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Chine : bons du Trésor US au plus bas depuis 2008, or en hausse

La Chine a réduit ses avoirs en bons du Trésor américain à 688,7 milliards de dollars en octobre 2025, leur niveau le plus bas depuis novembre 2008, selon les données publiées jeudi par le département américain du Trésor, rapportées par la presse chinoise. Ce chiffre représente une baisse par rapport aux 700,5 milliards enregistrés en septembre.

Désengagement progressif de la dette américaine

Ce mouvement s’inscrit dans le cadre d’un désengagement progressif qui a vu les réserves chinoises en bons du Trésor américain chuter de plus de 47 % depuis leur pic historique de près de 1.320 milliards de dollars atteint en novembre 2013. La Chine, deuxième économie mondiale, a été reléguée au troisième rang des détenteurs étrangers de la dette américaine, derrière le Japon et le Royaume-Uni, depuis mars 2025.

Avertissements et stratégie chinoise

Mardi dernier, Yu Yongding, ancien conseiller de la Banque populaire de Chine, a mis en garde contre les risques liés aux actifs libellés en dollars. Selon lui, Beijing « doit réduire sa dépendance aux marchés extérieurs, notamment américains, et minimiser le risque de tomber dans le piège du dollar ».

Renforcement des réserves d’or

Parallèlement, la Chine poursuit ses achats d’or. En novembre 2025, elle a ajouté 30.000 onces à ses réserves, pour le treizième mois consécutif. Le pays détient désormais 74,12 millions d’onces d’or, soit l’équivalent de 310,6 milliards de dollars. Cette stratégie illustre la volonté de Pékin de diversifier ses actifs et de réduire sa dépendance au dollar américain.

Implications pour les marchés financiers

Le désengagement chinois des bons du Trésor américain pourrait accentuer la volatilité sur les marchés obligataires internationaux. Les analystes soulignent que la combinaison d’une réduction des avoirs en dollars et d’une accumulation continue d’or traduit un repositionnement stratégique de la Chine face aux incertitudes économiques et géopolitiques.

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ECLAIRAGE – L’euro reprend l’initiative face au dollar — Quels impacts pour la Tunisie à l’aube de 2026 ?

L’euro avance prudemment mais sûrement face au dollar, dans un moment charnière où les banques centrales des deux côtés de l’Atlantique s’apprêtent à façonner le paysage monétaire des prochains trimestres.

À l’approche de la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed), les marchés accordent désormais une probabilité écrasante à une baisse imminente des taux directeurs. Tandis que la Banque centrale européenne (BCE) semble déterminée à maintenir sa position de pause monétaire. Cette divergence subtile mais déterminante nourrit actuellement le redressement de l’euro, qui évolue autour de 1,1645 dollar dans la séance asiatique de lundi.

Ce mouvement technique, qui pourrait paraître modeste, porte en réalité des implications majeures pour les économies périphériques, dont la Tunisie, fortement exposée aux turbulences du marché des changes.

La dynamique (1) qui s’installe repose largement sur l’affaiblissement progressif du dollar. Les investisseurs anticipent presque unanimement une réduction de 25 points de base du taux des fonds fédéraux, ramenant la fourchette entre 3,50 % et 3,75 %.

Cette vision d’un cycle d’assouplissement désormais engagé suffit à peser sur le billet vert. Mais les opérateurs demeurent attentifs au ton qu’adoptera la Fed (2). En effet, une baisse de taux assortie d’un discours ferme – le fameux « hawkishcut » – pourrait facilement inverser la tendance et offrir un répit au dollar en fin d’année. Tout se jouera dans l’orientation du message, plus encore que dans l’ajustement lui-même.

En zone euro, le tableau évolue dans un sens presque opposé. Les dernières données d’inflation ont légèrement dépassé les attentes en novembre. Une surprise qui allège paradoxalement la pression immédiate sur la BCE.

L’institution de Francfort devrait maintenir le statu quo lors de la réunion du 18 décembre, considérant que la normalisation monétaire opérée depuis deux ans doit encore déployer ses effets. Ce contraste entre un dollar pénalisé par l’anticipation d’une détente et un euro stabilisé par l’attentisme de la BCE confère aujourd’hui un avantage tactique à la devise européenne.

Les divergences d’analyse au sein des grandes banques (3) illustrent toutefois l’incertitude de moyen terme. Goldman Sachs privilégie un horizon prolongé de stabilité, avec un taux de dépôt maintenu à 2 % jusqu’en 2026. Deutsche Bank, plus prudente, estime qu’une hausse marginale reste possible si les pressions inflationnistes persistent.

 

La BCE devrait maintenir le statu quo lors de la réunion du 18 décembre, considérant que la normalisation monétaire opérée depuis deux ans doit encore déployer ses effets. Ce contraste entre un dollar pénalisé par l’anticipation d’une détente et un euro stabilisé par l’attentisme de la BCE confère aujourd’hui un avantage tactique à la devise européenne.

 

Aux États-Unis, les débats s’annoncent tout aussi serrés : plusieurs stratégistes anticipent des fractures internes au comité FOMC, nourries autant par les partisans de l’orthodoxie monétaire que par ceux plaidant pour une action plus souple. Dans un tel contexte, la volatilité sur l’EUR/USD devrait rester élevée durant tout le premier semestre 2026.

Les prochains indicateurs conjoncturels européens — notamment l’indice Sentix de confiance des investisseurs et la production industrielle allemande (4) — pourraient également influencer l’orientation des anticipations. Un rebond industriel, même timide, viendrait renforcer la thèse d’une zone euro résistante, offrant un nouvel appui à l’euro. À l’inverse, un repli marqué raviverait la pression sur la BCE et ouvrirait la voie à un rééquilibrage monétaire.

Implications pour la Tunisie : un moment charnière pour le dinar

L’évolution actuelle du marché des changes ne constitue pas seulement un mouvement technique entre deux devises majeures : elle façonne directement l’environnement macro financier dans lequel évolue la Tunisie.

Le pays, dont les importations sont majoritairement libellées en euro mais dont une part significative de la dette et des paiements extérieurs demeure en dollar, se trouve au cœur d’un arbitrage délicat.

Un euro qui se renforce et un dollar qui se replie constituent, à court terme, une configuration globalement favorable pour la Tunisie.

Ainsi, la baisse relative du dollar permettrait d’alléger temporairement la facture énergétique et celle des matières premières, généralement indexées sur la devise américaine. Cela pourrait contribuer à réduire les pressions sur la balance commerciale en fin d’année, dans un contexte où les déficits structurels restent importants.

 

La Tunisie, dont les importations sont majoritairement libellées en euro mais dont une part significative de la dette et des paiements extérieurs demeure en dollar, se trouve au cœur d’un arbitrage délicat.

 

Simultanément, un euro plus robuste soutient indirectement le dinar, compte tenu du panier de référence où la monnaie unique occupe une part dominante. Historiquement, les épisodes de raffermissement de l’EUR/USD se traduisent par une stabilisation du dinar face à l’euro et par une modération des tensions vis-à-vis du dollar. Si la tendance actuelle se confirme, le dinar pourrait évoluer dans une zone plus confortable au tournant de 2026, ce qui réduirait marginalement les pressions sur les réserves en devises.

Toutefois, ce répit n’efface pas les vulnérabilités. Une communication agressive de la Fed, renforçant temporairement le dollar, pourrait rapidement inverser les gains. De même, si la BCE venait à adopter un ton plus prudent début 2026, l’euro pourrait perdre une partie de son avantage. Pour la Tunisie, cela signifierait un risque renouvelé de glissement du dinar, surtout dans un contexte où la croissance demeure modérée, les besoins de financement importants et les marges de manœuvre monétaires limitées.

À moyen terme, le pays devra également composer avec une réalité incontournable : les conditions financières internationales vont rester volatiles en 2026. La divergence des politiques monétaires, les hésitations conjoncturelles européennes, les tensions géopolitiques et la fragmentation commerciale peuvent rapidement amplifier les mouvements de change. Pour la BCT, l’enjeu sera de maintenir une trajectoire de stabilisation progressive du dinar tout en évitant un resserrement trop prononcé qui pourrait pénaliser davantage les liquidités bancaires et l’activité réelle.

Perspectives 2026 : une fenêtre d’opportunité à saisir

Si l’euro poursuit sa trajectoire ascendante, la Tunisie pourrait bénéficier d’une fenêtre d’amélioration relative de ses conditions extérieures au premier semestre 2026. Un dollar plus faible allégerait certaines charges externes et pourrait contribuer à modérer l’inflation importée, élément crucial dans la gestion du pouvoir d’achat et de la stabilité sociale. Un euro stable ou légèrement renforcé offrirait par ailleurs un appui au dinar, favorisant une meilleure visibilité pour les opérateurs économiques et les investisseurs.

 

À l’orée de 2026, le mouvement de l’euro face au dollar esquisse donc un scénario de stabilisation favorable, mais non garanti. Pour la Tunisie, la priorité consiste désormais à transformer cette accalmie relative des marchés en marge de manœuvre durable, tant pour l’économie réelle que pour la trajectoire du dinar.

 

Mais cette fenêtre reste fragile. Elle dépendra largement de la capacité de l’Europe à éviter une récession, de la posture réelle de la Fed après décembre et de la stabilité géopolitique régionale. Dans un environnement incertain, la Tunisie devra accélérer ses ajustements internes, renforcer sa discipline budgétaire, améliorer la transparence de ses circuits de distribution et optimiser son plan de financement extérieur pour tirer pleinement parti d’un cycle monétaire mondial en transition.

À l’orée de 2026, le mouvement de l’euro face au dollar esquisse donc un scénario de stabilisation favorable, mais non garanti. Pour la Tunisie, la priorité consiste désormais à transformer cette accalmie relative des marchés en marge de manœuvre durable, tant pour l’économie réelle que pour la trajectoire du dinar.

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Références :

(1) Salle des marchés-IAEF(ONG)-09/12/2025 16:54.

(2)communiqués :

(3) communiqués :  FED, Goldman Sachs, Deutsche Bank…

(4)communiqué Sentix

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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L’or recule mais le dollar se renforce

L’or a légèrement baissé ce mercredi 10 décembre; alors que le dollar s’est renforcé. Et ce, après la publication d’un rapport sur l’emploi américain faisant état d’un marché du travail plus robuste que prévu. Ce qui a exercé une pression à la baisse sur les prix. Avant une réunion de la Réserve fédérale qui devrait largement entraîner une réduction des taux d’intérêt.

Le prix de l’or sur le marché au comptant a baissé de 0,1 % pour s’établir à 4 207,39 dollars l’once ce matin. Cependant, Reuters indique que les contrats à terme sur l’or américain pour livraison en février se sont établis à 4 236,60 dollars l’once.

De son côté, le dollar a atteint mardi son plus haut niveau en près d’une semaine. Les rendements de référence des obligations du Trésor américain à 10 ans ont progressé hier, dépassant les précédents plus bas, pour s’établir à leur plus haut niveau en deux mois et demi. Un niveau qu’ils avaient atteint lundi.

A cet égard, le ministère américain du Travail a publié un rapport montrant que le nombre d’offres d’emploi a atteint 7,67 millions en octobre; contre des prévisions de 7,15 millions.

Parallèlement, Kevin Hassett, conseiller économique de la Maison Blanche et favori pour le poste de président de la Réserve fédérale, a déclaré mardi au Wall Street Journal qu’il existait une marge de manœuvre suffisante pour baisser davantage les taux d’intérêt. Il a toutefois ajouté qu’une hausse de l’inflation pourrait modifier la donne.

La réunion de deux jours du Comité fédéral de l’Open Market (FOMC) se conclura ce mercredi par sa décision concernant les taux d’intérêt. Les investisseurs anticipent désormais une probabilité de 88,6 % d’une baisse de 25 points de base.

Sachant que les actifs non rémunérateurs, comme l’or, ont tendance à prendre de la valeur lorsque les taux d’intérêt sont bas.

Quant aux autres métaux précieux, l’argent a progressé de 0,5 % sur le marché au comptant pour atteindre un record historique de 61,02 dollars l’once. Et ce, après avoir franchi la barre des 60 dollars mardi.

De son côté, le platine a chuté de  1% à 1 672,70 $. Tandis que le palladium a baissé du même pourcentage à 1 491,0 $.

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L’hebdo du vendredi 7 décembre 2025 – Le dinar tunisien dans la tourmente internationale

L’économie mondiale aborde la fin de 2025 avec une tonalité incertaine. La détente récente autour du dollar, affaibli par les anticipations d’un assouplissement monétaire américain en 2026, offre un répit momentané aux devises émergentes, dont le dinar.

Parallèlement, l’euro profite d’indicateurs européens mieux orientés et d’un discours plus rassurant de la BCE, retrouvant une dynamique haussière. Cette amélioration internationale demeure pourtant fragile, prise en étau entre les tensions géopolitiques persistantes au Moyen-Orient, un ralentissement chinois qui pèse sur les matières premières et une volatilité continue sur les marchés obligataires. Dans cet environnement, les économies ouvertes et structurellement dépendantes de financements extérieurs, comme la Tunisie, restent particulièrement exposées.

Tunisie — Une liquidité sous pression : la BCT arbitre entre stabilité et vulnérabilités internes

Les indicateurs monétaires du 5 décembre 2025 confirment un contexte bancaire toujours tendu. Le solde du compte courant ordinaire des banques reste faible, bien en-deçà des niveaux de 2024. Ce qui traduit la persistance d’une liquidité structurellement déficitaire. Le volume global de refinancement, légèrement supérieur à 11 milliards de dinars, montre combien le secteur bancaire dépend encore des interventions quotidiennes de la Banque centrale.

Le taux du marché monétaire demeure solidement arrimé à 7,5 %, en ligne avec un taux directeur maintenu sans changement. Ce choix reflète l’équilibre délicat recherché par la BCT : éviter d’alimenter les tensions inflationnistes; tout en préservant la fluidité minimale du crédit. Mais les signaux envoyés par l’économie réelle invitent à la prudence. La demande de cash continue de s’amplifier et les billets en circulation dépassent désormais 26 milliards de dinars, un record. Cette explosion de la circulation fiduciaire révèle une défiance persistante vis-à-vis du système bancaire; mais aussi l’emprise croissante de l’économie parallèle, difficile à contenir sans réformes structurelles audacieuses.

Des réserves de change sous tension : un coussin qui s’érode malgré la résilience des flux extérieurs

Les avoirs nets en devises reculent à 24,6 milliards de dinars, équivalents à 104 jours d’importation, contre 112 jours un an auparavant. L’érosion est notable et s’explique en grande partie par un service de la dette extérieure particulièrement lourd en 2025. Les paiements cumulés atteignent en effet près de 11,5 milliards de dinars à fin novembre.

Malgré cette pression, les recettes en devises montrent une résilience appréciable. Le tourisme progresse et dépasse 7,5 milliards de dinars, bénéficiant d’une fréquentation européenne soutenue. Les revenus des Tunisiens à l’étranger suivent la même trajectoire ascendante et apportent près de 8 milliards de dinars à fin novembre. Ces flux constituent aujourd’hui la première ligne de défense du dinar. Mais ils ne suffisent pas à eux seuls à compenser le poids du service de la dette et les besoins croissants en importations essentielles.

Un dinar en équilibre instable : respiration face au dollar, glissement contrôlé face à l’euro

Sur le marché des changes, le dinar évolue dans un mouvement à double vitesse. Le recul mondial du dollar permet au dinar de reprendre de la vigueur, avec un taux passant de 3,16 à 2,93. Cette amélioration allège temporairement la facture des importations libellées en dollars, notamment pour l’énergie et certaines matières premières stratégiques.

Face à l’euro, la situation est plus nuancée. Le dinar glisse légèrement, passant de 3,32 à 3,42. Cette dépréciation modérée, mais persistante, traduit une tendance structurelle liée aux déséquilibres externes, à la dépendance des entreprises tunisiennes aux intrants importés et à un différentiel d’inflation qui continue d’éroder la compétitivité interne. La Banque centrale (BCT) semble maintenir une stratégie de flottement géré, évitant tout mouvement brusque, mais acceptant une correction graduelle du taux de change.

Un horizon proche sous surveillance : une stabilisation relative mais conditionnelle

À court terme, le dinar devrait bénéficier de conditions relativement favorables. Le repli du dollar, la stabilité du taux directeur, la hausse saisonnière des transferts des résidents à l’étranger et la bonne tenue du tourisme européen devraient contribuer à contenir les pressions immédiates. Mais cette stabilisation reste précaire. Les réserves en devises demeurent sous tension et le moindre choc externe pourrait modifier le paysage en quelques jours, surtout dans un environnement global volatil.

Une équation plus complexe en 2026 : dette, croissance et inflation comme lignes de fracture

À moyen terme, la situation s’annonce plus exigeante. Les obligations extérieures de 2026 imposeront des sorties de devises importantes, au moment même où la croissance intérieure peine à générer des excédents exportables. L’inflation sous-jacente, installée à 5 % fin novembre, réduit les marges de manœuvre monétaires et renchérit les importations. La progression constante de l’économie informelle absorbe une part croissante de la liquidité bancaire, accentuant les tensions sur le marché monétaire.

La capacité du gouvernement à sécuriser de nouveaux financements extérieurs, qu’ils soient bilatéraux ou multilatéraux, jouera un rôle décisif dans la stabilité du dinar. Faute de ces apports, la dépréciation graduelle resterait le scénario le plus probable.

In fine : une stabilité apparente qui ne masque pas les vulnérabilités profondes

La Tunisie termine 2025 dans une posture délicate. Les signaux positifs existent, notamment dans les revenus extérieurs et la relative stabilité du dinar face au dollar. Mais les vulnérabilités structurelles persistent : liquidité bancaire fragile, dette extérieure lourde, érosion des réserves, montée du cash et dépendance aux chocs exogènes.

Le dinar bénéficie aujourd’hui d’une accalmie conjoncturelle. Mais cette stabilité demeure conditionnelle et pourrait être rapidement remise en question. L’année 2026 s’ouvrira sous le signe d’un équilibre fragile, où la moindre secousse internationale pourrait suffire à rebattre les cartes du marché tunisien.

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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