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Loi de finances 2026 : Ce qui change pour les salariés

La Loi de finances 2026 introduit des ajustements destinés à atténuer la pression sur le pouvoir d’achat, sans bouleverser le cadre salarial existant.

👉 Ce qui change :

  • Une revalorisation progressive des salaires et des pensions est prévue sur la période 2026–2028. Les modalités précises seront fixées par décrets, mais le principe d’un ajustement est acté.
  • Les pensions de retraite sont concernées par cette revalorisation, dans une logique de maintien du niveau de vie des retraités.
  • Les dispositifs de solidarité ciblée sont renforcés, notamment pour les personnes en situation de handicap et celles atteintes de maladies rares ou chroniques, à travers des aides spécifiques et un fonds dédié.

👉 Ce qui ne change pas :

  • Pas de réforme globale du système salarial.
  • Pas de baisse directe de l’impôt sur le revenu généralisée.

📌 À retenir
La Loi de finances 2026 cherche avant tout à stabiliser les revenus et à préserver les catégories les plus vulnérables, dans un contexte de marges budgétaires limitées.

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C’est confirmé la hausse des salaires et des pensions prévue pour 2026 2027 et 2028 !

L’augmentation des salaires et des rémunérations dans les secteurs public et privé est officiellement prévue pour les années 2026, 2027 et 2028, selon un texte publié au Journal officiel de la République tunisienne (JORT).

Cette décision concerne l’ensemble des salariés, aussi bien dans le secteur public que dans le secteur privé. Elle s’appliquera également aux pensions de retraite, ce qui signifie que les retraités bénéficieront eux aussi de cette revalorisation progressive.

Le texte précise que les modalités exactes de cette hausse ne sont pas encore fixées. Les taux d’augmentation, leur calendrier précis et les catégories concernées seront normalement définis ultérieurement par un décret gouvernemental. 

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Tunisie – Majorations salariales : Un député dévoile un taux en deçà des attentes

Le taux des augmentations salariales et des pensions prévu dans le projet de loi de finances 2026 ne dépassera pas les 3,8 % pour les années 2026, 2027 et 2028, a révélé Yasser Kourari, président de la Commission de la législation générale au parlement.

Invité ce mercredi 3 décembre 2025 sur la Radio nationale, il a expliqué que cette estimation découle des données mises à la disposition des députés.

Selon Kourari, plusieurs élus avaient proposé une hausse de 7 %, légèrement supérieure au taux d’inflation, mais cette option a été rejetée. Il a exprimé l’espoir que ce pourcentage soit réintroduit par les membres du Conseil des régions et des districts.

Le député a jugé que la hausse de 3,8 % reste très faible et ne répond pas à l’érosion continue du pouvoir d’achat des Tunisiens face à la progression du coût de la vie et de l’inflation.

Kourari a affirmé que son bloc parlementaire défendra le rétablissement de l’article 50, relatif à l’impôt sur la fortune, ainsi que la proposition d’une augmentation de 7 % des salaires et des pensions. Il a rappelé que la ministre des Finances, Mechkat Khaldi Salama, s’est engagée à présenter une nouvelle version de l’article 50 fondée sur l’article 112.

Saied détaille son choix social

Le président de la République, Kais Saïed, avait remis au premier plan une question devenue explosive : l’augmentation des salaires. Une mesure inscrite dans le projet de loi de finances de l’année prochaine et que le chef de l’État présente comme un choix assumé, loin d’être une exception ou un luxe dans le contexte actuel.

Le président a rappelé que la hausse des rémunérations s’inscrit dans la continuité d’une tradition de l’État tunisien. Selon lui, les lois de finances de 1973 à 1976 comportaient déjà des mécanismes similaires, preuve que l’ajustement salarial n’est ni inédit ni déraisonnable, mais relève d’une logique sociale affirmée. Dans sa vision, un État social doit prendre ses responsabilités pour garantir la dignité et l’équité, surtout dans une conjoncture où le pouvoir d’achat s’érode et où les disparités régionales persistent.

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Tunisie : Le parlement approuve la hausse des salaires et des pensions de retraite

Le Parlement a adopté l’une des mesures les plus sensibles du projet de loi de finances 2026 : la revalorisation des salaires et des pensions pour les années 2026, 2027 et 2028. L’augmentation concernera les agents des secteurs public et privé ainsi que les retraités, conformément au chapitre 15 du texte. Les modalités d’application seront définies ultérieurement par décret.

En parallèle, les députés ont approuvé, malgré l’opposition de la ministre des Finances, un allègement progressif de la pression fiscale sur les pensions de retraite à travers l’adoption de l’article 56. L’objectif : améliorer le pouvoir d’achat d’une catégorie sociale déjà fragilisée.

Miskhat Salama Khaldi a exprimé de fortes réserves. Selon ses données, 56 % des retraités dont le revenu annuel imposable est inférieur à 5 000 dinars bénéficient déjà d’une exonération totale de l’impôt sur le revenu et de la contribution sociale solidaire. En outre, près de 70 % des retraités du secteur privé et environ 18 % du secteur public profitent d’allègements importants.

Soutenabilité des finances publiques

Pour la ministre, la modification adoptée risque de peser lourdement sur la soutenabilité des finances publiques jusqu’en 2028, puisque les ressources fiscales projetées sur le moyen terme en seraient affectées. Elle estime également que l’impact toucherait directement la trésorerie des caisses sociales, lesquelles devraient assurer des montants supplémentaires équivalents aux hausses de pensions induites par la baisse d’impôt.

Sur le plan de l’équité fiscale, la ministre souligne un risque de distorsion : plus la pension est élevée, plus la réduction d’impôt serait importante, ce qui irait à l’encontre des principes de justice sociale.

La Tunisie compte environ 1,278 million de retraités, dont 34,9 % issus du secteur public et 65,1 % du secteur privé. L’adoption simultanée de la hausse des pensions et de l’allègement fiscal redistribue les cartes, mais ouvre un débat délicat : comment concilier soutien au pouvoir d’achat et stabilité financière des caisses et du budget de l’État ?

Ce compromis politique, applaudi dans l’hémicycle, reste désormais à traduire dans les chiffres… et à financer.

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Augmentations des salaires par décret : Saïed défend un « choix social »

Le président de la République, Kais Saïed, a profité de sa rencontre hier, 27 novembre, avec le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmer, pour remettre au premier plan une question devenue explosive : l’augmentation des salaires. Une mesure inscrite dans le projet de loi de finances de l’année prochaine et que le chef de l’État présente comme un choix assumé, loin d’être une exception ou un luxe dans le contexte actuel.

Le président a rappelé que la hausse des rémunérations s’inscrit dans la continuité d’une tradition de l’État tunisien. Selon lui, les lois de finances de 1973 à 1976 comportaient déjà des mécanismes similaires, preuve que l’ajustement salarial n’est ni inédit ni déraisonnable, mais relève d’une logique sociale affirmée. Dans sa vision, un État social doit prendre ses responsabilités pour garantir la dignité et l’équité, surtout dans une conjoncture où le pouvoir d’achat s’érode et où les disparités régionales persistent.

Au-delà de ce dossier, Kais Saïed a insisté sur l’envoi urgent de secours à plusieurs régions défavorisées, rappelant que la marginalisation n’est pas un fait naturel mais la conséquence directe de décennies de politiques inéquitables. Il a souligné la nécessité d’offrir à toutes les zones du pays les mêmes conditions de développement et les mêmes services essentiels.

Caisses sociales

Le président a également insisté sur la situation critique des caisses sociales, appelant à accélérer leur restructuration et à trouver des solutions de financement pérennes afin qu’elles puissent assumer pleinement leur rôle dans la protection sociale.

En plaçant l’augmentation des salaires dans un cadre historique et politique, Saïed cherche à en faire un symbole fort : celui d’un État qui reprend en main ses fonctions redistributives. Un message adressé autant aux partenaires sociaux qu’à une opinion publique inquiète face à la montée des prix et aux tensions économiques.

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Budget 2026 : 25,3 milliards de dinars pour les salaires, une hausse de 3,6%

Le gouvernement tunisien prévoit d’allouer 25 267 millions de dinars (MD) aux dépenses salariales en 2026, contre 24 389 MD en 2025, soit une augmentation de 3,6%, selon le rapport du ministère des Finances relatif au projet de loi de finances. Cette enveloppe représente environ 13,4% du PIB, un taux légèrement inférieur à celui estimé pour 2025 (14,1%).

Une hausse soutenue par la régularisation de milliers d’emplois

Cette progression s’explique principalement par la mise en œuvre d’un programme national de régularisation et de recrutement concernant 51 878 postes, dont 22 523 nouveaux prévus en 2026.

Les principaux bénéficiaires sont les ouvriers des chantiers (près de 12 942 régularisations), les enseignants suppléants du primaire, du collège et du lycée (13 837 postes), les titulaires de licences appliquées (2 601 postes), les professeurs d’éducation physique (1 066 postes), et les docteurs intégrés dans divers ministères (1 350 postes, dont 740 à l’Enseignement supérieur).

Le rapport précise également qu’une enveloppe supplémentaire est réservée pour couvrir l’impact financier du nouveau programme d’augmentations salariales dans le secteur public, étalé sur la période 2026–2028.

Rationalisation et redéploiement en parallèle

Malgré cette hausse, le gouvernement entend poursuivre ses efforts de rationalisation des salaires. Le ministère des Finances évoque notamment la poursuite des programmes de redéploiement des ressources humaines, destinés à optimiser la répartition du personnel dans la fonction publique et à contenir la croissance de la masse salariale à moyen terme.

Cette stratégie vise à maintenir la stabilité budgétaire tout en répondant aux engagements sociaux pris dans plusieurs secteurs jugés prioritaires, notamment l’éducation et la santé.

Selon le projet de loi de finances pour l’année 2026, transmis par le gouvernement à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), les recettes de l’État sont fixées à 52,56 milliards de dinars et les dépenses à 63,57 milliards de dinars.

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