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Accidents mortels en Tunisie : les routes les plus dangereuses en 2025

Accidents mortels en Tunisie : les routes les plus dangereuses en 2025

En Tunisie, les données publiées par l’Observatoire national de la sécurité routière révèlent que, du début de l’année jusqu’au 4 décembre 2025, les gouvernorats de Tunis, Sfax et Nabeul ont été les plus touchés par la mortalité routière. Tunis arrive en tête avec 112 décès, suivi de très près par Sfax (111 décès) et Nabeul […]

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Sécurité routière : jusqu’à 74 000 décès redoutés en Tunisie d’ici 2055

L’analyse des indicateurs de l’Observatoire national de la sécurité routière et des enquêtes sur le terrain pour l’année 2025 ont révélé que le rythme actuel en Tunisie conduit à des chiffres pouvant atteindre 74 mille décès et 235 blessés d’ici 2055, en raison des accidents de la route.

Ces données, qui ont présentées récemment au cours de la 16e session des travaux du Conseil national de la sécurité routière, démontrent que ces chiffres ne sont pas de simples prévisions, mais une conséquence du rythme actuel qui fait état d’une augmentation de 4,3 pc du nombre de décès par rapport à la même période de l’année 2024.

L’Observatoire a indiqué qu’il était possible de changer la donne à travers l’identification des véritables causes et l’exploitation des fonds pour traiter les problèmes les plus urgents (motos et jeunes) et dans les zones à risque, notamment à travers les différentes régions du pays ainsi que l’engagement commun.

Dans ce cadre, l’observatoire a souligné que la sécurité routière n’est pas seulement une responsabilité sécuritaire, mais une responsabilité nationale qui nécessite la coordination entre tous les ministères et la société civile.

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Tunisie Autoroutes : avancée des travaux de signalisation sur l’A1

La Société Tunisie Autoroutes (STA) poursuit les travaux de signalisation routière (horizontale et verticale), conformément au plan programmé, qui concerne actuellement l’autoroute A1 – Nord /District Turki, et l’installation de la signalisation horizontale du point kilométrique 24 au point kilométrique 29 en direction de Sousse, a indiqué la Société dans un communiqué publié jeudi.

Des travaux de signalisation sont également en cours sur l’autoroute A1 – Sud | District Oudhref et la signalisation horizontale au niveau des stations Skhira et Gabès.

Ces travaux, qui visent l’amélioration de la qualité du service et garantir un niveau  de sécurité élevé, s’inscrivent dans le cadre du programme périodique de rénovation et d’entretien de la signalisation horizontale sur l’ensemble du réseau de la Société Tunisie  Autoroutes.

La signalisation routière (horizontale et verticale) est un élément principal du système de sécurité routière dans le réseau autoroutier, car elle permet de clarifier les voies et d’orienter précisément les usagers de la route, garantissant ainsi la fluidité du trafic et la sécurité des déplacements, selon la même source.

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La mortalité repart à la hausse sur les routes tunisiennes

Les nouveaux chiffres dévoilés par l’Observatoire national de la sécurité routière montrent une évolution inquiétante : la route fait plus de morts en 2025 malgré une légère baisse du nombre total d’accidents.

Le Colonel-Major Haythem Chaabani a présenté ces données sur Mosaïque FM, pointant une hausse notable de la gravité des collisions. La situation met en lumière la persistance d’un phénomène meurtrier, malgré les campagnes et les mesures préventives.

Une année marquée par un paradoxe statistique

Depuis le début de 2025 et jusqu’au 9 décembre, la Tunisie a enregistré 4942 accidents ayant causé 1145 décès et 6553 blessés. Les chiffres montrent un recul du volume des accidents mais une mortalité en hausse de 5% par rapport à 2024, tandis que les blessés progressent d’environ 1%. Les données consolidées laissent apparaître une contradiction : moins de collisions, mais davantage de victimes.

L’ONSR confirme une violence accrue des sinistres routiers. Les accidents mortels totalisent 1009 cas, provoquant à eux seuls 1145 décès et 788 blessés, traduisant une létalité nettement supérieure aux années précédentes. La hausse de la gravité devient ainsi le marqueur dominant de l’année 2025.

Des gouvernorats particulièrement touchés

La répartition territoriale révèle une concentration frappante des accidents les plus meurtriers. Tunis arrive en tête avec 110 accidents mortels, soit 11% du total national. Sfax suit avec 98 cas, puis Nabeul (72) et Médenine (71). À eux seuls, ces quatre gouvernorats cumuleraient 34% de l’ensemble des accidents mortels enregistrés dans le pays.

La baisse du nombre global d’accidents pourrait laisser entrevoir une amélioration. Pourtant, la hausse de la mortalité rappelle que les efforts engagés ne parviennent pas encore à enrayer la dangerosité croissante du réseau routier.

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Deux millions de motos hors-la-loi : L’avertissement choc du colonel Chaabani

Le colonel Hichem Chaabani tire une sonnette d’alarme : en Tunisie, sur près de deux millions de motos en circulation, à peine 20.000 figurent dans les registres officiels.

Un parc roulant largement fantôme, où la majorité des conducteurs circulent sans permis, sans casque, hors cadre légal et parfois même… sur les trottoirs. Une situation explosive, dénoncée lors des travaux du Conseil national de la sécurité routière.

Un parc motocycliste massivement non déclaré

Les chiffres avancés par Chaabani dans une déclaration sur les ondes de Diwan fm, sont saisissants : seulement 1% des deux-roues disposent d’une immatriculation en bonne et due forme. Le reste échappe à tout suivi administratif, avec des engins souvent non conformes et impossibles à tracer en cas d’accident.

Cette invisibilité juridique empêche tout contrôle réel et fait exploser les risques sur la voie publique.

Une conduite anarchique devenue la norme

Le colonel ne mâche pas ses mots :

« Les motocyclistes tunisiens se prennent pour des piétons ».

Il décrit des comportements généralisés – circulation sur les trottoirs, mépris de la signalisation, contresens, dépassements interdits – qui transforment les routes en zones grises où la loi ne semble plus exister.

Pourtant, rappelle-t-il, les motos sont soumis au Code de la Route comme tout véhicule motorisé.

Permis AA obligatoire, casque obligatoire… mais rarement respectés

Chaabani insiste : conduire un deux-roues impose un permis de catégorie AA et le port du casque.Or la plupart des conducteurs n’en disposent pas, s’exposant à des sanctions sévères.

L’usage des motos pour transporter des passagers — parfois à plusieurs — demeure également illégal, mais omniprésent dans les grandes villes comme dans les régions.

Le responsable régional alerte sur un fléau désormais systémique : la culture du « tout est permis ».

L’absence d’immatriculation, l’infraction permanente et la quasi-absence de contrôle créent un environnement où les accidents prolifèrent, sans garantie d’indemnisation, de responsabilité, ni même d’identification.

Face à cette dérive massive, Chaabani plaide pour une immatriculation obligatoire réellement appliquée, des opérations de contrôle renforcées, des sanctions systématiques contre la conduite sans permis, et une mise en conformité des deux-roues pour réduire un risque devenu critique.

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Rentrée scolaire : La circulation sous haute surveillance à Tunis

* Trafic dense attendu dès le 15 septembre

À l’occasion de la rentrée scolaire, le ministère de l’Intérieur met en garde contre une forte densité de circulation à partir du lundi 15 septembre 2025. Les perturbations devraient être particulièrement marquées à l’entrée sud de la capitale, en raison du retour des automobilistes de l’intérieur du pays et des travaux d’aménagement toujours en cours sur cet axe stratégique.

Itinéraires alternatifs proposés

Pour limiter les embouteillages, les autorités recommandent plusieurs parcours de substitution :

  • Par la route nationale n°1 : emprunter la bretelle en direction du stade de Radès, puis passer par le carrefour de la Nouvelle Médina et celui de Radès-Choucha, avant de rejoindre le pont Radès–La Goulette. Cet itinéraire permet d’accéder aussi bien au centre de Tunis qu’à la banlieue nord. Une autre option consiste à utiliser la bretelle située près de la Banque de l’Habitat, menant également au pont Radès-Choucha.
  • Par le pont de La Cagna : traverser ensuite les carrefours Ouardia 1 et 2 en direction de la place Bab Alioua, puis emprunter le pont Révolon, la rue Moncef Bey et enfin la rue du Maghreb arabe (route Z4).

Appel à la vigilance et à la discipline routière

Le ministère de l’Intérieur exhorte tous les usagers de la route à respecter le code de la route et les règles de sécurité. Des équipes et moyens matériels supplémentaires ont été mobilisés afin de fluidifier le trafic et assister les automobilistes.

En cas de besoin, les usagers peuvent contacter les services compétents aux numéros suivants : 71.343.201 ou 71.342.787.

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Tunisie : Les cinq axes de la nouvelle stratégie de la sécurité routière

Le comité de pilotage multisectoriel s’est réuni, mercredi, pour finaliser la « Stratégie nationale pour la sécurité routière », visant à rendre les routes plus sûres pour tous.

Selon un communiqué de l’Observatoire national de la sécurité routière, cette stratégie repose sur des interventions globales touchant plusieurs secteurs essentiels, notamment l’aspect légal et législatif, avec la révision et le développement des lois pour renforcer la dissuasion et la sécurité.

Elle met également l’accent sur la formation et le perfectionnement afin d’améliorer les compétences de tous les acteurs du secteur du transport, qu’ils appartiennent aux ministères ou aux différentes institutions.

La stratégie prévoit aussi des investissements dans les infrastructures et les véhicules, afin d’améliorer l’état des routes et de garantir que les véhicules, qu’ils soient fabriqués localement ou importés, respectent les normes de sécurité et soient plus sûrs.

Les ateliers de travail ont porté sur cinq axes principaux : l’infrastructure et les vitesses sûres, en concevant des routes adaptées et en définissant des limitations de vitesse appropriées ; les comportements des usagers de la route, via la sensibilisation et la modification des comportements à risque des conducteurs et des piétons ; le développement et la promotion de transports publics sûrs ; le renforcement du contrôle des normes de sécurité des véhicules ; et enfin, la gestion post-accident, pour améliorer la rapidité et l’efficacité des interventions et sauver des vies.

Le communiqué souligne que cette stratégie nationale, qui prend en compte l’ensemble des acteurs impliqués, poursuit un objectif ambitieux : réduire de 50 % le nombre de victimes d’accidents de la route d’ici 2034.

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