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Banque d’Angleterre : baisse du taux d’intérêt à 3,75 %, mais…

La Banque d’Angleterre a abaissé, jeudi 18 décembre 2025, ses taux d’intérêt, à la suite d’une courte majorité au sein du comité compétent.

En particulier, suite à la baisse de l’inflation constatée dans les données publiées cette semaine et aux nouvelles prévisions des services de la Banque d’Angleterre selon lesquelles la croissance restera stagnante fin 2025, cinq membres du Comité de politique monétaire de l’institution ont voté en faveur d’une réduction de son taux directeur pour la quatrième fois en 2025, le ramenant de 4% à 3,75%.

Les quatre autres membres étaient favorables au maintien du niveau de 4%, exprimant des inquiétudes quant à la possibilité que l’inflation reste particulièrement élevée en Grande-Bretagne (qui affiche toujours le taux le plus élevé parmi les économies du G7).

Le vote du gouverneur de la Banque d’Angleterre, Andrew Bailey, qui a changé d’avis et s’est finalement prononcé en faveur d’une réduction, s’est avéré décisif pour la décision.

Dans ses déclarations accompagnant cette décision, le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Andrew Bailey, a affirmé que « nous continuons de croire que les taux d’intérêt suivent une trajectoire de baisse progressive », mais qu’« à chaque réduction que nous effectuons, il devient de plus en plus crucial de déterminer jusqu’où nous irons ».

Il a également déclaré qu’il ne constatait pas encore de signes de récession plus marquée sur le marché du travail du pays, reconnaissant cependant que les anticipations d’inflation n’avaient pas diminué de manière significative jusqu’à présent.

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Avoirs russes gelés : l’UE renonce, Moscou applaudit

L’envoyé spécial du président russe Vladimir Poutine pour les investissements et la coopération économique, Kirill Dmitriev, a déclaré que « le droit et le bon sens » avaient triomphé après que les dirigeants de l’Union européenne ont décidé d’emprunter de l’argent pour financer l’Ukraine plutôt que d’utiliser les avoirs russes gelés.

« Coup dur pour les bellicistes de l’UE menés par l’incompétente Ursula : les voix de la raison au sein de l’UE ont bloqué l’utilisation illégale des réserves russes pour financer l’Ukraine », a écrit Dmitriev sur X, en référence à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

Un accord a été conclu jeudi lors du Sommet sur le financement de l’Ukraine pour la période de deux ans 2026-2027, a annoncé le président du Conseil européen, Antonio Costa, via X.

« La décision de prêter 90 milliards d’euros à l’Ukraine pour la période 2026-2027 a été approuvée. Nous avons tenu notre engagement », a-t-il souligné.

Par conséquent, les États membres ont convenu de financer l’Ukraine par le biais d’emprunts européens sur les marchés de capitaux, à hauteur de 90 milliards d’euros sur les deux prochaines années. Ce financement sera assuré par une coopération renforcée, appuyée par la marge budgétaire de l’UE et fondée sur un accord unanime visant à modifier le cadre financier pluriannuel actuel, a expliqué Mme von der Leyen.

Comme pour le prêt au titre des réparations, l’Ukraine ne sera tenue de rembourser ce prêt que si elle reçoit des réparations de guerre de la Russie.

Le financement de l’Ukraine après 2027 fera partie des discussions en cours sur le prochain cadre financier pluriannuel (2028-2034).

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UE – MERCOSUR : report à janvier 2026 de la signature de l’accord commercial

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a informé les dirigeants des 27 États membres de l’UE réunis à Bruxelles, jeudi 18 décembre, que la signature de l’accord commercial avec les États du MERCOSUR (Marché commun du Sud) – à savoir l’Argentine, le Brésil, l’Uruguay et le Paraguay – est reportée à janvier 2026, selon des sources diplomatiques.

Ursula von der Leyen espérait signer l’accord de libre-échange samedi 20 courant, lors du sommet du MERCOSUR dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu.

Cependant, elle nécessitait l’approbation de Bruxelles, qu’elle n’a pas obtenue, principalement en raison de l’opposition de la France et de l’Italie.

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Israël donne son feu vert à un contrat gazier historique de 30 milliards d’euros avec l’Égypte

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a donné son « feu vert » à l’important contrat de vente de gaz naturel à l’Égypte, un contrat d’une valeur de 30 milliards d’euros.

« J’ai approuvé aujourd’hui le plus important contrat de gaz naturel de l’histoire d’Israël, d’une valeur de 112 milliards de shekels », a déclaré le Premier ministre israélien lors d’une allocution télévisée. « Cet accord a été conclu en coopération avec la société américaine Chevron, et sur le montant total, 58 milliards de shekels (environ 15,3 milliards d’euros) iront dans les caisses de l’État », a-t-il ajouté.

« Il s’agit du plus important contrat d’exportation (de gaz naturel) de l’histoire d’Israël », a commenté le ministre de l’Énergie, Eli Cohen.

Selon Netanyahu, cet accord contribuera à assurer la stabilité dans la région et à surmonter la crise énergétique en Égypte, qui a dépensé des milliards de dollars en importations de gaz naturel liquéfié après que sa propre production n’ait pas permis de répondre à la demande.

La production égyptienne a commencé à décliner en 2022, contraignant le pays à abandonner son projet de devenir une plateforme d’approvisionnement régionale. Depuis, il s’est tourné vers Israël pour satisfaire ses besoins.

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Allemagne : Baisse inattendue de la confiance des entreprises en décembre

La confiance des entreprises en Allemagne a chuté de manière inattendue en décembre, selon une enquête publiée mercredi 17 décembre, alors que la première économie d’Europe continue de lutter pour retrouver la croissance.

L’institut allemand Ifo a annoncé mercredi que son indice du climat des affaires a reculé à 87,6 ce mois-ci, contre 88,0 en novembre (un chiffre légèrement révisé à la baisse). Les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une légère hausse à 88,2.

L’Allemagne a eu du mal à retrouver son élan cette année, avec des prévisions de croissance modeste après deux années de contraction.

Les entreprises envisagent le premier semestre 2026 avec plus de pessimisme, a déclaré Clemens Fuest, président de l’Ifo. L’indicateur de situation actuelle est resté inchangé, et l’année s’achève sans aucun signe d’optimisme, a-t-il ajouté.

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La Cour des comptes européenne épingle le cadre anti-fraude de l’UE

L’UE présente des faiblesses dans la lutte contre la fraude, notamment dans la manière dont les principaux organismes échangent des informations, selon un nouveau rapport de la Cour des comptes européenne (CCE) publié lundi 15 décembre.

Entre 2022 et 2024, 27 000 plaintes pour fraude ont été soumises aux institutions de l’UE chargées de la combattre, dont un tiers ont été jugées recevables pour enquête.

Dans le cadre du dispositif antifraude de l’UE, les plaintes sont instruites par le Parquet européen, tandis que l’Office européen de lutte antifraude (Olaf) est chargé des enquêtes administratives. L’Olaf et le Parquet européen bénéficient du soutien d’Eurojust, de l’Agence de l’UE pour la coopération judiciaire en matière pénale, d’Europol et des autorités nationales…

Par ailleurs, la Cour des comptes européenne constate que, bien que les enquêtes de l’Office européen de lutte antifraude (Olaf) et du Parquet européen (EPPO) aient permis de récupérer des millions d’euros auprès des fraudeurs, la Commission européenne ignore si la totalité des sommes dues au budget de l’UE a été remboursée.

Suite à ses enquêtes menées durant cette période, l’Olaf a recommandé le remboursement de 615 millions d’euros au budget de l’UE. Fin 2024, 23 millions d’euros avaient déjà été recouvrés. Au cours de la même période, le Parquet européen a gelé des avoirs d’une valeur de 3 milliards d’euros. À la suite de ses enquêtes, en 2024, les juridictions ont ordonné aux autorités nationales de recouvrer 232 millions d’euros provenant d’activités criminelles. Toutefois, la Commission ne dispose d’aucun mécanisme lui permettant de contrôler la mise en œuvre des recouvrements ordonnés par les juridictions ni de vérifier si les sommes dues au budget de l’UE ont été intégralement recouvrées.

Par conséquent, l’Olaf souligne la nécessité pour la Commission de renforcer sa surveillance des enquêtes pour fraude.

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Accusations de « lois anti-Blancs » : l’Afrique du Sud riposte à Elon Musk

Le milliardaire Elon Musk a affirmé que l’Afrique du Sud, son pays natal, compte désormais davantage de lois discriminatoires que celles imposées à la population noire sous l’Apartheid.

La présidence sud-africaine a condamné, le 15 décembre 2025, les propos du milliardaire américain, Elon Musk, qui affirme que Pretoria appliquait désormais davantage de lois discriminatoires sur le plan racial qu’à l’époque de l’Apartheid, citant des données de l’Institut des relations raciales (IRR).

Dans un message publié sur les réseaux sociaux faisant référence à l’organisme de recherche, Musk a affirmé que la législation post-apartheid ciblait injustement les Sud-africains blancs et devrait être abolie. Il a ensuite affirmé que les lois fondées sur la race sont fondamentalement injustes, quel que soit le contexte historique. « C’est profondément erroné : l’objectif devrait être l’absence de lois fondées sur la race  ».

Les propos de Musk ont ​​suscité une vive réaction de la présidence. Le porte-parole du président Cyril Ramaphosa, Vincent Magwenya, a rejeté la comparaison comme étant offensante et racialement insensible. Et ce, compte tenu de l’histoire d’oppression institutionnalisée de l’Afrique du Sud. « Seul un raciste déséquilibré et impénitent ne comprendra pas à quel point de tels mots sont profondément offensants pour les personnes qui portent encore les cicatrices de l’Apartheid ».

Il a souligné que les tentatives visant à présenter les politiques de transformation et de réparation comme équivalentes aux lois de l’époque de l’Apartheid ignorent à la fois la réalité historique et les inégalités actuelles.

« Les gens portent encore les stigmates de l’Apartheid et travaillent chaque jour à démanteler le chaos laissé par le colonialisme et l’Apartheid qui ont profité à votre espèce », a ajouté Magwenya.

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Trump réclame 10 milliards de dollars à la BBC pour diffamation

Le président américain Donald Trump a déposé, lundi 15 décembre, une plainte contre la British Broadcasting Corporation (BBC). Il réclame au moins 10 milliards de dollars de dommages et intérêts, après l’avoir accusée de diffamation, suite à la création d’un clip vidéo trompeur.

La plainte déposée par Trump en Floride réclame « au moins 5 milliards de dollars de dommages et intérêts ». Et ce, pour chacun des deux chefs d’accusation de diffamation et de violation d’une loi relative aux pratiques commerciales trompeuses et déloyales.

On rappelle que la BBC avait présenté ses excuses pour avoir modifié un discours de Trump dans un documentaire qui donnait l’impression qu’il avait appelé à des « actions violentes ». Cette manipulation se déroulant avant que ses partisans ne prennent d’assaut le Capitole le 6 janvier 2021, relève l’AFP.

Ainsi, la chaîne est en pleine tourmente depuis la réapparition du segment modifié de son émission phare d’information « Panorama », diffusée avant l’élection présidentielle de 2024.

Dans ce contexte, le président de la BBC, Samir Shah, a adressé une « lettre personnelle » à la Maison Blanche contenant les excuses de la société. Mais cette initiative ne semble pas avoir réussi à apaiser la colère du président américain.

En effet, un porte-parole de l’avocat du président Trump a d’ailleurs déclaré à l’AFP : « La BBC, qui était autrefois respectée mais qui est maintenant discréditée, a terni la réputation du président Trump. Et ce, en modifiant délibérément, malicieusement et de manière trompeuse son discours, dans le but clair d’interférer dans l’élection présidentielle de 2024 ».

Il a conclu : « La BBC a une longue tradition de désinformation de son public dans sa couverture du président Trump, au service de son agenda politique de gauche ».

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Les marchés anticipent une hausse des taux d’intérêt au Japon

Les marchés mondiaux attendent la réunion de la Banque du Japon (BoJ) prévue vendredi prochain, dans un contexte de fortes anticipations selon lesquelles la banque relèvera son taux directeur de 25 points de base pour le porter à 0,75 %, son niveau le plus élevé depuis 1995.

Ces anticipations interviennent dans un contexte d’incertitude croissante sur le marché des changes. Les estimations suggérant que le gouverneur de la Banque du Japon, Kazuo Ueda, pourrait envisager une hausse des taux d’intérêt afin de répondre aux défis économiques actuels.

Selon les prévisions, la décision de relever les taux d’intérêt devrait être prise à l’unanimité par les neuf membres du Comité de politique monétaire, pour la première fois depuis la réunion de juillet dernier. Reflétant ainsi un large consensus au sein de la banque sur l’orientation de la politique monétaire.

A cet égard, il convient de noter que le rendement des obligations japonaises à 30 ans a atteint son plus haut niveau au début du mois. Et ce, augmentant plus rapidement que celui des obligations à plus court terme, dans un contexte d’inquiétudes concernant la détérioration de la situation financière du pays.

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Goldman Sachs : les actions américaines en voie d’atteindre de nouveaux records en 2026

Les stratèges de Goldman Sachs prévoient que les actions américaines atteindront de nouveaux sommets historiques en 2026. Car les portent l’adoption accélérée des technologies d’intelligence artificielle et la poursuite d’une croissance économique robuste aux États-Unis.

L’équipe stratégique de Goldman Sachs a prédit le 14 décembre que le bénéfice par action des sociétés du S&P 500 augmenterait d’environ 12 % l’année prochaine et de 10 % en 2027. Les gains de productivité liés à l’IA contribuant à hauteur d’environ 0,4 % l’année prochaine et de 1,5 % en 2027.

Ces perspectives optimistes concordent avec les prévisions d’autres grandes institutions, notamment Morgan Stanley, Deutsche Bank et RBC Capital Markets. Lesquelles prévoient toutes que les actions américaines enregistreront des gains supérieurs à 10 % en 2026.

Dans le même contexte, une enquête informelle menée par Bloomberg montre que les gestionnaires de fonds du monde entier parient sur la poursuite de la tendance haussière. L’alimente une confiance accrue dans les perspectives économiques. Et ce, malgré les inquiétudes persistantes quant au risque de bulle spéculative sur les actions des grandes entreprises technologiques engendré par les dépenses massives en intelligence artificielle.

À l’inverse, les analystes suivis par Bloomberg Intelligence prévoient une hausse de 14 % des bénéfices nets des entreprises du S&P 500 en 2026, soutenue par une augmentation de 18 % des bénéfices des sept plus grandes entreprises.

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Le secteur de l’IA en Chine devrait dépasser les 170 milliards de dollars cette année

L’industrie chinoise de l’intelligence artificielle (IA) devrait dépasser 1 200 milliards de yuans (environ 170 milliards de dollars) d’ici la fin de l’année. C’est ce que révèlent les données publiées ce 15 décembre par l’Académie chinoise des technologies de l’information et des communications. Laquelle dépend du ministère de l’Industrie et du Commerce.

Les technologies d’IA deviennent aujourd’hui une véritable force productive. Les experts constatent une amélioration qualitative significative des grands modèles de langage. En effet, leurs capacités de traitement de texte ont augmenté de 30 % au cours de l’année écoulée. De même que leurs aptitudes à la compréhension multimédia de 50 %.

Le secteur de « l’intelligence incarnée » (l’intégration de l’IA et de la robotique) est devenu le plus dynamique. Et ce, avec un financement dépassant les 40 milliards de yuans (5,67 milliards de dollars américains) et un nombre d’entreprises spécialisées atteignant 350.

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Les entreprises américaines flairent le filon de la reconstruction de Gaza

Des membres de l’administration Trump et des hommes d’affaires républicains bien connectés rivalisent pour dominer l' »aide humanitaire » et la « reconstruction dans la bande de Gaza ». C’est ce qu’affirme un rapport du journal The Guardian publié dimanche 14 décembre.

Avec les trois quarts des bâtiments de Gaza endommagés ou détruits par les attaques israéliennes au cours des deux dernières années, la reconstruction – dont le coût est estimé par les Nations unies à 70 milliards de dollars – pourrait générer d’énormes profits pour les entreprises spécialisées dans la démolition, le transport, la logistique et la construction, selon des documents consultés par The Guardian.

Toutefois, il est toujours impossible de conclure des contrats à long terme pour la reconstruction ou l’aide humanitaire. En effet, un Conseil de paix, présidé par Donald Trump, a été approuvé par les Nations unies pour gérer le territoire; mais il n’est pas encore opérationnel. De plus, le mandat du nouveau Centre de coordination politico-militaire est limité.

Parallèlement à ces efforts officiels, la Maison Blanche a créé sa propre cellule de crise sur Gaza, dirigée par Jared Kushner, Steve Witkoff et Aryeh Lightstone.

Le journal a appris que deux anciens responsables du groupe Doge – qui avaient supervisé les efforts d’Elon Musk pour réduire drastiquement les dépenses publiques et licencier des fonctionnaires fédéraux – dirigent les discussions du groupe sur… la reconstruction de Gaza après la guerre. Ils ont publié des présentations détaillant les plans des opérations logistiques, notamment les prix, les projections financières et l’emplacement d’entrepôts potentiels.

« Tout le monde essaie d’en obtenir une part »

Des entreprises américaines se positionnent pour se partager les bénéfices. La même source révèle que Gothams LLC, une société proche de Trump, figure parmi les candidats. Elle a décroché un contrat de 33 millions de dollars pour gérer le tristement célèbre centre de détention du sud de la Floride, surnommé « Alligator Alcatraz », où les migrants sont logés sous des tentes et dans des caravanes.

De son côté, Eddie Vasquez, porte-parole du groupe de travail de la Maison Blanche sur Gaza, a déclaré, dans un courriel, que cet article « témoigne d’une méconnaissance totale du fonctionnement du groupe de travail sur Gaza et de la situation actuelle. Nous n’en sommes qu’aux prémices de la planification, et de nombreuses idées et propositions sont actuellement à l’étude; sans qu’aucune décision définitive n’ait été prise ».

Par ailleurs, des sources indiquent que des entrepreneurs se sont rendus dans la région pour rencontrer d’éminents responsables américains et des partenaires commerciaux potentiels avant les fêtes de fin d’année.

« Le rôle de l’ONU est flou »

En novembre, l’ONU a approuvé le plan de Trump pour Gaza. Alors que Trump et Kushner ont tous deux envisagé la construction de complexes touristiques de luxe, la plupart des membres de la communauté internationale souhaitent voir Gaza reconstruite pour devenir un lieu de vie pour ses 2,1 millions d’habitants palestiniens. Parallèlement, Israël continue de contrôler la moitié de la bande de Gaza et a annoncé qu’il interdirait toute construction dans la partie contrôlée par le Hamas jusqu’au désarmement de ce groupe.

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Métaux précieux : le cours de l’or augmente, celui de l’argent se stabilise 

Le cours de l’or a progressé ce lundi 15 décembre, soutenu par la baisse des rendements des bons du Trésor américain. Tandis que celui de l’argent s’est stabilisé après avoir atteint un niveau record durant la semaine du 8 décembre.

L’or a progressé de 0,3 % sur le marché au comptant pour atteindre 4 313,08 dollars l’once ce matin. Il avait atteint vendredi son plus haut niveau depuis le 21 octobre. Et depuis le début de l’année, il a progressé de plus de 64 %. Battant de la sorte plusieurs records et devenant donc l’un des actifs les plus performants en 2025, relève Reuters.

Ainsi, les contrats à terme sur l’or américain ont progressé de 0,39 %; et ce, pour atteindre 4 344,80 dollars l’once lundi.

Concernant les rendements des obligations du Trésor américain à 10 ans, ils ont légèrement baissé. Ce qui accroît l’attrait de détenir de l’or, qui ne génère pas de rendement.

La Réserve fédérale a abaissé ses taux d’intérêt de 25 points de base pour la troisième fois cette année mercredi. Mais elle a exprimé sa prudence quant à d’autres baisses. Et ce, compte tenu de l’inflation persistante et des perspectives incertaines du marché du travail.

Deux responsables de la Réserve fédérale, opposés à une baisse des taux d’intérêt, ont déclaré que l’inflation était encore trop élevée pour justifier une réduction des coûts d’emprunt. Tout en invoquant un manque de données officielles récentes sur le rythme de la hausse des prix.

De leur côté, les investisseurs anticipent actuellement deux baisses de taux d’intérêt l’année prochaine. Et le rapport américain sur l’emploi non agricole de la semaine prochaine pourrait fournir d’autres indications sur la future orientation de la politique monétaire de la Fed.

De plus, les actifs non rémunérateurs comme l’or ont généralement tendance à se redresser lorsque les taux d’intérêt sont bas.

Quant aux autres métaux précieux, l’argent s’est établi à 62,02 dollars l’once sur le marché au comptant; après avoir atteint un record de 64,64 dollars vendredi, avant de clôturer en forte baisse.

En outre, les prix de l’argent ont augmenté d’environ 6 % la semaine dernière, portant leurs gains totaux depuis le début de l’année à 115 %. Et ce, sous l’effet de la baisse des stocks, d’une forte demande industrielle et de leur inclusion sur la liste des métaux biométallurgiques critiques aux États-Unis.

Enfin, le platine a reculé de 0,2 % à 1 741,82 dollars sur le marché au comptant. Tandis que le palladium a progressé de 0,4 % à 1 493,40 dollars l’once.

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Chili : José Antonio Kast remporte la présidentielle

Les électeurs chiliens ont élu, dimanche 14 décembre, José Antonio Kast, candidat de l’extrême droite, à la présidence du pays. Faisant ainsi de lui le chef d’État le plus à droite d’Amérique latine depuis la fin de la dictature d’Augusto Pinochet en 1990.

L’ultraconservateur, âgé de 59 ans, a obtenu environ 58,2 % des voix contre environ 41,8 % pour Jeannette Jara. Cette dernière, une communiste modérée, est la candidate d’une large alliance de partis de gauche et de centre. C’est ce qu’annoncent les résultats officiels, après le dépouillement de la quasi-totalité des bulletins.

« Nous rétablirons le respect de la loi » dans tout le pays, a promis le vainqueur du second tour de l’élection présidentielle. Et ce, à des milliers de ses partisans rassemblés devant le siège du parti républicain, dans l’est de Santiago.

« Beaucoup de gens se sont laissés emporter par la campagne de peur et l’ignorance ». Ainsi a déclaré Gabriela Acevedo, 21 ans, élève en éducation spécialisée et électrice de Mme Jara.

Dès l’annonce du résultat, un groupe de personnes a commencé à scander en rythme « Pinochet ». Tout en brandissant des portraits de l’ancien dictateur dans le pays où la dictature militaire (1973-1990) a fait quelque 3 200 morts et disparus.

A cet égard, notons que près de 16 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes. Les sondages prévoyaient une victoire écrasante pour José Antonio Kast. Au premier tour, mi-novembre, les deux finalistes avaient obtenu environ un quart des voix, le candidat de l’alliance centre-gauche étant légèrement en tête.

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, n’a pas tardé à féliciter le président élu. Il a souligné « des priorités communes. » Avec, notamment, « le renforcement de la sécurité publique, la fin de l’immigration illégale et la revitalisation de nos relations commerciales ».

De son côté, le président argentin (d’extrême gauche) Javier Milei, grand allié de Donald Trump, a exprimé par l’intermédiaire de X son « immense joie », après le triomphe retentissant de José Antonio Kast.

Conservatisme

L’ancien député, qui se déclare catholique fervent et fréquente régulièrement l’église, et qui est père de neuf enfants, a fondé sa campagne sur des promesses de lutte contre la criminalité et d’expulsion des quelque 340 000 immigrants en situation irrégulière présents au Chili.

Pour sa part, Mme Jara, 51 ans, ancienne ministre du Travail sous le président sortant Gabriel Boric, issue du Parti communiste, avait promis, pendant sa campagne, des augmentations du salaire minimum et une défense des retraités.

Par ailleurs, relevons que la criminalité et l’immigration irrégulière figurent parmi les principales préoccupations des citoyens chiliens; avant même les difficultés économiques dues à une croissance atone.

Les experts évoquent cependant une perception qui a peu à voir avec la réalité. Car si le pays connaît une augmentation des enlèvements et des extorsions. Il reste néanmoins l’un des plus sûrs d’Amérique latine.

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Nouvelles sanctions américaines contre six pétroliers transportant du pétrole vénézuélien

Les États-Unis ont annoncé samedi 13 décembre une nouvelle série de sanctions visant six pétroliers supplémentaires vénézuéliens.

L’Office de contrôle des avoirs étrangers (OFAC) du département du Trésor américain a inscrit sur liste noire six pétroliers VLCC qui, selon Washington, sont impliqués dans le chargement et le transport de pétrole brut vénézuélien en utilisant des pratiques de navigation trompeuses et dangereuses.

Selon les autorités américaines, au moins un des navires était déjà chargé de pétrole vénézuélien et se dirigeait vers l’Asie pour y être déchargé, contournant ainsi le régime de sanctions.

Les pétroliers visés sont le White Crane, le Kiara M, le H. Constance, le Lattafa, le Tamia et le Monique, tous de grande capacité, construits entre 2002 et 2007, battant pavillon du Panama, de Hong Kong et des îles Cook et appartenant à des propriétaires allant de la Chine et du Royaume-Uni aux îles Marshall.

L’OFAC affirme que la plupart des navires ont tenté de dissimuler leur activité, soit en falsifiant, soit en désactivant leurs systèmes d’identification automatique (AIS), une pratique souvent associée à ce qu’on appelle le «trafic maritime parallèle».

Ce nouveau train de sanctions intervient quelques jours après la saisie du VLCC Skipper au large des côtes vénézuéliennes. Le navire a été placé sous le contrôle de l’armée américaine et, selon les informations disponibles, a entamé sa route vers le nord, confirmant ainsi la volonté des États-Unis de combiner les moyens économiques et opérationnels pour faire respecter les restrictions.

Conformément au régime de sanctions, les citoyens et les entreprises américains n’ont pas le droit d’effectuer de transactions avec les navires concernés et leurs propriétaires ou sociétés de gestion, tandis que leurs avoirs sous juridiction américaine sont gelés.

En pratique, la conséquence la plus grave est l’exclusion des entités visées du système bancaire et financier occidental, ainsi que l’impossibilité d’utiliser le dollar, ce qui rend le financement, l’assurance et l’affrètement de navires extrêmement difficiles.

Pour justifier les sanctions, le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent, a déclaré que le régime de Nicolas Maduro et ses proches collaborateurs étaient impliqués dans des activités criminelles, affirmant que le Venezuela était une source de trafic de drogue vers les États-Unis.

Le gouvernement vénézuélien a répondu que la saisie du Skipper et les nouvelles sanctions n’étaient pas liées à la lutte contre la criminalité ou l’immigration irrégulière, mais s’inscrivaient dans une stratégie de pression plus large visant les ressources naturelles et le secteur énergétique du pays.

Pour le marché international du transport maritime, ces développements constituent un signal d’alarme clair. Washington démontre ainsi qu’il surveille de près les flux maritimes de pétrole vénézuélien et qu’il est prêt à renforcer ses mesures contre les navires et les entreprises opérant dans les zones grises des sanctions.

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La Chine émettra des obligations spéciales à long terme en 2026

La Chine mettra en œuvre une politique budgétaire plus active en 2026, notamment par l’émission d’obligations spéciales à très long terme afin de stimuler la croissance économique, annonce le ministère des Finances.

Le ministère a annoncé qu’il aurait recours à l’emprunt public pour financer d’importants projets stratégiques nationaux, ainsi que des modernisations d’équipements à grande échelle et des programmes d’échange de biens de consommation.

Le gouvernement chinois s’est également engagé à subventionner les taux d’intérêt des prêts aux ménages et aux entreprises afin de soutenir la croissance de la consommation, selon le compte rendu de la réunion tenue à l’issue de la Conférence centrale sur le travail économique de la semaine dernière.

Les autorités s’efforceront de neutraliser les risques liés à la dette des collectivités locales et interdiront strictement l’ajout illégal de dettes dissimulées.

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Le Kenya suspend un accord sur la santé avec les États-Unis

La Haute Cour du Kenya a suspendu temporairement, le 12 décembre, un accord de coopération sanitaire avec les États-Unis, suite à des allégations selon lesquelles cet accord exposerait des informations médicales sensibles concernant des personnes dans ce pays d’Afrique de l’Est à un accès illégal.

Ce pacte quinquennal, signé à Washington le 4 décembre, représente plus de 1,6 milliard de dollars et a été présenté par les deux gouvernements comme un nouveau modèle d’aide sanitaire américaine qui achemine les fonds directement vers les institutions étatiques tout en incitant les partenaires à augmenter les dépenses de santé nationales.

Cependant, la Fédération des consommateurs du Kenya (COFEK), une organisation à but non lucratif, a déposé une requête auprès de la Cour constitutionnelle, avertissant que l’accord pourrait permettre aux États-Unis d’accéder à des dossiers médicaux personnels, y compris le statut VIH.

Dans un communiqué publié mercredi 10 courant, COFEK a déclaré qu’une partie de l’accord manquait de clarté et devrait être expressément définie ou supprimée. L’organisation a fait valoir que l’accord exposait les ressortissants kenyans à des violations durables de leur vie privée, à une stigmatisation et à un risque d’utilisation abusive de leurs informations.

« Le Kenya doit coopérer avec audace mais se défendre farouchement : le partenariat ne doit pas se traduire par un abandon de souveraineté, des droits des consommateurs ou du contrôle des données nationales de santé », a déclaré le groupe de pression.

Dans une ordonnance rendue publique, le juge Bahati Mwamuye a ordonné la suspension de toute partie de l’accord impliquant le transfert ou le partage de données personnelles de nature médicale, épidémiologique ou sensible jusqu’à une audience le 12 février 2026.

Le président kényan William Ruto a cherché à rassurer le public sur le fait que le droit national régirait le traitement des données des citoyens, affirmant que le procureur général avait examiné l’accord « minutieusement » pour s’assurer que de l’existence de garanties.

Le Rwanda, le Lesotho, le Libéria et l’Ouganda auraient conclu des accords similaires avec Washington.

Plus de cinquante organisations de la société civile ont mis en garde, dans une lettre ouverte adressée aux chefs d’État et de gouvernement africains, contre le risque que les accords d’aide sanitaire proposés par les États-Unis « portent atteinte à la souveraineté » en accordant à Washington un « accès étendu » aux systèmes nationaux de données sanitaires et aux informations sur les agents pathogènes. Elles ont souligné que les conditions de ces accords pourraient comporter des garanties insuffisantes en matière de protection de la vie privée et de sécurité, et n’offrir aucune garantie de réciprocité, notamment en ce qui concerne les vaccins, les transferts de technologies ou la production locale.

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Les États-Unis conditionnent leurs garanties de sécurité à l’Ukraine, selon Axios

L’administration américaine serait disposée à offrir à Kiev des garanties de sécurité de type OTAN, approuvées par le Congrès, si l’Ukraine acceptait des concessions territoriales à la Russie. C’est ce que rapporte Axios. A noter cependant que l’Ukraine a rejeté toute concession et a appelé à un cessez-le-feu, proposition que Moscou a qualifiée de manœuvre dilatoire visant à prolonger le conflit.

Le média a cité des responsables américains anonymes affirmant que les négociations sur les garanties de sécurité offertes par les États-Unis et les pays de l’UE à l’Ukraine avaient réalisé des « progrès significatifs ». Washington souhaite une garantie « qui ne soit pas un chèque en blanc… mais suffisamment solide. Nous sommes prêts à la soumettre au Congrès pour un vote », affirme une d’Axios.

Pour sa part, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que Moscou était disposé à discuter d’un cadre de garanties de sécurité à condition qu’il ne soit pas dirigé contre la Russie.

En outre, Moscou insiste sur le fait qu’une paix durable ne pourra être atteinte que si l’Ukraine s’engage à rester en dehors de l’OTAN, à se démilitariser et à se dénazifier, à limiter la taille de son armée et à reconnaître la nouvelle réalité territoriale sur le terrain.

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La Turquie prévoit de construire 12 réacteurs nucléaires d’ici 2050

La Turquie accélère son entrée dans le domaine de l’énergie nucléaire, se fixant comme objectif stratégique la construction de 12 réacteurs nucléaires d’ici 2050, dans un contexte de sécurité énergétique, de réduction de la dépendance aux combustibles importés et de transition vers la neutralité carbone.

Le dernier épisode de ce processus a été la signature d’un protocole d’accord (MoU) sur l’énergie nucléaire entre la société d’État Türkiye Nükleer Enerji AŞ (TUNAS) et la Korea Electric Power Corporation (KEPCO), en présence des présidents Recep Tayyip Erdoğan et Lee Jae-myung, lors de la visite officielle du président sud-coréen à Ankara.

Selon le ministère turc de l’Énergie, le protocole d’accord prévoit l’échange de savoir-faire, de données techniques et d’expérience, ainsi que des projets conjoints allant du développement de centrales nucléaires et de l’évaluation de sites, au financement de projets et à la formation des ressources humaines. Le ministre de l’Énergie, Alparslan Bayraktar, a qualifié l’accord de « partenariat stratégique » renforçant la sécurité énergétique à long terme du pays.

L’étape cruciale d’Akkuyu et les prochaines étapes

La centrale nucléaire d’Akkuyu, à Mersin, est la pierre angulaire du programme nucléaire turc. D’une capacité de 4 800 MW, il s’agit de la première centrale du pays. Construite par le groupe russe Rosatom selon le modèle BOO (construction-exploitation-propriété), elle comprend quatre réacteurs VVER-1200. Une fois achevée vers fin 2028, elle devrait couvrir environ 10 % des besoins en électricité de la Turquie.

Dans le même temps, Ankara poursuit la conception d’une deuxième centrale nucléaire à Sinop, en pourparlers avec la Russie et la Corée du Sud, tandis que des contacts sont en cours avec la Chine pour un troisième projet nucléaire en Thrace.

Rappelons qu’en 2023 déjà, KEPCO avait soumis une proposition préliminaire pour la construction de quatre réacteurs APR-1400 dans une région du nord de la Turquie.

Les petits réacteurs modulaires sont sous les projecteurs

L’accent est également mis sur les petits réacteurs modulaires (PRM). La Turquie prévoit d’ajouter 5 GWe de capacité de PRM d’ici 2050, ce qui correspond à au moins 16 unités individuelles, renforçant ainsi la flexibilité de son système énergétique et facilitant l’installation de centrales nucléaires dans des zones industrielles ou des sites isolés.

En résumé, alors que l’énergie nucléaire fait un retour dynamique à l’agenda européen et international, Ankara semble déterminée à passer en « première vitesse » de la nouvelle ère énergétique, avec tout ce que cela implique pour les équilibres géopolitiques de la région.

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