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Fête de la Révolution : 2014 détenus bénéficie d’une grâce présidentielle

A l’occasion de la « Fête de la révolution » (17 décembre 2010), le président de la République, Kaïs Saïed, a décidé d’accorder une grâce présidentielle en faveur de 2014 détenus. Il a également ordonné d’accorder la libération conditionnelle à 674 autres détenus.

C’est ce qu’annonce un communiqué de la présidence de la République publié le lundi 15 décembre.

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Une nouvelle marche à Tunis pour le respect des droits et des libertés (Photos)

Plusieurs centaines de personnes ont manifesté, ce samedi 13 décembre 2025 à Tunis contre le pouvoir en place et pour défendre les droits et les libertés.

Cette manifestation organisée à l’appel de partis politiques de l’opposition, d’associations et d’organisations, a réuni plusieurs centaines de jeunes et moins jeunes qui ont dénoncé un recul des libertés en Tunisie.

Ces dernier ont également appelé à la libération des militants et politiciens qui sont en détentions, et dont certains ont été condamnés à de lourdes peines, notamment ceux accusés dans l’affaire de « complot contre la sûreté de l’état.

Cette marche a également interpellé les autorités après les récentes arrestations de Ayachi Hammami, Ahmed Nejib Chebbi et de Chayma Issa, ou encore plus récemment la condamnation, hier, à 12 ans de prison de la présidente du Parti destourien libre (PDL), Abir Moussi, qui est également en détention depuis 2023.

On notera que plusieurs associations et Ong, internationales à l’instar de Human Rights Watch ou encore Amnesty International, considèrent que les condamnations et arrestations confirment « une effrayante détermination des autorités tunisiennes à étouffer l’opposition » et craignent « un retour à la dictature, 15 ans après la révolution tunisienne ».

Y. N.

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Justice : 200 bracelets électroniques expérimentés pour 1,6 MD

Le ministère de la Justice a lancé l’expérimentation de 200 bracelets électroniques, pour un coût de 1,6 million de dinars, afin de tester les peines alternatives. L’annonce a été faite lors de la séance plénière du samedi 15 novembre consacrée à l’examen du budget 2026 du ministère, en présence des commissions de la législation générale et du règlement intérieur des deux chambres du Parlement et des régions.

Une expérimentation ciblée et coûteuse

Selon le ministère, l’usage des bracelets électroniques représente un coût significatif, mais constitue une mesure alternative à l’emprisonnement. L’objectif est de désengorger les établissements pénitentiaires tout en maintenant un contrôle strict sur les détenus placés sous surveillance électronique.

Les bénéficiaires ciblés par cette expérimentation incluent les détenus hospitalisés ; les travailleurs des ateliers pénitentiaires ; d’autres catégories de personnes se trouvant dans des situations similaires.

Un pas vers les peines alternatives

Cette initiative vise à offrir une alternative plus humaine et sécurisée à la détention classique, tout en permettant un suivi individualisé.

Le ministère de la Justice a rappelé que la mise en place de peines alternatives nécessite des crédits importants, soulignant l’enjeu budgétaire lié à cette modernisation de l’exécution des peines. L’expérimentation des bracelets électroniques s’inscrit dans une politique de modernisation du système pénal et de réduction de la surpopulation carcérale.

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Le Comité général des prisons rejette les rumeurs sur la détérioration de la santé de certains prisonniers

Le Comité général des prisons et de la rééducation a rejeté mercredi les rumeurs circulant sur les réseaux sociaux selon lesquelles l’état de santé de certains détenus en grève de la faim se serait aggravé. Selon son porte-parole, Ramzi Kouki, les examens médicaux quotidiens confirment que la situation des prisonniers concernés demeure « stable ».

S’exprimant auprès de l’agence TAP, Ramzi Kouki a affirmé que les équipes médicales et paramédicales des établissements pénitentiaires assurent un suivi quotidien de tous les grévistes de la faim. Il a insisté sur le fait que le droit à la santé et aux soins est garanti à l’ensemble des détenus, conformément à la législation en vigueur.

Le Comité général des prisons et de la rééducation a par ailleurs engagé des poursuites judiciaires contre toute personne ayant diffusé délibérément des fausses informations sur la situation sanitaire en détention.

La LTDH pointe la responsabilité des autorités

Plus tôt dans la journée, la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH) a publié un communiqué dans lequel elle tient les autorités exécutives et judiciaires pour « pleinement responsables » de la vie et de la sécurité de Jawhar Ben Mbarek, membre du Front de salut national, actuellement en grève de la faim.

La Ligue réclame la libération immédiate et inconditionnelle de toutes les personnes détenues pour des motifs politiques et demande qu’elles bénéficient d’un procès public et équitable. Elle insiste aussi sur la nécessité de garantir l’accès aux soins et le respect de la dignité humaine dans les lieux de détention.

Selon le Front de salut national, Jawhar Ben Mbarek et Sayed Ferjani, dirigeant du Mouvement Ennahda, ont entamé leur grève de la faim fin octobre pour protester contre leurs conditions de détention et réclamer leur libération.

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