Loi de finances 2026 : Salaires, pensions, solidarité et les ajustements sociaux de 2026
Face à la pression persistante sur le pouvoir d’achat, la Loi de finances 2026 introduit une série de mesures sociales ciblées, sans engager de refonte globale du système de protection sociale. Le choix assumé est celui d’ajustements progressifs, destinés à amortir les effets de l’inflation sur les revenus, dans un contexte de marges budgétaires limitées.
Le texte prévoit d’abord une revalorisation des salaires et des pensions sur la période 2026–2028. Les montants précis et les modalités d’application sont renvoyés à des décrets ultérieurs [à vérifier], mais l’orientation est clairement affichée. L’objectif est de préserver le pouvoir d’achat des actifs et des retraités, confrontés à une érosion continue des revenus réels. Plus qu’un levier structurel, cette mesure s’inscrit comme un signal politique adressé aux ménages.
Un renforcement de la solidarité ciblée
Au-delà des revenus, la Loi de finances 2026 renforce plusieurs dispositifs de solidarité ciblée. La création d’un Fonds de promotion des personnes en situation de handicap constitue l’une des principales nouveautés. Doté de ressources dédiées, ce fonds vise à soutenir l’insertion économique, la formation et l’autonomie. Il marque un glissement vers une approche plus active, privilégiant l’intégration et l’accès à l’emploi plutôt qu’une assistance strictement compensatoire.
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Cette orientation s’inscrit dans une logique de ciblage assumé. Le texte prévoit également des allocations mensuelles au profit de personnes atteintes de certaines maladies rares ou chroniques. Ces mesures entendent répondre à des situations de vulnérabilité spécifiques, identifiées comme prioritaires dans le cadre des politiques sociales actuelles.
Soutien au tissu associatif et incitations fiscales
La Loi de finances 2026 accorde par ailleurs une attention particulière au rôle des associations sociales et culturelles. Elle élargit les avantages fiscaux qui leur sont accordés et améliore la prise en compte des dons dans le calcul de l’impôt. L’objectif est double : encourager l’engagement citoyen et soutenir des acteurs souvent en première ligne dans l’accompagnement social, sans alourdir directement les dépenses publiques.
Là encore, la logique reste sélective. Les incitations fiscales sont conçues pour maximiser l’impact social tout en maîtrisant la charge budgétaire, dans un contexte où l’État cherche à concilier soutien social et discipline financière.
Un équilibre sous contrainte
La Loi de finances 2026 ne prétend pas répondre aux fragilités sociales structurelles. Elle procède par ajustements successifs, cherchant à maintenir la cohésion sociale sans remettre en cause l’architecture globale du système de protection sociale. Le texte reflète un équilibre délicat entre contraintes budgétaires et impératif social, privilégiant des réponses ciblées à court et moyen terme plutôt qu’une réforme d’ensemble.
EN BREF
- Revalorisation annoncée des salaires et pensions sur 2026–2028.
- Absence de réforme globale du système de protection sociale.
- Création d’un Fonds de promotion des personnes en situation de handicap.
- Allocations mensuelles pour certaines maladies rares ou chroniques.
- Avantages fiscaux élargis pour les associations et les dons.
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L’article 56, paragraphe II, de l’article 26 du Code de l’impôt sur le revenu des personnes physiques et de l’impôt sur les sociétés est modifié comme suit :
Ce qui change :
À retenir
La compétition mondiale pour dominer l’intelligence artificielle (IA) est devenue une des lignes de fracture stratégiques du XXIᵉ siècle. Alors que Washington concentre d’énormes ressources sur la supériorité technologique, certains experts s’interrogent : les États-Unis pourraient-ils « gagner » le front de l’IA mais perdre le combat plus large pour l’influence économique et géopolitique ?
Adoptée dans un contexte économique contraint, la Loi de finances 2026 s’inscrit dans une logique de gestion sous pression, marquée par un recours accru à l’endettement, un ciblage social plus affirmé et une accélération de la digitalisation fiscale et douanière. À travers ses 110 articles, le texte combine mesures de soutien, incitations sectorielles et réformes procédurales, sans rompre avec les équilibres budgétaires fragiles qui caractérisent les finances publiques tunisiennes.
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