Le présent article a été généré à l’aide d’un outil d’intelligence artificielle à partir des informations publiques contenues dans  Le Bulletin hebdomadaire de la Bourse de Tunis. Les analyses, scénarios et simulations proposés ont une vocation strictement informative et pédagogique. Ils ne constituent ni une recommandation d’investissement ni un conseil financier personnalisé. Les données sources demeurent la propriété de leurs émetteurs respectifs.

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Chine : bons du Trésor US au plus bas depuis 2008, or en hausse

La Chine a réduit ses avoirs en bons du Trésor américain à 688,7 milliards de dollars en octobre 2025, leur niveau le plus bas depuis novembre 2008, selon les données publiées jeudi par le département américain du Trésor, rapportées par la presse chinoise. Ce chiffre représente une baisse par rapport aux 700,5 milliards enregistrés en septembre.

Désengagement progressif de la dette américaine

Ce mouvement s’inscrit dans le cadre d’un désengagement progressif qui a vu les réserves chinoises en bons du Trésor américain chuter de plus de 47 % depuis leur pic historique de près de 1.320 milliards de dollars atteint en novembre 2013. La Chine, deuxième économie mondiale, a été reléguée au troisième rang des détenteurs étrangers de la dette américaine, derrière le Japon et le Royaume-Uni, depuis mars 2025.

Avertissements et stratégie chinoise

Mardi dernier, Yu Yongding, ancien conseiller de la Banque populaire de Chine, a mis en garde contre les risques liés aux actifs libellés en dollars. Selon lui, Beijing « doit réduire sa dépendance aux marchés extérieurs, notamment américains, et minimiser le risque de tomber dans le piège du dollar ».

Renforcement des réserves d’or

Parallèlement, la Chine poursuit ses achats d’or. En novembre 2025, elle a ajouté 30.000 onces à ses réserves, pour le treizième mois consécutif. Le pays détient désormais 74,12 millions d’onces d’or, soit l’équivalent de 310,6 milliards de dollars. Cette stratégie illustre la volonté de Pékin de diversifier ses actifs et de réduire sa dépendance au dollar américain.

Implications pour les marchés financiers

Le désengagement chinois des bons du Trésor américain pourrait accentuer la volatilité sur les marchés obligataires internationaux. Les analystes soulignent que la combinaison d’une réduction des avoirs en dollars et d’une accumulation continue d’or traduit un repositionnement stratégique de la Chine face aux incertitudes économiques et géopolitiques.

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Allemagne-Dette publique : Berlin prévoit 512 milliards d’euros d’émissions en 2026

Le gouvernement allemand prévoit d’émettre environ 512 milliards d’euros de dette en 2026, selon un communiqué publié jeudi par l’Agence fédérale des finances, qui a détaillé les plans d’émission pour l’année à venir. Cette stratégie concerne à la fois le marché des capitaux, le marché monétaire et les obligations vertes.

Une stratégie d’emprunt structurée

Dans le détail, 318 milliards d’euros devraient être levés sur le marché des capitaux, tandis que 176 milliards d’euros supplémentaires sont programmés sur le marché monétaire. L’ensemble de ces émissions se fera par le biais de procédures d’adjudication, mécanisme central de financement de l’État fédéral allemand.

Ces volumes confirment la poursuite d’une politique d’emprunt à grande échelle par la première économie de la zone euro, dans un contexte de besoins de financement élevés et de gestion active de la dette publique.

Quatre obligations syndiquées prévues

Berlin prévoit également l’émission de quatre obligations syndiquées en 2026. Ce type d’opération, réalisé avec un groupe restreint d’établissements financiers, permet de sécuriser des montants importants dans des conditions de marché spécifiques.

Parallèlement, l’Allemagne entend poursuivre le développement de sa finance durable avec l’émission de 16 à 19 milliards d’euros d’obligations vertes, destinées à financer des projets compatibles avec ses engagements environnementaux.

Un calendrier encore partiellement évolutif

L’Agence fédérale des finances a précisé que la confirmation du plan d’émission pour le deuxième trimestre 2026 sera publiée en mars. Cette étape permettra d’ajuster les volumes et les instruments retenus en fonction des conditions de marché et des besoins budgétaires actualisés.

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