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Placée sous mandat judiciaire, la TSI relance progressivement ses opérations boursières

Par décision du Tribunal de Première Instance de Tunis en date du 16 juin 2025, La TSI a été placée sous mandat judiciaire. Madame Nour El Houda ABASSI, Monsieur Faouzi BEN SALEM et Monsieur Mohamed HAOUIDHEK ont été désignés en qualité de mandataires de justice, sous la supervision de Madame le juge contrôleur Dorra BOUGHARKA. Ils sont chargés de la gestion de la TSI.

Suivant décision du Tribunal de Première Instance de Tunis en date du 05/12/2025, la
reprise de l’activité de la TSI est prévue pour le 15/12/2025. Cette reprise intervient dans le cadre de la procédure judiciaire en cours et s’effectue conformément aux conditions fixées par le tribunal de Première Instance de Tunis. Les opérations boursières reprennent progressivement dans un cadre renouvelé, sécurisé et conforme aux exigences légales et réglementaires.

Cette réouverture intervient après une période de suspension décidée par les autorités
judiciaires dans l’objectif primordial de protéger les intérêts de l’ensemble des clients. À ce titre, il est porté à la connaissance du public les principales mesures arrêtées :

Cadre judiciaire et supervision : La reprise est réalisée sous le contrôle du juge‐contrôleur désigné, chargé de veiller au respect des prescriptions judiciaires visant à assurer la protection des clients et la conformité des opérations.

Une reprise maîtrisée et sécurisée : Afin de garantir une activité transparente et conforme, cette relance s’articule autour des mesures suivantes :
1. Migration des comptes gérés vers des comptes libres.
2. Notification des positions débitrices aux clients concernés avec invitation à les
régulariser.
3. Réactivation encadrée des ordres d’achat et de vente sous validation d’un négociateur.
4. Aucun retrait n’est autorisé sur les anciens comptes.
5. Possibilité de souscrire en OPCVM uniquement à partir des montants issus des ventes
dénouées.
6. Interdiction des rachats OPCVM et transferts de titres vers d’autres intermédiaires et
banques.
7. Exceptions prévues pour les comptes CEA, incluant la possibilité d’acheter, vendre et
souscrire dans le FCP AFEK CEA, selon les cas et sous conditions spécifiques.
8. Tous les nouveaux comptes ouverts chez TSI bénéficient de l’ensemble des services
habituels : Achat et vente de titres, Souscription et rachat OPCVM, Dépôt et retrait de
liquidités.
9. Reprise des opérations sur dossiers (enregistrements, déclarations, à la criée…) selon
les mêmes modalités qu’auparavant, sans changement.
10. Les sommes issues de la vente des actions détenues dans les anciens comptes CEA échus ou dans les anciens comptes ordinaires peuvent désormais être réutilisées pour ouvrir de nouveaux comptes CEA, à condition que ces liquidités ne soient pas retirées.

TSI publiera, le cas échéant, toute information complémentaire exigée par l’autorité de
régulation dans le cadre du suivi de la procédure.

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Bourse Tunis : Suspension de la cotation du titre « TAWASOL GROUP HOLDING – TGH »

A la demande du Conseil du Marché Financier, la cotation du titre «TGH» est
suspendue à partir du jeudi 18 décembre 2025 et ce, dans l’attente de la
publication par ladite société d’un communiqué contenant notamment
l’élaboration des états financiers en proforma.

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Indice mondial de l’IA 2025 : la Tunisie classée 85e sur 93 pays

La Tunisie se classe 85e sur 93 pays dans l’Indice mondial de l’intelligence artificielle 2025, publié par The Observer. Ce classement évalue les performances nationales en matière d’intelligence artificielle (IA) selon trois axes principaux : l’application et l’exécution, l’innovation et l’investissement. Les résultats placent la Tunisie parmi les pays à potentiel, mais encore en retrait sur plusieurs leviers structurants.

Un marché en croissance, mais encore fragile

Dans la catégorie « taille et marché », la Tunisie obtient 90 points. Le marché local de l’IA affiche des perspectives de croissance et de diversification, traduisant un certain dynamisme économique. Cette performance contraste toutefois avec d’autres indicateurs moins favorables, qui freinent la consolidation du secteur.

Engagement public réel, moyens limités

La stratégie gouvernementale recueille 88 points. L’État affiche un engagement clair en faveur du développement de l’IA. Toutefois, les ressources mobilisées restent insuffisantes pour combler la fracture technologique et soutenir un déploiement à grande échelle. Cette contrainte limite l’impact des orientations stratégiques annoncées.

Usage et écosystème : des progrès inégaux

L’intensité d’utilisation de l’IA atteint 82 points. L’adoption effective progresse, mais demeure en deçà des standards internationaux. Le système commercial, noté à 76 points, révèle un secteur privé actif, mais encore limité par le niveau d’investissement et la maturité des startups spécialisées.

Recherche appliquée et compétences sous tension

La capacité de développement et de transformation obtient 75 points. La conversion de la recherche en applications concrètes reste acceptable, soutenue par des initiatives open source et par la production de brevets. En revanche, le volet des compétences plafonne à 68 points. La Tunisie dispose d’experts qualifiés en IA, mais en nombre insuffisant pour rivaliser avec les pays leaders en Afrique et à l’échelle mondiale.

Un déficit marqué en recherche scientifique

L’environnement opérationnel reçoit 67 points, traduisant une adoption sociale limitée de l’IA, ce qui ralentit la diffusion des technologies innovantes. Le score le plus faible concerne la recherche scientifique, avec seulement 4 points. La production académique et les innovations scientifiques demeurent marginales.

Position africaine en retrait

Avec ce score global, la Tunisie ne figure pas parmi les dix premiers pays africains en IA. L’Égypte domine le classement continental (47e mondial), suivie de l’Afrique du Sud (54), du Ghana (61), de l’Algérie (65), du Maroc (68), du Nigeria (69), de Maurice (70), du Kenya (74), du Sénégal (75) et de la Côte d’Ivoire (84).

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Allemagne-Dette publique : Berlin prévoit 512 milliards d’euros d’émissions en 2026

Le gouvernement allemand prévoit d’émettre environ 512 milliards d’euros de dette en 2026, selon un communiqué publié jeudi par l’Agence fédérale des finances, qui a détaillé les plans d’émission pour l’année à venir. Cette stratégie concerne à la fois le marché des capitaux, le marché monétaire et les obligations vertes.

Une stratégie d’emprunt structurée

Dans le détail, 318 milliards d’euros devraient être levés sur le marché des capitaux, tandis que 176 milliards d’euros supplémentaires sont programmés sur le marché monétaire. L’ensemble de ces émissions se fera par le biais de procédures d’adjudication, mécanisme central de financement de l’État fédéral allemand.

Ces volumes confirment la poursuite d’une politique d’emprunt à grande échelle par la première économie de la zone euro, dans un contexte de besoins de financement élevés et de gestion active de la dette publique.

Quatre obligations syndiquées prévues

Berlin prévoit également l’émission de quatre obligations syndiquées en 2026. Ce type d’opération, réalisé avec un groupe restreint d’établissements financiers, permet de sécuriser des montants importants dans des conditions de marché spécifiques.

Parallèlement, l’Allemagne entend poursuivre le développement de sa finance durable avec l’émission de 16 à 19 milliards d’euros d’obligations vertes, destinées à financer des projets compatibles avec ses engagements environnementaux.

Un calendrier encore partiellement évolutif

L’Agence fédérale des finances a précisé que la confirmation du plan d’émission pour le deuxième trimestre 2026 sera publiée en mars. Cette étape permettra d’ajuster les volumes et les instruments retenus en fonction des conditions de marché et des besoins budgétaires actualisés.

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JAJ2025 : la Tunisie décroche 7 nouvelles médailles et porte son total à 53

Les athlètes tunisiens ont offert à la Tunisie sept nouvelles médailles (3 or, 1 argent et 3 bronze), mercredi, lors de la 8e journée des 4es Jeux Africains de la Jeunesse (JAJ) qui se poursuivent jusqu’au 20 décembre à Luanda.

Les trois médailles d’or ont été remportées au tournoi de tennis par Sarra Atig (simple filles), Ahmed Darmoul (simple garçons) et par le duo Atig-Darmoul en double mixte.

Les autre médailles ont été obtenues au tournoi d’escrime, avec une médaille d’argent pour Salima Gharbi (fleuret), et trois de bronze pour Yasmine Rezgui (sabre), Ala Chebbi (sabre) et Youssef Rafrafi (épée).

A l’issue de cette journée, la Tunisie totalise 53 médailles (14 or, 11 argent et 28 bronze).

Voici la liste des médaillés :

. Médailles d’or (14):
Aïcha Ben Miled (natation)
Qotr Nada Jawed (athlétisme – lancer du disque)
Faker Bouthouri (karaté kumité)
Adem Habib et Mohamed Naffeti (kayak – 500 m double garçons)
Youssef Aidli (tennis de table)
Youssef Douma (natation-800m NL)
Youssef Douma (natation-1500 NL)
May Hnihina et Ons Bahroun (kayak double 500 m filles)
Mohamed Aziz Chniter (athlétisme – 400 m haies)
Assil Bannour (judo – -40 kg)
Ranim Slimène (judo – -63 kg)
Sarra Atig (tennis – simple filles)
Ahmed Darmoul (tennis – simple garçons)
Sarra Atig-Ahmed Darmoul (tennis – double mixte)

. Médailles d’argent (11):
Farah Naffeti et Ons Bahroun (canoë 500 m – double filles)
Alaa Saïdi (tennis de table)
TaKoua Saïdi (karaté kumité)
Mohamed Yassine Mzoughi (natation-200m papillon)
Mohamed Yassine Mzougi (natation-400m quatre nages)
Montadhar Nejlaoui (athlétisme – marche 5 000 m)
Souheil Makhlouf (athlétisme – lancer du marteau)
Youssef Douma (natation – 200 m nage libre)
Ilaf Amri (natation – 100 m brasse)
Youssef Douma (natation – 400m NL)
Salima Gharbi (escrime – fleuret individuel)

. Médailles de bronze (28):
Ons Bahroun (kayak 500m-individuel filles)
Mohamed Naffeti (kayak–1000m individuel garçons)
Farah Naffeti (canoë – 200 m individuel filles)
Louay Saadani (karaté kumité)
Arwa Boumnijel (karaté–kata)
Amine Dhaouedi (karaté kata)
Malek Boubakri (karaté kumité)
Saifeddine Chouikh (athlétisme–lancer du disque)
Amine Abbassi (athlétism –saut en hauteur)
Ranim Bachraoui (athlétisme–100 m haies)
Rim Slimi (athlétisme–marche 5000 m)
Nour Khal Latif (athlétisme–lancer du marteau)
Souheil Makhlouf (athlétisme–lancer du poids)
Qotr Nada Jawed (Athlétisme-Lancer du poids)
Hala Zarrouk (natation)
Équipe relais 4x100m (natation combinée / mixte)
Equipe féminine 4x100m (natation combinée)
Equipe féminine 4x200m (natation-NL)
Équipe relais 4x100m (natation NL / mixte)
Kenza Ayari (natation-800m NL)
Mohamed Yassine Mezoughi (natation-200m quatre nages)
Ilef Amri (Natation-50m brasse)
Sirine Hechmi et Ranim Hasnaoui (Badminton)
Youssef Chehibi (Cyclisme)
Mohamed Hedi Ghanja (Esrcime – Sabre)
Yasmine Rezgui (escrime – sabre)
Ala Chebbi (escrime – sabre)
Youssef Rafrafi (escrime – épée).

 

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Centenaire de Frantz Fanon : Beit al-Hikma interroge l’actualité de sa pensée anticoloniale

A l’occasion du centenaire de la naissance de Frantz Fanon (1925-1961), psychiatre et acteur majeur des luttes anticoloniales, dans le contexte de la guerre d’indépendance algérienne. le département des sciences humaines et sociales de l’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts Beit al-Hikma organise le vendredi 19 décembre 2025 à 15h00 au siège de l’Académie une conférence intitulée “Frantz Fanon aujourd’hui la présence d’une absence”. La conférence qui sera donnée par le professeur de sciences politiques et sociologue de formation Mohamed Kerrou, sera modérée par le professeur et historien Abdelhamid Henia et discutée par le professeur Seddik Jeddi, neuropsychiatre et psychanalyste. Ancien Chef de service de psychiatrie à l’hôpital Razi (1973), Dr Seddik Jeddi a été nommé en 1980 professeur titulaire et chef de service de psychiatrie universitaire et de psychologie médicale à l’hôpital Razi à la Manouba et à la faculté de médecine de Tunis.

Né le 20 juillet 1925 à Fort-de-France, en Martinique, Frantz Fanon s’est engagé à l’âge de 18 ans, dans les Forces françaises libres pour combattre le nazisme durant la Seconde Guerre mondiale.

Après la guerre, il retourne brièvement en Martinique, puis s’installe en France métropolitaine, où il obtient son baccalauréat et entreprend des études de médecine à Lyon. Il se spécialise en psychiatrie, tout en suivant également des cours de littérature et de philosophie.

En 1952, il publie “Peau noire, masques blancs”, un essai majeur dans lequel il analyse les effets psychologiques du colonialisme et de l’aliénation raciale.

En 1953, il est nommé médecin-chef à l’hôpital psychiatrique de Blida-Joinville en Algérie, alors colonie française. Il y introduit des méthodes thérapeutiques novatrices fondées sur le respect de la dignité humaine, rompant avec les approches psychiatriques coloniales autoritaires.

Il publie plusieurs textes fondamentaux du mouvement anticolonial, parmi lesquels “L’An V de la révolution algérienne” (1959), et surtout “Les Damnés de la Terre” (1961), considéré comme son œuvre majeure, préfacée par Jean-Paul Sartre.

Atteint d’une leucémie, il meurt le 6 décembre 1961 à Bethesda, dans le Maryland (Etats-Unis), à l’âge de 36 ans, quelques mois avant l’indépendance de l’Algérie. Conformément à ses souhaits, il est enterré en terre algérienne, à Ain Kerma, près des frontières de la Tunisie où il a vécu pendant près de cinq ans, entre 1957 et 1961, faisant un passage à l’hôpital Razi à la Manouba, et dans les services psychiatriques de l’hôpital Charles Nicolle de Tunis.

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Décès de Hamida Ben Ammar, figure pionnière du cinéma documentaire tunisien

Le célèbre réalisateur tunisien Hamida Ben Ammar s’est éteint lundi 15 décembre 2025, à l’âge de 84 ans, suite une carrière prolifique qui a marqué de son empreinte le cinéma documentaire tunisien.

Le ministère des Affaires culturelles a déploré mardi dans un communiqué le décès du réalisateur, considéré comme l’un des plus éminents pionniers du film documentaire en Tunisie. Le ministère a affirmé que la scène culturelle perd ainsi l’une de ses figures majeures, un homme qui a contribué de manière significative à la documentation de la mémoire nationale grâce à sa profonde vision artistique.

Né en 1941 à Akouda dans le gouvernorat de Sousse, Hmida Ben Ammar a consacré l’essentiel de son œuvre au cinéma documentaire. Il a maîtrisé cet art et s’est distingué par une perspective humaniste et esthétique qui a fait de lui l’un des réalisateurs les plus profondément engagés dans les transformations historiques et culturelles de la société tunisienne. Cette vision lui a permis de créer un univers cinématographique unique, alliant rigueur documentaire et profondeur artistique.

Parmi les œuvres les plus marquantes qui ont jalonné sa carrière et façonné sa personnalité artistique figurent les films “Calligraphie arabe” (1971), “Les Journées cinématographiques de Carthage – JCC 68” (1968), “La Zitouna au cœur de Tunis” (1982) , parmi d’autres qui ont contribué à enrichir et mettre en valeur le patrimoine audiovisuel national.

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La BIAT primée pour la qualité de son service

Tunis, le 18 décembre 2025 – La BIAT a été consacrée lors d’une cérémonie organisée suite à sa victoire au concours « Élu Service Client de l’Année 2026 », une reconnaissance qui vient saluer son engagement en faveur d’une prise en charge client de qualité. Cette distinction souligne une démarche orientée vers la qualité et la satisfaction du client.

La BIAT a obtenu le prix « Élu Service Client de l’Année 2026 » à la suite de sa participation à un concours lancé par ESCDA selon un processus d’évaluation global et rigoureux, dans la catégorie « Banques ». Le principe de cette évaluation repose sur la réalisation d’enquêtes mystères effectuées à travers différents canaux de communication avec la clientèle pour mesurer la rapidité de la prise en charge, la disponibilité des équipes commerciales et la pertinence des réponses. Ce concours a pour objectif de mettre en lumière la qualité du service bancaire offert, que ce soit au niveau de l’agence, du site internet ou via le Centre de Relations Clients.

Cette performance repose sur un ensemble d’initiatives concrètes que la BIAT a menées ces dernières années pour optimiser l’expérience client. La BIAT a lancé en 2021 sa nouvelle génération d’agences bancaires pour faire évoluer l’expérience qu’elle entend offrir à ses clients, avec des espaces plus transparents, des parcours fluides, des codes modernes, des services digitaux et des espaces de libre-service accessibles en continu. Ces évolutions reflètent une volonté d’allier proximité, modernité et qualité de prise en charge. La mise en place de solutions digitales de gestion des files d’attente et de prise de rendez-vous contribue aussi à fluidifier les visites en agence et à améliorer l’expérience de service.

Parallèlement, la BIAT a renforcé l’organisation de la prise en charge à distance à travers son Centre de Relations Clients. Celui-ci assure le traitement des appels émis vers les agences afin d’assurer un service rapide et efficace et de permettre aux équipes en agence de se consacrer à leur mission principale qui consiste à accompagner la clientèle. Par ailleurs, le Centre de Relations Clients prend en charge les demandes reçues via l’e-mail, la messagerie MyBIAT, le site web, les réseaux sociaux…

La distinction « Élu Service Client de l’Année 2026 » attribuée à la BIAT vient ainsi récompenser son engagement à placer le service et la satisfaction du client au centre de de ses priorités. Elle reflète une stratégie axée sur la qualité, la modernité et l’excellence, portée au quotidien par des équipes mobilisées au service de l’ensemble de sa clientèle.

A propos de la BIAT :

Banque universelle, acteur de référence en Tunisie, la BIAT constitue aujourd’hui un groupe bancaire solide avec ses filiales dans les domaines de l’assurance, de la gestion d’actifs, du capital-investissement, de l’intermédiation boursière et du conseil. Implantée sur tout le territoire, la BIAT compte aujourd’hui 206 agences à travers toute la Tunisie. Près de 2500 collaborateurs travaillent au service de tous ses clients : particuliers, professionnels, PME, grandes entreprises et institutionnels.

Très attentive à sa responsabilité sociétale, la BIAT a traduit son positionnement citoyen par de nombreux engagements. La création de la Fondation BIAT pour la jeunesse tunisienne, au printemps 2014, en est emblématique et ancre cet engagement de façon pérenne. www.biat.com.tn

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Wifak Bank consolide son leadership orienté client en étant élue Service Client de l’Année 2026 pour la 4ᵉ année consécutive – catégorie Banque Islamique

Wifak Bank ouvre l’année 2026 sous les meilleurs auspices en annonçant son élection « Élue Service Client de l’Année 2026 », une distinction qu’elle remporte pour la quatrième année consécutive. Cette reconnaissance prestigieuse vient consolider la position de Wifak Bank en tant qu’acteur de référence de la finance islamique en Tunisie, plaçant l’orientation client au cœur de sa stratégie de performance et de création de valeur durable.

Attribué à l’issue d’une évaluation indépendante et rigoureuse menée par les partenaires d’ESCDA, notamment Qualimétrie et IPSOS, ce label récompense l’excellence des dispositifs de relation client de la Banque, sa capacité d’écoute, ainsi que la qualité des parcours proposés à ses clients sur l’ensemble du territoire.

Bien plus qu’un trophée, cette quatrième consécration consécutive illustre la cohérence d’une stratégie résolument centrée sur le client, fondée sur l’amélioration continue de l’expérience, l’optimisation des processus, la digitalisation des services et la personnalisation de la relation. Elle reflète également l’engagement, le professionnalisme et la mobilisation continue des équipes de Wifak Bank, véritables ambassadeurs de cette culture client.

En faisant de l’orientation client un levier majeur de performance opérationnelle et commerciale, Wifak Bank renforce durablement sa compétitivité et confirme son ambition de s’inscrire comme une banque islamique moderne, éthique et proche de ses clients, capable d’anticiper l’évolution de leurs attentes dans un environnement en constante mutation.

Cette dynamique s’inscrit également dans une stratégie d’expansion maîtrisée à l’échelle nationale. L’élargissement progressif du réseau de Wifak Bank vise à renforcer la proximité avec la clientèle, améliorer la couverture territoriale et soutenir l’inclusion financière, tout en garantissant des standards élevés de qualité de service dans chaque nouvelle implantation.

Portée par une vision stratégique axée sur le capital humain, l’innovation et un engagement éthique fort, Wifak Bank poursuit son développement avec la conviction que la satisfaction client demeure le moteur essentiel de sa croissance, de sa performance et de sa pérennité.

Site web : Wifak Bank

 

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Intelligence artificielle : “Orchestrer le progrès mais aussi protéger l’Humain”, Nizar Yaïche au HR Awards

“Bonjour. Je suis A.N.A. – Artificial Neural Assistant. Je ne viens pas remplacer l’humain… Je viens l’aider à se révéler lui-même : sa créativité, son écoute, sa force de lien, sa vision. Le rôle du manager évolue. L’IA observe, mesure, anticipe. Mais c’est l’humain qui inspire, qui tend la main, qui accompagne.

Ensemble, ils inventent un leadership où la confiance prime sur le contrôle. Les générations changent, leurs rêves aussi. L’IA aide à comprendre leurs besoins en temps réel. Mais seul l’humain peut donner du sens, de la reconnaissance, une place unique à chacun. La culture RH se transforme. La donnée éclaire… mais c’est l’humain qui décide. La technologie ne remplace pas la culture : elle lui donne plus de souffle, plus de profondeur, plus d’humanité.”

Non ce n’est pas une voix humaine qui s’est exprimée ainsi à l’ouverture de la 12 ème édition des HR Awards organisée vendredi 12 décembre à Tunis par l’Arforghe et la KAS.

C’est une voix générée par l’intelligence artificielle qui s’est voulue rassurante pour tous ceux et celles chez qui les avancées et les progrès fulgurants de l’intelligence artificielle nourrissent de vives inquiétudes, tant sur le plan existentiel que social.

Une IA super intelligente, capable de s’auto-améliorer pourrait-elle comme nous l’avons souvent vu dans les films de science-fiction poursuive des objectifs contraires aux valeurs humaines ?

Une automatisation massive, pourrait-elle bouleverser l’économie, fragiliser les emplois intellectuels et accroître les inégalités ? L’absence de régulation solide et la vulnérabilité des systèmes critiques face aux cyberattaques ou aux erreurs algorithmiques représente-t-elle une menace réelle pour les équilibres socio-économiques, pas dans les années, mais dans les mois à venir ?

« L’IA observe et anticipe, mais c’est l’humain qui inspire et donne du sens. »

 

C’est à ces interrogations, et à bien d’autres encore, que Nizar Yaïche, ancien ministre des Finances, a choisi de répondre lors d’une intervention magistrale que nous publierons en 4 parties. Une prise de parole aussi brillante qu’inspirante, à la hauteur de l’ouverture high-tech portée par l’intelligence artificielle, donnée à l’occasion de la 12ᵉ édition des HR Awards.

Nizar Yaiche, a livré une intervention marquante sur l’ère de l’intelligence artificielle. Derrière les milliards investis et les projections vertigineuses, il a rappelé que l’IA n’est pas seulement une affaire de chiffres : elle redessine les équilibres géopolitiques, bouleverse les organisations et place les Ressources Humaines au cœur d’une responsabilité historique.

Des chiffres qui donnent le vertige

L’intelligence artificielle n’est plus une promesse abstraite : elle est devenue un moteur macroéconomique.

C’est un marché mondial estimé à 520 milliards de dollars, avec une croissance annuelle de 28 %, un investissements R&D dépassant 220 milliards de dollars, concentrés dans une poignée de pays et des infrastructures IA évaluées à 175 milliards de dollars, avec une consommation énergétique équivalente à celle de pays entiers.

Ces chiffres, déjà impressionnants, ne sont pourtant que la partie visible de l’iceberg. Comme le précise Nizar Yaiche : « Ceux qui contrôlent les données contrôlent aussi le monde. »

« L’humanité franchit une étape inédite en industrialisant l’intelligence elle-même. »

Au-delà des chiffres : une puissance géopolitique

L’IA n’est pas seulement une question de productivité ou de croissance. Elle est devenue un multiplicateur de puissance pour les États et les entreprises :

  • défense et sécurité : plus de 80 % des programmes militaires des pays du G20 intègrent des modules IA ;
  • contrôle des données : 90 % des données mondiales ont moins de cinq ans, et 80 % sont captées par une dizaine d’acteurs, principalement américains et chinois.
  • compétitivité industrielle : l’IA peut générer des gains de productivité de 20 à 40 %.
  • création de richesse : les projections annoncent jusqu’à 15 000 milliards de dollars de contribution au PIB mondial d’ici 2035.

L’industrialisation de l’intelligence

Nous vivons une transformation historique, l’IA n’est plus un outil, mais une infrastructure cognitive :

  • elle reconfigure le travail, l’économie et les organisations ;
  • elle introduit une tension majeure : plus de puissance, mais aussi plus de risques humains :
  • elle rend possible l’automatisation de près de 70 % des activités RH.

Nizar Yaiche insiste sur la portée de ce basculement : « Nous sommes en train d’industrialiser l’intelligence. » C’est une étape inédite dans l’histoire de l’humanité : industrialiser non plus seulement la production ou l’innovation, mais l’intelligence elle-même.

Vers une intelligence dynamique

L’IA n’est pas figée. Elle évolue, apprend, se transforme. Cela signifie que les matrices de compétences utilisées par les entreprises devront elles-mêmes évoluer en permanence :

  • le recrutement, la formation et la gestion des talents ne pourront plus se limiter à des référentiels statiques,
  • les RH devront intégrer une logique de compétences dynamiques, capables de s’adapter à un environnement mouvant.
  • l’intelligence devient elle-même un processus vivant, en constante réinvention.
« La technologie soutient la culture, sans jamais la remplacer. »

Les premiers pas des RH dans l’IA

Certaines entreprises affirment déjà avoir intégré l’IA dans leurs pratiques RH. Mais Nizar Yaiche invite à la prudence : « Dire qu’on a intégré l’IA ne suffit pas. Il faut prouver que les résultats sont là. »

Il cite des exemples concrets à savoir l’automatisation des tâches administratives et la réduction drastique des procédures et du papier, le recrutement intelligent : Matching avancé, scoring de CV, détection des compétences émergentes ainsi que les agents IA pour les entretiens : une piste encore immature, qui a montré ses limites dans certaines expériences. Nizar Yaïche parle même de” flops” en la matière. Recruter en utilisant les agents IA n’a pas été une réussite à ce jour.

Ces premiers pas montrent à la fois le potentiel et les écueils : l’IA peut accélérer, mais elle peut aussi décevoir si elle est déployée trop vite ou sans préparation.

Ce premier volet pose les bases : l’IA est une révolution économique, géopolitique et organisationnelle. Mais derrière les chiffres et les promesses, une question centrale demeure :

  • Comment préserver l’équilibre entre innovation et équité ?
  • Comment accompagner les collaborateurs dans un monde où l’intelligence elle-même devient dynamique ?
  • Comment éviter que la course à la productivité ne se fasse au détriment des valeurs humaines ?

Ces interrogations ouvrent la voie aux volets suivants, où seront explorés les compétences techniques, les enjeux éthiques et le rôle des RH comme contre-pouvoir.

A suivre

Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • Une ouverture des HR Awards portée par une voix IA pour interroger le futur du leadership.
  • Des inquiétudes croissantes sur l’impact économique, social et éthique de l’IA.
  • Une intervention marquante de Nizar Yaïche sur les enjeux macroéconomiques et géopolitiques.
  • L’IA devient une infrastructure cognitive, au-delà d’un simple outil.
  • Les RH face à une responsabilité historique : concilier innovation et valeurs humaines.

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Foire internationale du livre de Tunis 2026 : candidatures ouvertes pour six Prix littéraires et deux Prix de l’édition

Le comité directeur de la 40ème édition de la Foire internationale du livre de Tunis (FILT), qui se tiendra du 23 avril au 3 mai 2026, a annoncé que les candidatures sont ouvertes jusqu’au 30 janvier 2026 (y inclus)  pour les six Prix de la création littéraire et intellectuelle et les deux Prix de l’édition.

Dans le but de valoriser les contributions des créateurs, chercheurs et traducteurs à la culture nationale et d’encourager l’innovation et la création, le comité directeur de la FILT décernera, selon le texte de l’appel publié sur la page de la FILT, six prix de la création littéraire et intellectuelle, d’une valeur de quinze mille dinars chacun : le Prix Béchir Kheraief ( roman), le Prix Ali Douagi (nouvelle), le Prix Fatma Haddad (études philosophiques), le Prix Tahar Haddad (recherches en humanités et en littérature), le Prix Mustapha Kheraief (poésie) et le Prix Sadok Mazigh (traduction de ou vers l’arabe)..

Les prix seront attribués, selon la même source, par des jurys composés de créateurs, d’universitaires et de critiques tunisiens. L’annonce des résultats se fera en deux étapes : une première avec la publication de la shortlist des finalistes sur le site officiel de la Foire internationale du livre de Tunis ainsi que dans la presse tunisienne, puis une seconde lors de la cérémonie de proclamation des lauréats, prévue le jeudi 30 avril 2026.

Concernant les conditions de candidature, le comité directeur précise que le candidat doit être de nationalité tunisienne et que l’ouvrage présenté doit avoir été publié après le 1er janvier 2025.

Pour le Prix Sadok Mazigh, le dossier doit comporter un exemplaire de l’œuvre originale, la traduction devant être effectuée directement depuis la langue d’origine, et non à partir d’une langue intermédiaire. Les ouvrages candidats aux Prix Fatma Haddad et Tahar Haddad ne doivent pas avoir été réalisés dans le cadre d’une recherche universitaire en vue de l’obtention d’un diplôme.

Les ouvrages présentés ne doivent pas avoir déjà obtenu de prix, en Tunisie ou à l’étranger, et doivent être publiés dans le cadre de contrats d’édition conformes aux exigences légales et en règle sur le plan administratif. Les ouvrages publiés à compte d’auteur ne sont pas acceptés.

Les Prix de l’édition “Abdelkader Ben Cheikh” et “Noureddine Ben Kedher”

Dans le même esprit de valorisation de l’industrie du livre en Tunisie, le comité directeur de la FILT décernera également deux Prix de l’édition, d’une valeur de dix mille dinars chacun : le Prix Abdelkader Ben Cheikh du meilleur éditeur de récits pour enfants ou adolescents, et le Prix Noureddine Ben Kedher du meilleur éditeur tunisien.

Les lauréats seront désignés par des jurys composés de professionnels, de critiques, de créateurs et d’universitaires tunisiens, et annoncés lors de la cérémonie du jeudi 30 avril 2026.

Pour le Prix Abdelkader Ben Cheikh, les auteurs candidats doivent être de nationalité tunisienne, les ouvrages publiés après le 1ᵉʳ janvier 2025, et ne doivent pas avoir déjà obtenu de prix. Les récits doivent être publiés dans le cadre de contrats d’édition conformes aux exigences légales. Les publications à compte d’auteur ne sont pas acceptées.

Concernant le Prix Noureddine Ben Khedher, l’éditeur candidat doit justifier d’une ancienneté d’au moins cinq années consécutives dans le domaine de l’édition.  Il devra notamment fournir la liste de ses publications des trois dernières années, en précisant le tirage de chaque titre, être en conformité avec la législation relative aux droits d’édition et de propriété intellectuelle, et justifier de participations à des salons du livre nationaux, arabes et internationaux. Il doit également avoir participé à la 39ème édition de la Foire internationale du livre de Tunis.

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Factures impayées : la STEG prolonge les mesures exceptionnelles de rééchelonnement jusqu’en mars 2026

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a indiqué, dans un communiqué publié mercredi à Tunis, la poursuite de l’application des mesures exceptionnelles prises en février 2025, visant à faciliter, pour ses clients, le paiement de leurs  factures d’électricité impayées, en tenant compte de leur situation économique et sociale.

Ainsi les clients voulant bénéficier de ces mesures sont appelés à  présenter une demande auprès de la STEG, entre le 22 décembre 2025 et le 31 mars 2026,  pour bénéficier de ces mesures.

Conformément aux instructions du président de la République, la STEG avait accordé, en février 2025,  à ses clients ayant des difficultés de rembourser leurs factures et  ayant des  impayés accumulés (enregistrés jusqu’au 19 février 2025), la possibilité d’un rééchelonnement de leurs dettes sur des mensualités, pouvant aller jusqu’à 7 ans.

La STEG a rappelé  que les clients qui peuvent bénéficier de ces mesures sont ceux classés dans la catégorie, dont la consommation mensuelle ne dépasse pas 400 kilo Watt heure (kWh). Ils  bénéficient  d’un échelonnement de leurs dettes antérieures sur des mensualités calculées sur la base de la valeur de la dette.

De même, sont concernées par ces mesures, les petites entreprises qui enregistrent des difficultés en raison de l’accumulation de leurs dettes. Ces entreprises  peuvent  rééchelonner leurs factures de consommation irrécouvrables, après la présentation d’une demande à cet effet.

Il s’agit, également, de permettre aux groupements hydrauliques ayant des difficultés de recouvrement de leurs factures de consommation de procéder à l’échelonnement de leurs dettes.

La STEG réitère son engagement  à interagir de manière positive avec tous ses clients.

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Bourse de Tunis : première des places arabes en hausse de la capitalisation boursière

La Bourse de Tunis a été classée en tête des bourses arabes en termes de hausse de la capitalisation boursière. Son indice a augmenté, ainsi, de 14,45 %, à fin octobre 2025, suivie par les bourses d’Amman et d’Egypte, qui ont respectivement enregistré des hausses d’environ 8,15 % et 7,11 %.

Selon le bulletin mensuel des marchés financiers arabes, publié par le Fonds monétaire arabe(FMA) pour octobre 2025, la Bourse de Tunis a enregistré une amélioration de son indice de performance et de la valeur des échanges, lequel a progressé de 77,32%.

Au niveau du volume des transactions, la Bourse de Tunis a enregistré une hausse de 57,63 %. A noter que l’indice composite du Fonds a progressé de 1,20%, à fin octobre 2025 en raison de l’amélioration de la performance de la majorité des indices boursiers inclus dans la base de données.

Les données financières ont révélé, en outre, que les transactions des marchés financiers arabes ont terminé le mois d’octobre 2025 sur une note positive pour le deuxième mois consécutif. Cette performance est due aux bons résultats trimestriels des sociétés cotées, notamment, dans le secteur bancaire ce qui a conduit à une hausse des principaux indicateurs de performance dans plusieurs bourses arabes, au cours du mois d’octobre 2025.

Le Fonds Monétaire Arabe est une institution financière régionale arabe fondée en 1976. Elle compte 22 pays membres dont la Tunisie.

Le FMA vise à corriger les déséquilibres des balances des paiements des États membres, à supprimer les restrictions sur les paiements courants entre eux, à établir des méthodes de coopération monétaire arabe, à développer les marchés financiers arabes et à créer les conditions propices à l’établissement d’une monnaie arabe unifiée.

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Tunisie–Qatar : renforcement de la coopération dans les projets d’infrastructure et de travaux publics

L’échange d’expertises entre la Tunisie et le Qatar dans le domaine des projets d’infrastructure ainsi que le développement d’une coopération technique dans le secteur des travaux publics et des infrastructures, ont été au centre d’une réunion tenue entre le ministre de l’Équipement et de l’habitat, Slah Zouari et le président de l’Autorité des Travaux publics du Qatar (Ashghal) Mohammed bin Abdulaziz Al-Meer.

Cette rencontre intervient en marge du sixième Forum ministériel arabe sur le logement et le développement urbain à Doha (Qatar), selon un communiqué du ministère de l’Équipement publié Mardi.

Accompagné d’une délégation officielle, Zouari a également visité l’Autorité des Travaux publics du Qatar.

La Tunisie a participé à la réunion du Conseil des ministres arabes du Logement et de la Reconstruction et au sixième Forum ministériel arabe sur le logement et le développement urbain durable.

Représentant la Tunisie, le ministre de l’Équipement, a passé en revue dans son allocution, les principaux projets et programmes notamment ceux visant à restaurer le rôle social de l’État dans divers secteurs, en particulier le logement, dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté politique exprimée par le président Kaïs Saïed, indique la même source.

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Tourisme : forte hausse des visiteurs algériens aux postes-frontières du Kef

Les postes-frontières de Sakiet Sidi Youssef et de Kalâat Senan ( gouvernorat du Kef) enregistrent une forte dynamique, ayant impacté positivement le tourisme et l’activité économique régionale, a indiqué le commissaire régional au tourisme, Saber Megri.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, il a souligné que les indicateurs actuels laissent présager la poursuite de la hausse du flux des visiteurs en provenance de l’Algérie durant la seconde moitié du mois en cours.

Cette affluence accrue coïncide avec les vacances scolaires et les célébrations du nouvel an administratif, d’autant plus que l’Algérie a procédé à la revalorisation de l’allocation touristique annuelle, portée de 100 à 750 euros par personne.

Le nombre de visiteurs algériens ayant franchi les postes-frontières de Sakiet Sidi Youssef et de Kalâat Senan depuis le début de l’année jusqu’au 15 décembre courant, s’est élevé à 514 376 personnes, enregistrant ainsi une progression de 21% par rapport à pareille période de l’année dernière, a-t-il précisé.

Il a ajouté que cette dynamique touristique soutenue s’est traduite par un regain notable de l’activité commerciale dans la région ainsi que par une amélioration significative des taux d’occupation des établissements hôteliers, illustrant, selon ses termes, l’impact structurant du tourisme transfrontalier sur l’économie locale.

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“Printing Memory” : une plongée dans l’histoire du cinéma arménien au MACAM

Le Musée national d’art moderne et contemporain (MACAM), à la Cité de la Culture Chedly Klibi, abrite, dans le cadre de la 36ème édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC), une exposition consacrée au cinéma arménien, intitulée “Printing Memory” (Mémoire imprimée).

Conçue par l’artiste visuel et créateur protéiforme Amen Okja, l’exposition a été inaugurée en présence de Mohamed Tarek Ben Chaabane, directeur de la 36ème édition des JCC et président du comité d’organisation, de la cinéaste arménienne Inna Mkhitaryan, ainsi que de plusieurs invités du festival.

L’exposition présente une riche collection et photos documentaires et d’affiches de films arméniens, couvrant une période allant des années 1930 à nos jours. En grande partie restaurées, ces affiches sont complétées par une projection vidéo consacrée à de célèbres cinéastes arméniens, proposant une idée assez exhaustive sur l’histoire et l’évolution du cinéma en Arménie, offrant aux visiteurs un voyage visuel et graphique à travers les différentes périodes de l’histoire du cinéma arménien, officiellement né en 1923 avec la création des studios d’Etat à Erevan.

Amo Bek-Nazarov, considéré comme le père du cinéma arménien, réalise le premier film de fiction, “Namous” (1925), puis le premier film parlant, “Pepo” (1935). Sur le plan thématique, les premières œuvres oscillent entre satire sociale, lutte contre le patriarcat et construction de l’identité soviétique arménienne. L’âge d’or poétique, situé entre les années 1960 et 1990, est marqué par des figures de proue qui ont placé l’Arménie sur la carte mondiale du cinéma d’auteur, à l’image de Sergueï Paradjanov, dont le chef-d’œuvre “Sayat Nova” (1969), également connu sous le titre “La Couleur de la grenade”, invente une topologie visuelle unique faite d’images statiques et symboliques, rompant avec le réalisme socialiste au profit d’une poésie pure.

Artavazd Pelechian, maître du “montage à distance “, a quant à lui révolutionné le cinéma documentaire par une approche symphonique du réel, influençant de nombreux cinéastes contemporains. L’histoire du cinéma arménien demeure étroitement liée à celle de l’Arménie, indissociable du génocide de 1915 et de l’exil, thèmes récurrents qui traversent sa production cinématographique. Des réalisateurs comme Atom Egoyan, basé au Canada, explorent l’identité arménienne à travers le prisme de la perte et du déracinement.

Aujourd’hui, le cinéma arménien tente de se réinventer face aux défis économiques et aux nouveaux formats, avec une tendance vers des récits plus personnels et universels, abordant les droits humains, la résilience et les frontières géopolitiques. Le Festival international Golden Apricot, à Erevan, demeure le carrefour majeur des cinéastes de la région et de la diaspora. Sur le plan institutionnel, le National Cinema Center of Armenia centralise désormais les efforts de restauration du patrimoine et de soutien aux nouvelles productions.

“Focus Arménie” sera ponctué d’une sélection de films arméniens ainsi que d’une master class animée par la réalisatrice arménienne Tamara Stepanyan, consacrée au cinéma arménien et aux questions d’identité. Elle se tiendra le mercredi 17 décembre 2025 au Musée national d’art moderne et contemporain (Macam).

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JCC 2025 : “Le Para-dis” de Majdi Lakhdar, un documentaire sensible hors des récits dominants

Avec “Le Para-dis”, le réalisateur tunisien Majdi Lakhdar signe un documentaire où le réel se dévoile par des approches sensibles, loin des récits dominants.

Sélectionné en compétition officielle aux 36ᵉ Journées cinématographiques de Carthage, le film a été projeté lundi soir en avant-première au Théâtre des Régions de la Cité de la Culture, en présence du réalisateur, de l’équipe artistique et de ses producteurs Ismail Ben Abdelghaffar et Marouene Labib.

Le documentaire s’articule autour de trois figures vivant dans la Capitale, que rien ne prédestinait à se croiser. Om Mariam, portant le niqab, convoque un récit intime fait d’errance, de mémoire et de retour. Ibrahim Keïta, étudiant malien, tente de renouer avec une filiation prestigieuse tout en affrontant l’expérience de l’exil contemporain. Enfin, les membres du Club Kitsune investissent le cosplay comme un espace d’affirmation identitaire.

Loin du simple loisir, le cosplay apparaît ici comme une pratique artistique encore en quête de reconnaissance, fondée sur la fabrication, la performance et l’incarnation de figures imaginaires.

Pour ces jeunes passionnés, l’enjeu est d’être visibles, légitimes, et reconnus dans une société qui hiérarchise les formes d’expression culturelle.

Majdi Lakhdar a fait le choix d’assumer seul la prise de vue, le son et la photographie, ce qui confère au film une relation directe avec ses protagonistes. Tourné sur huit mois et monté sur quatorze, “Le Para-dis” construit une narration fragmentée mais tenue par une continuité sensible.

Le réalisateur confie avoir eu l’envie de ce film avant même d’en connaître le sujet, laissant l’idée, le processus et la forme évoluer simultanément. Une expérience qu’il qualifie de rare, rendue possible par la confiance de l’équipe artistique et des producteurs dans un projet dont l’issue restait incertaine.

Produit par “Dirt, Sounds & Pictures”, le documentaire s’inscrit dans la continuité artistique adoptée par Majdi Lakhdar depuis son premier film, à la croisée du cinéma, de la photographie et des arts plastiques.

Après son premier long-métrage “Avant qu’il ne soit trop tard”, une fiction présentée hors compétition aux JCC 2019, le cinéaste poursuit une exploration des zones en marge du réel, faisant du cinéma un espace d’attention et de résonance. « Le Para-dis » est aux allures d’une expérience cinématographique à la fois immersive et méditative.

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Bourse de Tunis : séances contrastées, transactions de bloc sur CARTHAGE CEMENT

Le marché boursier a perdu du terrain sur la séance du mardi. Le benchmark a glissé de –0,1 % à 13181 points, dans un volume soutenu de 17,3 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Les échanges ont, notamment, profité de la réalisation de cinq transactions de bloc sur le titre CARTHAGE CEMENT, portant sur une enveloppe globale de 7,7 MD.

Le titre OFFICEPLAST s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action du spécialiste des fournitures scolaires et bureautiques a signé une progression de 4,4 % à 1,900 D, dans un modeste flux de 73 mille dinars.

Le titre TAWASOL GROUP HOLDING a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action du holding appartenant au groupe CHABCHOUB a inscrit une avancée de 3,5 % à 0,880 D. La valeur a amassé de faibles échanges de 118 mille dinars sur la séance.

Le titre CARTHAGE CEMENT a accusé le plus fort repli de la séance. L’action du cimentier public a essuyé une baisse de –3,1 % à 1,890 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 7,9 MD, soit le volume le plus élevé de la cote.

Le titre ATB a, également, terminé la séance en territoire négatif. L’action de la filiale du groupe ARAB BANK a régressé de –1,6 % à 3,630 D. La valeur a mobilisé un volume relativement soutenu de 816 mille dinars sur la séance.

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