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Salon du livre de la Ville de Tunis 2025 : plus de 30.000 titres au cœur de l’avenue Habib-Bourguiba

La 14e édition du Salon du livre de la ville de Tunis a été inaugurée jeudi sur l’avenue Habib-Bourguiba, au centre de la capitale, et se poursuivra jusqu’au 3 janvier 2026.

Placée sous le slogan « Avenue Habib-Bourguiba… avenue de la culture », la manifestation réunit plus de 80 maisons d’édition tunisiennes et propose plus de 30.000 titres couvrant des domaines scientifiques, littéraires et intellectuels variés.

Le Salon est organisé à l’initiative de la délégation régionale aux Affaires culturelles de Tunis et de la municipalité de Tunis, en partenariat avec le ministère des Affaires culturelles, avec la participation du gouvernorat de Tunis, du Centre national de promotion du livre et de l’Union des éditeurs tunisiens. L’ouverture s’est déroulée en présence du gouverneur de Tunis, Imed Boukhris, et du délégué régional des Affaires culturelles, Bechir Touati.

Comme chaque année, l’événement se tient sous une tente dressée sur l’avenue Habib-Bourguiba et abritant des milliers d’ouvrages, allant des publications scientifiques et littéraires aux livres pédagogiques pour enfants et aux grandes œuvres de référence.

La région de Siliana, invitée d’honneur aux côtés du gouvernorat de Kébili, est mise en valeur à travers des expositions d’artisanat, de céramique et de photographie présentant notamment le patrimoine naturel et culturel de la région.

L’inauguration a attiré un public nombreux et de tous âges, coïncidant avec la 36e édition des Journées cinématographiques de Carthage, dont certaines activités se déroulent également sur l’avenue Habib-Bourguiba.

Fondé en 2012, le Salon du livre de la Ville de Tunis s’inscrit dans la stratégie nationale de promotion du livre et de la lecture.

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JCC 2025 : le “nouveau cinéma arabe” face aux défis du financement et de l’indépendance

Les réalisateurs et producteurs de cinéma arabes se sont accordés sur le manque d’action collective claire et le besoin de libération d’un financement étranger qui influence. Ce phénomène contraste avec l’émergence de voix individuelles cherchant à s’exprimer librement et à partager leurs expériences personnelles, affranchies des préjugés et des stéréotypes.

Cette situation place les cinéastes face à des questions fondamentales concernant l’indépendance, l’identité et le rôle du cinéma dans la construction de l’histoire et de la mémoire.

Ces réflexions se sont tenues lors de la table ronde organisée mercredi 17 décembre, dans le cadre du 36èmes Journées Cinématographiques de Carthage (13-20 décembre 2025), consacré au “Nouveau cinéma arabe”.

Dans son discours d’ouverture, le directeur des Tarek Ben Chaabane, a souligné que l’idée de cette rencontre puise son inspiration dans son parcours personnel et sa formation cinématographique, ainsi que dans sa profonde admiration pour le cinéma arabe qui a émergé après le Festival international du film de Damas au début des années 70, avec des figures telles que Michel Khleifi, Borhane Alaouié, Merzak Allouache et Nouri Bouzid.

Il a affirmé que cette période était caractérisée par une rupture nette avec le cinéma commercial et un engagement envers les causes arabes, avant que le cinéma arabe ne subisse des transformations majeures, notamment après la chute du mur de Berlin et la fragmentation idéologique qui s’en est suivie, le déclin des valeurs partagées et l’émergence de financements étrangers et de nouvelles technologies.

Ben Chaabane s’est interrogé sur l’existence d’un véritable mouvement cinématographique arabe aujourd’hui, ou si chaque cinéaste travaillait dans l’isolement.

Il a mis en garde contre la prédominance de la fragmentation et les difficultés de financement et contre l’intervention dans l’imagination et l’identité, et appelé à une réflexion sur la place du cinéma arabe dans l’histoire.

De son côté, le réalisateur irakien Mohamed Al-Daradji a présenté une analyse de l’expérience cinématographique irakienne, depuis son histoire liée aux transformations politiques et aux guerres, depuis avant 1958, en passant par l’ère du cinéma d’État pendant la guerre et l’embargo qui a suivi, jusqu’à la période postérieure à 2003. Il a expliqué que la nouvelle génération de cinéastes irakiens est née du besoin d’exprimer l’expérience personnelle et la souffrance quotidienne, comme en témoignent ses films ” Rêves ” et “Le Fils de Babylone”, et son nouveau film ” Rakala : Le Rêve de Gilgamesh “, qui soulève des questions sur la transformation de la victime en oppresseur et sur le soulèvement de 2019. Al-Daradji a souligné qu’il ne s’agissait pas tant d’une “nouvelle vague” que d’authenticité et de transmission de l’expérience d’une génération à l’autre, considérant cela comme l’essence même de la continuité cinématographique.

Dans le même contexte, le réalisateur égyptien Mohamed Siam a évoqué les pressions auxquelles sont soumis les cinéastes arabes, notamment de la part des bailleurs de fonds et des festivals occidentaux qui attendent toujours des films sur les guerres, les révolutions et les réfugiés, considérés comme des ” thèmes à la mode “.

Il a estimé que le cinéma arabe est parfois poussé à ressembler à un bulletin d’information au détriment des récits personnels et humains. Il a également souligné que la coproduction est devenue une nécessité dans des pays comme l’Égypte en raison de l’insuffisance de la production nationale, mais qu’elle pose en même temps des défis en matière d’image, de distribution, de représentation internationale et d’avenir de l’industrie dans son ensemble.

Pour sa part, la réalisatrice palestinienne Najwa Najjar, présidente du jury de la compétition des longs métrages de fiction, a exprimé ses réserves quant au concept de ” nouveau cinéma arabe”, estimant que le cinéma palestinien est depuis 1948 en lutte permanente pour faire entendre sa voix.

Elle a souligné que les cinéastes des zones de conflit subissent la pression du “devoir national”, qui limite parfois leur liberté d’expérimenter et de travailler sur de nouveaux genres cinématographiques. Elle a appelé à briser ce cadre et à reconnaître la diversité linguistique du cinéma arabe et son droit à se renouveler, loin de la réduction à la guerre et à la destruction.

De son côté, la réalisatrice jordanienne Zain Duraie a raconté son expérience avec son film ” Gharq” (Naufrage), évoquant ses difficultés avec la coproduction européenne qui a rejeté son projet au motif qu’il n’était “pas suffisamment jordanien “, car il traitait du thème de la santé mentale au sein d’une famille ordinaire. Elle a souligné sa fierté de présenter une image différente de la société jordanienne, loin du” cinéma de carte postale” et de la pauvreté imaginaire, et insisté sur le fait que son objectif en tant qu’artiste est de transmettre un sentiment humain sincère et non de mettre en œuvre des agendas extérieurs.

Le réalisateur et producteur tunisien Ibrahim Letaïef a conclu les discussions en soulignant que le concept de “nouvelle vague” n’était pas nouveau en soi vu des expériences antérieures dans le domaine.

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Festival de la chanson tunisienne 2026 : ouverture des candidatures pour la 24e édition

La 24ème édition du Festival de la chanson tunisienne (FCT) se tiendra du 5 au 7 mars 2026, à l’initiative du Théâtre de l’Opéra de Tunis et sous l’égide du ministère des affaires culturelles. Dans ce contexte, le comité d’organisation a annoncé, selon un communiqué du théâtre de l’opéra publié su sa page officielle, l’ouverture des candidatures aux compétitions du Festival, à savoir la compétition de la chanson (nouvelle production 2025), la compétition de la composition instrumentale (nouvelle production 2025), ainsi que la compétition d’interprétation (nouvelle production 2025).

Des prix financiers seront attribués dans le cadre de l’ensemble des compétitions.

Les candidats sont tenus de remplir le formulaire de candidature relatif à la compétition concernée, dûment signé avec une signature légalisée par l’ensemble des intervenants dans l’œuvre. Le dossier de candidature doit également comporter une clé USB contenant un enregistrement de l’œuvre (répétition ou enregistrement final), les paroles de l’œuvre au format word, un curriculum vitae pour chacun des intervenants -parolier, compositeur, interprète et arrangeur- ne dépassant pas dix lignes, ainsi que des photos d’identité numériques de haute qualité pour tous les participants. Pour la compétition de la chanson, le dossier doit en outre comprendre une partition musicale complète de l’œuvre, incluant l’ensemble des détails.

Les dossiers doivent être envoyés sous l’intitulé “Festival de la chanson tunisienne- 24ème édition” à l’adresse postale suivante: Etablissement du Théâtre de l’Opéra de Tunis-Cité de la Culture Chedly Klibi, avenue Mohamed V, 1002 Tunis. Ils peuvent également être déposés directement au bureau d’ordre de l’établissement, à la même adresse, au plus tard le vendredi 14 janvier 2026, (avec la fin de l’horaire administratif).

Tout dossier incomplet ou parvenu après la date de clôture des candidatures sera automatiquement rejeté, précise le communiqué.

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Football: Le palmarès complet de la CAN avant la 35e édition

À la veille du coup d’envoi de la 35e édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), prévue du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 au Maroc, le palmarès de la compétition retrace près de sept décennies de football africain. Depuis la première édition organisée en 1957, la CAN a vu se succéder des générations, des formats variés et des finales parfois décidées aux tirs au but.

Les débuts : l’Égypte et l’Afrique de l’Est

La première CAN, disputée en 1957 au Soudan, sacre l’Égypte, victorieuse de l’Éthiopie (4-0). Les premières années sont marquées par des formats réduits, avec des titres attribués soit après une finale, soit à l’issue d’une poule finale, comme en 1959 (Égypte) ou en 1976 (Maroc).

Années 1960-1970 : diversification des vainqueurs

Les années 1960 voient émerger le Ghana, vainqueur en 1963 et 1965, tandis que l’Éthiopie (1962), la RD Congo (1968) et le Soudan (1970) inscrivent leur nom au palmarès. Les années 1970 confirment cette diversité avec des sacres du Congo (1972), du Zaïre (1974) et du Ghana (1978).

Années 1980-1990 : l’ère des grandes nations

À partir de 1980, la CAN s’installe dans un format plus proche de l’actuel. Le Nigeria remporte son premier titre en 1980, avant une domination marquée de l’Égypte et du Cameroun. L’Algérie s’impose à domicile en 1990, tandis que la Côte d’Ivoire décroche son premier titre en 1992, au terme d’une finale historique décidée aux tirs au but.

Années 2000 : confirmations et sacres à domicile

Les années 2000 confirment la puissance de l’Égypte, triple championne consécutive en 2006, 2008 et 2010. La Tunisie remporte la CAN 2004 à domicile, tandis que le Cameroun s’illustre en 2000 et 2002.

Années récentes : alternance et nouvelles consécrations

Depuis 2012, la CAN connaît une alternance plus marquée. La Zambie (2012), le Nigeria (2013), la Côte d’Ivoire (2015 et 2023), le Cameroun (2017), l’Algérie (2019) et le Sénégal (édition 2021 reportée à 2022) se succèdent au palmarès, souvent après des finales serrées.

Le tableau des nations titrées

Au total, l’Égypte domine avec 7 titres, devant le Cameroun (5) et le Ghana (4). Le Nigeria et la Côte d’Ivoire comptent chacun 3 sacres. L’Algérie et la RD Congo en totalisent 2, tandis que huit nations ont remporté la CAN une fois.

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Tunisie-Canada: La coopération militaire à l’examen

Le ministre de la Défense nationale, Khaled Sehili, s’est entretenu, vendredi, au siège du département avec l’ambassadeur du Canada en Tunisie, Alexandre Bilodeau.

L’entretien a été l’occasion d’examiner les liens d’amitié unissant la Tunisie et le Canada ainsi que les moyens à même de renforcer la coopération militaire entre les deux pays, indique un communiqué du département de la Défense.

A cette occasion, le ministre s’est félicité des relations entre les deux pays, soulignant l’importance de développer la coopération militaire, afin qu’elle soit à la hauteur de la coopération bilatérale dans les autres domaines, à travers la mise en place d’un cadre juridique régissant et renforçant ce partenariat.

L’objectif, pour le ministre, est d’étendre la coopération bilatérale militaire vers d’autres domaines à l’instar de la santé militaire, la recherche et le sauvetage maritimes, la lutte contre la migration irrégulière, la criminalité transfrontalière, la traite des personnes ainsi que la cybersécurité.

Le ministre a, en outre, mis l’accent sur l’importance de l’appui aux projets de développement pilotes à dimension économique et sociale dans les régions intérieures et sahariennes, à l’instar de l’expérience de l’armée nationale dans les projets de Rejim Maatoug et d’El Mohdith dans la délégation d’El Faouar (gouvernorat de Kébili).

Sehili a affirmé que ces deux projets contribuent, désormais, à la revitalisation des zones sahariennes, au développement des ressources hydriques ainsi qu’au développement des activités commerciales et à la création d’emplois, garantissant ainsi des conditions de vie décentes aux habitants de ces régions.

De son côté, le diplomate canadien, fraîchement accrédité en Tunisie, a salué les relations unissant les deux pays et le rôle de la Tunisie, en tant que facteur de stabilité dans la région.

Il a, à cette occasion, fait part de la disposition de son pays à hisser le niveau de coopération bilatérale dans le domaine militaire dans l’intérêt commun et dans un climat de respect mutuel, ajoute le communiqué.

Alexandre Bilodeau avait remis, le 19 aout 2025, une copie figurée de ses lettres de créance en qualité d’ambassadeur du Canada en Tunisie, au ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti.

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La Tunisie et l’Estonie déterminées à renforcer leur coopération bilatérale

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, vendredi, Viljar Lubi, qui lui a remis une copie figurée de ses lettres de créance l’accréditant en qualité de nouvel ambassadeur de la République d’Estonie en Tunisie, avec résidence à Paris.

À cette occasion, le ministre s’est félicité du niveau des relations unissant les deux pays, réaffirmant la disposition du ministère à fournir tout le soutien nécessaire à l’ambassadeur pour accomplir sa mission dans les meilleures conditions, indique un communiqué.

Par ailleurs, Nafti a appelé à mener à bien les préparatifs des prochaines échéances bilatérales, notamment la deuxième session des concertations politiques tuniso-estoniennes, faisant part de la volonté de renforcer davantage la coopération bilatérale, en particulier dans les domaines des échanges commerciaux, des investissements et des secteurs prometteurs, dont les technologies, l’enseignement supérieur et l’agriculture.

Le ministre a, dans ce sens, mis l’accent sur la commercialisation de l’huile d’olive tunisienne.

De son côté, l’Ambassadeur estonien a affirmé la volonté de son pays de renforcer davantage les relations entre les deux pays, que ce soit à travers l’intensification des visites de haut niveau ou par le renforcement des efforts visant à promouvoir la coopération dans les domaines d’intérêt commun.

Le diplomate estonien a, également, rencontré Mohamed Ben Ayed, secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger.

La rencontre a été l’occasion de souligner la volonté commune de renforcer la dynamique des consultations politiques, de poursuivre le travail conjoint, notamment au niveau onusien, et de consolider les relations de coopération entre les deux pays.

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La Tunisie participe à la 2e conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie–Afrique au Caire

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, participe à la 2e conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique qui se tient vendredi 19 et samedi 20 décembre, au Caire, à l’invitation de ses homologues égyptien et russe.

Cette participation s’inscrit dans le cadre de l’engagement constant de la Tunisie en faveur de l’action africaine commune et de son ouverture aux partenariats internationaux en vue de renforcer la coopération multilatérale dans divers domaines, de manière à garantir la réalisation des intérêts communs et à contribuer à relever les défis actuels, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Les travaux de cette 2e Conférence ministérielle porteront notamment sur la poursuite de la mise en œuvre du Plan d’Action conjoint 2023-2026, en perspective de la préparation du 3e Sommet Afrique–Russie, prévu en 2026.

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Bourse de Tunis : Le Tunindex termine la semaine sur une note haussière

La Bourse de Tunis a terminé la semaine du 15 au 19 décembre courant sur une note haussière. L’indice vedette a inscrit une avancée de 0,2 % à 13249 points, portant ainsi sa performance annuelle à 33,3 %, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

La semaine écoulée a été marquée par un rythme soutenu des échanges. Les volumes hebdomadaires se sont établis à 56 MD, nourris par 12 transactions de bloc, portant sur une enveloppe totale de 25 MD. Les plus importantes transactions ont porté sur les titres TPR (une transaction pour 7,9 MD), CARTHAGE CEMENT (cinq transactions pour 7,7 MD) et STAR (deux transactions pour 4,3 MD).

Analyse des valeurs :

Sans faire l’objet de transactions, le titre STIP s’est offert la meilleure performance de la semaine. L’action de l’unique producteur de pneus en Tunisie s’est hissée de 18,5 % à 3,530 D.

Le titre MAGASIN GENERAL a figuré parmi les plus grands gagnants de la semaine. L’action du spécialiste de la grande distribution s’est offert une progression de 15,9 % à 10,650 D. La valeur a brassé de faibles échanges hebdomadaires de 16 mille dinars.

Le titre SANIMED a enregistré la moins bonne performance de la semaine. Sans faire l’objet de transactions, l’action du spécialiste des articles sanitaires s’est délestée de –13,1 % à 0,530 D

Le titre ASSAD s’est, également, mal comporté sur la semaine. L’action du producteur des batteries automobiles a reculé de –12,7 % à 3,220 D. La valeur a été échangée à hauteur de 304 mille dinars seulement sur la semaine.

SFBT a été la valeur la plus convoitée par les investisseurs sur la semaine. L’action du spécialiste des boissons gazeuses et alcoolisées a signé une hausse de 2,1 % à 12,490 D, tout en alimentant le marché avec des capitaux de 9,7 MD.

Les nouvelles du marché

La SOTUVER informe le public que ses actionnaires de référence ont procédé le 16 décembre 2025 à la signature de la documentation contractuelle organisant la cession d’actions représentant 41,3 % du capital de la SOTUVER à B.A Glass BV, société du Groupe B Glass, l’un des plus importants acteurs de l’industrie mondiale de l’emballage en verre.

Il est à noter que la Compagnie Financière d’Investissement – CFI (holding du Groupe BAYAHI) agissant de concert avec les personnes physiques et morales du Groupe BAYAHI détiennent actuellement 82,7 % du capital de la SOTUVER. Le prix par action retenu pour cette transaction a été fixé à 13,020 D.

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une revue stratégique de l’actionnariat, visant à accompagner le développement à long terme de la SOTUVER, à renforcer sa structure financière et à soutenir ses perspectives de croissance. La réalisation effective de la cession demeure soumise à la levée des conditions suspensives usuelles, notamment l’obtention des autorisations réglementaires requises.

La société SOTUVER tiendra le marché informé de toute évolution significative relative à cette opération, conformément à la réglementation en vigueur.

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Le marché boursier termine la semaine sur une note d’optimisme

Le marché boursier a terminé la semaine sur une note d’optimisme. L’indice de référence a grapillé 0,2 % à 12249 points, dans un volume bien garni de 20,5 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Les échanges ont profité de la réalisation de quatre transactions de bloc, portant sur les titres : TPR (une transaction de bloc pour 8 MD), ONE TECH HOLDING (une transaction de bloc pour 2 MD), TUNISIE LEASING & FACTORING (une transaction de bloc pour 1 MD) et SFBT (une transaction de bloc pour 1 MD).

Le titre SOTUVER a chapeauté le palmarès de la séance. L’action du fleuron national de l’industrie du verre creux s’est envolée de 5,4 % à 13,900 D , dans un volume relativement fourni de 1,4 MD .

Le titre TUNISIE LEASING & FACTORING a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action de la compagnie de leasing n°1 en Tunisie s’est bonifiée de 4,5 % à 32,300 D, dans un flux relativement soutenu de 1,4 MD.

Le titre BH LEASING a essuyé la plus forte correction à la baisse de la séance. L’action du leaseur adossé au groupe BH BANK s’est délestée de –4,3 % à 3,790 D. La valeur a amassé des échanges de près de 200 mille dinars sur la séance.

Le titre ASSAD a figuré parmi les baisses les plus soutenues de la séance. L’action du spécialiste des batteries automobiles a reculé de –3,9 % à 3,220 D, en brassant un flux de 224 mille dinars.

Le titre TPR a particulièrement animé la séance, concentrant 41 % du flux de la cote. Terminant sur une embellie de 4,5 % à 10,760 D, l’action de l’extrudeur a alimenté le marché avec des capitaux de 8,3 MD.

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Tunisie: Novembre 2025 marqué par un déficit pluviométrique national

Le mois de novembre 2025 a été marqué par un déficit pluviométrique national de 20 %, indique l’Institut national de la météorologie (INM) dans son bulletin climatique mensuel publié jeudi.

Toutefois, le nord du pays a enregistré une pluviométrie globalement conforme à la normale, grâce aux fortes précipitations observées dans le Nord-Ouest, notamment à Tabarka. Cette station a, en effet, enregistré plusieurs cumuls journaliers importants : 33,4 mm le 2 novembre, 72 mm le 21, 42,2 mm le 22, 46,2 mm le 26, 38 mm le 27 et 34 mm le 28 novembre.

Ces épisodes pluvieux successifs ont permis de compenser, dans une large mesure, les déficits observés dans d’autres régions du pays, en particulier dans le centre, où le manque de précipitations a atteint 90 %, et dans le sud, avec un déficit de 40 %.

Au nord, les neuf stations météorologiques ont cumulé 694,3 mm, soit 105,2 % de la normale pour la même période.

Dans le centre, les sept stations ont enregistré un cumul total de 19,8 mm, représentant seulement 9,5 % de la normale, traduisant un déficit pluviométrique très marqué d’environ 90 %.

Quant au sud, les neuf stations ont cumulé 94,8 mm, contre une normale de 156,8 mm, soit 60,5 % de la moyenne climatologique.

D’autre part, la température moyenne nationale s’est établie à 16,6 °C en novembre 2025, légèrement supérieure à la normale de 16,5 °C, soit un écart positif de +0,1 °C.

Les températures moyennes mensuelles ont varié entre 11,9 °C à Thala et 19,1 °C à Djerba.

Les températures maximales moyennes ont oscillé entre 16,3 °C à Thala et 23,9 °C à Médenine, tandis que la température maximale moyenne nationale a atteint 21,9 °C, dépassant la moyenne de référence (21,5 °C).

Les températures minimales ont varié de 6,5 °C au Kef à 15,1 °C à Mahdia. La température minimale moyenne nationale s’est établie à 11,3 °C, légèrement inférieure à la moyenne de référence de 11,6 °C.

Par ailleurs, des chutes de neige ont été observées au cours du mois, principalement dans les zones montagneuses du nord-ouest, notamment à Aïn Draham et sur les hauteurs avoisinantes.

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JCC 2025 : “Notre Semence” d’Anis Lassoued, portrait poignant d’une jeunesse tunisienne en quête d’avenir

En lice pour le Tanit d’or de la 36ᵉ édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC), le documentaire Notre Semence du cinéaste tunisien Anis Lassoued s’impose comme une traversée humaine au cœur d’une génération née dans l’espoir de la révolution et parvenue à l’âge des doutes.

Coécrit avec Chema Ben Chaabane, ce film de 80 minutes, produit par Lumières Films, coproduit par Al Jazeera Documentary et soutenu par le ministère des Affaires culturelles, a été tourné en 2019, dix ans après la révolution, dans une Tunisie marquée par l’incertitude politique et sociale, à la veille d’une élection présidentielle décisive.

La caméra de Lassoued s’attarde sur deux familles tunisiennes que tout semble opposer, mais que relie une même inquiétude pour l’avenir de leurs enfants. D’un côté, une famille de la classe moyenne, avec un père ingénieur agronome et son fils Skander, élève de l’enseignement français, évoluant dans un univers culturel ouvert sur l’étranger. De l’autre, une famille modeste de la cité Chaker, où Mohamed, maçon, tente de maintenir ses fils Yassine et Mahmoud sur les bancs de l’école publique ou de la formation professionnelle, malgré des conditions matérielles difficiles.

Le film en fait une phrase de clôture, inscrite au générique de fin, comme un dernier écho aux trajectoires suivies. Mahmoud, Yassine, Mariem, Sarra et Skander avancent chacun à leur manière, dispersés comme les fragments d’un pays en quête d’équilibre.

Mahmoud enchaîne les petits boulots, tout en nourrissant, au fond de lui, le rêve persistant du départ. Pour Yassine, déscolarisé, l’horizon de la mer demeure la seule issue imaginable. Mariem s’accroche à son concours de la douane et à la perspective d’un mariage prochain.

Sarra, elle, a quitté la Tunisie pour Strasbourg (France) afin de poursuivre ses études supérieures, tandis que Skander la rejoint après l’obtention de son baccalauréat pour entamer des études de cinéma, porteuses d’espoir et de liberté.

À travers ces trajectoires croisées, Notre Semence donne un visage à une jeunesse tunisienne désorientée. Les adolescents parlent de leur ennui, de leurs peurs, de leur colère sourde face à la corruption, au manque de respect et à l’effritement des promesses sociales. Tous, ou presque, partagent le même rêve : partir. Quitter un pays qu’ils disent aimer, mais dans lequel ils ne se projettent plus.

Fidèle à une écriture documentaire fondée sur la confession et l’écoute, Anis Lassoued privilégie les plans rapprochés et les échanges directs. Les espaces fermés — appartements, salles de classe, bureaux — alternent avec les lieux ouverts, notamment l’avenue Habib Bourguiba, théâtre de la révolution et aujourd’hui espace de mémoire et de désillusion. Une promenade filmée sur cette artère emblématique, accompagnée d’une chanson de Sabry Mosbah, cristallise le tiraillement d’une jeunesse partagée entre appartenance et exil.

Le film pose également un regard critique sur l’état du système éducatif. Baisse du niveau scolaire, inégalités sociales croissantes et abandon scolaire y sont abordés sans détour. L’école, autrefois perçue comme un ascenseur social, apparaît impuissante face à la précarité, accentuant le sentiment d’échec et l’anxiété chez les élèves comme chez les parents.

Certaines séquences mettent en lumière le dilemme parental : comment protéger ses enfants, les maintenir sur “le droit chemin” des études et de la persévérance, alors que les repères vacillent et que les tentations — radicalisation, économie informelle, mirage de l’Europe — se multiplient ? Le film capte cette impuissance avec pudeur, sans jugement, laissant les silences dire ce que les mots peinent à formuler.

En élargissant son regard de l’enfance à l’adolescence, Anis Lassoued signe un documentaire sobre et engagé, qui fait primer l’humain sur le discours. Notre Semence dresse ainsi le portrait d’une génération post-révolution profondément éprouvée, mais encore habitée par une quête de dignité et de liberté.

Présenté en première mondiale aux JCC 2025 (13-20 décembre), le film confirme la place singulière d’Anis Lassoued dans le paysage du cinéma tunisien contemporain, avec une œuvre qui interroge, avec délicatesse et lucidité, l’avenir d’un pays à travers les rêves fragiles de sa jeunesse.

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CAN 2025 – Algérie : Himed Abdelli appelé pour remplacer Houssem Aouar blessé

Le sélectionneur de l’équipe nationale algérienne, Vladimir Petkovic, a convoqué Himed Abdelli, milieu de terrain du SCO d’Angers (France), pour remplacer Houssem Aouar, forfait pour blessure, en vue de la Coupe d’Afrique des Nations CAN-2025, a annoncé vendredi la Fédération algérienne de football (FAF).

Selon la FAF, Houssem Aouar, évoluant à Al-Ittihad (Arabie saoudite), souffre d’une blessure musculaire qui l’empêche de participer au tournoi continental. Le joueur a été contraint de déclarer forfait à quelques jours du coup d’envoi de la compétition, prévu dimanche prochain.

Un ajustement dans l’effectif avant le tournoi

Face à cette absence, le sélectionneur algérien a opté pour la convocation de Himed Abdelli afin de compléter le groupe appelé à disputer la CAN-2025. Le milieu algérien, actuellement engagé en championnat de France avec Angers, rejoint ainsi la liste des joueurs retenus pour la phase finale organisée au Maroc.

La FAF n’a pas précisé la durée de l’indisponibilité de Houssem Aouar ni la nature exacte de sa rééducation. [à vérifier]

Le calendrier de l’Algérie en phase de groupes

L’Algérie entamera sa campagne continentale le mercredi 24 décembre face au Soudan, avec un coup d’envoi prévu à 16h00. Les Verts affronteront ensuite le Burkina Faso le dimanche 28 décembre à 18h30, avant de conclure la phase de groupes contre la Guinée équatoriale, le mercredi 31 décembre à 17h00.

Ces trois rencontres s’inscrivent dans la phase de poules de la compétition, au terme de laquelle les équipes chercheront à assurer leur qualification pour le tour suivant.

Un format de qualification inchangé

À l’issue de la phase de groupes, les deux premiers de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes, décrocheront leur billet pour les huitièmes de finale. La suite de la compétition se disputera sous le format à élimination directe.

La Fédération algérienne de football n’a pas communiqué d’autres changements dans la liste des joueurs convoqués pour la CAN-2025 à la date de cette annonce.

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CAN Maroc-2025 : 24 sélections en quête du sacre continental

Vingt-quatre (24) sélections, dont la Tunisie, seront en lice à l’occasion de la 35e édition de la Coupe d’Afrique des Nations (Maroc-2025), au cours de laquelle la Côte d’Ivoire tentera de conserver sa couronne face à une génération montante d’adversaires ambitieux.

Les 24 nations sont réparties en six groupes de quatre équipes chacun lors de la phase de poules. Les deux premiers de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes, accéderont aux huitièmes de finale, marquant ainsi le début de la phase à élimination directe.

A partir de ce stade, chaque rencontre se jouera sur un match unique, avec prolongations et tirs au but en cas d’égalité. Les quarts de finale opposeront les huit meilleures équipes du continent dans des confrontations

souvent intenses et historiques. Les demi-finales désigneront les deux finalistes et les prétendants au trophée. Un match pour la troisième place précédera la grande finale, qui sacrera le nouveau champion d’Afrique de cette 35e édition.

Du spectacle et du suspense au menu

– Groupe A : des rencontres explosives sont prévues dans cette poule pour décrocher les deux billets qualificatifs pour les huitièmes de finale du tournoi.

Les Aigles du Mali, habitués des grandes performances en CAN, chercheront à prendre un bon départ, tandis que la Zambie, sacrée en 2012, tentera de prouver qu’elle peut à nouveau rivaliser avec l’élite du continent.

Les Comores, qui disputeront leur deuxième participation, sont déterminées à créer l’exploit face au pays hôte et, pourquoi pas, à rééditer la performance de 2021 avec une qualification historique en huitièmes de finale.

– Groupe B : l’Egypte de Mohamed Salah sera l’une des favorites pour le sacre final, mais devra se méfier de l’Afrique du Sud du coach belge Hugo Broos, auteur d’une troisième place lors de la précédente édition de la CAN en Côte d’Ivoire.

Le choc entre les deux sélections, prévu le 26 décembre, promet beaucoup dans la course à la première place. L’Angola, désormais dirigée par Patrice Beaumelle, ainsi que la Tanzanie, tenteront de bousculer la hiérarchie.

– Groupe C : la compétition s’annonce palpitante dans cette poule, où le Nigeria, la Tunisie, l’Ouganda et la Tanzanie se battront pour une place en huitièmes de finale. Avec deux anciens vainqueurs de la CAN et deux équipes

d’Afrique de l’Est déterminées à laisser leur empreinte, ce groupe promet d’être l’un des plus compétitifs du tournoi.

Les Super Eagles, triples vainqueurs de la CAN et restant sur une élimination surprise en Coupe du monde 2026, tenteront de démarrer fort contre les Tanzaniens, toujours en quête de leur première qualification pour la phase à élimination directe.

Le même jour, la Tunisie affrontera l’Ouganda dans une rencontre clé dont le résultat pourrait déterminer les premiers leaders du groupe. Le match phare du groupe C opposera le Nigeria à la Tunisie le 27 décembre,

tandis que le derby est-africain entre l’Ouganda et la Tanzanie se disputera également le même jour.

– Groupe D : parmi les groupes les plus relevés, cette poule réunit le Bénin, le Botswana, la RD Congo et le Sénégal, dans un contexte indécis où chaque nation tentera de tirer son épingle du jeu.

Si le Sénégal et la RD Congo partent avec le statut de favoris pour la qualification, la dernière CAN a démontré que les écarts se réduisent sur la scène africaine.

Absent des deux dernières éditions, le Bénin signe son retour après sa dernière participation en Egypte en 2019. Loin d’être un simple figurant, les Guépards aborderont cette CAN avec ambition sous la houlette du stratège Gernot Rohr, ancien sélectionneur du Nigeria, qu’il avait mené à la médaille de bronze en 2019.

Treize ans après sa première et unique participation en 2012, le Botswana retrouve la compétition avec le statut d’outsider. Sous la direction de Morena Ramoreboli, technicien prometteur du continent, les Zèbres espèrent

poursuivre leur ascension et déjouer les pronostics.

Passée tout près d’un podium en Côte d’Ivoire, la RD Congo aborde cette CAN avec une soif de revanche et l’ambition de décrocher un troisième sacre continental après 1968 et 1974.

– Groupe E : la CAN 2025 offrira une bataille fascinante dans le groupe E, composé de l’Algérie, du Burkina Faso, de la Guinée équatoriale et du Soudan.

La lutte pour les deux premières places s’annonce féroce entre l’Algérie, désireuse de corriger ses contre-performances lors des deux précédentes éditions, et le Burkina Faso, déterminé à reproduire l’exploit de 2013,

année de sa finale perdue face au Nigeria en Afrique du Sud.

Les Verts, vainqueurs de la CAN 2019, tenteront de faire oublier les déceptions récentes en prenant un bon départ face au Soudan, qui constituera un véritable défi. Les Soudanais, sortant d’une participation

calamiteuse en Coupe arabe FIFA et d’une élimination précoce en phase de poules, tenteront de faire mieux à l’occasion de la CAN 2025.

La première sortie entre les sélections algérienne et soudanaise promet beaucoup, chaque formation cherchant à réussir son entame afin de gagner en confiance pour la suite du parcours.

La Guinée équatoriale, connue pour sa capacité à créer la surprise, espère rester sur la même lancée, tandis que le Burkina Faso, l’une des nations les plus rugueuses du football africain, tentera d’afficher clairement ses ambitions.

– Groupe F : avec pour adversaires le Cameroun, le Gabon et le Mozambique, la Côte d’Ivoire, tenante du titre, n’aura pas droit à l’erreur.

Cinq fois vainqueur de la compétition, le Cameroun représente un adversaire solide, tandis que le Gabon et le Mozambique se présentent comme des équipes imprévisibles dans cette poule qui promet des batailles acharnées.

Les Eléphants débuteront la défense de leur titre le 24 décembre 2025 face au Mozambique, de retour dans le tournoi avec de grandes ambitions et désireux de marquer les esprits.

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CAN Maroc-2025 : la CAF conclut un nombre record d’accords médias en Europe

La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé la conclusion d’un nombre record de 20 accords de droits médias couvrant plus de 30 territoires européens pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), organisée du 21 décembre au 18 janvier au Maroc.

Selon la CAF, ces accords garantissent une visibilité et une accessibilité sans précédent à la compétition pour des millions de téléspectateurs à travers l’Europe. L’instance continentale souligne, dans un communiqué, que ce volume inédit de partenariats de diffusion à l’échelle européenne reflète l’attrait mondial croissant de la Coupe d’Afrique des Nations, ainsi que sa solidité commerciale.

Une diffusion élargie à l’échelle européenne

La CAF estime que cette couverture étendue permettra à un public large et diversifié de suivre la compétition en direct. Elle inclut notamment les supporters africains vivant en Europe, souvent très attachés à la CAN. L’instance met en avant le fait que cette expansion de la diffusion contribuera à rapprocher la compétition de ses publics, au-delà du continent africain.

Dans son communiqué, la CAF précise que la Coupe d’Afrique des Nations mettra en lumière « le meilleur du talent et de la passion du football africain », ajoutant que l’augmentation du nombre de diffuseurs favorisera une exposition accrue des équipes, des joueurs et du spectacle sportif proposé.

Un axe stratégique pour la CAF

La CAF considère ces accords comme une étape majeure de sa stratégie globale, visant à accroître la portée, la visibilité et la valeur du football africain à l’échelle internationale. Elle rappelle que ces partenariats ont été conclus avec l’appui d’IMG, agence internationale en charge des droits médias et du sponsoring pour la CAF.

L’instance continentale insiste sur le caractère structurant de ces accords, qui s’inscrivent dans une dynamique de développement du football africain sur les plans médiatique et économique, sans détailler la nature financière des contrats conclus.

Une compétition d’envergure continentale

La TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations Maroc 2025 réunira 24 équipes. La compétition se disputera à travers 52 matchs, répartis sur neuf stades à travers le Royaume. La CAF n’a pas précisé la répartition géographique des accords médias par pays ou par diffuseur.

Les résultats sportifs et l’impact réel de cette large diffusion sur l’audience européenne seront observés au fil de la compétition.

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CAN Maroc-2025 : le Stade Adrar d’Agadir prêt pour accueillir le tournoi

Le Grand stade d’Agadir, rebaptisé Stade Adrar, est désormais fin prêt pour accueillir les matchs de la Coupe d’Afrique des Nations Maroc-2025, prévue du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026. La capitale du Souss figure parmi les six villes hôtes de la compétition, aux côtés de Casablanca, Tanger, Marrakech, Rabat et Fès.

Une première phase de rénovation achevée

Pendant plusieurs mois, l’enceinte a fait l’objet d’un vaste chantier de mise à niveau, scindé en deux phases. La première, totalement achevée, vise à répondre aux exigences de la Confédération africaine de football (CAF) et de la FIFA pour la CAN-2025.

Les travaux ont porté notamment sur l’aménagement extérieur, avec une augmentation de la capacité des parkings de 2.600 à 4.100 places, la rénovation des pelouses du terrain principal et des terrains d’entraînement, ainsi que la modernisation des vestiaires.

Médias, VIP et accès modernisés

Cette phase inclut également la rénovation des espaces médias, des zones VIP, ainsi que de plusieurs installations sanitaires et techniques. Le renforcement de la clôture extérieure et l’installation de nouveaux points de billetterie visent à améliorer la fluidité d’accès et la sécurité des usagers.

En route vers le Mondial 2030

Après la CAN, une seconde phase sera lancée en perspective du Mondial 2030, que le Maroc organisera conjointement avec l’Espagne et le Portugal. Elle prévoit la couverture totale du stade, l’extension des gradins pour porter la capacité de 41.800 à 46.000 places, ainsi que l’installation d’un toit panoramique à 360° et l’amélioration des espaces VIP.

Un programme sportif relevé

Le Stade Adrar accueillera les matchs du groupe B, composé de l’Angola, du Cameroun, de l’Égypte et du Mozambique, ainsi que deux rencontres à élimination directe, dont un quart de finale.

Inauguré en 2013, le Grand stade d’Agadir s’étend sur 32 hectares, à 15 minutes du centre-ville et 30 minutes de l’aéroport, et a déjà accueilli des événements majeurs, dont la Coupe du Monde des Clubs FIFA 2013.

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Kais Saïed : la dignité du peuple et l’inviolabilité de la patrie ne sont pas négociables

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, jeudi, après-midi, au palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri.

Selon un communiqué, le chef de l’Etat est revenu sur la “leçon historique” donnée, hier, 17 décembre, par le peuple tunisien, saluant la conscience élevée et la maturité dont celui-ci a fait preuve à l’occasion de la célébration du 15e anniversaire de la révolution.

Le chef de l’État a souligné, dans ce contexte, que le peuple tunisien a adressé hier un message fort et a donné une leçon à Tous, estimant que les manifestations du 17 décembre ont marqué une journée historique qui restera gravée à jamais dans l’histoire du pays.

A travers les manifestations d’hier, a ajouté le président Saïed, le peuple tunisien a réaffirmé l’engagement à aller de l’avant sur la voie irréversible qu’il a tracée avec ses généreuses sacrifices, tout comme il a exprimé sans équivoque son rejet catégorique des atteintes à la souveraineté nationale et son attachement à instaurer une redevabilité conformément à la loi.

S’adressant à ceux qui persistent encore à verser dans “l’égarement” et qui continuent à nuire au peuple tunisien, le président Saïed a rappelé que l’Etat ne peut être gouverné par des publications via le cyberespace ou encore à travers des documents fictifs et montés de toute pièce, assurant que ceux qui sont à l’origine de ces pratiques sont démasqués et bien connus de tous.

Evoquant le processus de construction et d’édification du pays, le président de la République a souligné que ce processus va bon train malgré le laxisme et les mauvaises intentions affichées par certaines parties, promettant de demander des comptes aux fauteurs du peuple tunisien où qu’ils se trouvent.

Ni leur complicité, ni leur inféodation à l’étranger ou encore leur trahison ne peut faire obstacle à leur redevabilité, a encore martelé le président Saïed, assurant que la voix du peuple exprimée, hier, à Tunis et dans les différentes régions du pays, l’emportera décidément sur toute autre considération.

Tout en fustigeant ceux qui croient encore que le pouvoir est “un titre honorifique” ou une palette de “privilèges” et qui n’ont pas cherché à répondre aux revendications et attentes du peuple tunisien, le chef de l’Etat a tenu à souligner que la dignité du peuple ainsi que l’inviolabilité de la patrie sont deux questions qui ne peuvent en aucun cas faire l’objet d’une quelconque concession.

Et le président Saïed de conclure que les manifestations d’hier ont porté un rude coup aux conspirateurs , rappelant ceux qui se portent à tort en « maîtres » et en « donneurs de leçons » que si leçon il y a c’est bien celle qui a été donnée par le peuple tunisien à l’occasion de la fête de la révolution.

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Diplomatie : visite d’adieu de l’ambassadeur d’Espagne au palais de Carthage

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, jeudi, au palais de Carthage, l’Ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Javier Puig Saura venu lui rendre une visite d’adieu à l’occasion de la fin de sa mission dans notre pays.

Selon un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’Etat a souligné l’importance de renforcer la coopération bilatérale dans tous les domaines en vue de servir les intérêts communs entre les deux pays.

Il a tenu à cette occasion à exprimer sa gratitude à l’ambassadeur d’Espagne pour ses efforts déployés en vue consolider les liens d’amitié et de coopération entre les deux pays.

De son côté, l’ambassadeur d’Espagne a mis l’accent sur la profondeur des relations entre les deux pays, se félicitant des progrès réalisés au niveau de la coopération bilatérale entre les deux pays.

Il a également réaffirmé l’engagement de son pays à développer davantage ses relations avec la Tunisie dans tous les domaines, au service des intérêts communs des deux peuples amis.

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Relations tuniso-japonaises : Mohamed Ali Nafti reçoit le nouvel ambassadeur du Japon à Tunis

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, jeudi, au siège du département, le nouvel ambassadeur du Japon en Tunisie, Saito Jun, qui lui a remis une copie figurée de ses lettres de créance.

Cette rencontre a été l’occasion de réaffirmer la solidité des relations d’amitié et de coopération unissant la Tunisie et le Japon, indique un communiqué du département des Affaires étrangères.

Le ministre s’est, par ailleurs, félicité des efforts déployés par le Japon en vue de soutenir le processus de développement et d’élargir ses projets d’investissement en Tunisie, en vue de renforcer le partenariat entre les deux pays dans les divers domaines économique, environnemental et technologique, à la lumière de la célébration en 2026 du 70e anniversaire de l’établissement de leurs relations diplomatiques.

Le ministre s’est réjoui des résultats obtenus dans le cadre bilatéral ou à travers la Conférence internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique (TICAD), dont la 8e édition a eu lieu à Tunis, en 2022, rappelant que la Tunisie avait participé à la 9e édition, en août 2025, au Japon.

De son côté, le diplomate japonais a fait part de sa détermination à continuer d’œuvrer en vue de développement davantage les relations bilatérales au service des intérêts communs des deux pays.

Au terme de cette rencontre, les deux parties ont réaffirmé leur volonté commune d’œuvrer ensemble pour assurer la réussite des échéances bilatérales prévues l’année prochaine, notamment le Forum économique tuniso-japonais et la 12ème session de la Commission mixte tuniso-japonaise au niveau ministériel.

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